Le « cousin Jean » est décédé…
Ce n’est pas le jour le mieux choisi, celui de l’Ascension,
mais toutes mes condoléances à ses deux gamins, la « Belle Hélène »
et « Domino » et surtout à la « cousine Xav’ », leur
mère et son épouse.
Si Jean est « mon cousin », c’est à la mode Corse : Par son mariage avec la fille du pâtissier, celui au coin du cours Paoli et de la rue Xavier Luciani, arrêt obligatoire quand on descendait au village, où qu’on y montait, parce que son père était un cousin germain de mon grand-père…
Entre elle, Xavière, et lui, tous deux cortenais, elle
y ayant grandi, lui, né à Paris à la Clinique Geoffroy Saint-Hilaire déjà dans
le Vème arrondissement pour être le fils d’un fonctionnaire de la
Ville de Paris (alors que « Chat-J’ai-pété » en dit que c’était un
artisan-tailleur, un autre se réfère à Wikipédia pour affirmer qu’il était
agent d’assurance et « Cap-Gemini-mini » assure n’avoir pas d’information
à me communiquer : Il se méfie depuis mon
post de début de semaine…), y retournant passer ses vacances en
famille tous les étés, ça aura été un coup de foudre de 70 ans…
Rencontre d’une jeune fille aux lourds cheveux bruns, à la bouche gourmande et au globe des yeux un peu rond, façon Marion Cotillard, à mille lieues de l’image qui lui a collé à la peau par la suite et lui jeune étudiant en droit à la Sorbonne qui aura commencé sa carrière dans le sillage de son prof de droit préféré, René Capitant.
« On s’est mariés sans aucun sou, sans nuage, et cela dure depuis (…) » les années 50. La vie de bohème…
Mais une longévité qui force le respect.
Ce que retiennent aujourd’hui tous ses hypocrites d’adversaires,
c’est que le « Cousin Jean » est le dernier édile de droâte de la
capitale de 1995 à 2001. En sa mémoire, les drapeaux de tous les équipements
municipaux seront mis en berne le 3 juin, au premier jour du Conseil de Paris,
a annoncé « Sœur-Âne ».
Non mais allo quoi : Je me marre … Elle n’a honte de rien et je ne me souviens pas qu’on en ait fait autant pour « le Chi »…
Elle, l’édile « soce » héritière de « De-la-Nuée »
qui n’est parvenu à arracher la mairie centrale que parce que « le parti »
(le RPR) avait décidé de ne pas soutenir son candidat sortant au profit du « bâfreur
de pizza », la faute à la « Panaf’-à-roulette » et quelques
autres jaloux dans son sillage, va pour saluer « la mémoire de cet
homme qui a consacré une part immense de sa vie à Paris et au Vème
arrondissement. Je garderai le souvenir d’un homme chaleureux, avec qui j’avais
tissé des relations cordiales et respectueuses », a-t-elle affirmé
dans un message transmis à la presse.
N’en jetez plus…
Vous verrez que demain, le « Cousin Jean »
aura eu toutes les qualités de générosité et de compassion exigées des saints
républicains…
Alors que…
Mais bon, qu’il repose donc en paix…
« Il a su porter haut les couleurs de la
capitale », a également réagi « Rachi-dada-Mimi », actuelle sinistre
de la Culture et candidate potentielle aux municipales de 2026 qui se voit bien
lui succéder.
« Son souci constant de préserver la beauté de Paris ou encore le lancement du premier plan vélo, resteront un héritage précieux pour tous les Parisiens ».
Tu parles d’un propos profondément comique.
Il a surtout fait ce qu’il a pu.
En revanche, pour rendre service, il a toujours été présent.
La dernière fois, c’était pour dégoter, à l’arrache,
en plein mois de juillet, une concession perpétuelle à « mon papa-à-moâ »
(celui qui me fait toujours pleurer quand je l’évoque) au cimetière
Montparnasse, alors que le caveau familial aurait pu l’accueillir si ma tante
ne s’y était pas opposé fermement…
Sacrée funeste famille que la mienne : La place disponible, elle se l’était réservée… à elle toute seule entourée de ses ancêtres qui sont aussi les miens !
