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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 15 novembre 2017

« Hue-l’eau » aurait-il mangé son chapeau ?


Celui-là, il me fait bien rire.

 

Dommage qu’ils ne soient pas tous de la même souche, quoique…

Il s’en est passé tellement depuis mon dernier post à son sujet – et à pas qu’à lui – qu’on n’a pas le temps de s’ennuyer.

 

C’est qu’entre-temps, la star de l’écologie « Gauloisienne » aura connu ses premiers compromis historique de ministre de la Transition écolologique.

Lui se sent « très utile » là où il est.

Question fatuité, il en tient une couche épaisse, n’est-ce pas…

Il se veut même « rassurant » : « Tout va bien » au gouvernement, répétait-il il y a encore quelques semaines : Je veux ! La cantine est bonne ?

Et son départ n’est toujours pas à l’ordre du jour.

Il faut dire que s’il devait quitter son poste, après avoir accepté trop de compromis ou avalé une décision trop contraire à ses convictions verdoyantes, ce serait un coup dur pour « Manu-Mak-Rond » le jupitérien.

 

Du côté de l’exécutif des « marcheurs » (ils ne polluent pas, ils vont bientôt « pédaler »), on veille donc à préserver « la » star, arrivé dans les hautes sphères du pouvoir, qui est encore le numéro trois du « transfuge » « Éd.Fil-Lippe », après avoir refusé pendant des années et des années un portefeuille ministériel. Quand il avait accepté cette mission, souvenez-vous, il nous avait raconté ce qui l’avait convaincu chez « Jupiter », mais aussi ses ambitions et ses espoirs.

Pour l’heure, il fait partie des « sinistres » encore « connus » du grand-public, alors qu’à part une poignée – que dis-je : Une élite de la com’ – la plupart sont restés de braves anonymes.

Je viens de découvrir qu’il y a même une secrétaire d’État aux armées à côté de la « sinistre » de la défense…

Passons : Je reste un ignorant indécrottable.

 

« Jupiter » lui a piqué son « idée d’un Grenelle de l’alimentation » qui n’a pas empêché la « crise du beurre » (j’ai montré ce week-end à ma « Môman » comment barater de la crème-fraîche, restée en abondance dans les rayons, avec son fouet à crème chantilly et blanc-en-neige), devenu des « États généraux de l’alimentation » (EGA) par la magie de Zeus… Une marotte du ministre de la Transition. Lui voulait aussi ouvrir le débat sur les pesticides, les circuits courts, l’agriculture biologique, le bien-être animal… Mais il n’a finalement pas cornaqué ce dossier, capté par le « sinistre » de l’Agriculture, « Stéph. De-travers » et la ministre de la santé (que je ne sais même pas qui c’est : ignorant indécrottable, vous dis-je).

Grosse rigolade et à plus d’un titre.

 

La « souffrance animale », c’est vrai que c’est important au plus haut point. Tu penses que tu élèves des bestiaux pour les bouffer et qu’ils en rêveraient ?

Faut dire que s’ils n’étaient pas « élevés », ils n’existeraient même pas et tu crèverais de faim.

Ta souffrance de mal-nourri, n’est-ce pas… Est-ce mieux que sous les bombes et les attentats ? Je ne sais pas…

Quant aux cris de la salade qu’on arrache de sa terre, personne n’en parle, même pas les kuls-terreux. Pourtant, quand on écoute bien, les végétaux vous te parlent tous aussi.

D’ailleurs, je ne mange plus d’herbe depuis que j’ai ouï quelques arbres hurlant de douleur et de terreur sous les assauts des flammes dans mon maquis Corsu : C’est une insupportable horreur !

Je mange les bêtes qui mangent de l’herbe et je n’ai jamais entendu un animal se plaindre dans un abattoir (j’en ai pourtant « redressé » un dans un passé lointain).

Je ne dis pas qu’il n’est pas terrorisé, mais à part les poules, que ce soit l’abatteur (qui ne fait que l’étourdir électriquement) ou un loup qui va le déchiqueter vivant… je ne sais pas plus.

 

Bon, l’affaire du Glycophase où, partit pour une interdiction directe au 15 décembre prochain, finalement on ne sait plus très bien s’il y aura ou non « transition » triennale ou quinquennale.

Et qu’ils en disent que c’est déjà « une grande victoire »…

Mais oui : Un sketch…

Durs, les européens !

 

Encore plus durs, les « agri-kuls » qui ne savent pas comment s’en passer et… qui n’ont pas envie de crever tout de suite de faim à bosser pour rembourser leurs banquiers : C’est leur destin à eux aussi. Leurs banquiers non plus d’ailleurs : Un argument sensible pour « Jupiter ».

Que son « sinistre » en dit d’ailleurs que : « Si je ne prenais en compte que la situation immédiate des agriculteurs, je ne ferais rien car parfois ils ne peuvent pas se passer de ce produit. Si je m’inscris sur une échelle de temps plus longue et si je considère la santé des citoyens, la sagesse voudrait que je l’interdise tout de suite. C’est un équilibre à trouver. »

Bon, le « Rondup », c’est vrai que c’est une merde, et dans les produits « bio », en principe on en retrouve moins que dans les « pas-bio ». Mais on en trouve encore, un peu comme les « traces » de produits OGM signalées sur vos boîtes de conserve.

