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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 15 mai 2025

Échec de « Menuet-Valse »

On parle un peu plus de la « Kanakie-gauloisienne »
 
Parce que c’est le premier anniversaire des émeutes qui ont mis l’archipel était à feu et à sang.
Des émeutes « télécommandées » depuis Bakou… mais si ! alors qu’on pensait que c’était surtout Beijing, complétement dépassé pour le coup, qui attisait les haines et les rancœurs kanakes pour des raisons éminemment minière et un peu géostratégique où l’empire du milieu n’est pas très présent dans le pacifique-Sud alors qu’il veut tout dominer autour de ses côtes, dans le pacifique-Nord.
 
Je vous l’avais dit (mais je ne sais plus ni où ni quand). C’était probablement à l’occasion de la dissolution de l’AN de juin 2024 : La réforme du mode de scrutin en Nouvelle-Calédonie ne pouvait plus attendre. « Tonton Yoyo » alors « premier sinistre » de la République avait donné 20 ans aux Kanaks pour voter pour leur indépendance en retirant le droit de vote de plus de la moitié de la population, celle constituée des Caldoches (et métropolitains en détachement) devenus des sous-citoyens : Merci la République des « soces »…
C’était en 1998… et en 2025, 27 ans plus tard, toute une génération renouvelée, ils ont été appelés aux urnes à plusieurs reprises, mais jamais ils n’auront trouvé une majorité de Kanaks pour se prendre en main !!!
Des gens extraordinaires, de grands gamins, qui en plus répondent aux appels à l’émeute de l’Azerbaïdjan posé à des milliers de kilomètres de là, sans jamais être capables de savoir situer géographiquement l’archipel…
Et je suppose que la réciproque est également vraie.
Passons.
 
Du coup, un blocage gouvernemental plus tard, trois « premiers-sinistres » qui passent à Matignon, le dernier envoie « Menuet-Valse » disponible pour la République après avoir été jeté sans ménagement par les Catalans (et auparavant quelques gauloisiens-soces et autres partis) qui n’en pouvait plus de cette caricature ambulante et auto-animée d’insolente fatuité…
Que pouvait-on espérer d’un tel ectoplasme sans aucune conviction (sinon celle de vivre aux crochets du kontriuable, peu importe lequel d’ailleurs) ?
Re-passons…
 
Les Kanaks représentent environ 40 % des 300.000 habitants de Nouvelle-Calédonie. Et ils se répartissent en 340 tribus à travers tout l’archipel et ses dépendances. À eux tous, ils parviennent à parler seulement 29 langues courantes (!!!) et différentes et, historiquement, les relations entre tribus ont souvent été marquées par des conflits.
Ils aiment à se taper sur la gueule, surtout quand ils sont bien imbibés…
C’est vous dire si ce sont des gens sains d’esprit dans leur tête.
Mais bon, ce sont des citoyens « Gauloisiens-de-souche » comme les autres et ils ont les mêmes droits à voter comme les autres (hors leurs voisins caldoches, regroupés en une seule région sur 4 existantes) pour leur assurer d’être les seuls maîtres de leur destin politique…   
 
Car la « Gauloisie-des-Lumières » traite ses citoyens kanaks avec une attention toute particulière. Elle respecte leurs coutumes tout en leur offrant des services publics équivalent, et même parfois supérieurs, à ceux de la métropole : L’hôpital de Nouméa est ainsi l’un des mieux équipés de tout le pays, métropole inclue.
Dans les îles Loyauté, où 95 % de la population est kanake, une consultation médicale peut être obtenue le jour même ou le lendemain – un délai inimaginable dans bien des régions continentales.
En cas d’urgence, des évacuations sanitaires par avion ou hélicoptère, coûteuses, acheminent les patients vers Nouméa.
Et les rapatrie une fois soignés…
 
