Elle confie son désarroi à Marie-Chantal
« — J’avoue que je ne comprends pas…
— Quoi donc ? Il est plutôt super-charmant, ce
Jean-Louis ! Toujours très attentionné et romantique à souhait.
— Oui, mais sa famille me déteste…
— Toute sa famille ?
— Non, surtout sa femme et ses gosses ! »
Jean-Paul, à Jean-Marc :
« — Bien sûr qu’il m’arrive de me parler à moi-même…
— Tu soliloques, toi ?
— J’ai parfois besoin de l’avis d’un expert… »
Jean-Jacques, à un entretien d’embauche :
« — Pouvez-vous me dire pourquoi vous êtes arrivé en retard à cet entretien ?
— C’est parce que je ne savais pas utiliser l’interphone…
— Dans ce cas… bienvenue chez Chronopost ! »
Jean-Marc à Germaine :
« — Chérie, tu peux me dire pour quelle raison tu t’es mariée avec
moi ?
— Parce que tu es drôle !
— Tu es sérieuse, là ?
— Oui, bien sûr… Pourquoi ?
— Parce que je croyais que c’était parce que je suis bon au lit !
— Ah ahah ! Tu vois que tu es drôle ! »
Les mêmes un peu plus tard…
« — J’ai envie…
— D’accord…
— Je peux allumer ?
— Non ! Laisse éteint s’il te plait…
— Pourquoi ? Tu deviens pudique, maintenant ?
— Non ! T’es moche… »
Marie-Chantal questionne son futur nouvel amant :
« — Qu’est-ce qui te fait plaisir de faire, après l’amour ?
— En général j’aime bien continuer l’autopsie…
— …
— Tout en me rassurant qu’avoir un petit moment de faiblesse ne fait pas de moi un mauvais vétérinaire ! »
Germaine à Marie-Chantal, devant une tasse de thé post-méridienne :
« — Les mecs, c’est comme les radiateurs…
— Ah bon ? Tu dis ça parce que ça tient chaud l’hiver ?
— Non pas spécialement.
— Et alors… Pourquoi ?
— Si ce n’est pas purgé de temps en temps, ça fonctionne mal ! »
Les mêmes, un autre jour, dans le même salon de thé, mais devant de
nouvelles tasses de thé :
« Finalement, le zizi d’un homme, c’est un peu comme une petite virgule qui se situe entre les cuisses et qui aurait tendance à se prendre pour un point d’exclamation certains jours de panache… »
Jean-Paul drague :
« Vous méritez le meilleur, madame !
C’est pour ça que je suis là ! »
Entendu pour vous :
« — Chérie, j’ai un problème…
— Ne dis pas « j’ai », mais « nous ».
Les problèmes c’est comme les bonheurs, ça se partage…
— Alors Ok ! Si tu veux, « nous » avons un problème.
— Lequel chéri ?
— « Nous » avons mis enceinte la voisine ! »
Plus tard, les mêmes :
« — Mais comment as-tu pu coucher avec elle ?
— Je n’ai pas pu résister : Elle est vraiment trop
belle !
— Mais tu n’as pas pensé à moi ?
— Oh bien sûr que si ! À qui d’autre crois-tu que j’aurai pu penser pour ne pas jouir trop vite ? »
Jean-Paul, grand connaisseur de « la chose », à Jean-Marc,
devant une bière matinale, sur le chemin du travail…
« Tu vois, l’avantage des petits seins…
… c’est que 30 ans plus tard, tu es sûr de les retrouver
toujours au même endroit ! »
Germaine à Marie-Chantal, toujours devant une tasse de thé.
« — Ce matin, Jean-Marc m’a dit que j’étais « pas mal »…
— Waouh ! Il s’améliore !!!
— En fait, il a dit que j’étais « pas mal » chiante. Mais je me concentre sur l’essentiel… »
Jean-Marc auprès de sa maitresse, un soir avant de rentrer chez lui…
« — Quand je regarde le ciel, je me dis qu’on est bien peu de
chose face à l’immensité de l’univers.
On est là, petites poussières perdues au milieu de milliards
de galaxies, paumés dans l’infini.
La vie est comme une étoile, elle nait, elle brille puis s’éteint…
Parfois, j’aimerai être une étoile filante pour toi…
— Oooooh Jean-Marc, comme tu parles bien ! Tu es si romantique !
— … pour te péter la chatte à la vitesse de la lumière et décharger ma voix lactée dans ton trou noir ! »
Germaine à Jean-Marc :
« — Non mais t’es qui toi ?
— …
Tu penses que je ne peux pas vivre sans toi ?
