Voyons voir.
Sauriez-vous répondre à ces questions
simples sans hésiter et sans vous tromper ?
Première question : Tu es dans une
course. Tu dépasses la deuxième personne. À quelle position te trouves-tu ?
Réponse : Si tu as répondu premier, alors tu te trompes.
Si tu dépasses la deuxième personne et
que tu prends sa place, c’est donc toi qui es second.
Deuxième question :
Si tu dépasses la dernière personne,
alors tu es… ?
Réponse : Si tu as répondu que tu es
l’avant dernière, ce n’est pas correct non plus.
Dis-moi, comment peux-tu dépasser la
DERNIÈRE personne ?
Troisième question : Prends 1.000 et
ajoute 40. Maintenant ajoute un autre 1.000.
À présent ajoute 30. Additionne un
autre 1.000. Maintenant additionne 20. Puis ajoute un autre 1.000.
Enfin ajoute 10.
Quelle est la somme ?
As-tu obtenu 5.000 ?
Planté, la bonne réponse est : 4.100
Vérifie avec ta calculatrice.
Quatrième question :
Le père de Marie a cinq filles : 1.
Nana, 2. Nene. 3. Nini. 4. Nono
Quel est le nom de la cinquième fille ?
Réponse : Nunu ?
Bé non ! C’est sûr que non.
Son nom est Marie.
Relis la question.
Une personne muette qui veut s’acheter
une brosse à dent.
En imitant l’action de se brosser les
dents, elle s’exprime ainsi au vendeur, et fait son achat.
Que fait l’aveugle qui veut s’acheter
une paire de lunettes de soleil ? Comment s’y prend-il ?
C’est bien simple : Il n’a qu’à ouvrir
la bouche et à demander.
Voilà, ça va mieux ?
Alors on continue, car il vaut mieux avoir
la maladie de Parkinson que celle d’Alzheimer.
Car il est finalement préférable de
renverser un peu sa bière plutôt que d’oublier de la boire !
« – Docteur, je suis amnésique.
– Et depuis quand ?
– Depuis quand quoi ? »
Vous qui savez compter, désormais, combien
compte-t-on d’essences d’arbre dans un pénis ?
Car c’est un petit être qui tremble
devant vous, comme un charme, qui devient dur comme un chêne, droit comme un
sapin, puis il va pécher, quand il fait son boulot il est un peu plié et finit
en saule pleureur !
En voyez-vous 9 ?
Bien !
Le hêtre, le tremble, le charme, le chêne,
le sapin, le pêcher, le bouleau, le peuplier
et le saule pleureur…
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Sais-tu comment on nomme
une personne qui ne connaît qu’une langue que personne ne comprend, mais qui
fait plaisir à bien des femmes ?
– Une unijambiste ?
– N’importe quoi : Un cunilangue ! »
Les mêmes rapportent parfois quelques histoires
authentiques :
« – Tu savais que quand 2 employés
d’une station-service en Bretagne ont refusé de donner la caisse à un voleur
visiblement saoul, le voleur les a menacés d’appeler la police.
– Et alors ?
– Comme ils refusaient toujours, le
voleur a effectivement appelé la police.
Et il fut arrêté…
– Le con ! »
« – D’ailleurs, un homme
portant un bas sur la tête a tenté de voler la caisse d’un supermarché, dans l’arrière-pays
niçois.
Quand la police arrive, il attrape
rapidement un panier et fait semblant de faire ses courses … oubliant le bas
qu’il portait.
– L’abruti ! »
Une jeune-fille vient de marier un
vieux monsieur.
Ce dernier lui a fait une cour assidue
et lui a laissé miroiter un héritage confortable.
Mais quand même…
Le soir des noces, elle verse dans le
café de son époux, un pot entier de viagra qu’elle a acheté le matin même.
Le lendemain matin, elle file chez son
pharmacien.
« E-x-t-r-a-o-r-d-i-n-a-i-r-e !
votre produit. Mon mari m’a fait l’amour sept fois et j’ai connu toutes les
extases.
Une chose est certaine, il est mort
heureux ! »
Jean-Marc court, court et court pour
attraper l’autobus, mais il arrive trop tard.
« Vous venez de le manquer »
dit une dame, narquoise.
« Non, non, pas du tout !
Je l’ai chassé et il a eu peur ! »
Jean-Marc et Jean-Paul sont assis
en terrasse à siroter leur Picon-bière.
Quand tout d’un coup, ils voient passer
un camion rempli de gazon roulé.
« – Regarde donc comme ils
doivent être riches, ceux-là !
– Comment ça ?
– Ils font couper leur gazon ailleurs… »
« – Sais-tu, mon ami, qu’est-ce
qui commence par B et qui est très dangereux ?