Toutefois, depuis les récentes émeutes la situation s’est gravement détériorée. Dans la province Nord (qui compte 75 % de Kanaks), seuls trois ou quatre médecins assurent encore le fonctionnement d’une quinzaine de postes de santé.
Effrayés et isolés, les soignants métropolitains qui tenaient le système de santé ont fui le territoire pendant les violences.
La rançon du succès de la « Kanakie-libre »…
Du coup, la présence de compagnies complètes de gendarmes mobiles et de CRS (qui servent de cibles mouvantes aux émeutiers) aura été largement renforcée au détriment de nos « no-go-zones » autour des grandes-villes de métropole.
Si encore ça avait été des effectifs prélevés sur les compagnies qui flashent au hasard les vacanciers sur les routes, mais même pas…
 
Sur le plan humain, si les Kanaks sont des gens chaleureux et attachants, certaines de leurs pratiques coutumières restent fondamentalement incompatibles avec les principes d’égalité et de liberté individuelle.
Par exemple, dans les assemblées tribales, les femmes n’ont pas droit à la parole !
Le droit coutumier, toujours en vigueur pour les affaires civiles, complique le divorce pour les femmes, qui doivent obtenir l’aval de plusieurs chefs tribaux – une démarche pouvant s’étirer sur plusieurs années…
Une autre règle coutumière stipule qu’une femme mariée perd ses droits d’héritage dans sa famille d’origine et devient dépendante de sa nouvelle tribu. Logique : Le code Napoléon n’aura pas bien pris (comme les sens interdits à Marseille et les feux tricolores à Nice…)
Il est également courant que le premier enfant d’une femme soit confié à son frère pour être élevé par son épouse ou une autre membre de la tribu, une pratique qui peut nuire à l’allaitement maternel et à la santé de l’enfant.
C’est curieux, mais c’est comme ça…
 
Obésité, diabète et hypertension, sont devenus des problèmes de santé publique récents où ils sévissent dans la communauté kanake. Or, on ne compte qu’une poignée de médecins kanaks, un peu plus d’infirmiers, mais les émeutiers ont eu la brillante idée de brûler l’école qui les formaient !
Ainsi, la majorité des Kanaks restent peu instruits et cantonnés à des emplois subalternes.
On ne peut pas vraiment compter sur eux pour nous inventer un logiciel d’IA, ni pour vraiment financer notre dette publique…
Et entre tribus, la violence reste endémique : Les fêtes, arrosées d’alcool, dégénèrent régulièrement en rixes sanglantes à l’arme blanche.
Une coutume…
 
Pourtant, les autorités coutumières semblent obnubilées par une seule priorité : L’indépendance et les avantages qu’elle procure.
Elles exploitent un système politique et administratif hypertrophié, hérité des accords de Nouméa, qui génère rentes, postes et clientélisme, le tout financé par le contribuable « Gauloisien » métropolitain.
L’indépendance est d’ailleurs devenue un marqueur identitaire central, pour les Kanaks, peut-être le seul point commun entre les tribus !
Pourtant, dans les îles Loyauté et la province Nord, qui couvrent 80 % du territoire, les indépendantistes jouissent déjà d’une autonomie quasi totale : Mairies, structures sanitaires, écoles et administrations provinciales sont dirigées par des Kanaks.
À Ouvéa, tristement célèbre pour l’assaut de la grotte en 1988, l’État « Gauloisien-authentique » n’est représenté que par six gendarmes, dont la principale tâche est d’intervenir lors de violences… entre Kanaks.
 
Les chefs coutumiers, soucieux de préserver leur pouvoir, n’encouragent pas l’émancipation individuelle par l’éducation avec l’affranchissement des liens tribaux qu’elle implique souvent.
Une indépendance totale aurait, probablement dans ces conditions, des conséquences dramatiques : Les populations européennes, vietnamiennes ou wallisiennes, qui représentent 60 % des résidents (non électeurs), risqueraient une véritable purification ethnique, comme en témoignent les récentes émeutes où leurs commerces ont été sciemment visés.
 
