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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 23 décembre 2019

Et la « COP 25 », à propos ?

C’est 25 € la tonne de CO2 en « Teutonnie » !
 
Moi, j’adore quand les autistes s’en mêlent…
Car enfin, un quart de centime de plus par kilomètre parcouru avec une émission de 100 grammes de « GES », c’est qui qui les paye ?
Pas l’industriel, ni le commerçant, mais comme toutes les autres taxes, en « Gauloisie-fiscale » ou en « Teutonnie-écololo », ça reste le consommateur, bien entendu.
C’est le citoyen-votant, quoi…
Et puis, tous ces trisomiques-là vous expliquent du matin au soir que la planète est en grave danger. On se fait même engueuler par « Gratte-la-Tune-Berg » parce qu’on ne fait rien pour la sauver d’étés perpétuels et torrides. Et de l’autre, tous les pays réunis à la COP25 à Madrid, pour nous la sauver, ne sont même pas parvenus au moindre accord sur des engagements, pourtant seulement « volontaires », de réduction des gaz à effet de serre !
Fabuleuse histoire, n’est-ce pas ?
Qui en cache une autre… peuplée pour l’heure d’incertitudes.
 
Il va falloir s’en rendre compte : La planète est désormais foutue… si on en croit tous ces Cassandre puisque qu’au terme de deux semaines de négociations difficiles, la COP25 a échoué dimanche huit à trouver un accord sur les règles des marchés carbone internationaux, dernier volet du manuel d’utilisation de l’Accord de « Paris-sur-la-plage » de 2015.
Le moins qu’on puisse dire c’est que cette conférence-climat-là, n’a pas été à la hauteur, adoptant un accord a minima sans s’entendre sur des points essentiels en raison des réticences de certains États.
Après une année marquée par des catastrophes climatiques tout azimut (mais pas plus que de coutume), les appels vibrants de millions de jeunes descendus dans la rue derrière « Gratte-là-Tune-berg », et des rapports scientifiques toujours plus … glaçants, les quelque 200 signataires de 2015 étaient sous une pression sans précédent pour cette COP25 présidée par le Chili mais délocalisée à Madrid en raison de la crise qui frappe ce pays d’Amérique du sud.
Oui, les catastrophes « sociales & économiques » ne sont jamais que des « péripéties » : On se démerde sans les prendre en compte…
 
Le texte final appelle seulement à des « actions urgentes » pour réduire l’écart entre les engagements et les objectifs de limiter le réchauffement à + 2° C, voire + 1,5° C. Mais le langage est « tortueux » et le résultat « médiocre », a-t-on estimé au Climate Action Network.
« Les principaux acteurs dont on espérait des avancées n’ont pas répondu aux attentes », en notant toutefois que l’alliance des États insulaires, européens, africains et latino-américains, avait permis d’« arracher le moins mauvais résultat possible, contre la volonté des grands pollueurs. »
Le premier texte sur les ambitions présenté samedi par la présidence chilienne avait provoqué une levée de bouclier de ces États, forçant à un nouveau round de consultations.
« Ces discussions reflètent le décalage entre les dirigeants d’un côté et l’urgence montrée par la science et les demandes des citoyens dans les rues », résume le think-tank World Resources Institute, estimant que l’esprit de l’Accord de « Paris-sur-la-plage » n’était plus qu’un « lointain souvenir ».
Ah « Fafa-l’empoisonneur », regarde donc dans quelle impasse tu les as envoyés…
Et dire qu’il en était si fier…
 
