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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 10 décembre 2019

Dans le silence total des médias…

Braderait-on votre sécurité ?
 
Le salon « Milipol » s’est tenu à Villepinte du 19 au 22 novembre dernier. Un salon international consacré à la sûreté et à la sécurité intérieure des États…
Votre « sinistre de l’Intérieur, de l’ordre public & des cultes », « Chrichri-Castagneur », ex-chef du parti des « marcheurs-même-pas-en-rêve », était sur place le jour de son ouverture, et a réaffirmé son engouement pour un partenariat entre l’État et le secteur privé afin d’assurer au mieux la sécurité sur le territoire.
Comme si tous les impôts que vous payez, parce que c’est bien une prérogative régalienne, une des premières et une des dernières, n’y suffisaient pas encore… !
 
Une logique de coopération donc, puisqu’il est le fruit d’un partenariat public/privé.
CIVIPOL, l’organisateur dudit salon, est une société de droit privé dont l’actionnariat est toutefois majoritairement public et travaille sur des projets allant de séminaires sur le faux-monnayage en « Île-de-Gauloisie » à la réforme de la police au Myanmar (ex-Birmanie), en passant par un projet d’assistance contre le crime transnational organisé en Amérique latine.
Des cadors…
Un salon qui s’organise aussi en étroite collaboration avec le ministère de l’Intérieur (de l’ordre public & des cultes), mais aussi avec l’aide du ministère de l’Économie et des Finances, en partenariat avec tous les organismes concernés de près ou de loin par les questions de sécurité et de sûreté, de la Police nationale à Interpol, en passant par la Gendarmerie nationale ou encore la Direction Générale de Sécurité et de la Gestion de crises, et bien d’autres.
On comprend donc bien que cette idée de partenariat de l’État avec le secteur privé concernant la sûreté et la sécurité n’en est plus à ses balbutiements.
 
Plus de 1.100 exposants dont plus de la moitié venait de l’étranger, et plus de 30.000 visiteurs dont 45 % d’internationaux…
Les sujets traités sur le salon sont vastes et vont de la sécurité routière à la protection des frontières, en passant par la sécurité bancaire ou encore la protection des données, mais aussi la veille industrielle, la lutte anti-terroriste, et de nombreux autres sujets.
Tout quoi…
La collaboration entre l’État et le service privé est déjà bien développée dans certains de ces secteurs et, si le fait de déléguer des tâches relatives à la sécurité des citoyens à des sociétés privées peut soulever des doutes et faire pousser des hauts cris à ses détracteurs, si l’on écoute le « sinistre de l’Intérieur », il faut tout de même considérer cette option comme une solution pouvant satisfaire l’intérêt général si elle est mise en place correctement, n’est-ce pas…
 
Un rapport de 2018 sur le sujet rédigé par la députée marcheuse-même-pas-en-rêve (les yeux ouverts mais couverts de cambouis), « Alice-Tour-hot » et un ancien chef du RAID conseillait entre autres de remplacer l’État par des services privés pour des missions comme la protection de certaines personnalités, le transfert de détenus non dangereux, les gardes statiques, et autres actions de ce type.
Un seul planton devant une porte gardée 365 jours par an et 24 heures sur 24, c’est 11 personnes assermentées (ou « autorisées ») à plein temps…
 
La directrice générale de la Confédération européenne des Services de Sécurité, a également rappelé que les sociétés privées occupaient déjà en partie des positions complémentaires à celles des employés de l’État, et que l’évolution de ce partenariat passerait par la formation : « Ces forces sont présentes sur plein d’endroits publics où la police ne se trouve pas, centres commerciaux, stades, sièges d’entreprises (…) Quand elles voient des choses non régulières, elles pourraient être formées à transmettre les informations. »
Des « indics » supplétifs, quoi ?
 
Ouest-France rapportait que selon un rapport de la Cour des comptes, le secteur privé de la sécurité représentait en 2016, 168.000 salariés répartis dans plus de 11.000 entreprises.
Sur la même année 2016, les effectifs de toutes les polices, nationale et municipale, plus de la gendarmerie, plus les réservistes et les militaires de la « force » Sentinelle représentaient 303.000 individus.
C’est moins de deux fois l’effectif du secteur privé, mais ça augmente plus vite que les budgets le permettent.
Mais on approche probablement le demi-million de personnes en comptant les « salariés-dédiés » propres aux entreprises.
Dès lors, un partenariat plus important entre ces deux sources de main-d’œuvre « qualifiée » serait donc une aide précieuse pour l’État, mais aussi pour le secteur privé, considère-t-on à votre place en « haut-lieu ».
 
