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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 22 décembre 2019

Il va falloir que j’essaye

Parce que pour l’heure, je reste « crétin » !
 
Figurez-vous que c’est « scientifiquement prouvé » : Regarder du porno modifie votre cerveau !
En mieux ou en moins bien ?
 
En réalité, la pornographie semble exister depuis les premières traces qu’on a de l’humanité et s’est transformée avec l’arrivée de chaque nouveau média : Des centaines de fresques et de sculptures sexuellement explicites ont été découvertes dans les ruines du mont Vésuve à Pompéi et encore ailleurs.
Et je ne vous dis même pas la civilisation minoenne et son démon au sexe démesuré… ni le Kâma-Sûtra oriental…
Mais depuis l'avènement d’internet, le visionnage de pornographie a atteint des sommets vertigineux : Pornhub, le plus grand site porno gratuit au monde, a reçu plus de 33,5 milliards de visites au cours de l’année 2018.
Pour 2019, on ne sait pas encore.
33,5 milliards pour seulement 7 milliards (bébés et vieillards compris) d’humanoïde vivipare de l’espèce « Homo-sapiens-sapiens », ça fait quand même pas mal, même si ce n’est pas tous les jours…
Et ça encombre les réseaux.
 
Toutefois, la science commence à peine à révéler les répercussions neurologiques de la consommation de pornographie. Mais il lui semble clair que ses effets sont catastrophiques pour la santé mentale et la vie sexuelle de son large public.
Avec, paraît-il, de graves conséquences comme la dépression ou la dysfonction érectile.
La pornographie semble transformer notre câblage neuronal.
Arg…
 
« Dans mon laboratoire, nous étudions le câblage neuronal lié au processus d’apprentissage et de mémoire. Les propriétés des vidéos porno en font un déclencheur puissant pour la plasticité, la capacité du cerveau à changer et à s’adapter en fonction de l’expérience. Étant donné l’accessibilité et l’anonymat que permet la consommation de pornographie en ligne, cela nous rend plus vulnérables que jamais à ses effets hyper-stimulants » en dit un « chercheur ».
Première remarque, il y en a donc qui « teste » les films pornos… et qui sont payés pour ça avec vos impôts !
Seconde remarque, si ça « augmente » les processus « d’apprentissage et de mémoire », ce serait plutôt une bonne chose à encourager…
 
Quoiqu’ils en disent qu’à long terme, la pornographie semble créer des dysfonctionnements sexuels, en particulier l’incapacité à atteindre l’érection (ça c’est enquiquinant) ou l’orgasme avec un partenaire réel (kon, quoi).
Mais ont-ils vérifié (toujours avec votre pognon), nos « chercheurs », en payant de leur personne ?
La qualité de la relation conjugale et de l’engagement envers un(e) conjoint(e) semble également compromise.
Ah ?
Ils s’en sont gavés et ils ont divorcé ?
 
Pour tenter d’expliquer ces effets, ces scientifiques ont établi des parallèles entre la consommation de pornographie et la toxicomanie : Par son évolution, le cerveau est programmé pour répondre à la stimulation sexuelle par une poussée de dopamine.
Ce neurotransmetteur, le plus souvent associé à l’anticipation de la récompense, sert aussi à inscrire les souvenirs et l’information dans le cerveau. Ainsi, lorsque le corps a besoin de quelque chose, comme de la nourriture, ça « dose » ou du sexe, le cerveau se rappelle où il peut aller pour retrouver le même plaisir.
Oui, oui, mais on vous expliquera aussi (dans un autre post à venir) que l’orgasme n’est pas que de la chimie non plus…
 
Au lieu de se tourner vers leur conjoint(e) pour la gratification ou l’épanouissement sexuel, les personnes qui ont l’habitude de consommer de la pornographie cherchent instinctivement leur téléphone ou leur ordinateur quand le désir se pointe.
Et le mek avec sa « dose » de coke vers son dealer, c’est ça ?
De plus, des explosions anormalement fortes de récompense et de plaisir provoquent une accoutumance exceptionnellement forte du cerveau.
Je veux bien le croire…
Norman Doidge, psychiatre, analysait : « La pornographie satisfait à toutes les conditions préalables au changement neuro-plastique. »
Lorsque les pornographes se vantent de repousser les limites en introduisant de nouveaux thèmes plus extrêmes, ils ne se disent pas qu’ils doivent le faire parce que leurs client(e)s développent une tolérance au contenu.
C’est quoi « plus extrême » ?
Et ils disent quoi, alors ?
Les scènes pornographiques, comme les substances qui créent une dépendance, sont des déclencheurs hyper-stimulants qui entraînent des niveaux anormalement élevés de sécrétion de dopamine.
Ah ?
Cela peut endommager le système de récompense de la dopamine et le rendre insensible aux sources naturelles de plaisir.
Oh ?
C’est pourquoi les consommateurs et consommatrices sont de moins en moins excitées par un(e) partenaire réel(le).
Pôvres choux…
J’en conclus que le porno, c’est pour compenser la pôvreté de la vie affective, non ?
 
