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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 31 décembre 2019

Aurez-vous du courant électrique pour votre Saint-Sylvestre ?

Haro sur la CGT ?
 
C’est la nouvelle blague du syndicat-stalinien : Pas d’électricité, pas de fête !
On pourrait bien manger froid, dans la nuit profonde (à défaut de neige), sans chauffage (même au gaz ou à la vapeur du CPCU), pas d’ascenseur pour accéder chez vous, parce que tout, absolument tout fonctionne avec du courant électrique : Les fameuses « sécurités » sont électriques, les pompes à eau également à et votre fer à repasser de la même façon.
Pas grave : Moi j’ai prévu de pouvoir réveillonner dans mon « tas-de-boue-à-roulettes », avec des bougies et mon matériel de camping, bien au chaud, le moteur s’encrassant au point-mort pour fournir chauffage et sonorisation électrique 12 volts.
Ambiance festive prévue avec bocal de mayonnaise et queues de langouste… cubaine !
 
Car effectivement, la CéGéTé, pour s’opposer à la réforme des retraites du gouvernement, est en première ligne dans les actions visant notamment à bloquer les déplacements des citoyens même en période de fêtes.
Quitte parfois à s’affranchir de la légalité pour défendre ses intérêts comme lorsqu’elle coupe l’électricité de dizaines de milliers de foyers.
En effet, ce mouvement syndical, en décembre 2019, a été l’occasion pour la CéGéTé-Energie de s’illustrer par des coupures sauvages à Nice, Nantes, Lyon, Orléans et en Gironde privant de courant des dizaines de milliers de foyers et entreprises.
Or, selon l’article R323-37 du Code de l’énergie, qui prévoit et réprime l’intrusion dans les ouvrages électriques et les manœuvres non autorisées sur le réseau électrique, ces coupures sont illégales et ne sont pas couvertes par le droit de grève !
Ça perturbe le réseau européen…
En bref, c’est un délit : Ils feraient mieux de faire la grève des factures et de l’informatique en mettant en rideau les compteurs Linky à distance.
 
Des coupures interdites, notamment à cause des risques qu’elles représentent pour les hôpitaux et également à domicile pour les personnes sous assistance de matériel médical électrique.
Notez que les hôpitaux sont tous équipés, parfois à grands-frais, de générateurs auxiliaires et autonomes de secours.
On m’a même obligé à en avoir deux (et à les faire tourner) quand j’ai ouvert, à une époque lointaine de ma carrière passée, un entrepôt à « température dirigée » négative…
Même que ça revenait moins cher à faire tourner que de se brancher sur le réseau.
D’ailleurs, ils savent, parce que c’est interdit en temps normal…
Grosse rigolade, vous imaginez bien !
Quant aux réseaux de téléphonie filaire, ils sont équipés de grosses batteries qui peuvent tenir des semaines…
En revanche, il ne fera pas bon être hospitalisé « lourd » à domicile. La bouteille d’oxygène encore, elle fonctionne toute seule jusqu’à épuisement, mais imaginez donc tous vos « I-portables » qui se déchargent en une journée et les « Telle-Sla » de Musk, les bornes de recharge de vos « e-toto-mobile » en rade, et la face de votre univers quotidien en sera radicalement changée…
 
Et stupeur, comme si c’était devenu à la mode, je tombe sur un « petit-encart » retraçant les « coups-fourrés » de ce « Saint-dit-Khâ » là, en oubliant les autres plus… réformistes !
La liste est une « petite merveille », même si elle est incomplète, que je vous reprends pour que vous puissiez « méditer » sur la capacité de nuisance d’une « hyper-minorité » en cette fin d’année.
Et vous aidez à avoir les idées claires pour la nouvelle année…
 
D’abord, « d’abord, il y a l’aîné », il y a « Crabe-zu-qui », 1985. À l’instar du PCF de « Gorges-Marre-chai », il a demandé au conseil central des syndicats de l’URSS d’accorder à son syndicat une aide urgente de 10 millions de francs (1 million de roubles convertibles, ça valait cher à l’époque, mais sur place tout se traitait déjà en US$).
Une demande à caractère strictement confidentiel et seul le comité central était au courant. Cette aide, approuvée par le Politburo du Parti communiste de l’Union soviétique, sera accordée en deux versements en 1985 et 1986 de 500.000 roubles provenant du comité du tourisme et d’excursion par le KGB : Les « Tchékistes » de sinistre réputation (ceux qui vous suivez dans les rues et vous remettez sur votre chemin quand vous perdiez à Moscou)…
Et après vous vous demandez comment ils peuvent financer 1,2 M€ de soutien financier pour les cheminots-grévistes… avec ou sans cagnotte de soutien !
Mais il n’y a pas que ça…
 