Il en va de même pour la technologie. Le secteur privé possède un véritable pouvoir d’innovation pouvant permettre de développer des outils, des technologies ou des techniques répondant aux besoins en constante évolution dans de nombreux domaines touchant à la sûreté et à la sécurité.
L’État collabore d’ailleurs déjà avec de nombreuses entreprises publiques sur des projets communs dans la recherche et le développement.
Par exemple, sur le stand du ministère de l’Intérieur était présenté un travail sur les empreintes olfactives, qui consiste à collecter les odeurs sur une scène de crime en vue de les analyser, et ainsi identifier des individus grâce à leur signature olfactive unique : Les empreintes digitales et les traces d’ADN ne leur suffisent plus !
Ce projet de recherche est en cours depuis 2012 en collaboration avec des chercheurs en neurosciences de Lyon, une équipe de cynophiles, mais également l’École supérieure de parfums, de cosmétiques et d’arômes (ISIPCA) et l’École supérieure de physique et de chimie industrielle (ESPCI)…
 
Question « gros-sous », il ne faudrait pas non plus sous-estimer le secteur privé à propos de sa capacité de financements parfois conséquents : Mais un partenariat de l’État avec le privé pourrait permettre, dans une certaine mesure, de partager certains frais, que ce soit au niveau du fonctionnement quotidien, de la recherche et développement, etc.
En plus de ces capacités de financement, le secteur privé peut aussi avoir développé certaines techniques pour rendre viables ses activités, de manière à dégager un profit, ce que l’État ne sait pas faire, pouvant être réinvesti dans un second temps dans la recherche.
D’ailleurs, toujours selon le rapport de la Cour des comptes, les activités du secteur privé auraient été peu rentables en 2016, en partie à cause d’une forte compétition qui tire les prix vers le bas, et affecte parfois la qualité des services.
La solution tiendrait dans des partenariats plus systématiques avec l’État permettant une meilleure organisation et un soutien dans la structure du secteur.
Les ressources financières des deux secteurs pourraient donc être utilisées plus efficacement, tout en offrant un service de meilleure qualité, et donc en assurant une sécurité plus importante pour les concitoyens, nous assure-t-on au Palais du Luxembourg…
Tiens donc ?
 
Selon le président de la Fédération Française de la Sécurité Privée, les entreprises et les entrepreneurs seraient à même d’apporter des réponses concernant les questionnements d’organisation économique pour ces partenariats : « Il ne faut pas tout attendre de l’État (…) La sphère économique doit être organisée par les entrepreneurs eux-mêmes. »
J’en suis certain…
Que ce soit au niveau du modèle économique, de l’optimisation des ressources humaines et financières, ou encore au niveau des capacités et de l’efficacité des personnes impliquées, c’est la formation qui pourrait faire la différence dans les années à venir.
La députée ci-dessus mentionnée aura alors proposé un cursus de formation unique pour les deux secteurs afin d’uniformiser les niveaux de compétences, et permettre aux acteurs du public et du privé de mieux se connaître pour mieux collaborer et travailler ensemble sur le terrain !
Allons bon…
Des fonctionnaires de police formés dans des ékoles-privées ou des « privés » formés aux ékoles de police ?
 
Elle a également rappelé la nécessité d’attirer davantage de monde dans ces secteurs d’activité, en rendant les postes attractifs en termes de conditions de travail ou de reconnaissance.
Non mais je rigole là !
Pas vous ?
Car à propos de reconnaissance, il a été évoqué la possibilité d’une certification qui serait accordée aux entreprises privées offrant des services répondant à des standards de qualité précis.
Normes et labels, c’est la meilleure façon d’assurer un « barrage à l’entrée » pour de nouveaux impétrants et de s’assurer ainsi des rentes de situation.
Les entités détentrices de cette certification pourraient alors se voir confier des missions par l’État, et ainsi collaborer pour une sécurité générale plus efficace.
Et voilà les ponts jetés au-dessus du Rubicon !
 