Si la « désensibilisation » de nos circuits de récompense prépare le terrain pour que les dysfonctionnements sexuels se développent, les répercussions ne s’arrêteraient pas là.
Des « études » démontrent que des changements dans la transmission de la dopamine peuvent entraîner la dépression et l’anxiété.
Bref, le porno deviendrait anxiogène !
Hilarant ou non ?
La preuve, en accord avec ces observations, les personnes consommatrices de pornographie signalent des symptômes dépressifs plus forts, une moins bonne qualité de vie et une moins bonne santé mentale que celles qui n’en consomment pas, a indiqué une étude du Journal of Sexual Medecine.
Ou quand c’est le patient qui s’autodiagnostique…
 
L’autre découverte importante de ces « études » est que les consommateurs compulsifs de porno veulent et ont besoin de toujours plus de porno, et ce, même s’ils n’aiment pas vraiment cela.
Des caractériels ?
Cette déconnexion entre ce qu’on veut et ce qu’on aime est une caractéristique du dérèglement du circuit de récompense…
Admettons.
Mais imagine-t-on une drogue qui aurait les mêmes effets entre « vouloir » et « aimer » à consommer ?
 
Dans une enquête similaire, des scientifiques de l’institut Max-Planck de Berlin, en « Teutonnie », ont découvert que l’utilisation accrue de la pornographie était corrélée à une activité cérébrale réduite en réponse à des images pornographiques classiques.
Ah bé… Le porno tuerait le porno ?
Cela explique pourquoi les utilisateurs ou utilisatrices ont tendance à passer à des formes de plus en plus extrêmes de pornographie.
Voilà l’explication pour les succès futurs des scénaristes-créateurs…
 
Et effectivement, il paraît que « des données » issues de Pornhub révèlent que les rapports sexuels classiques sont de moins en moins intéressants pour les personnes qui se tournent vers des thèmes comme l’inceste et la violence.
Quel rapport ?
« Le mécanisme miroir dans le cerveau suggère que nous sommes automatiquement influencés par ce que nous observons. »
Ça, nous le savons depuis l’antiquité.
C’est même un sujet de philosophie classique et explique pourquoi une foule se comportera toujours comme le plus « bête et méchant » qui la compose : Il suffit de les voir devant une « promo-Nutella » ou à l’ouverture des soldes…
 
En revanche, la perpétuation de la violence sexuelle en ligne serait particulièrement troublante, car les taux « d’incidents » réels peuvent augmenter en conséquence. Des scientifiques attribuent cet effet à l’action des neurones miroirs. Ces cellules cérébrales portent bien leur nom : Elles réagissent lorsque l’individu accomplit une action, mais aussi lorsque la même action est accomplie par quelqu’un d’autre.
C’est ainsi que se forment les bouchons sur les trajets routiers rapides : Il y en a un qui freine, tous les autres derrière vont freiner.
Et heureusement, d’ailleurs…
 
Mais les régions du cerveau activées quand quelqu’un regarde de la pornographie sont les mêmes que lorsque la personne a des relations sexuelles…
Bé alors ?
Marco Iacoboni, professeur de psychiatrie à l’Université de Californie à Los Angeles (USA), émet l’hypothèse que ces systèmes ont le potentiel de répandre un comportement violent : « Le mécanisme miroir dans le cerveau suggère également que nous sommes automatiquement influencés par ce que nous observons, proposant ainsi un mécanisme neurobiologique plausible pour la contagion du comportement violent. »
Ah ? Moâ, j’aurai plutôt tendance à aller secourir la victime pendant que d’autres prennent la tangente ou dupliquent le comportement : On n’est pas non plus que des bêtes, m’insurge !
L’association suggérée entre la pornographie, les neurones miroirs et l’augmentation des taux de violence sexuelle, bien que très spéculative, constitue un sérieux avertissement : Si une forte consommation de pornographie ne pousse pas forcément à des extrêmes dangereux, il est probable (probable seulement) qu’elle modifie néanmoins le comportement.
Mais ce n’est qu’une hypothèse, finalement.
 
De toute façon, la consommation de porno aurait été par ailleurs corrélée à l’érosion du cortex préfrontal – la région du cerveau qui abrite des fonctions exécutives comme « la moralité, la volonté et le contrôle des impulsions ».
Heureusement, elle a bien d’autres fonctions…
Néanmoins, pour mieux comprendre le rôle de cette structure dans le comportement, il est important de savoir qu’elle reste sous-développée durant l’enfance. C’est pourquoi les enfants luttent pour réguler leurs émotions et leurs pulsions : C’est le rôle des « éducateurs » que de les y encourager, d’ailleurs.
Les lésions du cortex préfrontal à l’âge adulte sont appelées « hypo-frontalité » et prédisposent l’individu à agir de façon compulsive et à prendre de mauvaises décisions.
Compulsive, peut-être, quant à savoir ce qu’est une bonne ou mauvaise décision, il me semble que c’est plus complexe que ça.
 
Et de plus, il est quel que peu paradoxal que le divertissement pour adultes puisse ramener notre cerveau à un état plus juvénile : Si ça peut « rajeunir » mes neurones, n’est-ce pas… !
Mais ce qui l’est encore plus, c’est que si la pornographie promet de satisfaire et de procurer une gratification sexuelle, elle produit en réalité le contraire assument-ils.
Et là, franchement, je ne vois pas bien comment.
 
Conséquemment, il va falloir que j’essaye pour en parler plus savamment que ces « chercheurs qui cherchent »
Êtes-vous d’accord pour que j’y perde du temps ?
 
Ainsi averti(e)s, je vous souhaite une
Bonne journée quand même à toutes et tous !
 
I3

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