Ça aurait pu lui manquer dès de son vivant, là dites-donc !
Depuis lors, je lui aurai fait toutes ses campagnes électorales, tractages, affichages, campagnes téléphoniques, animation des meetings, etc.…
Comme témoignage de ma reconnaissance.
Le « Cousin Jean » aura pris les rênes de
Paris en 1995, à quelques jours du décès de son propre père, succédant au
premier maire de capitale, le RPR « Jacquou-le-Chi » le jour où ce
dernier a été élu président de la République.
Son mentor, dont il avait été le premier adjoint pendant plus de dix ans. Et qu’il a accueilli en qualité de tête de listes dans le Vème lourdement cadenassé façon électeurs-corsi, par le « Cousin » pour éviter « au Chi » de risquer un échec face à d’Ornano, parachuté là par « Giscard-A-la-Barre » depuis son fief de Deauville.
Dans la réalité, c’est à mon père que ces deux-là doivent d’avoir pris les bons tournants offerts par leurs destins respectifs.
Le RPR ne s’appelait pas comme ça, mais au décès de « Pompon-Pie-doux », « Le gagneur » de Bordeaux, « JCD », s’était lancé dans la course à l’Élysée, général de la Résistance, il représentait le courant des « historiques » qui avaient déjà mordu la poussière avec l’élection du président décédé, gaulliste certes, mais « administrateur » plus que résistant…
Il n’avait pas vu que l’ère de la Résistance s’était éteinte et « le Cousin Jean » débarque dans le salon de mon papa : Son dilemme est simple.
Il est l’héritier de Capitant, gaulliste de gôche, député du Vème, pour avoir été son étudiant, son secrétaire et gratte-papier, puis son suppléant, à qui il n’a pas rendu son siège quand Capitant aura abandonné son portefeuille de « Garde des sots » pour raison de santé.
Le choix a été vite fait par mon père, pro-actif giscardien. Mon « Papa-à-moâ » a roulé pour le « Chi » et le « Chi » aura emmené avec lui « VGE » à l’Élysée !
Aussi simple que ça.
Et alors, le « Cousin Jean » aura atteint
son apogée ministériel avec un maroquin de sous-secrétaire d’État aux
industries alimentaires où on l’aura baladé avec des salades de « sachants »
avant qu’il ne retourne s’occuper exclusivement de sa circonscription.
Qu’il labourait dans tous les sens. Et quand ce n’était pas lui, c’était « Xav’ » et Anne-Marie, l’adjointe de ces deux-là.
Conseiller municipal de la capitale dès 1965, député de Paris pendant plus de quatre décennies, de 1968 à 2012, maire du Vème arrondissement durant 25 ans, de 1983 à 1995, puis de 2001 à 2014, ses concurrents ne pouvaient rien y faire…
« Il connaissait les habitants, les commerçants, les rues et les quartiers » reconnaîtra « Sœur-Âne ».
Il savait surtout tout des listes électorales bureau de vote par bureau de vote : Un travail en profondeur de longue haleine, irréalisable par ses opposants.
Et parce qu’il aura emmené le « Chi » à la
tête de la mairie centrale – qui sera un tremplin pour son « boulot de
dans 2 ans » –, dès qu’il a évincé « Jack-All-good » qui
héritera du portefeuille de la « Garde des-sots » au lieu de l’Hôtel
de Ville, tout le monde se sera acharné contre lui, son épouse, ses enfants…
Ça commence avec une première procédure judiciaire sur son rôle en tant que président de l’Office public d’aménagement et de construction (OPAC) des HLM de « Paris-sur-la-Seine » dans le contournement des procédures légales d’appel d'offres des marchés des HLM parisiens, suspecté de financement occulte du RPR.
