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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 6 mai 2025

« Mâle-Hue-raie » récidive

Sous les ors des salons du Sénat cette fois-ci
 
Après avoir fait le tour des chaînes « ricaines » en mars dernier, le sénateur de l’Allier reprend ses attaques contre « Trompe » avec une nouvelle vidéo.
C’est bien vu, mais ça a moins de punch… Normal : Toujours pour les redites !
Toutefois, « J’y-vais-Danse » et « Roberto-Kennedy-second » y sont également ciblés après la première bordée qui s’en prenait à « Must » avec la même clarté d’esprit.
 
En tout cas ça vaut la peine d’être repris à un moment où, après les 100 jours de sidération, les esprits semblent enfin se réveiller, en mirant notamment et paris d’autres facaties, la mascarade de « Trompe » déguisé en Pape…
Ce gars-là est complètement mégalo à en devenir véritablement indigne, inconvenant de la fonction qu’il occupe.
C’est d’ailleurs ce qui m’étonne le plus : Il n’y a personne pour l’en avertir, tous étant subjugués par cette avalanche quotidienne de provocations et ce déferlement permanent de très mauvais goût…
Une bien piètre image de nos « amis ricains », qui est renvoyée : Dommage, n’est-ce pas, mais quelle leçon démocratique, finalement.
Et il s’agira non seulement de s’en souvenir, mais également d’en tirer les bonnes conclusions…
 
L’intervention du sénateur, fin mars, celle dans laquelle il dénonçait une administration « Trompe » devenue « la Cour de Néron » et comparait le milliardaire « Élan-Must » à « un bouffon sous kétamine », avait fait le tour des chaînes de télévision « ricaines » et au-delà.
Il a remis ça la semaine dernière dans une vidéo postée sur le site de son groupe parlementaire « Les Indépendants » à l’occasion des cent jours de l’élection du 47ème président « ricain ».
Il faut avouer que dans son style inimitable, l’élu s’en prend notamment au bras de fer douanier engagé par le chef d’État « ricain » : « Donald Trump ne prend pas de décisions, il prend sa revanche. En faisant chuter la Bourse et le dollar, en enfermant son pays derrière une muraille douanière, et, comme Al Capone, en expliquant aux alliés qu’ils paieront ou qu’ils auront des ennuis, celui qui prétend redonner sa grandeur à l’Amérique est en train de la rabougrir. »
Le mot peut paraître faible…
 
Moquant les atermoiements du « ricain », qui a finalement suspendu la hausse des droits de douane sur l’Europe qu’il avait annoncée en grande pompe début avril pour mieux se concentrer sur le rapport de force engagé avec la Chine, « Mâle-hue-raie » ironise sur un président aux allures de « roseau peint en fer ».
« Chaque jour apporte son lot d’annonces hallucinées. On expose devant toutes les télévisions un tableau surréaliste de tarif de 10 à 150 % avant de les retirer le lendemain. On annonce la guerre économique à la Chine avant de s’aplatir en 48 heures. On menace de limoger le Président de la FED avant de faire machine arrière. Le « Donald krach » était inévitable. Il va se poursuivre, au rythme des pirouettes de ce roseau peint en fer », pronostique le sénateur.
 
Si dans sa première vidéo, qui avait connu un buzz mondial en se concentrant sur la figure de « Must », cette fois ce sont deux autres proches du président US qui sont visés. D’abord, le ministre de la Santé « Roberto-Kennedy-second », une figure connue et très controversée qui recrute chez les antivaccins « ricains ».
« Il ne sait même pas localiser sa vésicule biliaire mais expose ses théories fumeuses sur les dangers des vaccins ou l’origine du SIDA ».
Je vais vous dire : Les antivax, il faut les laisser souffrir et mourir à petit feu des maladies dont ils n’auront pas voulu se protéger avec un simple vaccin. Ça fera autant d’imbéciles en moins qui seront ainsi empêchés de se reproduire, ce qui améliorera probablement l’espèce à terme…
 