Mais tu te prends pour qui ?
— …
— Le chargeur de mon téléphone,
peut-être ?
… »
Jean-Paul parlant de son big boss, en fin de matinée,
devant un Picon-bière offert par Jean-Marc :
« Non mais celui-là, à force de péter trop haut, son cul prend la place de son cerveau ! »
Les mêmes, devant la crépinette-frites méridienne, sauce
chasseur, de la cantine :
« Tu sais, je n’ai rien contre les araignées.
Même chez moi…
Mais à partir d’un certain diamètre, je pense qu’il doit y avoir une participation au loyer… »
« C’est ça, mon Jean-Paul…
Moi je pense que, parfois, tu dois jouer à
cache-cache avec ton intelligence et que là, elle doit avoir trouvé une bonne
planque !
Mange donc ce que tu as dans ton assiette et arrête de dire des conneries ! »
« — Et puis n’oublie pas que je ne t’en veux
pas : En France, il y a environ 1,8 enfant par femme…
Ce qui veut dire qu’un sur deux n’est pas
fini…
— Ah bé voilà : C’est ce qui explique pas mal de choses ! »
« Note toutefois que bien sûr, il est toujours possible
de trouver plus que con que soi…
Mais il y en a qui doivent chercher bien
plus longtemps que d’autres… »
Jean-Marc, le soir, après 20 ans de mariage, est
soumis à « la question » par Germaine :
« — Mais, mais… Pourquoi tu regardes le DVD
de notre mariage à l’envers ?
— Parce que j’adore le moment
où je retire ton alliance de ton doigt et je sors à reculon de l’église
rejoindre mes potes au café d’en face ! »
Les mêmes devant la télé :
« — Tu aimes les petites chatouilles dans ton cou ?
— Oui, j’adore… Continue…
— Alors je ne retires pas la
petite araignée qui se promène sur ton cou ! »
Marie-Chantal à Germaine, devant un macaron de chez Ladurée, place Edmond
Rostand :
« — N’oublions pas que Coco Chanel disait qu’il fallait se parfumer là où on souhaitait être embrassée !
— Tu parles d’une absurdité !
— Ah bon ?
— Parce qu’après ça pique, ça brûle que tu ne peux même plus marcher ! »
Jean-Marc à Jean-Paul, au soir sur le chemin du retour d’une journée de labeur,
devant une bière-Tequila :
« Buvons à nos défauts, mon ami, puisque nos qualités, personne ne
les reconnait ! »
Au dernier premier avril !
« — Et pas la peine de m’accrocher un poisson dans le dos, n’est-ce pas Jean-Paul !
— Et pourquoi ça ? C’est la tradition…
— Parce que j’ai déjà une raie au cul !
— Tiens, c’est m’hareng, ça ! »
Retenue pour vous :
Examen du permis de conduire, épreuve pratique :
« — Bien, maintenant, vous mettez les mains sur le volant à 10 heures 10 et vous démarrez…
— D’accord ! »
…
« — Un problème ?
— J’attends…
— Vous attendez quoi ?
— Il est 9 heures un quart !
— Sortez de ce véhicule ! »
Chantal et Germaine :
« — Une femme m’a envoyé un SMS…
— Elle voulait quoi ?
— Me prévenir d’arrêter de baiser son mari sinon elle me tuerait !
— Et alors, tu ne le baises plus ?
— C’est que ce n’est pas aussi simple que ça…
— Comment ça ?
— Le message était anonyme ! »
Jean-Paul et sa conquête d’un soir, toute émoustillée :
« — Je vais me doucher et me parfumer,
Je vais mettre une petite tenue sexy,
Je préparerai le lit.
Je mettrai de la musique douce,
Et j’ouvrirai une bouteille de champagne…
— Ouh là ! Tu en as des choses à faire…
Je repasserai un autre soir, quand tu seras moins occupée ! »
Germaine et Marie-Chantal, se séparant après une après-midi bien remplie…
« — Moi je couche avec Jean-Marc, mon mari, au moins trois fois par semaine, toutes les semaines !
— Eh bien moi ce n’est en général rien qu’une fois par
semaine…
— Oh ? Mais tu n’es pas mariée !!!
— Non, mais je croyais qu’on parlait de ton mari… »
Jean-Marc à Germaine, le match de foot une fois terminé à la télé.
« — Bon, maintenant, une petite verveine, une bonne pipe et au lit
pour être en forme demain.
— Bé ne compte pas sur moi pour te faire ta petite verveine… »
Bon week-end à toutes et à tous… même si vous y êtes déjà depuis
avant-hier (vu les encombrements routiers) !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
— Oui, mais sa famille me déteste…
— Toute sa famille ?