Sauf que l’affaire n’est pas celle de « Pasquale » (l’autre « cousin ») des Hauts-de-la-Seine avec ses lycées… à « l’Opaque », le président préside, mais il n’est au courant de rien des arrangements de bas-étage.
Flop !
Le « cousin Jean » était un « politique » qui sent le terrain, mais il n’a jamais mis un centime dans sa poche qui n’était pas le sien : Un honnête comme on n’en fait plus depuis quelques années…
Alors on s’attaque à ses proches : Ses gamins
sont accusés d’occuper des locaux « luxueux » de la ville de Paris
alors qu’ils étaient propriétaires de logement dans l’arrondissement…
Ce qui est tordre la réalité. L’appartement de la rue Lagarde, c’est une acquisition en remploi d’héritage. Quand le couple a déménagé Place du Panthéon (un autre héritage) ils l’ont loué pour payer l’emprunt du nouvel appartement.
Et puis le « Belle Hélène » l’aura reçu en donation quand le locataire est parti, ce qui a demandé du temps alors qu’elle était sur les listes d’attente des HLM…
Quant à « Domino », il aura hérité, dans l’attente, de l’appartement du directeur de la RVIP, installé sur les toits, sans ascenseur, que celui-ci ne supportait plus : Le ronflement des extracteurs d’air l’empêchait de dormir…
« Domino » aussi.
Mal commode, un local dont personne ne voulait, et contrairement à ce qu’en a raconté « la presse aux ordres », rénové à l’arrache avec des matériaux de récupération ou bas-de-gamme. Du comblanchien et non pas du marbre…
Des mensonges « bas-de-gamme », à la hauteur de ses critiques…
« Xav’ » aura été accusée d’avoir reçu des
fonds du Conseil général de l’Essonne pour un rapport sur la francophonie qu’elle
n’a pas écrit (pour être bourré de fautes d’orthographe elle qui n’en faisait
pas) : Un vrai piège à kon, qui aura été remboursé, fomenté par un « ami-politique »
qui visait le « cousin Jean », par ricochet (Ils étaient mariés
sous le régime de la communauté réduite aux acquêts)…
Un vrai piège, parce que ces sommes, le « Cousin Jean » ignorait qu’elles avaient été virées sur le compte de « Xav’ » qui était bien incapable d’expliquer d’où elles venaient, tel que, dans l’ignorance, elles n’avaient pas été déclarées et ont donc été redressées…
Mais le remboursement n’aura même pas pu être déduit de l’assiette imposable, parce que l’option offerts aux salariés de la déduction forfaitaire ne permet pas de déduire les frais réels !
Bref, baisé deux fois sur ce coup-là…
Le complot s’est ensuite épuisé pour rebondir sur des « notes
blanches » dont la justice ne comprenait pas comment elles avaient atterri
là.
Tout ça suite à des mélimélos de perquisitions qui n’ont pas été faites parce qu’on était tout de même chez Monsieur le Maire, le patron des flics dans la ville.
En revanche, il avait ainsi été condamné en 2013 en
appel, comme en première instance, à dix mois de prison avec sursis, 10.000
euros d’amende (non déductibles) et trois ans d’inéligibilité pour l’inscription
de faux électeurs sur les listes de sa mairie du Vème arrondissement
en vue des élections municipales de 1995 et législatives de 1997.
Je sais, j’en étais, mais avant. Après j’ai été radié alors que j’habitais encore dans l’arrondissement, mais à une autre adresse. Et je tractais sur les marchés du coin, en passant mes soirées soit à la mairie soit chez moi à téléphoner aux électeurs pour leur rappeler à leur devoir… sans pouvoir moâ-même voter : La rage !
Et on remontait leurs doléances à son épouse, décrite comme « omniprésente » à la mairie, condamnée à neuf mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende (non déductibles), dans la même affaire, ou à Anne-Marie… elle-même condamnée.
