Toutefois il en est d’autres…
Ainsi, un conflit nucléaire pourrait survenir là où on
ne l’attend pas : Et ce n’est pas en mer de Chine ni autour de la péninsule
Koréenne qu’il pourrait éclater.
Mais entre l’Inde et le Pakistan.
Et pour quelles raisons ces deux-là sont désormais à s’étriper ?
Il y a bien sûr leur sempiternel contentieux autour du Cachemire, des ethnies qui ne peuvent pas se piffer et évitent de se mélanger, en plus de leurs différences religieuses, un peu comme dans le temps entre Irlandais, ou actuellement sur les rives de la méditerranée, là où « Trompe » veut tout raser et faire une vaste station balnéaire…
Or, là, il s’agit de deux puissances nucléaires
officielles et reconnues. Et si on lève un peu son nez du quotidien, on se rend
compte qu’un conflit autour du sous-continent indien, pourrait finalement couper
la Chine de la mer d’Oman… En tout cas représenter une difficulté à contourner.
Et justement à forcer Pékin à s’entendre encore mieux avec la Russie de « Poux-tine ».
Ou pour ceux qui ne souhaitent pas voir la Chine se développer, finalement cette guerre à cet endroit du globe ne serait pas si inintéressante que ça.
On le voit, on joue avec le feu sur ce coup-là !
Il apparaît évident que les semeurs de terreurs conservent directement ou par leurs agents, leurs guerriers par procuration, leurs « terroristes » apointés un grand pouvoir de nocivité et ce qui se passe entre le Pakistan et l’Inde est finalement extrêmement dangereux et particulièrement trouble.
Récemment, les tensions entre ces deux puissances
nucléaires régionales qui duraient depuis près d’une semaine, ont dégénéré en
violents combats entre les forces armées des deux pays le long de la ligne de
démarcation dans la région contestée du Cachemire.
Et leurs responsables politiques ont commencé à évoquer sérieusement la possibilité d’une guerre nucléaire.
Ainsi, le ministre pakistanais de la Défense, Khavja Asif, a déclaré que son pays n’avait pas l’intention de déclencher la guerre, mais que « si l’autre partie prenait des mesures, la réponse serait proportionnée ».
On commence comme ça, et puis c’est l’escalade…
Or, l’escalade de ce conflit de longue date a été
provoquée le 22 avril par un attentat terroriste dans la ville de Pahalgam,
dans la région de Jammu-et-Cachemire.
Au moins 26 personnes ont été tuées, dont 25 citoyens indiens.
La responsabilité de cet attentat a été revendiquée par le groupe afghan « Front de résistance », qui n’est pas interdit en Russie (tiens donc !), mais considéré comme terroriste tant en Inde qu’au Pakistan.
Ces terroristes Afghans n’ont pas communiqué l’objectif de leur action. On ne sait pas de quoi ils se mêlent sauf à mettre en difficulté, peut-être pour le compte de leur parrain russe, le régime de leur voisin Pakistanais où grenouillent toujours quelques-uns de leurs fidèles Talibans toujours agités du bocal…
Du coup, les autorités indiennes ont néanmoins accusé
le Pakistan de complicité dans cet attentat et ont fermé les quatre écluses de
la rivière Indus qui régulent le débit d’eau vers le Pakistan. Islamabad a
réagi en fermant son espace aérien aux avions des compagnies indiennes et en
suspendant tout commerce.
New Delhi et Islamabad ont ensuite ordonné aux citoyens de l’autre camp de quitter leur territoire dans les 48 heures.
La tension monte : Sans l’eau l’Indus qui traverse le pays du Nord au Sud, le Pakistan va redevenir un désert…
On peut se poser la question de savoir qui est
derrière cette provocation qui a conduit à l’escalade du conflit, à qui profite
ce nouveau bras de fer entre l’Inde et le Pakistan ?
Première question, pourquoi l’Inde a-t-elle considéré l’attentat terroriste de Pahalgam comme l’œuvre du Pakistan, alors que la responsabilité a été revendiquée par un groupe afghan ?
C’est probablement un réflexe classique. Les militants du « Front de résistance », comme certains autres radicaux, se cachent sur le territoire pakistanais.
Le Pakistan, en tant qu’État, n’est pas impliqué dans ces groupes, même s’il a pu flirter avec certains d’entre eux avant le 11 septembre 2001.
