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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 9 mai 2025

Relevées pour vous pour votre second pont du mois…

Jean-Marc rapporte :
 
À l’école, le professeur :
« — Divisez 69 par 3 !
— C’est pas possible, M’ssieur !
— Et pourquoi donc, jeune padawan ?
— Parce que ça se fait à 2 ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — La nuit dernière j’ai rêvé que je jouais à cache-cache avec mon banquier…
— Quelle idée !
— Oui mais à chaque fois qu’il me trouvait il hurlait « DÉCOUVERT » !
Ça a fini par me réveiller… »
 
Les mêmes au seuil de leur porte d’immeuble :
« Finalement, moi je croirai à l’égalité des sexes seulement le jour ou une femme me paiera le restaurant dans le but de coucher avec moi ! »
 
Conclusion de Jean-Marc en qualité de cinéphile :
« — Finalement, tu sais, « 50 Nuances de Grey » est seulement romantique parce que le gars est milliardaire.
S’il vivait dans une caravane dans la zone industrielle de Dunkerque, ce serait un épisode d’Esprits Criminels.
— Bien vu !… »
 
Plus tard :
« — Oh ! Regarde ! Une étoile filante. Tu peux faire un vœu…
— Je veux me marier…
— Ah non, désolé ! C’était un avion… »
 
Jean-Marc, au café du coin avec quelques-uns de ses amis, sirotant leur bière.
Soudain, il prend son téléphone et tous l’entendent dire :
« Allo, oui ! Germaine, prépare l’eau chaude, je ne vais pas tardé à rentrer… »
Tous étonnés, Jean-Paul est le premier à réagir :
« — Punaise, comment que tu parles à ta femme !
T’es un bon toi : Tu sais parler aux femmes, toi !
Tu ordonnes et elle ferme sa gueule !
Bravo !
— Eh quoi ? Tu croyais que j’allais faire la vaisselle à l’eau froide, toi ? »
 
Plus tard…
« Quand une femme a une idée derrière la tête, finalement il est plus facile de lui enlever la tête que l’idée… »
 
Devant une autre bière, Jean-Marc et Jean-Paul :
« — Tu te rappelles quand les israëliens ont fait pété leur bipeur à tous les cadres du Hezbollah ?
— Oui… Et ça aura été le début des emmerdements à Gaza, probablement en représailles…
— C’est ça. Mais je me suis dit que ça aura dû être compliqué pour les martyrs déchiquetés de cette façon-là ! C’est irrespectueux…
— Comment ça ?
— Bé si les mecs portaient leur bipeur dans la poche du pantalon, pas facile de profiter des 72 vierges promises par leur dernier prophète !
—  »
 
Une autre fois…
« — Finalement, je préfère le printemps à l’automne…
— Tiens ? Et pour quelle raison ? Il fait plus chaud ? Les jours rallongent ?
— Simplement qu’en automne, les arbres se désabillent et les femmes se couvrent.
Au printemps, c’est l’inverse et c’est plus sympa… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, sur le trottoir après leurs bières matinales…
« — C’est quand même curieux… Quand je sors de ce bar, j’ai tendance à marcher de travers…
— À mon avis, tu devrais arrêter de manger des chips au crabe… »
 
Marie-Chantal et Germaine, dans l’après-midi devant leur thé-madeleine :
« — Dis mois, quelle a été la pire chose que ton mari t’ai dit pendant une relation sexuelle ?
— La pire… ‘‘Salut ! Je suis rentré plus tôt’’ ! »
 
Conseil de la mère de Germaine à sa fille :
« Ma chérie, on ne pleure pas pour un garçon…
On le remplace par un homme ! »
 
Germaine à Marie-Chantal :
« — Ça me rappelle ce moment un peu ambigu et de gêne où tes parents te reprochent d’être encore célibataire…
Alors que c’est tout de même un peu de leur faute si tu es née moche…
— Ne m’en parle pas ! »
 
Dialogue avec Jean-Marc, la nuit tombée dans leur chambre nuptiale…
« — J’ai envie !
— D’accord ! Moi aussi…
— Je peux allumer la lampe ?
— Non ! Laisse la éteinte !
— Heu… t’es devenu si pudique que ça ?
— Non… T’es moche ! »
 
À la pause méridienne, Jean-Marc à Jean-Paul, devant leur cassoulet-bière…
« — Finalement, je crois que j’ai été envouté par un sorcier vaudou…
— Comment ça ?
— Ça devait un prêtre.
— Bé il ne peut pas être aussi vaudou.
— Il n’empêche, il a dû me jeter un sort maléfique…
— Pourquoi tu dis ça ?
— Il a dit ‘‘Je vous déclare mari et femme’’ ! »
 
Germaine à Jean-Marc, il y a quelques années :
« — Chéri, je suis enceinte de toi !
— Mais, mais… ce n’est pas possible !
— Comment ça ? Puisque je te dis que c’est de toi ?
— Mais non ! Je suis déjà né, moi ! »
 