Et faire pousser vos légumes sur votre balcon n’est pas la solution : Ça se promène dans l’air-1 au moins aussi bien que les métaux lourds, dont le ruthénium 106 russe qui ne connaît pas les frontières politiques (pas comme les cendres de Tchernobyl qui, n’ayant pas reçu de visa d’entrée se sont arrêtées sur la rive droâte du Rhin…)

À vous signaler d’ailleurs que les premiers à avoir été alertés, ça reste les Corsi, enfin ceux qui reçoivent « Corse-Matin », avant que l’affaire ne soit reprise par les « médias-aux-ordres ».

Un loupé de la rédaction qui n’avait pas bien vu la consigne d’omerta arrivée pas assez tôt : Il faut dire que là-bas, la rédaction boucle la veille avant l’heure de la sieste…

 

Autre rigolade, parce que celle-là elle est ancienne, ce sont les « circuits-courts ».

Figurez-vous que déjà sous « Giskar-A-la-barre » – en mai 1974, c’est vous dire si ça vient de loin cette petite-affaire-là – il y avait un « premier-sinistre », « Le Chi », qui avait nommé son « ami » le « cousin Tiberi » (Jean), sous-secrétaire-d’État aux industries alimentaires.

Oh, pas longtemps, mais une reconnaissance bienvenue pour le député du 5ème arrondissement, né dans la même clinique accoucheuse de l’arrondissement que lui et surtout pour avoir été un des premiers à franchir le Rubicon en sa faveur (mais le « cousin Jean » est un habitué pour avoir su virer son mentor René Capitant, un UDR, de son fauteuil de député quand il est devenu « garde-des-sots »), après être passé chez mon « Papa-à-moâ-même » (celui dont je vais toujours fleurir la tombe et qui me fait frémir quand je l’évoque…) qui l’avait convaincu qu’il ne voterait pas « Chat-Banc-le-gagneur », « l’historique »…

Je sais, j’y étais.

Je n’étais pas encore électeur, mais je partageais mon temps entre mes cours à la fac, la jolie frimousse et son nez en trompette, ses formes rondelettes et « frémissantes » et « chaleureuses », d’une militante avant l’heure de René Dumont et « la campagne » téléphonique initiée par le « Cousin Jean », dont je vous ai parlé récemment, pour vous signifier que tout tient dans quelques dizaines de voix glanées par commune qu’il faut savoir mobiliser (et peu importe pour qui, finalement).

Eh bien en récompense des « apports » dudit « cousin », je l’appelle depuis « Monsieur le Ministre » et la première chose qu’il ait voulu faire, c’était de faire disparaître les « intermédiaires » entre producteurs et consommateurs dans l’industrie « agro-alimentaire ».

Un « truc » appris des énârques qui l’entouraient alors.

De vrais ânes-bâtés qui ne savaient décidément rien des ressorts d’une économie florissante.

Eh bien devinez quoi : 43 ans plus tard, on reprend les mêmes et on recommence !

Fabuleux, n’est-ce pas, question « autisme-de-trisomique »…

Incapables d’apprendre des échecs passés.

Parce que le « cousin Jean », il s’est fait jeter rapidement dans le sillage de « JJSS », celui qui s’opposait au lancement de la filière nucléaire-civile (déjà) et voulait redessiner l’aile du premier des « Airbus » dont il prédisait qu’il ne pourrait pas voler…

Je te vous jure, où que c’est que ça va se nicher !

 

Ceci dit, il a des satisfactions, notre « Hule-l’eau » national : « Jupiter » a « promis d’évaluer la compatibilité du Ceta avec nos engagements politiques », nous martelait-il alors qu’il avait dénoncé dès 2016 un traité non « climato-compatible ». Certes, pendant les EGA, « Jupiter » s’est engagé à ce que l’accord de libre-échange conclu entre l’UE et le Canada respecte les normes européennes de santé et d’environnement. Sauf que c’est un peu tard : Le Ceta est déjà entré provisoirement en application depuis le 21 septembre dernier, alors même qu’un rapport d’experts remis au Premier des sinistres conclut que le traité ne prend pas en compte les dispositions de l’Accord de Paris-sur-la-Seine pour l’environnement.

Il serait même « légèrement défavorable au climat ».

Aïe, comment faire ?

Ne rien faire, c’est la meilleure solution pour les « maîtres du monde » qui ont besoin d’un cadre légal pour s’assurer de la mainmise sur les opérations à venir en vue d’une « paix-globale » sur la planète : C’est bon pour le commerce…

 

Il se disait également « intimement convaincu qu’il y a de possibles alternatives à Notre-Dame-des-Landes qui peuvent nous permettre, à tous, de sortir par le haut », et comptait sur la médiation de six mois promise par « Jupiter ». L’écolologiste s’était toujours dit opposé à la construction d’un second aéroport pour Nantes, avant son entrée au gouvernement.