Mais c’est probablement avec le vice-président « J’y-Vais-Danse » qui s’est fait connaître pour ses âpres critiques de « Zèle-en-ski » dans le bureau ovale alors qu’on ne lui demandait rien, que le sénateur se montre le plus critique.
« Il a réussi l’exploit d’être en quelques jours plus détesté aux États-Unis que tous ses prédécesseurs, mais de l’être aussi dans toute l’Europe après son discours de haine à Munich.
Il suffit de l’écouter pour imaginer l’interminable rage de dents qu’est sa vie ! »
J’adore…
« Dans mon précédent discours, je comparais le nouveau gouvernement américain à la cour de Néron. Je me trompais. C’est la cour de Caligula, qui avait un jour nommé son cheval Consul. Mais au moins son cheval ne faisait de mal à personne », tacle le sénateur des Indépendants.
 
Particulièrement inquiet par la situation internationale, et choqué par « l’humiliation » vécue par « Zèle-en-ski » à la Maison-Blanche, d’une indignité absolue de la part d’un dirigeant, d’autant plus d’un pays qui se veut « impérial » en quittant son rôle de gendarme du monde régulateur de paix, notre sénateur dénonce une « trahison » de « Trompe » : « Aujourd’hui quand les chats mangent les souris, ils déclarent que les souris les avaient agressés. Et Trump les croit. Est-il sous kompromat ou simplement d’une crétinerie absolue ? Ce qui est certain, c’est qu’il est le meilleur Président russe de toute l’histoire américaine. »
Belle saillie que voilà !
 
Et de dénoncer un plan pour le cessez-le-feu en Ukraine qui irait « au-delà des rêves les plus fous de Poutine ».
Ce n’est pas pour rien que ce dernier aura mis le pied à l’étrier et financé depuis des années et des années, son armée de trolls et ses bataillons « d’ingénieurs du chaos », armés jusqu’aux dents pour annihiler tout sens critique aux écervelés piqués des réseaux que nos « sachants-autistes-&-trisomiques » n’ont pas su éduquer ni prévenir…
Revenant sur les déboires du « matamore de Mar-a-Lago », le sénateur conclut : « Je décrivais les débuts de la Présidence Trump comme une tragédie. Au bout de cent jours il s’avère que c’est une farce. Mais une farce sinistre. »
Implacable.
 
Pour le plaisir en 7 minutes 31 chrono : Message à mes amis américains.
 
Et pour ceux que ça barbe ou qui ne trouvent pas le lien (parce qu’il va forcément disparaître avec le temps qui passe), la reprise du texte :
 
« Le 4 mars dernier, dans un discours au Sénat français je posais cette question : pourquoi, devant tant de décisions insensées de leur Président, les américains ne réagissent-ils pas ? Aujourd’hui cette question ne se pose plus : les américains ont réagi. Des manifestations dans toutes les grandes villes, des parlementaires interpellés dans les town halls, des gouverneurs qui refusent les executive orders illégaux, des juges qui les annulent, des sondages qui chutent. Et je me réjouis de cette résistance.
 
Mais je dois aussi le dire, avec toute la franchise que l’on se doit entre amis : pour l’heure les protestations, les manifestations, les oppositions n’ont pas empêché la situation de s’aggraver.
 
Chaque jour apporte son lot d’annonces hallucinées. Droits de douane invraisemblables, expulsions arbitraires, attaques contre la sécurité sociale, les retraites, la liberté d’expression, l’éducation, la justice, la Constitution, les vétérans, les droits des électeurs, les universités et la science. Donald Trump ne prend pas de décisions, il prend sa revanche.
 
Chaque jour la confiance dans l’Amérique perd du terrain. En faisant chuter la Bourse et le dollar, fuir les acheteurs d’US bonds, en enfermant son pays derrière une muraille douanière, et, comme Al Capone, en expliquant aux alliés qu’ils paieront ou qu’ils auront des ennuis, celui qui prétend redonner sa grandeur à l’Amérique est en train de la rabougrir.
 
