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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 23 mai 2025

Pour Jean-Marc…

Il existe seulement deux types femmes !
 
« Ah bon ? » s’exclame Jean-Paul…
« — Et lesquelles ?
— Celles qui croient encore au grand amour qu’elles vont croiser au coin de la rue, à une garden-party ou au cinéma, et celles qui ont déjà acheté un chat ! »
 
Et d’ailleurs, il se révolte aussi contre ses maîtresses :
« — Putain, je suis mignon, cultivé, drôle, câlin, sportif, je gagne bien ma vie, je tiens correctement ma maison, je m’occupe de mes enfants aussi bien qu’une maman, et honore leur mère tous les jours, je me démerde bien en cuisine et les meufs ne retiennent qu’une seule chose !
— Quoi ? » questionne Jean-Paul…
« — Que j’ai une grosse bite ! Non mais franchement, c’est frustrant !
— … ah oui ! Je compatis mon pauvre Jean-Marc, crois-moi… »
 
Jean-Paul à son copain Jean-Marc :
« — Tu sais quoi…
— Non !
— Hier soir j’ai bu avec excès…
— C’est qui celui-là ?
— Bah, peu importe : Mais il est vachement plus rigolo quavec modération !
— … » 
 
Plus tard :
« — Finalement, toutes les femmes ont un point G…
— Probablement…
— La mienne c’est G la migraine, G sommeil, G mal au ventre, G pas envie, G mes règles, G mal au nez qui me gratte… »
 
Les mêmes :
« Finalement, le mec idéal, selon les femmes, cest un voyou mais aussi un gentlemen,
Il est franc mais subtil,
Dur mais résistant,
Mystérieux mais drôle…
Oui, probablement…
Le prince charmant est donc un psychopathe bipolaire, rien de plus ! »
 
Marie-Chantal, avec Germaine, au salon de thé post-méridien du quartier :
« — Y’a des mecs, au début, tu ne les trouves pas très drôle…
— Et pas très beau non plus…
— Tu as raison. Et puis tu apprends à les connaître et là tu te rends compte qu’en plus ils sont réellement cons !
— Ne m’en parle pas ! »
 
Jean-Paul, devant une bière en compagnie de Jean-Marc
« — Tu vois, moi je suis écologiste sans le savoir !
— Ah bon ? C’est nouveau ça…
— Bé oui Justement ! On croit qu’il faut être végétarien pour le bien-être de la planète…
Mais pas du tout. Parce que pendant que les écologistes mangent de l’herbe qui fabrique notre oxygène, moi je sauve le monde en mangeant des vaches qui pètent du méthane ! »
 
À l’horizon d’une bière post-méridienne, les deux mêmes :
« — Tu te rends compte que ça doit être drôlement flippant quand on est aveugle…
— … Oui, sans doute…
— Surtout quand tu lis une pancarte sur laquelle est écrit en braille « Ne pas toucher »  ! »
 
Germaine en fin de soirée en boîte de nuit :
« — On finit la soirée chez toi ?
— Si tu veux…
— Chez moi, il y a mon mari…
— Mais arrête de boire : Je suis ton mari ! » intervient Jean-Marc
 
Jean-Paul à Jean-Marc, le lendemain :
« — On dit que boire du lait rend plus fort…
— Ah ?
— Oui eh bien, essaye de boire 5 verres de lait et de déplacer le mur… Tu n’y arriveras pas.
— Je te crois !
— En revanche, tu essayes avec 5 verres de vodka et le mur bouge tout seul ! »
 
Germaine et Marie-Chantal :
« — Je ne comprends pas…
— Quoi donc ?
— Pourquoi quand une femme drague un mec dans la rue, celui-ci ne répond jamais, « je ne suis pas intéressé, j’ai déjà une chérie qui m’attend à la maison »… ?
— Bé, euh…
— Si dans la rue on te propose de l’argent, tu ne vas pas répondre « non, non, merci, je ne suis pas intéressée, j’ai déjà touché mon salaire », tout de même… »
 
Jean-Paul vante sa nouvelle montre à Jean-Marc :
« — … Et elle est étanche jusqu’à 200 mètres de profondeur…
— Ah oui intéressant, ça !
— Bé oui…
— Parce que tu descends souvent à 200 mètres de profondeur pour donner l’heure aux sardines que tu croises, toi ? »
 
Germaine se plaint auprès de Marie-Chantal…
« — Je n’en peux plus ! Il ne descend du canapé que pour bouffer, chier ou faire une connerie…
— Ta mère t’avait prévenue…
— De quoi ?
— Elle t’avait dit de ne pas l’épouser !
— Mais je ne te parle pas de Jean-Marc ! Je te parle du chat ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, en fin de journée :
« Bé tu vois, question sport, j’ai essayé le foot,
J’ai essayé le rugby,
J’ai essayé le basket,
Mais finalement, le seul ballon avec lequel je me suis vraiment à l’aise…
C’est un ballon de rouge ! »
 