Chacun se souvient qu’en 1991, la direction des NMPP découvre une cache de plus de 5.000 armes de guerre dans un de ses entrepôts de Saint-Ouen (commune de la « ceinture-rouge » jusqu’à récemment « coco » : Il n’y a pas de hasard…).
Des armes qui avaient été détournées, volées, puis cachées par des ouvriers membres du syndicat du livre lors de la faillite de Manufrance en 1980 en prévision du « grand soir ».
Et à l’époque, la direction des NMPP ne portera pas plainte.
Selon son PéDéGé de l’époque le scandale aura été étouffé par le gouvernement « soce » du moment, soucieux de ménager la CéGéTé, faiseurs de rois…
Enfin… un seul jusque-là !
 
Naturellement la CéGéTé-énergie (et mines) a également été mise en cause dans le financement du comité d’entreprise d’EDF depuis les années 1990.
Depuis, l’entreprise est « démantelée », son monopole de distribution aura sauté (à la marge) et demain ce sera la production.
Au début des années 2000, cette polémique avait pris un tour judiciaire, d’une part avec la révocation du Directeur Général de la Caisse centrale d’activités sociales (CCAS), le social-traître, qui avait évoqué des irrégularités lourdes et des dysfonctionnements, et d’autre part, par le dépôt d’une plainte par trois agents.
« Nanar-Thi-beau » a été entendu par la justice en juillet 2006 dans le cadre de cette affaire.
Deux ex-responsables du CE ont été mis en examen à ce titre.
Bien sûr, la CéGéTé, syndicat majoritaire à l’époque et gérant donc la CCAS, aura démenti toute malversation au CE, affirmant que « les dépenses sont contrôlées en permanence depuis une dizaine d’années, il y a une commission d’appels d’offre ». Ce qui est vrai.
Mais elle aura été condamnée par le tribunal correctionnel de Paris en première instance et on se sera tous payés, parfois chèrement, des commissaires aux comptes dans nos « petites-associations » et autres CE à travers la « Gauloisie-comptable »…
 
On se souvient également d’une CéGéTé fortement engagée dans le soutien aux travailleurs étrangers en situation irrégulière en faveur de leur régularisation administrative.
En 2009, sur les 2.500 salariés étrangers en situation irrégulière en lutte en « Île-de-Gauloisie », quelque 1.500 avaient été régularisés.
Un collectif d’environ 800 étrangers en situation irrégulière occupait jour et nuit, depuis le 2 mai 2008, les locaux de l’annexe de la Bourse du Travail, rue Charlot à « Paris-sur-la-plage » et…
Le service d’ordre de la CéGéTé les en a expulsés par la force en juin 2009. « Alors que la plupart des squatteurs sont partis pour leur manifestation hebdomadaire à Châtelet afin de demander leur régularisation, le service d’ordre de la CGT somme ceux qui sont restés de quitter le bâtiment (la Bourse du Travail), appartenant en partie au syndicat. Une quarantaine de « gros bras » de la CGT, « le visage masqué ou cagoulé », arborant des brassards orange, ont débarqué, armés de bonbonnes de lacrymogène », raconte alors l’un des porte-parole : « Ils ont profité du fait que nous étions peu nombreux. Dès qu’ils sont entrés, ils ont gazé tout le monde. Il a fallu sortir. »
Les étrangers en situation irrégulière ont passé la nuit, installés sur le trottoir en face du bâtiment, sur leurs matelas posés à même le trottoir, entre le fatras de leurs vêtements et autres ustensiles de cuisine, sous l’œil des gendarmes et CRS.
C’est qu’on ne plaisante pas avec le principe de la propriété privée des bâtiments du « Saint-Dit-Khâ », chez les « staliniens-tchékistes » !
 
À l’époque, la commission administrative de la Bourse du Travail de Paris où siègent les principaux syndicats (CFDT, CGT, FO, CFTC, CGC, Unsa et Solidaires) a salué la « libération de la Bourse du Travail de Paris par les syndicats parisiens », mais a été contestée par certaines associations et certains sections syndicales de la CéGéTé, alors que d’autres associations de défense des étrangers ont refusé de condamner le principe de récupération de ses locaux par la CéGéTé.
Allez savoir pourquoi, ou « qui paye qui » !
 