Depuis le mois de mai, trois médiateurs sont sur le terrain pour tenter de déminer la situation, et devraient donner leur réponse très prochainement, le 1er décembre.

À suivre…

 

Autre promesse de campagne à laquelle tenait le ministre, la garantie d’avoir « au moins 50 % de produits biologiques, label de qualité ou local » dans les cantines d’ici à 2022 : « Ce serait vraiment génial » en disait le tout-nouveau sinistre de l’écolologie en juin dernier.

Moi, j’avoue ne pas bien comprendre : On laisserait encore « nos-jeunes », les « chères-têtes-blondes » se faire empoisonner à hauteur de « 50 % » par des « produits-artificiels » ?

Ce serait criminel, non ?

 

Et puis pour ma part, je viserai plutôt 100 % d’OFG (Origine Gauloisienne Garantie) en vue de mettre un jour ou l’autre en place la CSPM (Cotisation sociale sur les Produits Manufacturés).

Au moins ça éviterait d’en piquer à tout le monde avec l’augmentation de la CSG, pour n’en redonner qu’à quelques-uns avec la baisse des cotisations sociales…

Parce que de la « CSPM », qui financerait alors les baisses de cotisations sociales, ça ça ferait rentrer du boulot « dans les frontières », augmentant ainsi les revenus des chômeurs, les assiettes taxables et cotisables et permettrait même de redevenir un peu plus compétitifs au plan des exportations.

Mais quand je cause, personne ne m’écoute…

 

Et encore là, une belle mandale : Deux ans et une majorité plus tard, il aura changé de ton : Il veut désormais « une trajectoire réaliste » pour réduire la part du nucléaire à 50 %, avec un objectif de 2030 ou 2035 !

Ces dix années supplémentaires par rapport aux délires de « Ségololo » doivent notamment permettre de développer plus d’énergies renouvelables, car aujourd’hui, elles restent encore trop marginales.

Seulement 12 % de l’énergie produite en 2016 en « Gauloisie-électrique » est d’origine hydraulique, selon le rapport annuel de « RTE Trance » et le pays n’a pas les capacités géographiques de faire beaucoup plus.

Mais il peut davantage sur l’éolien (3,9 %) et le photovoltaïque (1,6 %).

La géothermie, on n’essaye même pas de l’envisager, on pourrait tomber sur des poches « d’hydrocarbures-profonds », de ceux qui se forment juste au-dessus du magma terrestre et qui font se rouvrir des puits asséchés depuis des décennies…

Tel que le « pic » d’exploitation, annoncé depuis d’autant de décennie, n’est toujours pas atteint et recule, recule toujours plus loin.

 

Par malchance, les projets rencontrent souvent une forte opposition localement, surtout pour les éoliennes, les habitants n’en voulant pas chez eux. Ce sera donc l’un de ses défis : Accélérer le développement des énergies renouvelables, notamment en réduisant le délai des recours déposés contre les projets d’éoliennes. Il faut dire que même les pays « en avance » sur le sujet commencent à se rendre compte que ce n’est pas la solution miracle et qu’elle coûte la peau du kul.

Quant au photovoltaïque, la baisse des coûts d’installation est encore une vague espérance et reste une « énergie-de-riches », de très riches… qui va coûter les prunelles des yeux, un bras ou une jambe.

D’autant que si l’on passe tous les déplacements futurs (hommes et marchandises) dans le « hors-pétrole », il faudrait 19 centrales nucléaires de plus, là où il va en être fermé, dans « le même temps » 17…

Et puis tant qu’on ne saura pas stocker « l’électron divagant » (on essaye déjà à Vignola en Corsica-Bella-Tchi-Tchi »), ça ne marchera pas bien, de ce que j’en dis…

 

C’est marrant finalement l’autisme de nos élites qui n’ont même pas appris à faire des additions et des soustractions (moi non plus, remarquez, pour avoir été un enfant exclusivement de l’ékole-pue-blique, mais j’ai des « machines » qui font ça mieux que moi : Merci infiniment à Bill Gates !)

Autrement dit, ils ne voient même pas l’impasse qui se profile derrière leurs décisions impétueuses et « exemplaires » se croyant toujours le « phare de l’univers »…

Pendant ce temps-là, au lieu de faire dans la filière-propre du Thorium (comme Bill Gates qui a cassé une partie de sa tirelire il y a quelques années de ça pour avancer sur cette « trajectoire » (merci infiniment à lui !), avec les chinois, les indiens et encore quelques-uns, sans même parler de l’E-Cat et la filière à fusion-froide qui n’en est pas encore au stade « industriel », la planète crève de tous ces fats et l’ouverture de l’EPR de Flamanville, malgré de nombreux couacs, reste toujours fixée à fin 2018…

Notez qu’ils s’en foutent : C’est vous qui payez et si ce n’est pas vous, ce seront vos gosses et les gamins de vos gosses à naître, alors à quoi bon !

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