Un honnête avec l’argent du contribuable, mais un « magouilleur corse » pour l’affaire des élections, alors qu’il n'en avait pas forcément besoin, puisque ça aurait joué que pour une ou deux centaines de voix sur plusieurs milliers, mais c’est de l’atavisme Corsu, comme il se doit partout en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » : C’est une seconde nature !
Si Jean est « mon cousin », c’est à la mode Corse : Par son mariage avec la fille du pâtissier, celui au coin du cours Paoli et de la rue Xavier Luciani, arrêt obligatoire quand on descendait au village, où qu’on y montait, parce que son père était un cousin germain de mon grand-père…
Rencontre d’une jeune fille aux lourds cheveux bruns, à la bouche gourmande et au globe des yeux un peu rond, façon Marion Cotillard, à mille lieues de l’image qui lui a collé à la peau par la suite et lui jeune étudiant en droit à la Sorbonne qui aura commencé sa carrière dans le sillage de son prof de droit préféré, René Capitant.
« On s’est mariés sans aucun sou, sans nuage, et cela dure depuis (…) » les années 50. La vie de bohème…
Mais une longévité qui force le respect.
Non mais allo quoi : Je me marre … Elle n’a honte de rien et je ne me souviens pas qu’on en ait fait autant pour « le Chi »…
N’en jetez plus…
Alors que…
Mais bon, qu’il repose donc en paix…
« Son souci constant de préserver la beauté de Paris ou encore le lancement du premier plan vélo, resteront un héritage précieux pour tous les Parisiens ».
Tu parles d’un propos profondément comique.
Il a surtout fait ce qu’il a pu.
En revanche, pour rendre service, il a toujours été présent.
Sacrée funeste famille que la mienne : La place disponible, elle se l’était réservée… à elle toute seule entourée de ses ancêtres qui sont aussi les miens !
Ça aurait pu lui manquer dès de son vivant, là dites-donc !
Depuis lors, je lui aurai fait toutes ses campagnes électorales, tractages, affichages, campagnes téléphoniques, animation des meetings, etc.…
Comme témoignage de ma reconnaissance.
Son mentor, dont il avait été le premier adjoint pendant plus de dix ans. Et qu’il a accueilli en qualité de tête de listes dans le Vème lourdement cadenassé façon électeurs-corsi, par le « Cousin » pour éviter « au Chi » de risquer un échec face à d’Ornano, parachuté là par « Giscard-A-la-Barre » depuis son fief de Deauville.
Dans la réalité, c’est à mon père que ces deux-là doivent d’avoir pris les bons tournants offerts par leurs destins respectifs.
Le RPR ne s’appelait pas comme ça, mais au décès de « Pompon-Pie-doux », « Le gagneur » de Bordeaux, « JCD », s’était lancé dans la course à l’Élysée, général de la Résistance, il représentait le courant des « historiques » qui avaient déjà mordu la poussière avec l’élection du président décédé, gaulliste certes, mais « administrateur » plus que résistant…
Il n’avait pas vu que l’ère de la Résistance s’était éteinte et « le Cousin Jean » débarque dans le salon de mon papa : Son dilemme est simple.
Il est l’héritier de Capitant, gaulliste de gôche, député du Vème, pour avoir été son étudiant, son secrétaire et gratte-papier, puis son suppléant, à qui il n’a pas rendu son siège quand Capitant aura abandonné son portefeuille de « Garde des sots » pour raison de santé.
Le choix a été vite fait par mon père, pro-actif giscardien. Mon « Papa-à-moâ » a roulé pour le « Chi » et le « Chi » aura emmené avec lui « VGE » à l’Élysée !
Aussi simple que ça.
Qu’il labourait dans tous les sens. Et quand ce n’était pas lui, c’était « Xav’ » et Anne-Marie, l’adjointe de ces deux-là.
Conseiller municipal de la capitale dès 1965, député de Paris pendant plus de quatre décennies, de 1968 à 2012, maire du Vème arrondissement durant 25 ans, de 1983 à 1995, puis de 2001 à 2014, ses concurrents ne pouvaient rien y faire…
« Il connaissait les habitants, les commerçants, les rues et les quartiers » reconnaîtra « Sœur-Âne ».