Au rythme actuel des émissions de CO2, le mercure pourrait gagner jusqu’à 4 ou 5° C d’ici la fin du siècle. Et même si les quelque 200 signataires de la COP21 respectaient leurs engagements, le réchauffement devraient de toutes les façons dépasser les 3° C !
Et on vous terrorise à coups d’alerte à la submersion sur vos côtes…
Alors pour tenter de réduire cet écart, tous les États doivent soumettre d’ici la COP26 à Glasgow l’année prochaine une version révisée de leurs plans de réductions d’émissions.
Mais ces deux semaines de discussions ont mis en pleine lumière une division flagrante au sein de la communauté internationale en matière d’ambition.
Pas sûr qu’ils parviennent.
Et à quoi bon ?
Car, sans surprise, quasiment aucun des grands pays émetteurs n’a fait d’annonce significative pour réhausser ses ambitions, ni donné de signe clair d’une telle intention pour 2020. Évidemment pas les États-Unis qui quitteront l’accord de « Paris-sur-la-plage » en novembre prochain, mais pas non plus la Chine ou l’Inde.
Leur urgence c’est de « tirer » vers haut leurs économies, pour soulager leurs populations, en ce qui concerne les deux derniers cités, bien évidemment…
 
Et pour ce faire, l’Afrique insiste, avant d’évoquer leurs propres engagements révisés, sur la responsabilité des pays développés de faire plus et de respecter leur promesse d’aides financières aux pays en développement…
Également dans le collimateur des défenseurs de l’environnement, l’Arabie Saoudite qui vient de privatiser (partiellement) son industrie pétrolière (avant que ça ne vaille plus rien : Une façon de mutualiser les pertes et destructions de valeur à venir) ainsi que le Brésil et l’Australie tous deux accusés de vouloir introduire des dispositions décriées dans les règles sur les marchés carbone, dont l’adoption a été à nouveau reportée.
Notez que ces deux-là sont situés dans l’hémisphère sud, pas comme tous les plus « gros pollueurs » de la planète.
 
Parmi les « grands émetteurs », nombre d’observateurs ont au contraire souligné le rôle positif de l’UE qui a endossé cette semaine à Bruxelles l’objectif de neutralité climatique d’ici 2020, malgré les réserves de la Pologne. L’UE doit maintenant s’atteler à la tache de présenter en 2020 un rehaussement de ses engagements pour 2030.
Prendre ce « rôle de leader » lui « donnerait la capacité de travailler avec d’autres gros émetteurs comme la Chine et l’Inde pour qu’ils augmentent leurs ambitions également », a-t-on commenté dans les rangs de l’Union for Concerned Scientist.
Quant aux Britanniques qui ont officiellement été désignés pour organiser la COP26 ont promis de tout faire pour que Glasgow soit un succès…
« Nous avons bien entendu que vous vouliez que nous construisions à partir des efforts de nos amis chiliens pour faire écho à l’urgence de la science et aux voix de ceux qui nous demandent d’aller plus loin, plus vite », a déclaré leur représentant.
 
Et « Gratte-là-Tune-Berg » aura de son côté, après être arrivée sur un voilier de compétition et être repartie en train, d’ores et déjà prévenu que cette année de préparation se ferait sous la pression de la rue : « La science est claire, mais la science est ignorée. Quoi qu’il arrive, nous n’abandonnerons pas. Nous ne faisons que commencer", a-t-elle lancé sur « Twister ».
Ils faisaient quoi au juste depuis les accords de Rio ?
 
On est nombreux à lui conseiller de ne pas de venir en « Gauloisie-prospère » en temps de grève. D’autant qu’elle voyage gratuitement en 1ère classe en « Teutonnie-ferroviaire » mais reste capable de publier cette tragique photo d’elle assise à même le sol dans un couloir déserté.
Ce qui n’aura pas manqué de déclencher l’ire des chemins de fer « teutons » après avoir twisté qu’elle avait été forcée de voyager par terre « dans un train bondé » à son retour de la COP25 en Espagne.
Elle avait diffusé une photo la montrant dans son désarroi insoutenable entourée de ses (nombreuses) valises au fond d’un couloir désert, ajoutant qu’elle traversait le pays dans des trains bondés : Bé oui tout le monde ne dispose pas d’un voilier, d’un char à voile ou d’une voiture électrique-autonome !
Alors la compagnie ferroviaire aura répliqué, également sur « Twister », qu’elle voyageait en première classe.
Moment savoureux de l’autisme-appliqué : « Chère Greta, merci pour votre soutien aux employés des chemins de fer dans notre combat contre le changement climatique. Nous sommes contents que vous ayez voyagé sur le ICE 174 (train à grande vitesse) samedi.
Il aurait été plus gentil si vous aviez également fait mention de la façon aimable et compétente dont vous avez été traitée par notre personnel en première classe. »
La compagnie n’a toutefois pas démenti que la jeune fille n’avait pas trouvé de siège avant Francfort, à mi-chemin de son voyage entre Bâle et Hambourg.
Et elle aura répondu que son train depuis Bâle avait été annulé et que ses amis et elle-même avaient dû s’asseoir par terre dans deux trains avant de trouver une place en première classe à partir de Göttingen.
Et de rajouter : « Bien sûr ce n’est pas un problème et je n’ai jamais prétendu que c’en était un. Des trains bondés sont bon signe parce qu'ils montrent que la demande pour les voyages en train est élevée ».
À propos… si l’ICE fonctionne au courant électrique « haute-tension », il est fabriqué comment et avec quoi ce courant quand on ferme les centrales nucléaires et garde ses centrales au charbon ?
Passons…
 
Moi j’admire cette hypocrisie généralisée qui fait dire, même à des gamines que le « pétrole, ce n’est pas bien », mais qui n’empêche personne, en toute bonne conscience, d’affirmer que finalement, le charbon, c’est utile !
Au moins, « McDo-Trompe », quand il sort de l’accord de « Paris-sur-la-plage » et accélère l’extraction minière du charbon et des schistes bitumeux, il reste cohérent !
 
La communauté internationale aurait perdu une occasion importante de faire preuve d’une ambition plus grande en matière d’atténuation (réduction des émissions de gaz à effet de serre), d’adaptation et de financement de la crise climatique.
Amers les pays d’Afrique n’ont rien obtenu sur l’ensemble des dossiers qui leur tenaient à cœur. À savoir le fameux article 6 de l’Accord de « Paris-sur-la-plage » quant aux mécanismes relatifs au marché carbone, « le renforcement des capacités du comité d’experts sur les pertes et préjudices et la question des circonstances spécifiques à l’Afrique pour permettre une reconnaissance de la vulnérabilité socio-économique du continent afin d’avoir un accès prioritaire aux ressources ». En d’autres termes, le financement de l’adaptation au changement climatique.
Les points d’achoppement : « Les règles de comptabilité des réductions d’émissions et le fait d’assurer un prélèvement sur l’ensemble des mécanismes de marché liés au carbone (…) Dans le protocole de Kyoto, ce prélèvement de 2 % qui alimentait le fonds d’adaptation n’existait que sur le mécanisme de développement propre (MDP). Aujourd’hui, eu égard à l’urgence climatique et au fossé pour le financement de l’adaptation, l’Afrique et la majorité des pays en développement demandent la systématisation de ce prélèvement. »
C’est qui qui paye ces « 2 % », au juste ?
Vous ? Oh… !
Pourtant, les « pays riches », qui auraient la responsabilité historique du changement climatique, se sont engagés à apporter leur aide aux plus vulnérables qui, par ailleurs, subissent les conséquences d’un processus dont ils ne sont pas responsables.
 
« Nous avons eu l’impression que nos partenaires n’étaient fondamentalement pas prêts à bouger sur toutes les questions ayant une incidence financière. On se demande si c’est à cause de l’incertitude liée à la conjoncture actuelle… On était en pleine élection au Royaume-Uni. Et c’est certain que le retrait de Donald Trump de l’Accord de Paris – les États-Unis étant le premier contributeur notamment du fonds vert et de la finance climat de manière générale – n’aide pas ».
Notamment sur la question des 100 milliards de dollars à mobiliser par an à compter de 2020 : « D’ailleurs, sur ce point, l’Afrique avait demandé qu’un rapport puisse être élaboré par le groupe d’experts des Nations unies sur la finance climat. Malheureusement, nous n’avons pas eu ce mandat. »
Et tu t’étonnes ?
 
