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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 16 mai 2025

Jean-Marc en salle de sport…

Le voilà devant une série d’appareils…
 
« — Voilà, j’ai besoin de me remuscler un peu pour sortir avec une minette de 25 ans…
Quelle machine me conseillez-vous !
— Oh là, mon pauvre Monsieur… Dans votre cas, la meilleure machine pour la séduire rapidement, ça serait plutôt le distributeur de billets, en bas dans la rue… »
 
Toujours Jean-Marc, mais à Germaine, son épouse :
« — Demain, je vais avoir un nouvel animal de compagnie…
— Et c’est quoi ? Un chat, un poisson rouge ou un perroquet ?
— Non, non… un paresseux ! »
Germaine éclate de rire… vif, clair et franc !
« — Pourquoi tu ris comme ça ?
— Tu sais que les maîtres finissent par ressembler à leur animal de compagnie…
— Oui… T’avais pas une chienne, toi ?
— Connard ! »
 
« — En attendant, à propos de chat, sois vigilant. C’est une arnaque que de prétendre qu’il s’agit d’un animal domestique… Je te préviens !
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce que le domestique, ce sera toi : Moi, je ne m’en occupe pas !
— Mais puisque ce sera un paresseux…
— Idem ! »
 
Plus tard, le même à Jean-Paul, son ami de bistrot :
« — Quand tu seras mort, tu te réincarneras en quoi, toi ?
— En crevette !
— En crevette ? Quelle drôle d’idée. Et pourquoi en crevette ?
— Parce que même mort, on continuera de me sucer la queue… »
Oui, je sais : Pas très futé !
 
Entendu pour vous samedi dernier par Jean-Marc, à l’occasion d’une cérémonie de mariage à l’église…
Le curé s’adressant à Jean-Michel, le nouveau marié :
« Jean-Michel, vous êtes censé répondre ‘‘Oui je le veux’’ et non pas ‘‘Je vais essayer’’ ! » 
 
Et au vin d’honneur offert par les nouveaux époux, il croise l’infortuné Jean-Claude (pas celui que vous connaissez, mais un autre, le cousin de Jean-François) :
« — Ma femme m’a quitté…
— Oh tu sais, il y a bien pire : La mienne est revenue ! »
 
Et il aura remis son cadeau de mariage aux nouveaux époux :
« — Je vous ai acheté les deux mêmes lampes de chevet.
— Comme c’est touchant…
— Comme ça, le jour où vous divorcerez, le partage sera plus facile ! »
 
À la même réunion, il est abordé par Marie-Geneviève, l’ex-femme de Jean-Richard qui est l’oncle de la cousine de la mariée…
« — Ah tu es venu, Jean-Marc ! Ça me fait plaisir de te revoir !
— Moi aussi, Marie-Geneviève… Qu’est-ce que tu deviens ?
— Oh, là tu sais, encore deux ou trois verres de vin et tu vas avoir la femme la plus chaude et la plus cochonne de la ville…
— Ah ? Ta sœur va passer ? »
 
Jean-Paul, un matin, devant une bière bien fraîche…
« — Mon psy m’a rassuré…
— Tu vois un psy toi ? Et il t’a dit quoi ?
— Il m’a assuré que si j’entendais des voix dans ma tête qui me commandaient de faire ci, d’aller là, de ne pas faire ça, c’était normal !
— …
— C’était que je n’étais pas schizophrène mais que j’étais en couple…
— Je veux bien te croire, Jean-Paul, mais tu ne m’avais pas dit que tu t’étais marié récemment… »
 
Jean-Paul lui répondant :
« — Tu sais, au fond, bien évidemment que je suis quelqu’un de très sociable… Mais pas avec les humains.
— Je suis un humain.
— Mais toi ce n’est pas pareil : Tu es un tonneau sans fond…
— … »
 
« Mon silence ne signifie pas que je suis d’accord avec toi, Jean-Paul…
Il signifie que ton niveau de stupidité quand tu es imbibé me laisse définitivement sans voix ! »
 
« — Toi, tu es décidément la levure de ma vie !
— Ce qui signifie ?
— Que tu me gonfles ! »
 
« — Oui eh bien, il n’empêche que la capacité de parler plusieurs langues est un atout dans la vie !
— Et celle de fermer sa gueule est inestimable…
Surtout quand on en est à sa troisième bière matinale ! »
 
Entendu à l’occasion d’une enquête de police, sur la scène d’un crime…
« — Chef, il manque le corps du mari…
— Ok ! Alors on passe le périmètre au peigne fin !
— Pourquoi au peigne fin ?
— Parce qu’on cherche l’époux, brigadier ! »
 
Devant leur bière méridienne, Jean-Marc et Jean-Paul discute des vicissitudes de la vie :
« — Tu te rends compte que finalement, malgré tout ce qui peut changer, muter, être réformé, contrarié, démenti et refoulé, eh bien il reste une constante dans ce pays !
— Laquelle ?
— Le pourcentage d’emmerdeurs n’aura jamais baissé…
— Tu veux dire qu’il augmente avec le temps qui passe ?
— On peut aussi dire ça comme ça, effectivement.
— Ce n’est donc pas une constante, que tu m’enquiquines avec tes débilités à l’orée de la digestion ! »
 
Un peu plus tard :
« — Sais-tu pourquoi la plupart du temps, les hommes sifflent mieux que les femmes ?
— Je sens que tu vas encore dire une ânerie…
— Oui !
— Laquelle ?
— Parce qu’ils sont réputés avoir une cervelle d’oiseau !
— Je m’en doutais… »
 
