Polémique autour des mitrons et pétrins…
Les « Gauloisiens-patriotes » pourront-ils
acheter leur baguette aujourd’hui, telle était la question qui aura agité les
bocaux de « sachants » ces derniers jours !
Avec intenses débats préalables.
Car certains commerçants aimeraient ouvrir leur établissement ce jour-là, et pour leur plaire, les sénateurs centristes ont déposé une proposition de loi dans ce sens, visant les boulangers et les fleuristes.
Une mesure qui plairait à la « sinistre du boulot, de la Bonne Santé, des mauvaises Solidarités et des Familles éparpillées », « Cathy-Vautrée ».
« L’idée, c’est de pouvoir permettre, sur une base de volontariat, que des salariés travaillent. Ils sont bien sûr payés double », aura-t-elle déclaré.
Ainsi, la « sinistre » avait répondu aux
propos de « Soso-Bidet » tenus la veille.
« On sait survivre un jour sans avoir sa baguette de pain. Il y a 364 autres jours dans l’année pour ouvrir. Le 1er mai doit rester férié et chômé par les salariés », avait affirmé la secrétaire générale de la « Cégé-tétée ».
« Le 1er mai est effectivement le seul jour de l’année qui soit férié et chômé », payé et non carillonné, a précisé la « sinistre ».
Or, selon elle, cette proposition de loi « est un aménagement de la loi de façon à répondre à ce qui est une tradition dans notre pays, qui est celle du pain ».
Ça pisse drôlement loin, que tout ça, que trouve-je…
C’est vrai qu’au-delà du « pain quotidien »
(l’ultra-frais à la levure industrielle, qui rassit le soir même, alors que « monté »
au levain, il reste comestible plusieurs jours), il reste assez difficile d’accepter
que les fleuristes s’obligent à fermer le jour ou des milliers de revendeurs
illégaux (sans carte autre que celle du PCF et de la CGT) ni paiement d’une
quelconque patente, pour être seulement « tolérés » sur les trottoirs,
subissent une concurrence éhontée le jour de la cueillette des clochettes de
muguet (à défaut d’églantine…) !
La loi des hommes (celle votée par vos élus) a parfois de ces absurdités qui surpassent l’entendement…
En fait tout est parti d’une ânerie de quelques agents
de l’inspection du travail qui n’hésitent pas à bosser les jours chômés en
contravention avec les lois qu’ils sont censés appliquer et contrôler tellement
ils sont zélés, bornés pour être payés par mes impôts, qui avait verbalisé cinq
boulangers ayant ouvert leur établissement le 1er mai 2024.
Il leur était reproché de faire travailler des salariés et des apprentis ce jour-là.
Ainsi, ils avaient refusé de signer un rappel à la loi qui leur avait été proposé avec le PV.
Le tribunal de police de La Roche-sur-Yon a finalement décidé de les relaxer, juste avant de pouvoir récidiver.
L’amende encourue est tout de même de 750 euros par salarié concerné, 1.500 euros quand celui-ci est mineur : Il faut en vendre du pain pour payer tout ça !
Et puis ce n’est pas déductible des résultats imposables : Double-peine !
À la question de savoir si de tels contrôles pouvaient
de nouveau avoir lieu, la « sinistre du boulot » indique alors ne pas
avoir « à donner de consignes à l’Inspection du travail ».
Il manquerait plus que ça que le sinistre se mêle de diriger les services à la place des directeurs… surtout un premier mai, journée fériée, payée et obligatoirement chômée…
« Cathy-Vautrée » énonce par ailleurs que la décision de justice (de relaxe) rendue ce vendredi « a montré la nécessité d’accepter le fait que quelqu’un puisse travailler dès lors qu’il est volontaire et payé double ».
« Nous allons accompagner la proposition de loi dans les meilleurs délais », a-t-elle insisté.
Grosse colère de « Soso-Bidet » : « Je
rappelle que le 1er mai, les patrons peuvent travailler s’ils le
souhaitent mais pour les travailleurs et les travailleuses, c’est férié, c’est
chômé, c’est un conquis de la lutte », a-t-elle fustigé.
Et de poursuivre : Ce jour « mémoriel » « a été acquis dans le sang et dans les larmes des ouvriers », a-t-elle ajouté en disant craindre que cet assouplissement des règles du travail le 1er mai ne conduise au même processus qui a permis de « complètement libéraliser le travail du dimanche ».
Elle chapeaute, la gamine : Elle demande bien à
ses propres adhérents de fournir « une journée d’action » (du travail
de militants/sympathisants) ce même jour… Et sans être payés en plus (travail
au noir : Un délit grave !)