Il savait surtout tout des listes électorales bureau de vote par bureau de vote : Un travail en profondeur de longue haleine, irréalisable par ses opposants.
Ça commence avec une première procédure judiciaire sur son rôle en tant que président de l’Office public d’aménagement et de construction (OPAC) des HLM de « Paris-sur-la-Seine » dans le contournement des procédures légales d’appel d'offres des marchés des HLM parisiens, suspecté de financement occulte du RPR.
Sauf que l’affaire n’est pas celle de « Pasquale » (l’autre « cousin ») des Hauts-de-la-Seine avec ses lycées… à « l’Opaque », le président préside, mais il n’est au courant de rien des arrangements de bas-étage.
Flop !
Le « cousin Jean » était un « politique » qui sent le terrain, mais il n’a jamais mis un centime dans sa poche qui n’était pas le sien : Un honnête comme on n’en fait plus depuis quelques années…
Ce qui est tordre la réalité. L’appartement de la rue Lagarde, c’est une acquisition en remploi d’héritage. Quand le couple a déménagé Place du Panthéon (un autre héritage) ils l’ont loué pour payer l’emprunt du nouvel appartement.
Et puis le « Belle Hélène » l’aura reçu en donation quand le locataire est parti, ce qui a demandé du temps alors qu’elle était sur les listes d’attente des HLM…
Quant à « Domino », il aura hérité, dans l’attente, de l’appartement du directeur de la RVIP, installé sur les toits, sans ascenseur, que celui-ci ne supportait plus : Le ronflement des extracteurs d’air l’empêchait de dormir…
« Domino » aussi.
Mal commode, un local dont personne ne voulait, et contrairement à ce qu’en a raconté « la presse aux ordres », rénové à l’arrache avec des matériaux de récupération ou bas-de-gamme. Du comblanchien et non pas du marbre…
Des mensonges « bas-de-gamme », à la hauteur de ses critiques…
Un vrai piège, parce que ces sommes, le « Cousin Jean » ignorait qu’elles avaient été virées sur le compte de « Xav’ » qui était bien incapable d’expliquer d’où elles venaient, tel que, dans l’ignorance, elles n’avaient pas été déclarées et ont donc été redressées…
Mais le remboursement n’aura même pas pu être déduit de l’assiette imposable, parce que l’option offerts aux salariés de la déduction forfaitaire ne permet pas de déduire les frais réels !
Bref, baisé deux fois sur ce coup-là…
Tout ça suite à des mélimélos de perquisitions qui n’ont pas été faites parce qu’on était tout de même chez Monsieur le Maire, le patron des flics dans la ville.
Je sais, j’en étais, mais avant. Après j’ai été radié alors que j’habitais encore dans l’arrondissement, mais à une autre adresse. Et je tractais sur les marchés du coin, en passant mes soirées soit à la mairie soit chez moi à téléphoner aux électeurs pour leur rappeler à leur devoir… sans pouvoir moâ-même voter : La rage !
Et on remontait leurs doléances à son épouse, décrite comme « omniprésente » à la mairie, condamnée à neuf mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende (non déductibles), dans la même affaire, ou à Anne-Marie… elle-même condamnée.
Un honnête avec l’argent du contribuable, mais un « magouilleur corse » pour l’affaire des élections, alors qu’il n'en avait pas forcément besoin, puisque ça aurait joué que pour une ou deux centaines de voix sur plusieurs milliers, mais c’est de l’atavisme Corsu, comme il se doit partout en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » : C’est une seconde nature !
Déjà entamée sous le règne du « Chi ».