Mais après les événements de New York, son attitude a largement changé.
Les autorités pakistanaises tentent au contraire de les combattre avec un succès mitigé, mais elles ne peuvent pas tout faire.
Le Cachemire est une région très accidentée : Montagnes, gorges, forêts dans les moyennes montagnes. Et pour ces « combattants », c’est comme en « Corsica-Bella-Tchi-tchi », ils connaissent tous leurs chemins & sentiers et s’y déplacent assez librement, tandis que les forces de sécurité ne parviennent pas à les traquer.
Est-ce suffisant pour déclencher une « guerre
totale » ? Probablement que non, notamment parce qu’il s’agit justement
de puissances nucléaires. Les armes nucléaires restent pour l’instant des armes
de dissuasion.
Et dans la doctrine indienne, le recours à l’arme nucléaire en premier est exclu, tandis que le Pakistan n’envisage son utilisation qu’en cas de menace pour l’existence même de l’État.
On ne connaît pas les chiffres exacts du rapport de force et du nombre d’ogives disponibles qui sont probablement à peu près égales. Mais en termes de moyens de livraison, l’Inde surpasse sans aucun doute son adversaire potentiel, et sa riposte contre le Pakistan serait dévastatrice.
Le Pakistan cesserait tout simplement d’exister.
Ce qui d’ailleurs a poussé le Pakistan à réaliser le week-end dernier un tir de missile balistique pour rappeler que le pays reste avoir encore quelques moyens…
À qui serait profitable une escalade du conflit
puisque sur le papier l’Inde domine le Pakistan qui ne l’ignore probablement
pas, dépendant notamment de l’Indus pour son eau potable ?
Il existe trois versions, toute à la limite de la conspiration. La première : À la suite de l’attentat, l’Inde a annulé l’accord sur le partage des eaux. Cette décision était préparée depuis longtemps, l’Inde prévoyait de détourner une partie des eaux du cours supérieur de l’Indus pour ses propres besoins – hydrotechniques, d’irrigation et de production d’électricité.
Mais pour cela, il fallait violer le traité, et voilà qu’une occasion propice s’est présentée pour l’annuler.
La deuxième option peut être liée à la logique même du
terrorisme : L’objectif était peut-être de susciter le mécontentement à
l’égard des actions de l’Inde au Cachemire et de provoquer une révolte.
D’autant plus qu’au Cachemire, beaucoup sont effectivement mécontents de la décision de 2019 de diviser l’État en deux territoires.
Enfin il existe également une troisième version qui n’est pas liée à ces deux pays, mais à la Chine.
Il pourrait être très avantageux pour certains
d’impliquer l’Inde dans un conflit à grande échelle avec le Pakistan, car le
Pakistan offre le chemin le plus court entre la mer d’Oman et la Chine.
Ce corridor permet à la Chine d’accéder aux pays pétroliers du Moyen-Orient. Si des hostilités à grande échelle éclatent entre l’Inde et le Pakistan, la circulation dans le corridor économique sino-pakistanais deviendra impossible.
Sur la route pakistanaise circule des marchandises et des oléagineux. Si elle est fermée, le pétrole devra être transporté par voie maritime via le détroit de Malacca.
Or, d’une part, cela prend beaucoup de temps et, d’autre part, cela passe par Singapour, où sont présents en permanence des navires militaires « ricains ».
Et il ne leur serait pas très difficile de bloquer le détroit de Malacca pour empêcher le passage des navires chinois.
D’où l’intérêt de la Chine pour des voies alternatives d’approvisionnement en énergie via la Russie.
C’est pourquoi, pour ceux qui ne souhaitent pas voir la Chine indépendante et capable d’agir, une guerre indo-pakistanaise serait finalement intéressante.
À la fois pour les « ricains » et les consortiums anglo-saxons, quoiqu’avec « Trompe » aux leviers de commandes, ils sont aussi capables de se tirer des rafales de kalachnikov dans les pieds, mais tout autant pour « Poux-tine » qui redevient indispensable pour garantir la libre circulation sur les « nouvelles routes de la soie ».
Car la question du Cachemire existe depuis 78 ans et
elle est évaluée différemment par les deux pays en termes de solutions
négociées. Le Pakistan souhaiterait le résoudre dans des enceintes
internationales, en s’appuyant sur les résolutions de l’ONU et en faisant appel
à des médiateurs étrangers en tant que tierces parties.