Alors que l’initiative sénatoriale entend répondre à la polémique de ces derniers jours autour des boulangers qui avaient subi l’an passé des contrôles inopinés de l’inspection du Travail.
La proposition de loi, portée par la sénatrice de Vendée et le patron du groupe Union centriste, veut simplement adapter « le droit aux réalités du terrain », selon le texte consulté par l’AFP, en modifiant le Code du Travail.
Tempête dans un verre d’eau, alors ?
Si le texte est adopté, pourront travailler les
salariés des établissements et services « dont le fonctionnement ou l’ouverture
est rendu nécessaire par les contraintes de la production, de l’activité ou les
besoins du public ».
La liste des catégories concernées, qui est la même que celle permettant à certaines entreprises d’ouvrir le dimanche, serait fixée par décret.
Y figurent donc les boulangers, qui sont par ailleurs obligé de préalablement signaler leur fermeture en préfecture (qui peut la leur refuser), dont la convention collective autorisait certes déjà l’ouverture le 1er mai, mais dans un certain « flou juridique ».
La possibilité pour ces entreprises de faire travailler des salariés ce jour-là reposait jusqu’à présent sur une position ministérielle (une « doctrine administrative » qui n’a aucun poids devant un juge qui ne connaît que la loi : Un ministre peut dire n’importe quelle konnerie, « ça en touche une sans faire bouger l’autre », sauf en matière fiscale et sociale) du 23 mai 1986.
Mais cette dérogation est justement devenue obsolète après une décision de la Cour de cassation en 2006.
« Il ne s’agit en aucun cas de remettre en cause le
caractère férié et chômé de cette journée, mais de reconnaître la spécificité
de certaines activités – à l’instar des boulangeries ou des fleuristes – qui
participent pleinement à notre vie quotidienne et à notre patrimoine culturel
», ont souligné les auteurs de la proposition de loi, qui espèrent l’inscrire à
l’ordre du jour du Sénat « avant fin juin ».
« Ce texte ne se limite pas aux boulangers : il apportera de la clarté et de la sécurité juridique pour toutes les professions concernées », aura insisté la « sinistre ».
Avec ce texte, « on devrait pouvoir clarifier (…) Un boulanger ne peut pas ouvrir » en prenant le risque de « prendre 5.000, 10.000 euros de PV », en référence aux contrôles de l’inspection du travail, a commenté auprès de l’AFP le président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie.
Je demande à voir les mêmes dans les services hospitaliers ou chez les secouristes… voire chez les marins au long-cours…
« Beaucoup de salariés » seraient d’accord pour
travailler le 1er mai, parce que ce jour est payé double, avance
encore le représentant de la profession, qui prend soin de souligner qu’il doit
s’agir avant tout d’une démarche « volontaire ».
Il souligne en outre que le 1er mai « est une journée intéressante » en termes de chiffre d’affaires, en particulier dans les zones touristiques.
Ça va donc passer, puisque même un député « Air-haine » aura apporté son soutien à la proposition de loi : « On a besoin de libérer le travail (Arbeit macht frei, n’est-ce pas, chez les néo-nazis !…). Le 1er mai, c’est la fête du Travail, ce n’est pas la fête de l’oisiveté, ce n’est pas la fête de l’assistanat. Nonobstant la CGT qui veut nous renvoyer au XIXème siècle ».
Ah bon…
Pour être tout de même Corsu bien né qui considère le
boulot comme une maladie (la preuve que ça se soigne puisque même sur le
continent ils ont inventé la « médecine du travail »), fêter le
travail, c’est un peu totalement aberrant… surtout en ne glandant rien ce jour-là :
On n’est plus à un paradoxe près, n’est-ce pas ?
De toute façon, si aujourd’hui mon boulanger est fermé, j’ai de quoi me cuire mes croissants, ceux des jours fériés, justement…
Ceci dit, je vous souhaite un bon défilé : Demain
je vous attends toutes et tous à vos postes de combat !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Avec intenses débats préalables.
Car certains commerçants aimeraient ouvrir leur établissement ce jour-là, et pour leur plaire, les sénateurs centristes ont déposé une proposition de loi dans ce sens, visant les boulangers et les fleuristes.
Une mesure qui plairait à la « sinistre du boulot, de la Bonne Santé, des mauvaises Solidarités et des Familles éparpillées », « Cathy-Vautrée ».
« L’idée, c’est de pouvoir permettre, sur une base de volontariat, que des salariés travaillent. Ils sont bien sûr payés double », aura-t-elle déclaré.