Chaque jour, l’incertitude augmente. On expose devant toutes les télévisions un tableau surréaliste de tariffs de 10 à 150% avant de les retirer le lendemain. On annonce la guerre économique à la Chine avant de s’aplatir en 48 heures. On menace de limoger le Président de la FED avant de faire machine arrière devant la chute des marchés. Les executive orders sont contestés en justice, ce qui accroît la confusion. Le brouillard est le pire ennemi de l’économie et le Donald krach était inévitable. Il va se poursuivre, au rythme des pirouettes de ce roseau peint en fer. Personne ne sait ce qu’il fera après les 90 jours de pause, mais à l’évidence celui qui le sait le moins est Donald Trump lui-même.
 
Chaque jour la soumission est préférée à l’expertise. Les membres du cabinet sont nommés non pas malgré mais à cause de leur nullité. Un ministre de la santé qui ne sait même pas localiser sa vésicule biliaire expose ses théories fumeuses sur les dangers des vaccins ou l’origine du SIDA. Le ministre de la Défense, entre deux rasades de gin, papote en ligne avec sa famille et ses amis sur les opérations militaires en cours sous les yeux des services de renseignements du monde entier. Le Chief Counselor for trade, ou plutôt le Chief Forger, invente un  économiste fictif  pour soutenir ses thèses absurdes. Le chargé des négociations sur l’Ukraine fricote depuis des années avec un oligarque proche de Poutine. Quant au Vice-Président, il a réussi l’exploit d’être en quelques jours plus détesté aux Etats-Unis que tous ses prédécesseurs, mais de l’être aussi dans toute l’Europe après son discours de haine à Munich. Il suffit de l’écouter pour imaginer l’interminable rage de dents qu’est sa vie. Dans mon précédent discours, je comparais le nouveau gouvernement américain à la cour de Néron. Je me trompais. C’est la cour de Caligula, qui avait un jour nommé son cheval Consul. Mais au moins son cheval ne faisait de mal à personne.
 
Chaque jour dans le bureau ovale, assis dans un fauteuil assorti à ses cheveux Trump fait défiler devant la presse les chefs d’Etat qui se succèdent comme dans une émission de téléréalité, effarés ou serviles, semblant se demander ce qu’ils font là, forcés d’ingurgiter des discours dégoulinant d’autosatisfaction, d’inculture vaniteuse, de grossièreté revendiquée et d’overdose de lui-même. Ils savent maintenant pourquoi ils ont été invités puisque Trump l’a expliqué : pour « kiss his ass ».
 
Mais le pire bien sûr, c’est la trahison. Depuis l’humiliation de Zelensky dans le bureau ovale, qui a choqué le monde entier, et beaucoup d’américains, chaque jour aggrave la capitulation devant Poutine. Vote à l’ONU en faveur de la Russie, aux côtés de la Corée du Nord et du Nicaragua, démantèlement des structures fédérales chargées d’examiner les ingérences russes aux Etats-Unis, nomination d’une directrice du renseignement que le propagandiste russe Soloviev qualifie lui-même à la télévision d’agent de Poutine, fermeture de Voice of America après 80 ans d’activité. Et ce pauvre Witkoff, l’ami des oligarques, chargé du dossier Ukrainien dont il ne connait rien et qui joue le perroquet du Kremlin chaque fois qu’il revient de Moscou. Comme le dit un fonctionnaire du Département de la Sécurité : « Poutine est maintenant à l’intérieur. » Aujourd’hui quand les chats mangent les souris, ils déclarent que les souris les avaient agressés. Et Trump les croit. Est-il sous kompromat ou simplement d’une crétinerie absolue ? Ce qui est certain, c’est qu’il est le meilleur Président russe de toute l’histoire américaine.
 
