Ma femme est portée sur le sexe…
…Malheureusement, ce n’est pas sur le
mien.
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Quelle est la différence
entre un sapin de Noël et un curé ?
– Je ne vois pas. L’un fait peur aux
petits-enfants en s’habillant tout en noir, l’autre les réjouit !
– Non ! Aucune différence ! Dans
les deux cas, les boules servent uniquement à la décoration. »
« Dis donc, si l’avortement est
criminel, la masturbation est un génocide. »
« – Tu sais, les lois de la
pesanteur ne s’appliquent pas aux femmes.
– Ah bon ? Et comment ça ?
– Bé, il est, en effet, plus facile de
lever une fille que de la laisser tomber. »
Il est 23 h 00 (heure d’hiver).
Une voiture est stationnée sur une
route de campagne.
Deux amoureux s’embrassent passionnément
sur la banquette arrière.
Le curé du village qui revient d’une
visite, reconnaît l’auto et s’arrête…
« Attention ! Quand on joue
avec le feu, on se brûle. »
Alors le jeune homme répond.
« Monsieur le curé, êtes-vous
devenu pompier ? »
Trois étudiants s’interrogent pour
savoir qui a conçu cette merveille qu’est le corps humain.
« – C’est certainement un
ingénieur en mécanique », dit le premier. « Regardez toutes
les articulations !
– Non », dit l’autre, « c’est
un ingénieur en électricité. Il suffit de regarder le fonctionnement du système
nerveux !
– Moi j’ai l’impression que c’est un
ingénieur civil » dit le dernier, « car seul un gars comme ça
peut imaginer faire passer les eaux usées par un parc de plaisir. »
C’est une revenue : Dans l’original
on faisait remarquer que c’était stupide de mettre la salle des fêtes à côté
des chiottes…
Jean-Marc et Jean-Paul devisent :
« Des fois, j’ai hâte d’être un
vieux » dit l’un d’eux à l’autre
« – Ils sont bien, les Vieux,
on est bon pour eux, ils sont bien.
Ils n’ont personne qui les force à
travailler.
On ne veut pas qu’ils se fatiguent.
Même que la plupart du temps, on ne les
laisse pas finir leur ouvrage.
On les stoppe, on les interruptionne,
on les met à la retraite forcée.
On leur donne une pension de vieillesse
et ils sont en vacances…
Ah ! Ils sont bien les vieux !
Et puis, comme ils ont fini de grandir,
ils n’ont pas besoin de manger tant tellement beaucoup.
Ils n’ont personne qui les force à
manger.
Alors de temps en temps, ils se contentent
d’un petit biscuit ou bien ils se retartinent du pain avec du beurre, ou bien
ils regardent pousser leur rhubarbe dans leur soupe…
Ils sont bien…
Jamais ils ne sont pressés non plus.
Ils ont tout leur bon vieux temps.
Ils n’ont personne qui les force à
aller vite : Ils peuvent mettre des heures et des heures à traverser la
rue…
Et plus ils sont vieux, plus on est bon
pour eux.
On ne les laisse même plus marcher… On
les roule…
Et puis d’ailleurs, ils n’auraient même
pas besoin de sortir du tout : Ils n’ont personne qui les attendent…
Et l’hiver … Ouille, l’hiver, c’est là
qu’ils sont le mieux, les vieux.
Ils n’ont pas besoin de douzaines de chandails…
Non ! On leur donne un foyer, un beau
petit foyer modique qui décrépite, pour qu’ils se chauffent les mitaines…
Ouille, oui l’hiver, ils sont bien.
Ils sont drôlement bien isolés…
Ils n’ont personne qui les dérange.
Personne pour les empêcher de bercer
leur solitude…
Tranquillement, ils feuillettent leurs
albums photos, se rappelant leur jeunesse.
Qu’ils oublient au fur et à mesure que
le temps passe …
Ah ! Ils sont bien…!
Sur leur guéridon, par exemple, ils ont
une bouteille, petite, bleue.
Et quand ils ont des maux, les vieux,
des maux qu’ils ne peuvent pas comprendre, des maux mystères, alors ils en
prennent à la petite cuillère, ce qui les endort et les rendent mou…
Ils n’ont besoin de personne qui les
garde. Ils n’ont personne pour les assister.
Ils sont drôlement bien…
Ils n’ont même pas besoin d’horloge non
plus, pour entendre les aiguilles tricoter les secondes…
Ils n’ont personne qui…
– Ils n’ont personne…
– Personne… Ils sont bien ! »
Une femme attend l’autobus.
Lorsqu’elle veut monter, impossible :
Sa mini-jupe est trop serrée.
Les deux mains en arrière, elle baisse
un peu la fermeture-éclair et attend le bus suivant.
Un autre autobus arrive…
Encore impossible.
Elle baise la fermeture-éclair encore
plus et attend… le suivant.
Cette fois, quand le bus arrive, elle
sent deux mains sur les fesses qui la soulèvent.
« – Hé vous. Vous n’êtes pas
gêné, vous !
– Comment ça ? Ça fait deux fois
que vous baissez l’ouverture de ma braguette ! »
C’est une « revenue »
également.
Encore une autre :
Une secrétaire passe une entrevue d’embauche.
À la fin de la rencontre, le patron lui
demande.
« – Et c’est combien pour vos
services ?
– 2.000 € net par mois.
– Avec plaisir, mademoiselle.
– Non. Avec plaisir, c’est 1.000 € par
semaine… »
« – Pourquoi ordinateur est-il
au masculin ?
– Parce qu’il a de la mémoire mais pas
d’intelligence. »
« Le temps coule et je passe. »
(Baudelaire)
« Le temps passe et je coule. »
(Un étudiant)
Deux clochards sont assis sur un banc
public.
Le premier dit à l’autre…
« – Comment fais-tu pour avoir
les ongles aussi sales ?
– Ben… Je me gratte. »
Germaine est au lit avec son amant
lorsque le téléphone sonne.
Elle décroche.
« Chéri. Je vais rentrer très
tard car je joue aux cartes avec Jean-Paul. Je t’embrasse. »
Elle raccroche.
Et elle se retourne vers son amant à qui
elle chuchote à l’oreille…
« C’est Jean-Marc. Il me
dit de ne pas l’attendre car il joue aux cartes avec toi. »
Jean-Marc, complètement saoul,
tombe sur un contrôle routier.
« – Vos papiers ?
– Hein ?
– Vos papiers !
– Je ne peux pas.
– Et pourquoi donc ?
– J’sus complètement paqueté. Hic.
J’arrive d’un mariage et j’ai bu comme un trou. Alors, faut pas m’emmerder avec
vos histoires de papier.
– Alors je vais vous demander de
souffler dans le ballon.
– Comment ! », hurle Jean-Marc,
rouge de colère. « Vous ne me croyez pas ? Elle est bien bonne celle-là ! »
Vous connaissez vraisemblablement…
C’est une « revenue » de chez
mon VCRM.
Sinon cela va vous rafraîchir la
mémoire
Madame est sous la douche lorsque la
sonnerie de la porte résonne.
Elle enfile sa robe de chambre et
ouvre.
C’est Jean-Paul.
« Germaine, si tu me montres un
sein, je donne 100 €. »
Elle hésite… puis lui montre.
Jean-Paul lui tend le billet de 100 €.
« Bravo ! Si tu me montres
l’autre sein, je te donne encore 100 €. »
Aussitôt demandé, aussitôt fait.
Et il lui tend deux billets de 50 €.
« Super ! Maintenant, si tu enlèves
ta robe de chambre, je vous donne 200 € ! »
Germaine la laisse glisser par terre et
Jean-Paul lui tend quatre billets de 50 €.
« Merci Germaine, c’était merveilleux.
Bonne journée à toi ! »
Et elle reprend ses activités en
pensant à la façon de dépenser cet argent inopiné.