« On sait survivre un jour sans avoir sa baguette de pain. Il y a 364 autres jours dans l’année pour ouvrir. Le 1er mai doit rester férié et chômé par les salariés », avait affirmé la secrétaire générale de la « Cégé-tétée ».
« Le 1er mai est effectivement le seul jour de l’année qui soit férié et chômé », payé et non carillonné, a précisé la « sinistre ».
Or, selon elle, cette proposition de loi « est un aménagement de la loi de façon à répondre à ce qui est une tradition dans notre pays, qui est celle du pain ».
Ça pisse drôlement loin, que tout ça, que trouve-je…
La loi des hommes (celle votée par vos élus) a parfois de ces absurdités qui surpassent l’entendement…
Il leur était reproché de faire travailler des salariés et des apprentis ce jour-là.
Ainsi, ils avaient refusé de signer un rappel à la loi qui leur avait été proposé avec le PV.
Le tribunal de police de La Roche-sur-Yon a finalement décidé de les relaxer, juste avant de pouvoir récidiver.
L’amende encourue est tout de même de 750 euros par salarié concerné, 1.500 euros quand celui-ci est mineur : Il faut en vendre du pain pour payer tout ça !
Et puis ce n’est pas déductible des résultats imposables : Double-peine !
Il manquerait plus que ça que le sinistre se mêle de diriger les services à la place des directeurs… surtout un premier mai, journée fériée, payée et obligatoirement chômée…
« Cathy-Vautrée » énonce par ailleurs que la décision de justice (de relaxe) rendue ce vendredi « a montré la nécessité d’accepter le fait que quelqu’un puisse travailler dès lors qu’il est volontaire et payé double ».
« Nous allons accompagner la proposition de loi dans les meilleurs délais », a-t-elle insisté.
Et de poursuivre : Ce jour « mémoriel » « a été acquis dans le sang et dans les larmes des ouvriers », a-t-elle ajouté en disant craindre que cet assouplissement des règles du travail le 1er mai ne conduise au même processus qui a permis de « complètement libéraliser le travail du dimanche ».
Alors que l’initiative sénatoriale entend répondre à la polémique de ces derniers jours autour des boulangers qui avaient subi l’an passé des contrôles inopinés de l’inspection du Travail.
La proposition de loi, portée par la sénatrice de Vendée et le patron du groupe Union centriste, veut simplement adapter « le droit aux réalités du terrain », selon le texte consulté par l’AFP, en modifiant le Code du Travail.
Tempête dans un verre d’eau, alors ?
La liste des catégories concernées, qui est la même que celle permettant à certaines entreprises d’ouvrir le dimanche, serait fixée par décret.
Y figurent donc les boulangers, qui sont par ailleurs obligé de préalablement signaler leur fermeture en préfecture (qui peut la leur refuser), dont la convention collective autorisait certes déjà l’ouverture le 1er mai, mais dans un certain « flou juridique ».
La possibilité pour ces entreprises de faire travailler des salariés ce jour-là reposait jusqu’à présent sur une position ministérielle (une « doctrine administrative » qui n’a aucun poids devant un juge qui ne connaît que la loi : Un ministre peut dire n’importe quelle konnerie, « ça en touche une sans faire bouger l’autre », sauf en matière fiscale et sociale) du 23 mai 1986.
Mais cette dérogation est justement devenue obsolète après une décision de la Cour de cassation en 2006.
« Ce texte ne se limite pas aux boulangers : il apportera de la clarté et de la sécurité juridique pour toutes les professions concernées », aura insisté la « sinistre ».
Avec ce texte, « on devrait pouvoir clarifier (…) Un boulanger ne peut pas ouvrir » en prenant le risque de « prendre 5.000, 10.000 euros de PV », en référence aux contrôles de l’inspection du travail, a commenté auprès de l’AFP le président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie.
Je demande à voir les mêmes dans les services hospitaliers ou chez les secouristes… voire chez les marins au long-cours…
Il souligne en outre que le 1er mai « est une journée intéressante » en termes de chiffre d’affaires, en particulier dans les zones touristiques.
Ça va donc passer, puisque même un député « Air-haine » aura apporté son soutien à la proposition de loi : « On a besoin de libérer le travail (Arbeit macht frei, n’est-ce pas, chez les néo-nazis !…). Le 1er mai, c’est la fête du Travail, ce n’est pas la fête de l’oisiveté, ce n’est pas la fête de l’assistanat. Nonobstant la CGT qui veut nous renvoyer au XIXème siècle ».
Ah bon…
De toute façon, si aujourd’hui mon boulanger est fermé, j’ai de quoi me cuire mes croissants, ceux des jours fériés, justement…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire