Sous les ors des salons du Sénat cette fois-ci
Après avoir fait le tour des chaînes « ricaines »
en mars
dernier, le sénateur de l’Allier reprend ses attaques contre « Trompe »
avec une nouvelle vidéo.
C’est bien vu, mais ça a moins de punch… Normal : Toujours pour les redites !
Toutefois, « J’y-vais-Danse » et « Roberto-Kennedy-second » y sont également ciblés après la première bordée qui s’en prenait à « Must » avec la même clarté d’esprit.
En tout cas ça vaut la peine d’être repris à un moment
où, après les 100 jours de sidération, les esprits semblent enfin se réveiller,
en mirant notamment et paris d’autres facaties, la mascarade de « Trompe »
déguisé en Pape…
Ce gars-là est complètement mégalo à en devenir véritablement indigne, inconvenant de la fonction qu’il occupe.
C’est d’ailleurs ce qui m’étonne le plus : Il n’y a personne pour l’en avertir, tous étant subjugués par cette avalanche quotidienne de provocations et ce déferlement permanent de très mauvais goût…
Une bien piètre image de nos « amis ricains », qui est renvoyée : Dommage, n’est-ce pas, mais quelle leçon démocratique, finalement.
Et il s’agira non seulement de s’en souvenir, mais également d’en tirer les bonnes conclusions…
L’intervention du sénateur, fin mars, celle dans
laquelle il dénonçait une administration « Trompe » devenue « la Cour
de Néron » et comparait le milliardaire « Élan-Must » à « un bouffon
sous kétamine », avait fait le tour des chaînes de télévision « ricaines »
et au-delà.
Il a remis ça la semaine dernière dans une vidéo postée sur le site de son groupe parlementaire « Les Indépendants » à l’occasion des cent jours de l’élection du 47ème président « ricain ».
Il faut avouer que dans son style inimitable, l’élu s’en prend notamment au bras de fer douanier engagé par le chef d’État « ricain » : « Donald Trump ne prend pas de décisions, il prend sa revanche. En faisant chuter la Bourse et le dollar, en enfermant son pays derrière une muraille douanière, et, comme Al Capone, en expliquant aux alliés qu’ils paieront ou qu’ils auront des ennuis, celui qui prétend redonner sa grandeur à l’Amérique est en train de la rabougrir. »
Le mot peut paraître faible…
Moquant les atermoiements du « ricain », qui
a finalement suspendu la hausse des droits de douane sur l’Europe qu’il avait
annoncée en grande pompe début avril pour mieux se concentrer sur le rapport de
force engagé avec la Chine, « Mâle-hue-raie » ironise sur un
président aux allures de « roseau peint en fer ».
« Chaque jour apporte son lot d’annonces hallucinées. On expose devant toutes les télévisions un tableau surréaliste de tarif de 10 à 150 % avant de les retirer le lendemain. On annonce la guerre économique à la Chine avant de s’aplatir en 48 heures. On menace de limoger le Président de la FED avant de faire machine arrière. Le « Donald krach » était inévitable. Il va se poursuivre, au rythme des pirouettes de ce roseau peint en fer », pronostique le sénateur.
Si dans sa première vidéo, qui avait connu un buzz
mondial en se concentrant sur la figure de « Must », cette fois ce
sont deux autres proches du président US qui sont visés. D’abord, le ministre
de la Santé « Roberto-Kennedy-second », une figure connue et très controversée
qui recrute chez les antivaccins « ricains ».
« Il ne sait même pas localiser sa vésicule biliaire mais expose ses théories fumeuses sur les dangers des vaccins ou l’origine du SIDA ».
Je vais vous dire : Les antivax, il faut les laisser souffrir et mourir à petit feu des maladies dont ils n’auront pas voulu se protéger avec un simple vaccin. Ça fera autant d’imbéciles en moins qui seront ainsi empêchés de se reproduire, ce qui améliorera probablement l’espèce à terme…
Mais c’est probablement avec le vice-président « J’y-Vais-Danse »
qui s’est fait connaître pour ses âpres critiques de « Zèle-en-ski »
dans le bureau ovale alors qu’on ne lui demandait rien, que le sénateur se
montre le plus critique.
« Il a réussi l’exploit d’être en quelques jours plus détesté aux États-Unis que tous ses prédécesseurs, mais de l’être aussi dans toute l’Europe après son discours de haine à Munich.
Il suffit de l’écouter pour imaginer l’interminable
rage de dents qu’est sa vie ! »
J’adore…
« Dans mon précédent discours, je comparais le nouveau gouvernement américain à la cour de Néron. Je me trompais. C’est la cour de Caligula, qui avait un jour nommé son cheval Consul. Mais au moins son cheval ne faisait de mal à personne », tacle le sénateur des Indépendants.
Particulièrement inquiet par la situation
internationale, et choqué par « l’humiliation » vécue par « Zèle-en-ski »
à la Maison-Blanche, d’une indignité absolue de la part d’un dirigeant, d’autant
plus d’un pays qui se veut « impérial » en quittant son rôle de
gendarme du monde régulateur de paix, notre sénateur dénonce une « trahison »
de « Trompe » : « Aujourd’hui quand les chats mangent les
souris, ils déclarent que les souris les avaient agressés. Et Trump les croit.
Est-il sous kompromat ou simplement d’une crétinerie absolue ? Ce qui est
certain, c’est qu’il est le meilleur Président russe de toute l’histoire
américaine. »
Belle saillie que voilà !
Et de dénoncer un plan pour le cessez-le-feu en
Ukraine qui irait « au-delà des rêves les plus fous de Poutine ».
Ce n’est pas pour rien que ce dernier aura mis le pied à l’étrier et financé depuis des années et des années, son armée de trolls et ses bataillons « d’ingénieurs du chaos », armés jusqu’aux dents pour annihiler tout sens critique aux écervelés piqués des réseaux que nos « sachants-autistes-&-trisomiques » n’ont pas su éduquer ni prévenir…
Revenant sur les déboires du « matamore de Mar-a-Lago », le sénateur conclut : « Je décrivais les débuts de la Présidence Trump comme une tragédie. Au bout de cent jours il s’avère que c’est une farce. Mais une farce sinistre. »
Implacable.
Pour le plaisir en 7 minutes 31 chrono : Message
à mes amis américains.
Et pour ceux que ça barbe ou qui ne trouvent pas le
lien (parce qu’il va forcément disparaître avec le temps qui passe), la reprise
du texte :
« Le 4 mars dernier, dans un discours au Sénat français
je posais cette question : pourquoi, devant tant de décisions insensées de leur
Président, les américains ne réagissent-ils pas ? Aujourd’hui cette question ne
se pose plus : les américains ont réagi. Des manifestations dans toutes les
grandes villes, des parlementaires interpellés dans les town halls, des
gouverneurs qui refusent les executive orders illégaux, des juges qui les
annulent, des sondages qui chutent. Et je me réjouis de cette résistance.
Mais je dois aussi le dire, avec toute la franchise
que l’on se doit entre amis : pour l’heure les protestations, les
manifestations, les oppositions n’ont pas empêché la situation de s’aggraver.
Chaque jour apporte son lot d’annonces hallucinées.
Droits de douane invraisemblables, expulsions arbitraires, attaques contre la
sécurité sociale, les retraites, la liberté d’expression, l’éducation, la
justice, la Constitution, les vétérans, les droits des électeurs, les
universités et la science. Donald Trump ne prend pas de décisions, il prend sa
revanche.
Chaque jour la confiance dans l’Amérique perd du
terrain. En faisant chuter la Bourse et le dollar, fuir les acheteurs d’US
bonds, en enfermant son pays derrière une muraille douanière, et, comme Al
Capone, en expliquant aux alliés qu’ils paieront ou qu’ils auront des ennuis,
celui qui prétend redonner sa grandeur à l’Amérique est en train de la
rabougrir.
Chaque jour, l’incertitude augmente. On expose devant
toutes les télévisions un tableau surréaliste de tariffs de 10 à 150% avant de
les retirer le lendemain. On annonce la guerre économique à la Chine avant de
s’aplatir en 48 heures. On menace de limoger le Président de la FED avant de
faire machine arrière devant la chute des marchés. Les executive orders sont
contestés en justice, ce qui accroît la confusion. Le brouillard est le pire
ennemi de l’économie et le Donald krach était inévitable. Il va se poursuivre,
au rythme des pirouettes de ce roseau peint en fer. Personne ne sait ce qu’il
fera après les 90 jours de pause, mais à l’évidence celui qui le sait le moins
est Donald Trump lui-même.
Chaque jour la soumission est préférée à l’expertise.
Les membres du cabinet sont nommés non pas malgré mais à cause de leur nullité.
Un ministre de la santé qui ne sait même pas localiser sa vésicule biliaire
expose ses théories fumeuses sur les dangers des vaccins ou l’origine du SIDA.
Le ministre de la Défense, entre deux rasades de gin, papote en ligne avec sa
famille et ses amis sur les opérations militaires en cours sous les yeux des
services de renseignements du monde entier. Le Chief Counselor for trade, ou
plutôt le Chief Forger, invente un
économiste fictif pour soutenir
ses thèses absurdes. Le chargé des négociations sur l’Ukraine fricote depuis
des années avec un oligarque proche de Poutine. Quant au Vice-Président, il a
réussi l’exploit d’être en quelques jours plus détesté aux Etats-Unis que tous
ses prédécesseurs, mais de l’être aussi dans toute l’Europe après son discours
de haine à Munich. Il suffit de l’écouter pour imaginer l’interminable rage de
dents qu’est sa vie. Dans mon précédent discours, je comparais le nouveau
gouvernement américain à la cour de Néron. Je me trompais. C’est la cour de
Caligula, qui avait un jour nommé son cheval Consul. Mais au moins son cheval
ne faisait de mal à personne.
Chaque jour dans le bureau ovale, assis dans un
fauteuil assorti à ses cheveux Trump fait défiler devant la presse les chefs
d’Etat qui se succèdent comme dans une émission de téléréalité, effarés ou
serviles, semblant se demander ce qu’ils font là, forcés d’ingurgiter des
discours dégoulinant d’autosatisfaction, d’inculture vaniteuse, de grossièreté
revendiquée et d’overdose de lui-même. Ils savent maintenant pourquoi ils ont
été invités puisque Trump l’a expliqué : pour « kiss his ass ».
Mais le pire bien sûr, c’est la trahison. Depuis
l’humiliation de Zelensky dans le bureau ovale, qui a choqué le monde entier,
et beaucoup d’américains, chaque jour aggrave la capitulation devant Poutine.
Vote à l’ONU en faveur de la Russie, aux côtés de la Corée du Nord et du
Nicaragua, démantèlement des structures fédérales chargées d’examiner les
ingérences russes aux Etats-Unis, nomination d’une directrice du renseignement
que le propagandiste russe Soloviev qualifie lui-même à la télévision d’agent
de Poutine, fermeture de Voice of America après 80 ans d’activité. Et ce pauvre
Witkoff, l’ami des oligarques, chargé du dossier Ukrainien dont il ne connait
rien et qui joue le perroquet du Kremlin chaque fois qu’il revient de Moscou.
Comme le dit un fonctionnaire du Département de la Sécurité : « Poutine est
maintenant à l’intérieur. » Aujourd’hui quand les chats mangent les souris, ils
déclarent que les souris les avaient agressés. Et Trump les croit. Est-il sous
kompromat ou simplement d’une crétinerie absolue ? Ce qui est certain, c’est
qu’il est le meilleur Président russe de toute l’histoire américaine.
Son plan pour un cessez le feu en Ukraine va au-delà
des rêves les plus fous de Poutine : annexion de la Crimée, occupation de
quatre oblasts, absence de garanties de sécurité pour Kiev et braquage des
richesses minières. Il est bien évidemment inacceptable pour les ukrainiens et
catastrophique pour les européens.
Je décrivais les débuts de la Présidence Trump comme
une tragédie. Au bout de cent jours il s’avère que c’est une farce. Mais une
farce sinistre. Chaque décision du matamore de Mar-A-Lago a eu des effets
désastreux. En économie le plongeon de la Bourse et du dollar, la hausse des
taux et le début de récession. En politique étrangère le lâchage des alliés, la
servilité devant Moscou et la guerre commerciale avortée contre la Chine où
l’arroseur s’est retrouvé arrosé. En politique intérieure la bataille généralisée
avec les États, les fonctionnaires, les universités et tant d’autres. Trump va
de plus en plus vite, mais à reculons.
Les recettes mercantilistes, nationalistes, xénophobes
et rabougristes sont en train de donner les résultats qu’elles ont toujours
donné dans l’histoire et qu’a très bien résumé un écrivain français, Charles
Péguy : « Le triomphe des démagogues est passager, mais les ruines sont
éternelles ».
Mais le pire n’est jamais certain. Le trot d’un âne ne
dure pas longtemps, disent les italiens. En trois mois le trumpisme commence à
se lézarder. L’alliance contre-nature entre des anywhere milliardaires et une
base de somewhere a duré le temps d’une campagne électorale. Depuis, les
milliardaires de la tech ont perdu leurs milliards et ceux qui ont cru dans
leurs promesses ont perdu leurs emplois. Musk est déjà reparti pour tenter de
sauver les meubles chez Tesla. Et Steve Bannon mène la révolte de l’aile populaire
contre les oligarques des GAFAM.
Mais il serait naïf de croire que l’édifice va
s’écrouler tout seul. Il faut donc résister.
C’est ce que tentent de faire les européens, avec
d’infinies précautions pour ne pas aggraver la crise. Ils ont répondu à la
hausse des tarifs par une proposition d’abaisser tous les tarifs à zéro de part
et d’autre. Ils répliquent à l’hostilité en tentant de maintenir les canaux de
communication. Ils préparent, difficilement, les moyens de continuer à soutenir
l’Ukraine le jour où le caniche de Moscou décidera de lâcher définitivement
Zelensky. Ils entreprennent, trop timidement, de se réarmer.
Mais bien sûr c’est avant tout des américains que
dépend l’avenir de leur pays, donc en grande partie celui du monde. Voici plus
de quatre-vingts ans que nous avons construit ensemble le monde libre où nous
vivons aujourd’hui. Et voici plus de deux siècles que nous partageons les mêmes
valeurs : la démocratie, les droits de l’homme, la liberté d’entreprendre qui
fait que chaque américain et chaque européen se sent au plus profond de soi
appartenir à une même civilisation, au point que jamais les uns et les autres
n’auraient pu imaginer qu’un jour, en aussi peu de temps, des dirigeants se
donneraient pour but de creuser un fossé entre eux.
J’ai un message pour mes amis américains. Il faut que
tous les défenseurs des libertés redoublent d’efforts. Qu’ils convainquent les
Républicains du Congrès qui ont cru toute leur vie au libre-échange, à leurs
alliances, à l’ordre mondial, à la lutte contre les régimes totalitaires, que
Trump est en train de les déshonorer. Qu’ils convainquent les élus Démocrates
de faire entendre leur voix plus fortement qu’ils ne le font aujourd’hui. Et
qu’ils convainquent enfin tous les américains de se battre pour les valeurs qui
ont fait de leur nation la plus libre, la plus riche et la plus puissante du
monde.