« — Oui, mais il faut savoir en rire…
— Et faire attention à soi… Par exemple, quand une femme te regarde avec ses yeux mouillants et te dis ‘‘fais ce que tu veux’’, tu fais quoi ?
— Ouh, là ! Je ne sais pas ! Ça ne m’est jamais arrivé…
— Eh bien fais surtout attention à ne rien faire, ne rien dire. Ne bouge pas, ne respire même pas, ne cligne pas de yeux, fais le mort !
— Mais pourquoi ?
— Parce que dans le cas contraire, de toute façon tu vas le regretter… »
 
« — Pas très malin… On se reprend une autre bière avant d’aller bosser ?
— Si tu veux : Le petit salé, ça donne soif.
— Et à propos, sais-tu comment on appelle un cochon heureux au Portugal ?
— Un porc tout gai ?
— Tu la connaissais ? »
 
« — Tiens, une petite dernière avant d’aller faire la sieste au bureau…
— Oui !
— C’est l’histoire de l’âne qui dit au tigre : « L’herbe est bleue. »
Le tigre répond : « Non, l'herbe est verte. »
La discussion s’enflamme et tous deux décident d’aller voir le lion, le roi de la jungle pour arbitrer leurs prétentions.
Sauf que déjà avant d’atteindre la forêt, où le lion était assis sur son trône, l’âne se mit à crier : « Son Altesse, est-il vrai que l’herbe est bleue ? »
Le lion répond : « C’est vrai, l’herbe est bleue. »
L’âne se dépêche d’arriver et continue : « Le tigre n’est pas d’accord avec moi, me contredit et m’énerve, s’il vous plaît votre majesté, punissez-le ! »
Le roi déclara alors : « Le tigre sera puni de 5 ans de silence. »
L’âne sauta gaiement et reprit son chemin, content et répétant : « L’herbe est bleue ! »
Le tigre accepte sa punition, mais avant il demande au lion : « Ta Majesté, pourquoi m’as-tu puni ? Après tout, l’herbe est verte. »
Le lion lui répondit : « Oui, en fait, l’herbe est verte. »
Le tigre ne comprenant pas demande : « Alors pourquoi me punis-tu ? »
Le lion répondit : « Cela n’a rien à voir avec la question de savoir si l’herbe est bleue ou verte. La punition est qu’il n'est pas possible pour une créature courageuse et intelligente comme toi de perdre son temps à se disputer avec un âne, et en plus de venir m’embêter avec cette question.
La pire perte de temps est de discuter avec les imbéciles et les fanatiques qui ne se soucient pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de leurs croyances et de leurs illusions.
Ne perds jamais de temps avec des arguments qui n’ont aucun sens…
Il y a des gens qui, peu importe la quantité de preuves et de preuves que tu leur présentes, ne sont pas dans la capacité de comprendre, et d’autres sont aveuglés par l’ego, la haine et le ressentiment, et tout ce qu’ils veulent, c’est avoir raison même s’ils n’ont pas raison.
Quand l’ignorance crie, l’intelligence se tait.
Ta paix et ta tranquillité valent plus que ça.
C’est pour cette raison que je te punis à apprendre à garder le silence parce que tu es entouré d’ânes !
— Et c’est drôle ?
— Non, pas forcément… »
 
Dialogue entre un pilote d’avion-cargo et la tour de contrôle de l’aérodrome de destination :
« — Tour de contrôle… autorisation demandée d’atterrir.
— Bien reçu. Autorisation accordée… Vous transportez quoi ?
— Des fruits à coque… Quelle piste ?
— Bien reçu. Piste H !
— H ? Mais c’est vraiment une pistachier ! »
 
Enfin de journée, Jean-Paul retrouve Jean-Marc devant une bière :
« — Décidément, mon chef…
— Quoi ? Il t’a fait quelle crasse encore celui-là ?
— Oh ce n’est pas ça… Mais tu vois, dans la vie, il y a des personnes que tu sais dès le premier regard que tu veux passer tout ta vie sans elle ! »
 
Jean-Marc rentre chez lui :
« — Je viens de croiser la concierge !
— Ah ?
— D’après elle, il n’y a qu’un seul résidant qui n’est pas cocu dans l’immeuble…
— Ah ? Et c’est qui ? »
 
Plus tard, le même se justifiant auprès de Germaine :
« — Mais je n’ai pas que des défauts !
J’ai aussi des talents cachés !
— Ah oui ? Et lesquels par exemple…
— Mais je n’en sais rien puisque je viens de te dire qu’ils étaient cachés… »
 
Marie-Chantal, à Germaine, une après-midi au salon de thé, devant quelques madeleines tièdes :
« — Tu sais, quand je vois la gueule que font les gens…
— Oui, eh bien ?
— Eh bien j’ai envie de tricoter des cagoules ! »
 
Les mêmes :
« — Je viens de découvrir une statistique officielle de l’INSEE…
— Laquelle ?
— Il paraît que les femmes qui ont un léger embonpoint vivent plus longtemps que les hommes qui leur font remarquer !
— Tu m’étonnes… »
 
« D’un autre côté, certain prétendent ne pas être nés de la dernière pluie…
Alors qu’on voit bien qu’ils ont été conçus dans la précipitation ! »
 
Une dernière de Jean-Marc :
« — C’est tout de même totalement scandaleux que pour un même travail, les femmes gagnent moins que les hommes…
— J’en suis d’accord !
— D’autant qu’elles dépensent beaucoup plus ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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