— Non, surtout sa femme et ses gosses ! »
« — Bien sûr qu’il m’arrive de me parler à moi-même…
— J’ai parfois besoin de l’avis d’un expert… »
« — Pouvez-vous me dire pourquoi vous êtes arrivé en retard à cet entretien ?
— Dans ce cas… bienvenue chez Chronopost ! »
— Tu es sérieuse, là ?
— Oui, bien sûr… Pourquoi ?
— Parce que je croyais que c’était parce que je suis bon au lit !
— Ah ahah ! Tu vois que tu es drôle ! »
« — J’ai envie…
— Je peux allumer ?
— Non ! Laisse éteint s’il te plait…
— Pourquoi ? Tu deviens pudique, maintenant ?
— Non ! T’es moche… »
« — Qu’est-ce qui te fait plaisir de faire, après l’amour ?
— …
— Tout en me rassurant qu’avoir un petit moment de faiblesse ne fait pas de moi un mauvais vétérinaire ! »
« — Les mecs, c’est comme les radiateurs…
— Non pas spécialement.
— Et alors… Pourquoi ?
— Si ce n’est pas purgé de temps en temps, ça fonctionne mal ! »
« Finalement, le zizi d’un homme, c’est un peu comme une petite virgule qui se situe entre les cuisses et qui aurait tendance à se prendre pour un point d’exclamation certains jours de panache… »
« Vous méritez le meilleur, madame !
« — Chérie, j’ai un problème…
— Alors Ok ! Si tu veux, « nous » avons un problème.
— Lequel chéri ?
— « Nous » avons mis enceinte la voisine ! »
« — Mais comment as-tu pu coucher avec elle ?
— Mais tu n’as pas pensé à moi ?
— Oh bien sûr que si ! À qui d’autre crois-tu que j’aurai pu penser pour ne pas jouir trop vite ? »
« Tu vois, l’avantage des petits seins…
« — Ce matin, Jean-Marc m’a dit que j’étais « pas mal »…
— En fait, il a dit que j’étais « pas mal » chiante. Mais je me concentre sur l’essentiel… »
La vie est comme une étoile, elle nait, elle brille puis s’éteint…
Parfois, j’aimerai être une étoile filante pour toi…
— Oooooh Jean-Marc, comme tu parles bien ! Tu es si romantique !
— … pour te péter la chatte à la vitesse de la lumière et décharger ma voix lactée dans ton trou noir ! »
« — Non mais t’es qui toi ?
Mais tu te prends pour qui ?
— …
« Non mais celui-là, à force de péter trop haut, son cul prend la place de son cerveau ! »
« Tu sais, je n’ai rien contre les araignées.
Mais à partir d’un certain diamètre, je pense qu’il doit y avoir une participation au loyer… »
Mange donc ce que tu as dans ton assiette et arrête de dire des conneries ! »
— Ah bé voilà : C’est ce qui explique pas mal de choses ! »
« — Tu aimes les petites chatouilles dans ton cou ?
« — N’oublions pas que Coco Chanel disait qu’il fallait se parfumer là où on souhaitait être embrassée !
— Ah bon ?
— Parce qu’après ça pique, ça brûle que tu ne peux même plus marcher ! »
« — Et pas la peine de m’accrocher un poisson dans le dos, n’est-ce pas Jean-Paul !
— Parce que j’ai déjà une raie au cul !
— Tiens, c’est m’hareng, ça ! »
Examen du permis de conduire, épreuve pratique :
« — Bien, maintenant, vous mettez les mains sur le volant à 10 heures 10 et vous démarrez…
« — Un problème ?
— Vous attendez quoi ?
— Il est 9 heures un quart !
— Sortez de ce véhicule ! »
« — Une femme m’a envoyé un SMS…
— Me prévenir d’arrêter de baiser son mari sinon elle me tuerait !
— Et alors, tu ne le baises plus ?
— C’est que ce n’est pas aussi simple que ça…
— Comment ça ?
— Le message était anonyme ! »
« — Je vais me doucher et me parfumer,
Je préparerai le lit.
Je mettrai de la musique douce,
Et j’ouvrirai une bouteille de champagne…
— Ouh là ! Tu en as des choses à faire…
Je repasserai un autre soir, quand tu seras moins occupée ! »
« — Moi je couche avec Jean-Marc, mon mari, au moins trois fois par semaine, toutes les semaines !
— Oh ? Mais tu n’es pas mariée !!!
— Non, mais je croyais qu’on parlait de ton mari… »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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