Je suis certain que ce moment arrivera plus vite qu’on
ne le pense. »
L’air
de rien, finalement, n’étaient dupes que les acéphales : C’est ce qu’il
faudra retenir de ce morceau d’Histoire…
Pour mémoire (n’en
déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE
PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE »,
REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
C’est bien vu, mais ça a moins de punch… Normal : Toujours pour les redites !
Toutefois, « J’y-vais-Danse » et « Roberto-Kennedy-second » y sont également ciblés après la première bordée qui s’en prenait à « Must » avec la même clarté d’esprit.
Ce gars-là est complètement mégalo à en devenir véritablement indigne, inconvenant de la fonction qu’il occupe.
C’est d’ailleurs ce qui m’étonne le plus : Il n’y a personne pour l’en avertir, tous étant subjugués par cette avalanche quotidienne de provocations et ce déferlement permanent de très mauvais goût…
Une bien piètre image de nos « amis ricains », qui est renvoyée : Dommage, n’est-ce pas, mais quelle leçon démocratique, finalement.
Et il s’agira non seulement de s’en souvenir, mais également d’en tirer les bonnes conclusions…
Il a remis ça la semaine dernière dans une vidéo postée sur le site de son groupe parlementaire « Les Indépendants » à l’occasion des cent jours de l’élection du 47ème président « ricain ».
Il faut avouer que dans son style inimitable, l’élu s’en prend notamment au bras de fer douanier engagé par le chef d’État « ricain » : « Donald Trump ne prend pas de décisions, il prend sa revanche. En faisant chuter la Bourse et le dollar, en enfermant son pays derrière une muraille douanière, et, comme Al Capone, en expliquant aux alliés qu’ils paieront ou qu’ils auront des ennuis, celui qui prétend redonner sa grandeur à l’Amérique est en train de la rabougrir. »
Le mot peut paraître faible…
« Chaque jour apporte son lot d’annonces hallucinées. On expose devant toutes les télévisions un tableau surréaliste de tarif de 10 à 150 % avant de les retirer le lendemain. On annonce la guerre économique à la Chine avant de s’aplatir en 48 heures. On menace de limoger le Président de la FED avant de faire machine arrière. Le « Donald krach » était inévitable. Il va se poursuivre, au rythme des pirouettes de ce roseau peint en fer », pronostique le sénateur.
« Il ne sait même pas localiser sa vésicule biliaire mais expose ses théories fumeuses sur les dangers des vaccins ou l’origine du SIDA ».
Je vais vous dire : Les antivax, il faut les laisser souffrir et mourir à petit feu des maladies dont ils n’auront pas voulu se protéger avec un simple vaccin. Ça fera autant d’imbéciles en moins qui seront ainsi empêchés de se reproduire, ce qui améliorera probablement l’espèce à terme…
« Il a réussi l’exploit d’être en quelques jours plus détesté aux États-Unis que tous ses prédécesseurs, mais de l’être aussi dans toute l’Europe après son discours de haine à Munich.
« Dans mon précédent discours, je comparais le nouveau gouvernement américain à la cour de Néron. Je me trompais. C’est la cour de Caligula, qui avait un jour nommé son cheval Consul. Mais au moins son cheval ne faisait de mal à personne », tacle le sénateur des Indépendants.
Belle saillie que voilà !
Ce n’est pas pour rien que ce dernier aura mis le pied à l’étrier et financé depuis des années et des années, son armée de trolls et ses bataillons « d’ingénieurs du chaos », armés jusqu’aux dents pour annihiler tout sens critique aux écervelés piqués des réseaux que nos « sachants-autistes-&-trisomiques » n’ont pas su éduquer ni prévenir…
Revenant sur les déboires du « matamore de Mar-a-Lago », le sénateur conclut : « Je décrivais les débuts de la Présidence Trump comme une tragédie. Au bout de cent jours il s’avère que c’est une farce. Mais une farce sinistre. »
Implacable.
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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