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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 6 décembre 2019

Constats de Jean-Marc

Ma femme est portée sur le sexe…
 
…Malheureusement, ce n’est pas sur le mien.
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Quelle est la différence entre un sapin de Noël et un curé ?
– Je ne vois pas. L’un fait peur aux petits-enfants en s’habillant tout en noir, l’autre les réjouit !
– Non ! Aucune différence ! Dans les deux cas, les boules servent uniquement à la décoration. »
 
« Dis donc, si l’avortement est criminel, la masturbation est un génocide. »
 
« – Tu sais, les lois de la pesanteur ne s’appliquent pas aux femmes.
– Ah bon ? Et comment ça ?
– Bé, il est, en effet, plus facile de lever une fille que de la laisser tomber. »
 
Il est 23 h 00 (heure d’hiver).
Une voiture est stationnée sur une route de campagne.
Deux amoureux s’embrassent passionnément sur la banquette arrière.
Le curé du village qui revient d’une visite, reconnaît l’auto et s’arrête…
« Attention ! Quand on joue avec le feu, on se brûle. »
Alors le jeune homme répond.
« Monsieur le curé, êtes-vous devenu pompier ? »
 
Trois étudiants s’interrogent pour savoir qui a conçu cette merveille qu’est le corps humain.
« – C’est certainement un ingénieur en mécanique », dit le premier. « Regardez toutes les articulations !
– Non », dit l’autre, « c’est un ingénieur en électricité. Il suffit de regarder le fonctionnement du système nerveux !
– Moi j’ai l’impression que c’est un ingénieur civil » dit le dernier, « car seul un gars comme ça peut imaginer faire passer les eaux usées par un parc de plaisir. »
C’est une revenue : Dans l’original on faisait remarquer que c’était stupide de mettre la salle des fêtes à côté des chiottes…
 
Jean-Marc et Jean-Paul devisent :
« Des fois, j’ai hâte d’être un vieux » dit l’un d’eux à l’autre
« – Ils sont bien, les Vieux, on est bon pour eux, ils sont bien.
Ils n’ont personne qui les force à travailler.
On ne veut pas qu’ils se fatiguent.
Même que la plupart du temps, on ne les laisse pas finir leur ouvrage.
On les stoppe, on les interruptionne, on les met à la retraite forcée.
On leur donne une pension de vieillesse et ils sont en vacances…
Ah ! Ils sont bien les vieux !
Et puis, comme ils ont fini de grandir, ils n’ont pas besoin de manger tant tellement beaucoup.
Ils n’ont personne qui les force à manger.
Alors de temps en temps, ils se contentent d’un petit biscuit ou bien ils se retartinent du pain avec du beurre, ou bien ils regardent pousser leur rhubarbe dans leur soupe…
Ils sont bien…
Jamais ils ne sont pressés non plus.
Ils ont tout leur bon vieux temps.
Ils n’ont personne qui les force à aller vite : Ils peuvent mettre des heures et des heures à traverser la rue…
Et plus ils sont vieux, plus on est bon pour eux.
On ne les laisse même plus marcher… On les roule…
Et puis d’ailleurs, ils n’auraient même pas besoin de sortir du tout : Ils n’ont personne qui les attendent…
Et l’hiver … Ouille, l’hiver, c’est là qu’ils sont le mieux, les vieux.
Ils n’ont pas besoin de douzaines de chandails…
Non ! On leur donne un foyer, un beau petit foyer modique qui décrépite, pour qu’ils se chauffent les mitaines…
Ouille, oui l’hiver, ils sont bien.
Ils sont drôlement bien isolés…
Ils n’ont personne qui les dérange.
Personne pour les empêcher de bercer leur solitude…
Tranquillement, ils feuillettent leurs albums photos, se rappelant leur jeunesse.
Qu’ils oublient au fur et à mesure que le temps passe …
Ah ! Ils sont bien…!
Sur leur guéridon, par exemple, ils ont une bouteille, petite, bleue.
Et quand ils ont des maux, les vieux, des maux qu’ils ne peuvent pas comprendre, des maux mystères, alors ils en prennent à la petite cuillère, ce qui les endort et les rendent mou…
Ils n’ont besoin de personne qui les garde. Ils n’ont personne pour les assister.
Ils sont drôlement bien…
Ils n’ont même pas besoin d’horloge non plus, pour entendre les aiguilles tricoter les secondes…
Ils n’ont personne qui…
– Ils n’ont personne…
– Personne… Ils sont bien !  »
 
Une femme attend l’autobus.
Lorsqu’elle veut monter, impossible : Sa mini-jupe est trop serrée.
Les deux mains en arrière, elle baisse un peu la fermeture-éclair et attend le bus suivant.
Un autre autobus arrive…
Encore impossible.
Elle baise la fermeture-éclair encore plus et attend… le suivant.
Cette fois, quand le bus arrive, elle sent deux mains sur les fesses qui la soulèvent.
« – Hé vous. Vous n’êtes pas gêné, vous !
– Comment ça ? Ça fait deux fois que vous baissez l’ouverture de ma braguette ! »
C’est une « revenue » également.
 
Encore une autre :
Une secrétaire passe une entrevue d’embauche.
À la fin de la rencontre, le patron lui demande.
« – Et c’est combien pour vos services ?
– 2.000 € net par mois.
– Avec plaisir, mademoiselle.
– Non. Avec plaisir, c’est 1.000 € par semaine… »
 
« – Pourquoi ordinateur est-il au masculin ?
– Parce qu’il a de la mémoire mais pas d’intelligence. »
 
« Le temps coule et je passe. » (Baudelaire)
« Le temps passe et je coule. » (Un étudiant)
 
Deux clochards sont assis sur un banc public.
Le premier dit à l’autre…
« – Comment fais-tu pour avoir les ongles aussi sales ?
– Ben… Je me gratte. »
 
Germaine est au lit avec son amant lorsque le téléphone sonne.
Elle décroche.
« Chéri. Je vais rentrer très tard car je joue aux cartes avec Jean-Paul. Je t’embrasse. »
Elle raccroche.
Et elle se retourne vers son amant à qui elle chuchote à l’oreille…
« C’est Jean-Marc. Il me dit de ne pas l’attendre car il joue aux cartes avec toi. »
 
Jean-Marc, complètement saoul, tombe sur un contrôle routier.
« – Vos papiers ?
– Hein ?
– Vos papiers !
– Je ne peux pas.
– Et pourquoi donc ?
– J’sus complètement paqueté. Hic. J’arrive d’un mariage et j’ai bu comme un trou. Alors, faut pas m’emmerder avec vos histoires de papier.
 
– Alors je vais vous demander de souffler dans le ballon.
– Comment ! », hurle Jean-Marc, rouge de colère. « Vous ne me croyez pas ? Elle est bien bonne celle-là ! »
 
Vous connaissez vraisemblablement…
C’est une « revenue » de chez mon VCRM.
Sinon cela va vous rafraîchir la mémoire
Madame est sous la douche lorsque la sonnerie de la porte résonne.
Elle enfile sa robe de chambre et ouvre.
C’est Jean-Paul.
« Germaine, si tu me montres un sein, je donne 100 €. »
Elle hésite… puis lui montre.
Jean-Paul lui tend le billet de 100 €.
« Bravo ! Si tu me montres l’autre sein, je te donne encore 100 €. »
Aussitôt demandé, aussitôt fait.
Et il lui tend deux billets de 50 €.
« Super ! Maintenant, si tu enlèves ta robe de chambre, je vous donne 200 € ! »
Germaine la laisse glisser par terre et Jean-Paul lui tend quatre billets de 50 €.
« Merci Germaine, c’était merveilleux. Bonne journée à toi ! »
Et elle reprend ses activités en pensant à la façon de dépenser cet argent inopiné.
Puis Jean-Marc rentre à la maison, dans le milieu de l’après-midi.
« Chéri, est-ce que Jean-Paul est passé pour me rembourser du prêt que je lui ai fait hier ? »
 
Variante :
Jean-Marc entre dans la douche au moment précis où sa femme en sort, lorsqu’on sonne à la porte.
Après une brève discussion pour savoir lequel des deux va aller répondre, Germaine cède et s’enroule dans une serviette de toilette. Et elle ouvre la porte d’entrée.
C’est Jean-Paul, le voisin et ami de Jean-Marc.
Avant qu’elle ait pu dire un mot, il lui lance :
« Salut ! Je te donne 400 € immédiatement si tu laisses tomber la serviette qui te couvre. Juste pour voir. Rien d’autre. »
Un peu étonnée, elle attend quelques secondes puis desserre la serviette et se retrouve nue devant Jean-Paul.
Il la regarde, puis lui tend 400 € en billets de 50.
Un peu éberluée par cet épisode mais contente de la petite fortune qu’elle vient de faire en à peine 10 secondes, elle revient dans la salle de bain.
Son mari, encore sous la douche, lui demande :
« – C’était qui ?
– Jean-Paul.
– Ok ! Il t’a remis les 400 € qu’il me devait ?
– Oui ! »
Morale de ces histoires : Partagez les informations communes…
 
Autre variante :
Au volant de sa voiture et en route vers le couvent, un prêtre croise une nonne à pied.
Il s’arrête, et lui offre de la raccompagner au couvent.
Elle accepte, monte dans la voiture, et en croisant ses jambes, révèle une magnifique paire de jambes.
Le prêtre ne peut s’empêcher de les regarder et perd un instant le contrôle de sa voiture.
Après avoir retrouvé la maîtrise de son auto, il pose subitement la main droite sur la cuisse de la nonne.
Elle le regarde et lui lance : « Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ? »
Penaud, le prêtre retire subitement sa main et se confond en excuses.
Un peu plus loin, rongé par la tentation, il profite d’un changement de vitesse pour laisser sa main effleurer la cuisse de la nonne, qui lui demande aussitôt :
« Mon père, vous souvenez-vous de Psaume 129 ? »
Il rougit une fois de plus et retire sa main, balbutiant « Désolé, ma sœur, la chair est faible ».
Arrivée au couvent, la nonne descend de la voiture sans dire un mot et lui jette un regard sans équivoque.
Le prêtre se précipite sur la première bible qu’il trouve, à la recherche du Psaume 129 :
« Allez de l’avant, cherchez toujours plus haut, vous trouverez la gloire ».
Morale : Soyez toujours bien informé ou vous risquez de passer à côté de belles occasions…
 
Un représentant, une employée de bureau et un directeur du personnel sortent du bureau à midi et marchent vers un petit restaurant lorsqu’ils trouvent, sur un banc, une vielle lampe à huile. Ils la frottent et un génie s’en échappe.
« D’habitude, j’accorde trois souhaits, mais comme vous êtes trois, vous en aurez un chacun ».
L’employée de bureau bouscule les deux autres en gesticulant :
« À moi, à moi ! Je veux être sur une plage immaculée des Bahamas, en vacances perpétuelles, sans aucun souci qui pourraient m’empêcher de profiter de la vie ».
Et pouf, l’employée de bureau disparaît aussitôt.
Le représentant s’avance à son tour :
« À moi, moi ! Je veux siroter une pina colada sur une plage de Tahiti avec la femme de mes rêves ! »
Et pouf, le représentant disparaît.
« C’est à toi », dit le génie en regardant le directeur du personnel.
« Je veux que ces deux-là soient de retour au bureau après le déjeuner. »
Un bon conseil :
Laissez toujours un supérieur hiérarchique s’exprimer en premier…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : Promotion de la bibliothèque de « mon Gardien »
 

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