Alors que les dirigeants indiens estiment quant à eux qu’il s’agit d’une question exclusivement bilatérale et que personne d’autre ne devrait participer à sa résolution.
C’est pourquoi, lorsque les deux pays ont adhéré à l’OCS commune, il a été convenu que les membres de l’organisation ne porteraient pas les différends entre l’Inde et le Pakistan sur la table des discussions… communes.
Mais bien sûr, la Russie et la Chine pourraient jouer
le rôle de médiateurs, et l’OCS pourrait être le mécanisme de règlement le plus
logique, sauf que cela nécessite l’accord de l’Inde, qui n’est pas encore
visible pour l’instant.
Rappelons que le conflit s’est étendu depuis des années à certains États de l’Inde, en particulier le Jammu-et-Cachemire, où une partie importante de la population musulmane est influencée par les éléments les plus radicaux.
Le Pakistan a d’ailleurs joué un rôle direct dans cette situation. Mais pas seulement : Des représentants d’ISIS, interdit en Russie, et d’Al-Qaïda, également interdit en Russie, y étaient également actifs.
Aussi, l’escalade récente pourrait entraîner des
conséquences très graves, même s’il est difficile de dire jusqu’où cela ira. On
est possiblement en train de créer une nouvelle guerre dans laquelle les trois
grandes puissances contre lesquelles les mondialistes se battent actuellement –
la Chine, la Russie et les États-Unis « trompistes » – seront
immanquablement entraînées.
Les intérêts de ces pays et de l’Inde elle-même, qui est aussi une grande puissance, peuvent maintenant entrer dans un conflit à « haute intensité » comme on dit de nos jours pour désigner une guerre bien saignante.
Et cela, quatrième option (comme pour les trois mousquetaires), ressemble fort à une provocation « mondialiste », car l’Inde est orientée vers les États-Unis et vers « Trompe » personnellement.
Par ailleurs, la Chine, qui soutient le Pakistan, a de graves conflits avec l’Inde au Ladakh (régions montagneuses frontalières).
C’est pourquoi la Russie, qui est amie à la fois de l’Inde et de la Chine, tente depuis des années de promouvoir la paix entre ces États.
Par conséquent, sous toutes ces fausses bannières, dans
la situation émergente, tout le monde est impliqué dans un conflit les uns
contre les autres qui n’est pourtant pas le leur.
Ce conflit indo-pakistanais est finalement très particulier : Deux nations voisines qui n’ont pas à proprement parlé l’envie de se foutre sur la tronche, ont également des relations conflictuelles type « Chine-Inde », « Inde-Inde » et « Inde-Monde islamique » qui sont en place depuis longtemps sans avoir trouvé de solution.
Dans le même temps, ce qui s’y passe permet de détourner l’attention du monde de la Syrie, de la bande de Gaza et du Moyen-Orient en général, du Yémen et de ses soutiens iraniens.
Tout cela est peut-être finalement un moyen de creuser un fossé entre les principaux piliers du monde alternatif qui se construit autour des « BRICS & Brocs ».
La Russie de « Poux-tine » peut également
tirer la couverture à elle parce qu’elle a d’excellentes relations avec l’Inde
et la Chine et de bonnes relations avec le Pakistan. Et qu’elle est en
difficulté depuis trois ans, engagée dans un conflit de quelques jours qui n’en
finit pas et qu’elle ne peut pas gagner (ni probablement perdre non plus) que
son étoile se ternit pour une « opération spéciale » qui n’aura pas
été brillante.
Par conséquent, en utilisant ces bons rapports comme leviers, la diplomatie russe pourrait aujourd’hui résoudre activement un conflit « sous fausse-barbe » et en tirer une victoire d’estime à l’échelle de la planète en plus que d’éteindre une situation conflictuelle qui menace de s’envenimer.
En conclusion, il faut surveiller ce nouveau front de
tensions qui s’est remis à saigner et prendre feu. Et les « puissants »
qui tirent chacun les ficelles par en-dessous ou par derrière, s’en félicitent
tous, jusqu’à ce qu’ils s’en mordent les doigts à un moment ou un autre.
Ce monde est décidément malade, malade de ses propres folies impitoyables qui broient sans pitié les hommes qui tentent de survivre sur cette pov’-planète.
Quel sort désolant…
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Mais entre l’Inde et le Pakistan.
Et pour quelles raisons ces deux-là sont désormais à s’étriper ?
Il y a bien sûr leur sempiternel contentieux autour du Cachemire, des ethnies qui ne peuvent pas se piffer et évitent de se mélanger, en plus de leurs différences religieuses, un peu comme dans le temps entre Irlandais, ou actuellement sur les rives de la méditerranée, là où « Trompe » veut tout raser et faire une vaste station balnéaire…
Ou pour ceux qui ne souhaitent pas voir la Chine se développer, finalement cette guerre à cet endroit du globe ne serait pas si inintéressante que ça.
On le voit, on joue avec le feu sur ce coup-là !
Il apparaît évident que les semeurs de terreurs conservent directement ou par leurs agents, leurs guerriers par procuration, leurs « terroristes » apointés un grand pouvoir de nocivité et ce qui se passe entre le Pakistan et l’Inde est finalement extrêmement dangereux et particulièrement trouble.
Et leurs responsables politiques ont commencé à évoquer sérieusement la possibilité d’une guerre nucléaire.
Ainsi, le ministre pakistanais de la Défense, Khavja Asif, a déclaré que son pays n’avait pas l’intention de déclencher la guerre, mais que « si l’autre partie prenait des mesures, la réponse serait proportionnée ».
On commence comme ça, et puis c’est l’escalade…
Au moins 26 personnes ont été tuées, dont 25 citoyens indiens.
La responsabilité de cet attentat a été revendiquée par le groupe afghan « Front de résistance », qui n’est pas interdit en Russie (tiens donc !), mais considéré comme terroriste tant en Inde qu’au Pakistan.
Ces terroristes Afghans n’ont pas communiqué l’objectif de leur action. On ne sait pas de quoi ils se mêlent sauf à mettre en difficulté, peut-être pour le compte de leur parrain russe, le régime de leur voisin Pakistanais où grenouillent toujours quelques-uns de leurs fidèles Talibans toujours agités du bocal…
New Delhi et Islamabad ont ensuite ordonné aux citoyens de l’autre camp de quitter leur territoire dans les 48 heures.
La tension monte : Sans l’eau l’Indus qui traverse le pays du Nord au Sud, le Pakistan va redevenir un désert…
Première question, pourquoi l’Inde a-t-elle considéré l’attentat terroriste de Pahalgam comme l’œuvre du Pakistan, alors que la responsabilité a été revendiquée par un groupe afghan ?
C’est probablement un réflexe classique. Les militants du « Front de résistance », comme certains autres radicaux, se cachent sur le territoire pakistanais.
Le Pakistan, en tant qu’État, n’est pas impliqué dans ces groupes, même s’il a pu flirter avec certains d’entre eux avant le 11 septembre 2001.
Mais après les événements de New York, son attitude a largement changé.
Les autorités pakistanaises tentent au contraire de les combattre avec un succès mitigé, mais elles ne peuvent pas tout faire.
Le Cachemire est une région très accidentée : Montagnes, gorges, forêts dans les moyennes montagnes. Et pour ces « combattants », c’est comme en « Corsica-Bella-Tchi-tchi », ils connaissent tous leurs chemins & sentiers et s’y déplacent assez librement, tandis que les forces de sécurité ne parviennent pas à les traquer.
Et dans la doctrine indienne, le recours à l’arme nucléaire en premier est exclu, tandis que le Pakistan n’envisage son utilisation qu’en cas de menace pour l’existence même de l’État.
On ne connaît pas les chiffres exacts du rapport de force et du nombre d’ogives disponibles qui sont probablement à peu près égales. Mais en termes de moyens de livraison, l’Inde surpasse sans aucun doute son adversaire potentiel, et sa riposte contre le Pakistan serait dévastatrice.
Le Pakistan cesserait tout simplement d’exister.
Ce qui d’ailleurs a poussé le Pakistan à réaliser le week-end dernier un tir de missile balistique pour rappeler que le pays reste avoir encore quelques moyens…
Il existe trois versions, toute à la limite de la conspiration. La première : À la suite de l’attentat, l’Inde a annulé l’accord sur le partage des eaux. Cette décision était préparée depuis longtemps, l’Inde prévoyait de détourner une partie des eaux du cours supérieur de l’Indus pour ses propres besoins – hydrotechniques, d’irrigation et de production d’électricité.