Que l’on te vous vend en te rassurant que cela permettrait un contrôle de l’État pour garantir que les équipes partenaires soient à la hauteur des tâches qui leur sont confiées et pousserait le secteur privé tout entier à améliorer la qualité de ses services. La compétition se ferait alors sur les compétences et le rapport qualité/prix des services proposés, et non plus sur le prix le plus bas pour un service de qualité moindre.
Pour la belle « Alice-Tour-hot » nous aurions d’ailleurs beaucoup à apprendre de certains autres pays, notamment en Europe du Nord, sur les partenariats de l’État avec le secteur privé dans le domaine de la sécurité du territoire : « Dans d’autres sociétés, dans les pays nordiques, l’Espagne ou la Belgique, la relation est peut-être plus mature, plus aboutie. »
Pas des pays à probablement parlé totalement « fachos » voire seulement « fâcheux »…
Rassurant, non ?
 
Elle évoque d’ailleurs «un mouvement» et «une envie davancer ensemble de la part du secteur». La formation approfondie et le cursus unique permettraient d’œuvrer en ce sens, et ainsi se mettre au niveau des voisins ayant réussi leurs partenariats.
Toutefois, la sûreté et la sécurité dans l’Hexagone est un sujet si sensible qu’il est normal que le la délégation d’une partie des responsabilités de l’État à des organisations privées soulève des questions et des problèmes de fond. Comment s’assurer que les intérêts publics ne soient pas négligés au profit des intérêts privés ? Comment sera effectué le contrôle des compétences des différentes entreprises auxquelles seront confiées des tâches importantes ? Quel sera le modèle économique utilisé ?
Surtout, et ce n’est pas évoqué, pour quelles missions ?
Qui contrôlera les dérapages éventuels de véritable « milices privées » ?
 
C’est « tendance » : Les entreprises privées de sécurité se développent de plus en plus et ce d’autant plus qu’elles sont maintenant poussées par les autorités publiques qui semblent y trouver leur compte.
Bé oui, aligner un demi-million de personnes chargées de votre sécurité (celle des personnes et des biens… privés) hors les pompiers, ça vous fait un « flic » pour 132 citoyens (vieillards impotents et bébés-tout-neuf compris)
Et ce n’est pas suffisant, chacun s’en rend compte au fil du temps.
Une nation fliquée ?
Déjà qu’avec le nombre de caméras et vos smartphones « compteurs de pas » on sait toujours où vous êtes…
 
Entre l’autorisation récente – 1er janvier 2018 – d’armer sous conditions les agents de sécurité privée, l’augmentation continue des effectifs de ces entreprises privées, l’accroissement de leurs prérogatives et des secteurs qu’elles couvrent, tout indique que l’État et les élus de la République n’hésitent plus à envisager un avenir au moins en partie privé de la sécurité en « Gauloisie-craintive » …
On est en droit de se demander si l’État et les politiciens n’avouent pas ici, à demi-mots, les difficultés de la République à faire régner l’ordre et la loi sur tout le territoire.
Autrement dit sa faillite à le faire lui-même.
L’intervention de plus en plus importante de prestataires privés pour couvrir des services qui sont normalement du ressort du régalien n’est-il pas l’aveu d’une faiblesse patente de l’État ?
Malgré tous les budgets (vos impôts) qui y sont consacrés…
 
Comment justifiera-t-on, dans 10 ou 20 ans, une telle montée en puissance de ces sociétés privées de sécurité ?
Historiquement, l’impôt n’est-il pas le paiement du peuple pour financer sa sécurité au travers d’une armée et d’une police conçues à cet effet ?
Ou alors on déchire le pacte républicain…
Cette fuite discrète du régalien vers le privé pose tout de même ces questions qu’il serait temps de se poser.
Où passent donc tous vos impôts s’ils ne suffisent plus à assurer ce rôle régalien par essence ?
Dans l’Éducation nationale dont les opportunités de faire mieux n’ont cessé d’augmenter ? Dans les ponts ? Dans la sécurité sociale ? Dans les petites sauteries élyséennes (et ses couverts toujours pas livrés) ?
 
Qui va payer ces nouveaux services de sécurité ? Que ce soit le client ou le contribuable, gageons que la facture se retrouvera de toute façon dans votre gamelle et s’ajoutera à celle laissée par le fisc qui financent nos infrastructures rutilantes, notre éducation jalousée, notre système social que le monde entier nous envie, ou l’excellente sécurité du pays n’autorise pas le développement du moindre sentiment d’insécurité, nulle part sur le territoire…
 