Mais autre gros bataillon de « musclés » (après les EDF et la SNCF), la « CéGété-livre-Sterling » en a fait des vertes et des pas mûres.
En 2010, lors du conflit autour de la réforme des retraites (déjà ?), la CéGéTé demande à l’ensemble de la presse nationale Gauloisienne de publier un texte.
Les éditeurs rejettent la demande de la CéGéTé (c’est payant, les pubs…), expliquant qu’ils n’acceptaient aucune « communication politique » de la part de partis ou syndicats.
Disons que les partis s’y prennent autrement, surtout quand ils ont un patron de presse parmi les « généreux amis »…
 
En 2016, lors du conflit autour du projet de la « loi-Travai-El-Konnerie », la CéGéTé impose à l’ensemble des quotidiens nationaux, pour paraître le 26 mai, de publier une tribune intitulée « La modernité, c’est le progrès social, pas la loi « Travail » ! » déjà signée par le moustachu « Phiphi-le-Martinet », secrétaire général de la CéGéTé opposé au projet de loi du gouvernement « Menuet-Valse ».
L’ensemble des titres de la presse nationale à l’exception de « l’Huma » ont refusé de céder à ce « chantage ». Le syndicat CéGéTé-Livre-Sterling a alors bloqué l’impression et la distribution de l’ensemble des quotidiens nationaux qui ont refusé de publier le tract syndical.
Les directeurs des quotidiens nationaux ont vivement réagi à cette méthode « scandaleuse » : Le directeur de « Libé-ce-torchon » a dénoncé un « chantage pur et simple », le directeur des rédactions du « Figaro-ci-Figaro-là (cet autre torchon) parlait de « méthodes staliniennes » et de « blocages scandaleux », le président du directoire du « Monde » (encore un torchon) indique que dans « d’autres temps, on aurait appelé ça de la censure », quant au directeur du journal « L’Opinion » parle alors du jeudi 26 mai 2016 comme « une date qui restera comme un de ces moments où l’on peut avoir honte de ce qu’est devenue l’action syndicale ».
Notez que plus personne ne s’en souvient, une triplette d’années plus tard…
Et qu’ils avaient remis ces blocages les 31 mars et 28 avril suivants.
Depuis, on a tous des « moteurs » qui recherchent pour soi les informations en ligne dont on a besoin et la presse écrite se meurt…
 
Autre gros bataillon des « CéGéTé » musclés pour un « nouveau genre humain », la « CéGété » cheminots : Entre autres, rappelons que le comité d’entreprise de la SNCF de la région Metz-Nancy, géré par des délégués CéGéTé, a été condamné pour avoir employé une aide de cuisine en CDD pendant 12 ans (184 contrats de travail de type CDD d’affilée) avant de la licencier. Mercredi 16 mars 2016, l’employée-modèle obtenait la condamnation de l’employeur, ainsi que des représentants du personnel.
Ils devront lui verser un total de 40.674 euros pour méconnaître la règle du Code du travail qui requalifie les CDD en CDI lorsqu’ils sont systématiquement renouvelés.
C’est dire qu’avec des syndicaleux comme ça, le droit du travail ne peut que progresser…
 
Ah, la police, ils n’aiment pas trop surtout quand ça les arrange.
Le 19 avril 2016, à la suite d’incidents entre des « casseurs » et les forces de l’ordre intervenus depuis le début de la mobilisation contre le projet de réforme du code du travail, le syndicat « Info’Com-CéGéTé », affilié à la Fédération des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication CéGéTé (Filpac-CéGéTé), publie une affiche sympathique montrant une matraque, une flaque de sang et un insigne de CRS…
Cette affiche a été très largement condamnée par la classe politique. Le directeur général de la police nationale s’est même déclaré indigné par un « appel à la haine » de cette affiche « outrageante », « extrêmement choquante » et « très injuste ». Le « Sinistre de l’intérieur-et-des-cultes » de l’époque (« Nanar-Case-Neuve »), de rappeler que « 18.000 policiers et gendarmes ont été blessés dans l’exercice de leurs fonctions en 2015 » (quel score !), et a dénoncé une affiche qui « détruit le lien de confiance entre la population » et la police.
Ah bon, il existait encore ?
 