La ville lui doit pourtant la réalisation de la Coulée verte, la promenade plantée de Bastille à Vincennes, la mise en place des « axes-rouges », l’interdiction des camions de plus de 10 m² de surface au sol (qui a failli affamer la capitale, alors que les plateaux des garagistes et les citernes de pétrole pouvaient circuler librement…), la passerelle Solférino et la création des parcs André-Citroën et de Bercy, « qui font aujourd’hui partie du patrimoine des Parisiennes et des Parisiens », selon la maire « Soce ».
Rien sur son action permanente pour les écoles, les crèches, la création de parkings accessibles et souterrains pour dynamiser les commerces et fluidifier les accès en surface.
Depuis l’arrivée des « soce-écololos » à l’Hôtel de ville, le « petit commerce » se meurt et les grands fauves du « Caca40 », transforment la ville en vaste barnum et centres commerciaux du luxe pour touristes uniquement !
Même la rue Soufflot voit disparaître sa pharmacie, ses éditions et librairies juridiques, au profit de boutique de fringues de marques et ses gargotes de la place Edmond Rostand ont laissé la place à des enseignes de malbouffe…
« À sa façon », a aussi salué, sur « Xxxl » de « Must » le candidat à l’investiture « soce » pour les municipales de 2026 « Manu-Greg », cette « figure singulière de la droite et de notre vie politique » qui aura « marqué l’histoire de notre capitale ».
Son rival et néanmoins collègue « DoRéMi-Frérot », pas moins faux-cul, a salué via le même canal de l’ex-patron de DOGE, la mémoire d’un « ancien maire fidèle à Paris et au Vème arrondissement ».
Pourtant, le début de mandat avait été marqué par la chute des droits de mutation en raison de la crise immobilière du moment et le recours à l’emprunt.
Le taux d’exécution du budget 1996 n’avait ainsi pas dépassé 60 % des crédits votés alors que le budget social, particulièrement élevé à « Paris-sur-la-plage », augmentait de 3 % chaque année au détriment de l’investissement.
Cependant, grâce notamment à la reprise de l’immobilier pour avoir rendu la ville un peu plus attractive, le taux d’endettement par habitant atteignait son plus bas niveau mesuré en 2000.
Converti par ailleurs à un urbanisme « à visage humain », de nombreux lieux de conflits débutés sous la mandature précédente s’apaiseront à la suite de la modification par Tiberi de nombreux projets comme la ZAC Maillot, la ZAC Moskova, la réhabilitation du Bas-Belleville et des Amandiers, la rénovation du faubourg Saint-Antoine ou la ZAC Pajol.
Mais aussi le lancement en 1996 d’un plan Vélo et la création d’un réseau de pistes cyclables visant à favoriser la circulation cycliste à « Paris-sur-berges ».
Également l’inauguration de la passerelle de Solférino, on l’a déjà mentionné, reliant la rue de Solférino au jardin des Tuileries, le lancement des études préliminaires pour un projet de tramway à la périphérie de la capitale, dont l’idée sera reprise et fortement modifiée pour devenir le tramway des Maréchaux à coups de millions d’euros et d’encombrements supplémentaires invraisemblables aux portes de la Ville.
Du coup tout le monde tourne sur le périphérique qui ne roule plus maintenant qu’à 50 km/h : Sympa pour une autoroute deux fois 3 voies…
On lui doit l’ouverture des voies sur berge le dimanche aux piétons (maintenant, c’est tout le temps… reportant la circulation au-dessus à tel point que les 4 premiers arrondissements sont désormais interdits aux véhicules non-autorisés), l’adaptation des schémas directeurs et prise en compte accrue des maires d’arrondissements et des habitants dans les projets d'aménagements des ZAC Rive Gauche, Pajol et Maillot (on l’a dit), alors que désormais, tout est décidé par la mairie centrale, jusqu’au budget « Papier-chiotte » des mairies d’arrondissement…
La meute des socio-traitres était lancée et aura eu sa peau en sacrifiant la capitale à la « gôche-soce ».
Et vous vouliez en plus que je garde une carte du RPR ?
Non mais n’importe quoi, là…
Je ne pourrai pas y être, mais mes pensées vont à sa famille…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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