Au-delà si l’on peut même considérer a priori et avec bienveillance le développement de ces entreprises privées de sécurité, on peut tout de même s’interroger sur le bien-fondé de former des agents de sécurité à partir du même terreau que celui qui produit nos braves « batailleurs » des banlieues et « no-go-zones » qu’ils sont censés canaliser.
Ce n’est pas très cohérent.
On se souvient que de nombreuses et récentes affaires de terrorisme ont amplement prouvé que la menace étant « intérieure », l’heure n’est probablement pas à la multiplication des canaux pour accéder à la sécurité (des aéroports, des trains, des sites classés, des préfectures de police des édifices publics). C’est-à-dire à peu près le contraire de ce qu’on observe et que les autorités actuelles semblent accueillir et favoriser avec la gourmandise si particulière de ceux qui n’ont pas à payer pour le gâteau…
 
Dans la même veine, on devrait rapprocher ces nouveaux « horizons de dépense » auprès des sociétés privées des économies de bout de chandelle opérées sur le compte des armées, ainsi que de la noyade-appliquée à tout l’appareil policier dans les milliers de formulaires Cerfa et autres procédures chronophages et stérilisantes, ainsi que de l’usage quasi-systématique de nos forces de sécurité publiques dans la traque du père de famille, fou du volant roulant en à 52 km/h sur une artère passante de Trifouilly-les-oies, déserté depuis si longtemps par les concitoyens (qui préfèrent les lumières de la ville).
D’ailleurs, les « radars-automatiques » voient leur exploitation (c’est bien le mot, non ?) sous-traitée à des entreprises privées qui ne se privent pas d’encaisser une partie des recettes…
Ne perdons pas de vue que ces différents partenariats qui seront noués entre le privé et le public ont jusque-là toujours été couronnés de succès et d’économies somptueuses !
Il serait donc particulièrement hardi de ne pas parier, là encore, sur une flamboyante réussite de l’État à externaliser ainsi sa raison d’être.
 
Pour ma part, je m’inquiète. D’accord, je sais faire la différence entre un flic en patrouille et un vigile de magasin qui passe sa vie à ne rien faire que d’observer, d’une jambe sur l’autre, les filles qui passent : L’important, c’est qu’il soit visible, tant pis pour lui si à la fin de la journée il a mal aux pattes et à la vessie. C’est son job : Il en change ou se met en arrêt-maladie incapacitante.
Mais je sais également que le même est autorisé à courser sur la voie publique un voleur à la tire qui sort promptement d’un magasin, endroit privé par excellence.
Je me souviens que, dans une autre vie, je sortais de mon supermarché avec ma poussette chargée, taillais une bavette avec ma voisine, toute étonnée que je laisse fouiller mon caddie par des « agents de sécurité » (pour des prunes en plus) : Je ne vous dis pas la honte d’avoir été pris pour un voleur !
On raconte qu’il y en a d’autres qui font des fouilles au corps et « palpations » en toute illégalité dans des coins reculés desdits magasins… avant d’appeler les flics, naturellement.
Qui sanctionne ces écarts de conduite ?
Comment les constate-t-on ? Comment en fait-on la preuve de qualité « pénale » ?
 
En bref, c’est probablement un mal nécessaire, mais ça va devenir si oppressant que ça va devenir rapidement invivable si ce phénomène doit croître encore.
Autorisera-t-on à faire feu un jour sur un casseur de vitrine en marge d’une manif’ qui dégénère pour défendre ce qu’il y a derrière ?
Parce que c’est là l’enjeu : Quand votre gosse se prendra une balle perdue à l’occasion d’un hold-up (ou d’un larcin), si elle est tirée par le malfrat, c’est un crime. Si elle est tirée par un flic, c’est la mise-à-pied. Si elle est tirée par un « personnel de sécurité », c’est quoi ?
De la légitime défense, par hasard ?
 
Ce sera au législateur de décider des règles d’engagement et à la justice d’appliquer la règle votée.
Pour retrouver son auteur à la case prison elle-même sous-traitée à une entreprise privée, en « partenariat-public », tenue par l’employeur du même ?
Inutile de vous dire que je me marre…
Je préfère pour vous que pour moâ, mais on y va dare-dare.
Parce qu’au-delà, sachez que bientôt les entreprises privées, et pas seulement EDF et ses centrales nucléaires, seront amenées, forcément devant la carence des pouvoirs publics qu’il faudra bien suppléer, à avoir de vraies milices « de sécurité » pour se protéger : Elles ont déjà des bataillons de « cyber-flics-privés » et des services de « contre-mesures » d’espionnage… à leur solde.
Bref, une société toujours plus sécuritaire, toujours moins « libérale » pour être toujours plus « policée ».
Le paradis d’une vraie « démocrature », en somme.

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