Puis Jean-Marc rentre à la
maison, dans le milieu de l’après-midi.
« Chéri, est-ce que Jean-Paul
est passé pour me rembourser du prêt que je lui ai fait hier ? »
Variante :
Jean-Marc entre dans la douche au
moment précis où sa femme en sort, lorsqu’on sonne à la porte.
Après une brève discussion pour savoir
lequel des deux va aller répondre, Germaine cède et s’enroule dans une
serviette de toilette. Et elle ouvre la porte d’entrée.
C’est Jean-Paul, le voisin et ami de
Jean-Marc.
Avant qu’elle ait pu dire un mot, il
lui lance :
« Salut ! Je te donne 400 € immédiatement
si tu laisses tomber la serviette qui te couvre. Juste pour voir. Rien d’autre. »
Un peu étonnée, elle attend quelques
secondes puis desserre la serviette et se retrouve nue devant Jean-Paul.
Il la regarde, puis lui tend 400 € en
billets de 50.
Un peu éberluée par cet épisode mais
contente de la petite fortune qu’elle vient de faire en à peine 10 secondes,
elle revient dans la salle de bain.
Son mari, encore sous la douche, lui
demande :
« – C’était qui ?
– Jean-Paul.
– Ok ! Il t’a remis les 400 €
qu’il me devait ?
– Oui ! »
Morale de ces histoires : Partagez
les informations communes…
Autre variante :
Au volant de sa voiture et en route
vers le couvent, un prêtre croise une nonne à pied.
Il s’arrête, et lui offre de la
raccompagner au couvent.
Elle accepte, monte dans la voiture, et
en croisant ses jambes, révèle une magnifique paire de jambes.
Le prêtre ne peut s’empêcher de les
regarder et perd un instant le contrôle de sa voiture.
Après avoir retrouvé la maîtrise de son
auto, il pose subitement la main droite sur la cuisse de la nonne.
Elle le regarde et lui lance : « Mon
père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ? »
Penaud, le prêtre retire subitement sa
main et se confond en excuses.
Un peu plus loin, rongé par la
tentation, il profite d’un changement de vitesse pour laisser sa main effleurer
la cuisse de la nonne, qui lui demande aussitôt :
« Mon père, vous souvenez-vous
de Psaume 129 ? »
Il rougit une fois de plus et retire sa
main, balbutiant « Désolé, ma sœur, la chair est faible ».
Arrivée au couvent, la nonne descend de
la voiture sans dire un mot et lui jette un regard sans équivoque.
Le prêtre se précipite sur la première
bible qu’il trouve, à la recherche du Psaume 129 :
« Allez de l’avant, cherchez
toujours plus haut, vous trouverez la gloire ».
Morale : Soyez toujours bien informé ou
vous risquez de passer à côté de belles occasions…
Un représentant, une employée de bureau
et un directeur du personnel sortent du bureau à midi et marchent vers un petit
restaurant lorsqu’ils trouvent, sur un banc, une vielle lampe à huile. Ils la
frottent et un génie s’en échappe.
« D’habitude, j’accorde trois
souhaits, mais comme vous êtes trois, vous en aurez un chacun ».
L’employée de bureau bouscule les deux
autres en gesticulant :
« À moi, à moi ! Je veux être sur
une plage immaculée des Bahamas, en vacances perpétuelles, sans aucun souci qui
pourraient m’empêcher de profiter de la vie ».
Et pouf, l’employée de bureau disparaît
aussitôt.
Le représentant s’avance à son tour :
« À moi, moi ! Je veux siroter une
pina colada sur une plage de Tahiti avec la femme de mes rêves ! »
Et pouf, le représentant disparaît.
« C’est à toi », dit le
génie en regardant le directeur du personnel.
« Je veux que ces deux-là soient de
retour au bureau après le déjeuner. »
Un bon conseil :
Laissez toujours un supérieur
hiérarchique s’exprimer en premier…
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : Promotion de la bibliothèque de « mon Gardien »
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