– Non, je ne vois pas…
– Bijour ! Ji sui le commandant di
bord et ji vous souhaite un bon voyachh… »
Toujours Jean-Marc et Jean-Paul,
toujours à la même terrasse de café :
« Alors, quand viens-tu manger
à la maison, ce soir ? »
Jean-Marc, blasé, et qui n’a pas le
moral ce jour-là :
« – Oh tu sais. Manger,
toujours manger…
– Viens au moins prendre l’apéro, ça te
permettra de voir ma maison.
– Oh tu sais. Boire, toujours boire…
– Mais oui. Voyons ! Ma femme sera
contente de te revoir.
– Oh baiser, toujours baiser… »
Une revenue :
Jean-Marc rentre dans un bar et
demande une consommation.
Le serveur est un robot.
Le robot lui prépare son cocktail, et
ensuite lui demande :
« – Quel est ton QI ?
– 150, je crois. »
Le robot engage alors une conversation
avec lui sur les réchauffements de la planète, sur les OGM, les oméga 3, la
biodiversité, et les interconnections environnementales, …
Jean-Marc est très impressionné et se
dit, « c’est super, mais ça doit être un gag. »
Il décide alors de tester le robot.
Il finit son verre et sort du bar,
tourne de bord, et revient prendre une autre consommation.
Et, le robot lui sert exactement ce
qu’il a commandé.
« – Quel est ton QI ?
– Environ 100, je crois. »
Immédiatement, le robot commence à
parler de football, des autos, du baseball, des super-topmodels, des fast-foods
à la mode, de fusils, et de poitrine de femmes.
Vraiment impressionné, quitte à nouveau
le bar après avoir fini son cocktail, et décide de faire passer un dernier test
au robot.
Il revient, le robot le sert et lui
demande :
« – Quel est ton QI ?
– Heu… ! 50, je pense. »
Et le robot dit, très lentement…
« Comme ça, tu vas voter Le Pen
encore une fois ! »
Dans l’originale, c’était Saint-Pierre
qui répartissait de la sorte les arrivants pour qu’ils se retrouvent « entre
eux »…
Entendues au tribunal :
« – Elle avait trois enfants,
c’est ça ?
– Oui.
– Et combien de garçons ?
– Aucun.
– Y avait-il des filles ? »
« – Êtes-vous mariée ?
– Non je suis divorcée.
– Et que faisait votre mari avant que
vous ne divorciez ?
– Beaucoup de choses, mais je n’étais
pas au courant de quoi… »
« – Quelle était votre relation
avec la plaignante ?
– Elle est ma fille.
– Et était-elle votre fille le 5 Mai 2016
? »
« – Est-ce que vous pouviez le
voir de là où vous étiez ?
– Je pouvais juste voir sa tête.
– Et où était sa tête ?
– Sur ses épaules ! »
Une tireuse de cartes explique à un
Taliban ce qu’elle a vu.
« – Je vois votre femme en
danger de mort !
– Ah bon… et est-ce que je vais être
acquitté ? »
C’est Germaine qui dit à Jean-Marc
:
« – Ton fils se plaint, il dit
qu’il a mal à la tête. Il faudrait peut-être appeler un médecin.
– Laisse tomber. Il nous fait le coup
une fois par semaine.
– Oui, mais aujourd’hui, il n’a pas
d’école. »
Et puis encore une revenue (de très
loin) :
Trois preuves que Jésus était juif :
1 – Il a pris le business de son père.
2 – Il est resté à la maison jusqu’à l’âge
de 33 ans.
3 – Il est convaincu que sa mère est
vierge et sa mère est convaincue qu’il est Dieu.
Trois preuves que Jésus était irlandais :
1 – Il ne s’est jamais marié.
2 – Il n’a jamais d’emploi stable.
3 – Sa dernière requête fut de demander
à boire.
Trois preuves que Jésus était
portoricain :
1 – Il se prénommait Jésus.
2 – Il a toujours eu des difficultés
avec la Justice.
3 – Sa mère ne connaissait pas son
père.
Trois preuves que Jésus était noir :
1 – Il appelait tout le monde « mon frère
».
2 – Il n’avait pas d’adresse fixe.
3 – Personne ne voulait l’embaucher.
Trois preuves que Jésus était
californien :
1 – Il avait les cheveux longs.
2 – Il portait des sandales.
3 – Il a inventé une religion.
Trois preuves que Jésus était italien :
1 – Il parlait avec ses mains.
2 – Il buvait du vin à chaque repas.
3 – Il travaillait dans la
construction.
Trois preuves que Jésus était français :
1 – Il avait un penchant marqué pour les
femmes.
2 – Il aimait faire la fête.
3 – Il croyait aux miracles…
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : Promotion de la bibliothèque de « mon Gardien »
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