Proposition saugrenue de Jean-Marc à Germaine :
« — Je viens de lire que la tendance actuelle est de se filmer pendant les ébats amoureux…
Ça te dit ?
— Oh tu sais, moi et les courts-métrages… »
 
Marie-Chantal arrive furieuse au salon de thé où l’attend Germaine.
« — Mon Dieu ! En voiture, avant d’arriver, un horrible personnage m’a crié dessus d’aller me faire enculer !
— Oh ??? Tu ne t’es pas laissé faire j’espère !
— Et tiens donc ! Je lui ai répondu : « Et les préliminaires alors ? »
Il en est resté tout con ! »
 
« — Tu sais, un homme bon, ce n’est pas facile à trouver, de nos jours…
En plus il faut le voler à une femme négligente qui n’apprécie pas ce qu’elle a !
— Donc tu cherches la femme ? »
 
« — Tu te rends compte que les méduses ont survécu durant 650 millions d’année sans avoir eu besoin d’un cerveau ?
— Ah bé voilà qui va en rassurer quelques-uns ! »
 
Jean-Paul baratinant une donzelle :
« — … Et le génie m’a demandé si je préférais une bonne mémoire ou un grand pénis !
— Et alors, quel a été ton choix ?
— Je ne m’en souviens plus ! »
 
Marie-Chantal, en « experte », à Germaine…
« — Finalement, 7 centimètres, c’est insuffisant : C’est tout juste si on peut le tenir.
9 centimètres, je n’ai jamais été déçu, mais ça laisse un peu sur sa faim.
12 centimètres, là encore, j’ai vu plus gros !
13 centimètres, ça commence à être bon, mais on en redemande souvent encore un peu.
16 centimètres, finalement c’est la taille parfaite !
Mais 17 centimètres, j’adore…
20 centimètres, c’est trop : Souvent je ne peux pas tout prendre.
À 22 centimètres, ça commence à être douloureux mais ça reste gérable.
En revanche, à 25 centimètres, c’est trop de pression sur l’estomac…
— Je te comprends… 16 centimètres c’est suffisamment copieux pour un sandwich ! »
 
Jean-Marc, à Jean-Paul…
« — Les vieux, ça aura toujours un avantage indéniable sur les jeunes…
— Ah oui ? Lequel ?
— Bé un vieux, il est certain d’avoir été jeune. Alors qu’un jeune n’est jamais certain de devenir vieux un jour ou l’autre… »
 
 Les mêmes, un peu plus tard et devant une nouvelle bière :
« — Peux-tu me citer deux noms de monnaies étrangères ?
— Bien sûr ! Disons le Dollar et le Rouble…
— Et deux moyens contraceptifs ?
— Bé euh… La pilule et le préservatif !
— Très bien… Et peux-tu me citer deux fleuves islandais ?
— Euh, alors là, mon vieux… je ne sais pas !
— C’est bien ce que je pensais…
— Quoi ?
— Bé à part le fric et le sexe, tu ne t’intéresses vraiment à rien ! »
 
Jean-Marc, chez sa maîtresse du moment après avoir tenté de défoncer le lit :
« — Chérie, je peux te demander un truc ?
— Bien sûr mon cœur !
— Promis, tu ne t’énerves pas ?
— Promis, juré !
— Euh… C’est quoi ton prénom, déjà ? »
 
Jean-Marc à son neveu, avachi dans le canapé devant la télé :
« — Tu pourrais au moins regarder des films américains en version originale sous-titrée. Au moins ça devrait te familiariser avec l’anglais pour ton entrée au collège.
— Non mais tu débarques, Tonton !
— Pardon ?
— Parce que tu crois encore qu’on nous a appris à lire en primaire, toi ? »
 
Le même Jean-Marc, dans les bras d’une autre maîtresse d’un jour :
« — Tu sais que tu es drôlement mignonne, sans lunettes !
— Mais je n’en porte jamais…
— Moi, si ! »
 
Le même, insatiable, faisant une proposition malhonnête à Marie-Caroline :
« — On pourrait coucher ensemble…
— Oh non ! Tu sais, je suis flattée que tu aies enfin pensé à moi après tant d’années. Mais j’aurai trop peur peur de briser notre amitié !
— Alors c’est vrai ce qu’on dit de toi ?
— On dit quoi, de moi ?
— Que tu es si mauvaise que ça au plumard… »
 
Jean-Paul, un soir avec Jean-Marc :
« — Je me disais, l’autre jour en écoutant parler mon chef, que c’était drôlement profond le canal auditif…
— Ah bon ? Pourquoi ? Les propos de ton chef se sont perdus avant d’atteindre ton cerveau ?
— Non pas du tout… Mais tout de même, pour que celui qui te casse les oreilles puisse irrémédiablement te casser les couilles, c’est fabuleux ! »
 
Les mêmes :
« — À ton avis, est-ce que les gens qui pilotent des véhicules électriques écoutent Charles Trenet à la radio, ou quelque chose de plus… courant ? »
 
« — Oui, c’est comme ranger, au fond…
— Oui, quoi ?
— Finalement ça revient à foutre le bordel dans son désordre, tu ne crois pas ? »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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