Derrière tous ces simagrées, il serait peut-être temps de se poser les bonnes questions.
Globalement, on sait que celui qui détient la clé des sources d’énergie – au moins depuis la première guerre mondiale (mais c’était encore plus frappant à travers les campagnes africaines de Rommel au cours de la seconde et la percée japonaise vers les gisements malaisiens) – c’est celui qui dicte sa conduite au reste du monde.
À l’origine, la nature pourvoyait à cette appétence pour l’énergie de chauffage.
Puis l’ère industrielle a d’abord exploité les sous-sols carboneux-fossiles.
Et au XXème siècle, les empires coloniaux se sont battus pour le contrôle du pétrole.
La vraie question est de se battre pour conserver une avance technologique qui permettra de consolider les acquis.
Aussi, on met peu ou prou ce pétrole dans le champ des « interdits ».
Pour cause de climat ?
Bé non, pour cause qu’il s’épuiserait trop vite si les pays dits « sous-développés » se mettaient à en consommer autant que les pays dits « riches » pour assurer leur croissance, poussés d’ailleurs par leur démographie galopante…
C’est une arme de domination, post-colonialiste, ni plus ni moins.
 
Et l’autre question c’est « quelle technologie » de remplacement ?
Très simple : Les « pays-riches » la maîtrise.
C’est l’électronucléaire.
Justement une technologie sous embargo (il n’y a pas de hasard…).
Et ils sont cinq (ceux des membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU) qui en disposaient dès l’origine. Plus quatre autres entrés par effraction dans « le club » : Israël, le Pakistan, l’Inde et la Corée du nord. Le cinquième reste, l’Iran.
Demain, il faudra compter également sur quelques ambitions en la matière autour de la péninsule arabique.
En bref, l’empire du « monde d’avant » défend son pré-carré…
Et le GIEC est une trouvaille inespérée pour imposer cette tutelle « consentie » moyennant « royalties » qui ne sont justement pas payées.
C’est seulement ce que nous entendions encore depuis Madrid dimanche en huit.
 
J’aime également à croire que derrière les « fol-dingues » « écololo-bobos » qui vous chantent le « solaire & l’éolien », il y a cette pensée envers les « pays-sous-développés » entravés par ce « piège énergétique-technologique » et leurs propres corruptions et instabilité politique : On ne peut pas non plus leur exporter les technologies nucléaires qui pourraient être détournées (comme dans l’exemple iranien, ce cas d’ékole…).
Mais je n’en suis pas certain… vu l’autisme de « Gratte-là-Tune-Berg » qu’ils ont pu engendrer dans la « pensée unique » du moment.
 
L’avenir est où ?
Dans la poursuite des blocages « politico-diplomatiques », bien sûr !
Ce sera le rôle de la COP 26 et des suivantes.
Les pays développés réclament du temps pour mettre au point le « nucléaire propre » (non polluant, sans aucun effet de dissémination) qu’est l’usage généralisé du Thorium.
La Chine et l’Inde ont déjà des centrales fonctionnant de la sorte, pas l’occident.
Et ces deux pays sont en train d’acquérir le savoir-faire des retours d’exploitation.
Bill Gates lui-même aura investi ses économies personnelles dans une co-entreprise qui compte avancer sur le sujet.
Bon, il y a d’autres pistes, comme la fusion avec Iter (voire les énergies libres ou la fusion-froide), mais ça ne fonctionne pas encore, loin de là.
Et les « pays-développés » doivent aussi fournir l’effort industriel pour assurer la passerelle vers les utilisateurs : Production de batteries, de piles à hydrogène et dans ce cas des procédés « peu coûteux » pour fabriquer et transporter ce gaz.
C’est en cours… et ça avance vite d’après les derniers échos que j’en ai.
 
En attendant, on « chauffe » la machine à taxer (25 € la tonne en « Teutonnie ») pour pouvoir faire la bascule à un moment donné, à peine une poignée d’années.
Et au final, c’est vous qui payerez… plus cher.
Parce qu’une « révolution » de cette ampleur en moins d’une génération, évidemment, ce n’est pas gratuit, loin de là également.
Il n’y avait donc rien à espérer de la COP 25 et des quelques suivantes à venir tant que les technologies ne seront pas lancées.
C’est comme ça.

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