Le 1er mai 2016, les mêmes ont publié une affiche « Loi travail, stop à la répression ! » sur laquelle des policiers foulent un sol maculé de rouge, symbolisant du sang. Le syndicat d’officiers de police CéGéTé-Police, également affilié à la confédération nationale CéGéTé, aura dénoncé une affiche qui « stigmatise une nouvelle fois » les policiers et « les discrimine dans son ensemble ». De son côté, le syndicat Synergie-Officiers s’est aussi déclaré « scandalisé » par cette affiche, décriant un « torchon inspiré des pires heures de notre histoire ».
Je me marre : Ils ne sont même pas d’accord entre eux…
 
Mais il n’y a pas que ça : Suite à la manifestation du 14 juin 2016 contre la Loi Travail « d’El-Konnerie », émaillée de violences notamment le long de l’Hôpital Necker-Enfants malades, le préfet de police de Paris a évoqué « une forme de solidarité » entre des manifestants, dont certains brandissant des drapeaux de la CéGéTé, et les casseurs. La préfecture de police a en effet diffusé des photos où on aperçoit des syndicalistes (vêtus d’une chasuble de la CGT) retirer des pavés et lancer des projectiles sur les forces de l’ordre.
Une autre vidéo montrait des syndicaleux charger des policiers avec violence. Le préfet de police précisera également qu’en fin de manifestation, un groupe de 100 à 200 manifestants de la CéGéTé, « venus de l’Ouest et du Havre », a également « participé à des actes de violence », blessant 10 policiers au moment de la dispersion.
Ils sont vraiment mal entraînés, nos flics…
Du coup, « Menuet-Valse », aura appelé la centrale syndicale à cesser ses manifestations dans la capitale…
 
Le syndicat « CéGéTé » aura aussi fait l’objet de critiques pour sa lutte contre les casseurs à l’intérieur même des manifestations, accusé par certains de « collusion avec la police », et dénonce les actes violents des casseurs.
Les syndicats de police Alliance et CéGéTé dénoncent par ailleurs la responsabilité implicite du gouvernement dans ces violences, qui selon eux chercherait à détourner le débat public du conflit social vers les violences des casseurs, en livrant des consignes favorables à ces derniers.
De l’art de jeter de l’huile sur le feu en… contrefeu !
Car tous ceux-là, on ne les aura pas beaucoup vu protester contre les « manif’ pour tous » qui constataient les mêmes « écarts » de la force publique…
Mais bon, il n’y avait pas de LBD, juste des canons à eau.
 
On se souvient également que le 10 décembre 2018, « Info’Com-CéGéTé », toujours affilié à la Fédération des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication CéGéTé et autres « laborieux du livre » (Filpac-CéGéTé), publie une campagne similaire à celle controversée de 2016.
Cette fois le sang n’est pas en flaque mais ruisselle d’une matraque et goutte sur un nounours démembré. Cette campagne évoque la famille pour dénoncer principalement les contrôles de manifestants mineurs.
Le syndicat UNSA-Police dépose plainte…
La suite est à venir…
 
Naturellement, personne n’oublie sur les « rives de méditerranée » le syndicat « CéGéTé des dockers ». Ils ont réussi à tuer leur métier et de mettre à mal les ports généralement bloqués aux grandes migrations estivales. Tu commences tes vacances par être parqués sur les quais sous le cagnard pendant des heures où il faut se démerder pour trouver de quoi faire un biberon pour ton môme qui chiale après une route encombrée au possible pour aller jusqu’en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi ».
Depuis la dernière fois, mais c’est plus à cause du « STC » (ne rigolez pas : Saint-dit-Khâ-des-travailleurs-Corsi », mais si, ça existe !) qui règne à bord des navires de feu la SNCM (car ils ont fini par la tuer elle aussi), d’avoir été traité comme du bétail, que j’ai trouvé l’astuce d’éviter ce port et son rejeton (« Corsica.Linea »), en passant par la « Ritalie » sur les autres compagnies disponible (Mobyline, Corsica Ferries, etc.)
Plus court, par Toulon.
Bon, ils sont un peu « facho » dans le coin, mais comme j’y reste que pour la pizza du soir la bière fraîche et le croissant du matin au retour, ça reste acceptable, parce qu’à Gênes, si la ville est super-sympa autour du port, les quais, ce n’est pas ça. Et puis Livourne, c’est plus loin et t’oblige à une « halte-Sprizt » et une nuit d’hôtel sur place.
 
Tout ça pour vous dire qu’à force de tirer sur la corde (et la couverture à soi), non seulement on finit par tuer l’employeur de tous ses « syndicaleux-là », mais que ça oblige les « autorités » à organiser la concurrence à marche forcée, autrement dit des alternatives.
La fin d’une époque, celle du « monde d’avant ».
Alors cette nuit, enterrez bien profond cette année marquée par un mouvement des « gilets-jaunes » dont plus personne ne parle, la « Loi Mobilité » et autres « transition énergétique » entrent en vigueur dès minuit…
L’occasion de faire la fête pour oublier…

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