Marie-Chantal à Germaine :
« — Tu veux un conseil ? Ne laisse jamais ton homme quitter la maison affamé ou en manque de sexe…
— Ah oui ? Et pourquoi ?
— Parce que dehors, quelle que part à l’extérieur, tu peux être sûre qu’il y a une salope avec de la pizza ! »
 
Un jour Germaine croise « Cendrine Rousse-Haut » et « écoute aux portes » pour entendre une docte leçon :
« La moule-frite, c’est le résultat d’une construction mentale associant le mythe phallique du patriarcat oppresseur, à la faiblesse de la vulve conchylicole conquise à marée basse ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, une après-midi pendant le boulot, assis devant une chope de bière…
« — Sais-tu l’origine de l’expression « Nom d’une pipe ! »
— Euh, bé si je me souviens bien… ça vient du monde de la comédie du XVIIIème siècle, parfois très vulgaire, qui dut détourner des jurons religieux comme « Nom de Dieu ! » afin de ne pas s’attirer les foudres de l’église…
— Pas du tout !
— Ah bon ?
— Ça vient de ces filles qui refusent de te faire une fellation ! »
 
Marie-Chantal à Germaine :
« — Eh bien à l’avenir, ne fais pas comme moi !
— Faire quoi…
— De passer l’aspirateur dans tout ton appartement avec des écouteurs sur les oreilles…
— Et pour quelle raison ? C’est plus sympa plutôt que d’entendre le bruit assourdissant du moteur…
— Ça évite surtout de ne pas te rendre compte que tu as oublié de brancher l’appareil avant d’avoir terminé ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, à mâtines devant leur première bière…
« — Tu ne sais pas ce qui m’est arrivé, hier soir après être rentré ?
— Bé non ! Quoi ?
— Mon cerveau a été piraté !
— Ah bon ? Comment ça ?
— J’ai été victime d’une six-bières attaque ! »
 
« — Bé moi, j’ai été victime d’une panne sèche en pleine nuit en rase campagne en revenant de chez belle-maman !
— Et alors ? Vous avez paniqué ?
— Si, mais sur la banquette arrière en attendant la dépanneuse… »
 
Les « (F)Ummistes » (correspondants terrestres de la civilisation Ummo de la planète Umma, dont fait partie Jean-Marc) communiquent.
« Hier, une boule de feu aperçue dans le ciel de Bretagne ! »
Les bigoudens réagissent :
« — Ce doit être ce que certains appellent le Soleil !
— Je l’ai vu une fois… C’était en 1978, je crois bin ! »
 
Paroles historiques de Jeanne d’Arc :
« Je déteste les lendemains de cuite… »
 
Marie-Chantal à Germaine…
« — Sais-tu comment détruire la confiance en soi de n’importe quel homme en deux mots ?
— Lesquels ?
— Tu demandes c’est dedans ? »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, une autre fois…
« — Punaise qu’il est con celui-là !!!
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce que ce connard m’a soutenu qu’une femme, ce n’était bon que pour le sexe et la cuisine !
— Oui… on peut dire ça comme ça !
— Ah non, tu ne vas pas t’y mettre toi aussi ?
— Pourquoi ?
— Mais parce que vous tous oubliez le ménage ! »
 
Jean-Richard se plaint auprès de Jean-Marc :
« — Ma femme me bat devant les enfants, elle confisque mon salaire, elle contrôle tous mes appels…
Que dois-je faire à ton avis ?
— Ouh là ! Surtout ne la quitte pas, reste avec elle !
— Mais pourquoi ça ?
— Pour ne pas mettre en danger d’autres hommes ! »
 
Les deux mêmes :
« Tu vois, moi ma femme m’a lancé un ultimatum…
Soit je fais un peu plus attention à ce qu’elle dit…
Soit elle fait je ne sais plus trop quoi ! »
 
« —  Mais quelle merveille, le cerveau, finalement.
— Je sais bien…
— Tout le monde devrait en avoir un ! »
 
Une revenue probable :
Jean-Paul demande à Jean-Marc :
« — Dis donc, toi, il t’arrive d’entendre des voix dans la tête sans voir personne… ?
— Oui… Souvent même !
— Ah… quand, habituellement ?
— À chaque fois que je suis au téléphone ! Pourquoi ?
— Je pensais que ça n’arrivait seulement que quand on était marié… ces voix dans la tête t’intimaient ce que tu devais faire… »
 
Jean-Marc à Germaine tentant de désamorcer un début de conflit :
« Je ne t’ai pas dit que tu cuisinais mal !
J’ai juste suggéré que le meilleur plat que je t’ai vu faire…
C’était à la piscine ! »
 
Bonne poursuite de votre pont à toutes et à tous tout de même !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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