Son plan pour un cessez le feu en Ukraine va au-delà des rêves les plus fous de Poutine : annexion de la Crimée, occupation de quatre oblasts, absence de garanties de sécurité pour Kiev et braquage des richesses minières. Il est bien évidemment inacceptable pour les ukrainiens et catastrophique pour les européens.
 
Je décrivais les débuts de la Présidence Trump comme une tragédie. Au bout de cent jours il s’avère que c’est une farce. Mais une farce sinistre. Chaque décision du matamore de Mar-A-Lago a eu des effets désastreux. En économie le plongeon de la Bourse et du dollar, la hausse des taux et le début de récession. En politique étrangère le lâchage des alliés, la servilité devant Moscou et la guerre commerciale avortée contre la Chine où l’arroseur s’est retrouvé arrosé. En politique intérieure la bataille généralisée avec les États, les fonctionnaires, les universités et tant d’autres. Trump va de plus en plus vite, mais à reculons.
 
Les recettes mercantilistes, nationalistes, xénophobes et rabougristes sont en train de donner les résultats qu’elles ont toujours donné dans l’histoire et qu’a très bien résumé un écrivain français, Charles Péguy : « Le triomphe des démagogues est passager, mais les ruines sont éternelles ».
 
Mais le pire n’est jamais certain. Le trot d’un âne ne dure pas longtemps, disent les italiens. En trois mois le trumpisme commence à se lézarder. L’alliance contre-nature entre des anywhere milliardaires et une base de somewhere a duré le temps d’une campagne électorale. Depuis, les milliardaires de la tech ont perdu leurs milliards et ceux qui ont cru dans leurs promesses ont perdu leurs emplois. Musk est déjà reparti pour tenter de sauver les meubles chez Tesla. Et Steve Bannon mène la révolte de l’aile populaire contre les oligarques des GAFAM.
 
Mais il serait naïf de croire que l’édifice va s’écrouler tout seul. Il faut donc résister.
 
C’est ce que tentent de faire les européens, avec d’infinies précautions pour ne pas aggraver la crise. Ils ont répondu à la hausse des tarifs par une proposition d’abaisser tous les tarifs à zéro de part et d’autre. Ils répliquent à l’hostilité en tentant de maintenir les canaux de communication. Ils préparent, difficilement, les moyens de continuer à soutenir l’Ukraine le jour où le caniche de Moscou décidera de lâcher définitivement Zelensky. Ils entreprennent, trop timidement, de se réarmer.
 
Mais bien sûr c’est avant tout des américains que dépend l’avenir de leur pays, donc en grande partie celui du monde. Voici plus de quatre-vingts ans que nous avons construit ensemble le monde libre où nous vivons aujourd’hui. Et voici plus de deux siècles que nous partageons les mêmes valeurs : la démocratie, les droits de l’homme, la liberté d’entreprendre qui fait que chaque américain et chaque européen se sent au plus profond de soi appartenir à une même civilisation, au point que jamais les uns et les autres n’auraient pu imaginer qu’un jour, en aussi peu de temps, des dirigeants se donneraient pour but de creuser un fossé entre eux.
 
J’ai un message pour mes amis américains. Il faut que tous les défenseurs des libertés redoublent d’efforts. Qu’ils convainquent les Républicains du Congrès qui ont cru toute leur vie au libre-échange, à leurs alliances, à l’ordre mondial, à la lutte contre les régimes totalitaires, que Trump est en train de les déshonorer. Qu’ils convainquent les élus Démocrates de faire entendre leur voix plus fortement qu’ils ne le font aujourd’hui. Et qu’ils convainquent enfin tous les américains de se battre pour les valeurs qui ont fait de leur nation la plus libre, la plus riche et la plus puissante du monde.
 
Je suis certain que ce moment arrivera plus vite qu’on ne le pense. »
 
L’air de rien, finalement, n’étaient dupes que les acéphales : C’est ce qu’il faudra retenir de ce morceau d’Histoire…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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