Mais pour cela, il fallait violer le traité, et voilà qu’une occasion propice s’est présentée pour l’annuler.
D’autant plus qu’au Cachemire, beaucoup sont effectivement mécontents de la décision de 2019 de diviser l’État en deux territoires.
Enfin il existe également une troisième version qui n’est pas liée à ces deux pays, mais à la Chine.
Ce corridor permet à la Chine d’accéder aux pays pétroliers du Moyen-Orient. Si des hostilités à grande échelle éclatent entre l’Inde et le Pakistan, la circulation dans le corridor économique sino-pakistanais deviendra impossible.
Sur la route pakistanaise circule des marchandises et des oléagineux. Si elle est fermée, le pétrole devra être transporté par voie maritime via le détroit de Malacca.
Or, d’une part, cela prend beaucoup de temps et, d’autre part, cela passe par Singapour, où sont présents en permanence des navires militaires « ricains ».
Et il ne leur serait pas très difficile de bloquer le détroit de Malacca pour empêcher le passage des navires chinois.
D’où l’intérêt de la Chine pour des voies alternatives d’approvisionnement en énergie via la Russie.
C’est pourquoi, pour ceux qui ne souhaitent pas voir la Chine indépendante et capable d’agir, une guerre indo-pakistanaise serait finalement intéressante.
À la fois pour les « ricains » et les consortiums anglo-saxons, quoiqu’avec « Trompe » aux leviers de commandes, ils sont aussi capables de se tirer des rafales de kalachnikov dans les pieds, mais tout autant pour « Poux-tine » qui redevient indispensable pour garantir la libre circulation sur les « nouvelles routes de la soie ».
Alors que les dirigeants indiens estiment quant à eux qu’il s’agit d’une question exclusivement bilatérale et que personne d’autre ne devrait participer à sa résolution.
C’est pourquoi, lorsque les deux pays ont adhéré à l’OCS commune, il a été convenu que les membres de l’organisation ne porteraient pas les différends entre l’Inde et le Pakistan sur la table des discussions… communes.
Rappelons que le conflit s’est étendu depuis des années à certains États de l’Inde, en particulier le Jammu-et-Cachemire, où une partie importante de la population musulmane est influencée par les éléments les plus radicaux.
Le Pakistan a d’ailleurs joué un rôle direct dans cette situation. Mais pas seulement : Des représentants d’ISIS, interdit en Russie, et d’Al-Qaïda, également interdit en Russie, y étaient également actifs.
Les intérêts de ces pays et de l’Inde elle-même, qui est aussi une grande puissance, peuvent maintenant entrer dans un conflit à « haute intensité » comme on dit de nos jours pour désigner une guerre bien saignante.
Et cela, quatrième option (comme pour les trois mousquetaires), ressemble fort à une provocation « mondialiste », car l’Inde est orientée vers les États-Unis et vers « Trompe » personnellement.
Par ailleurs, la Chine, qui soutient le Pakistan, a de graves conflits avec l’Inde au Ladakh (régions montagneuses frontalières).
C’est pourquoi la Russie, qui est amie à la fois de l’Inde et de la Chine, tente depuis des années de promouvoir la paix entre ces États.
Ce conflit indo-pakistanais est finalement très particulier : Deux nations voisines qui n’ont pas à proprement parlé l’envie de se foutre sur la tronche, ont également des relations conflictuelles type « Chine-Inde », « Inde-Inde » et « Inde-Monde islamique » qui sont en place depuis longtemps sans avoir trouvé de solution.
Dans le même temps, ce qui s’y passe permet de détourner l’attention du monde de la Syrie, de la bande de Gaza et du Moyen-Orient en général, du Yémen et de ses soutiens iraniens.
Tout cela est peut-être finalement un moyen de creuser un fossé entre les principaux piliers du monde alternatif qui se construit autour des « BRICS & Brocs ».
Par conséquent, en utilisant ces bons rapports comme leviers, la diplomatie russe pourrait aujourd’hui résoudre activement un conflit « sous fausse-barbe » et en tirer une victoire d’estime à l’échelle de la planète en plus que d’éteindre une situation conflictuelle qui menace de s’envenimer.
Ce monde est décidément malade, malade de ses propres folies impitoyables qui broient sans pitié les hommes qui tentent de survivre sur cette pov’-planète.
Quel sort désolant…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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