Il est pourtant temps de tordre le cou à l’idée que les Kanaks seraient des citoyens de seconde zone. Aucun leader indépendantiste n’a condamné les émeutes de l’an dernier… presque tous en ont été complices !
Obsédés par leur revendication d’indépendance, ils semblent indifférents au fait que les populations kanakes sont les premières victimes des retombées économiques de ces violences : Chômage massif, tourisme en berne, services publics à l’agonie.
Encore hier on montrait des images de centres commerciaux ravagés depuis un an, le pays étant à l’arrêt, l’entrepreneuriat local ayant disparu dans la mesure où plus rien ne peut être assurés et tout peut être de nouveau pillé demain à la moindre étincelle, qu’il est difficile d’emprunter puisque plus personne ne veut prêter… à juste titre.
Ce n’est pas encore Gaza sous les tropiques, mais on s’y approche… C’est plutôt Haïti mais sans l’aide massive internationale.
 
Et comme « Menuet-Valse » sait en faire partout où il passe, son séjour aura été jugé dangereux, même par les autochtones…
Le « sinistre des Outremers » s’échinait en effet à négocier un compromis impossible entre indépendantistes et partisans du maintien dans la République espérant mériter la confiance dont il a été investi par « Bébé-roux-de-secours » espérant un « succès » qui aurait démontré que sa naissance n’aura pas été inutile à l’espèce humaine.
Car, et de tout façon, à un moment, l’État devra trancher.
Or, « aucun projet n’a pu recueillir de consensus », a-t-il déclaré après trois jours de négociations sur l’avenir institutionnel en Nouvelle-Calédonie entre les indépendantistes et les non-indépendantistes, expliquant que ce blocage empêche notamment de « régler la question de la composition du corps électoral », à l’origine de graves émeutes il y a quasiment un an, « et celle de l’exercice du droit à l’autodétermination ».
Le gouvernement devra donc « examiner le projet de convocation et d’organisation des élections provinciales conformément au cadre juridique actuellement en vigueur », a-t-il précisé.
Ces élections cruciales sur l’île, car d’elles découle la composition du gouvernement local, doivent se tenir théoriquement avant fin novembre 2025.
On verra bien à  ce moment-là…
 
Ces discussions sur l’avenir politique de l’archipel, menées depuis le début de l’année avaient pris un tour décisif avec la tenue à huis clos de ce « conclave » pour tenter de leur faire signer un accord. Mais aucune fumée blanche : Ils n’en veulent pas…
Car au cours de ces négociations, deux projets ont été examinés en profondeur, a expliqué le « sinistre de l’Outre-mer ». « L’un fondé sur une souveraineté avec la France », défendu par l’État, et « l’autre basé sur le fédéralisme au sein de la République française », porté notamment par les Loyalistes, l’une des branches des non-indépendantistes.
Mais « aucun projet n’a pu recueillir de consensus », a regretté « Menuet-Valse ».
Étonnement ?
Pas pour moâ : Ils préfèrent laisser pourrir la situation laissée par « Tonton-Yoyo » qu’on remerciera vivement au passage de poser ses crottes laissant à d’autres le soin de balayer…
Pas non plus pour mes « cousins-corsi » : Le projet des Loyalistes, selon le « sinistre », « mettait en cause, à nos yeux, l’unité et l’indivisibilité de la Nouvelle-Calédonie », à travers « un projet de partition de fait ».
Une sorte de solution comme à Haïti/République Dominicaine…
Alors que le projet présenté par le gouvernement, de son côté, avait suscité l’indignation des non-indépendantistes, qui estimaient qu’il revenait de fait à acter l’indépendance du territoire…
Que même les kanaks ne sont pas capables de voter pour … à trois reprises !
 
« Menuet-Valse » a toutefois salué un débat qui s’est « poursuivi de manière respectueuse » et non pas avec les flingues dégainés.
Il aura souligné que malgré l’échec des négociations, il a cru que des « points de convergence » ont été identifiés et affirme qu’un « comité de suivi » permettra de poursuivre ces travaux.
Ces discussions ont en revanche permis de remettre autour de la table des négociations les deux camps, dans un contexte marqué par les stigmates des émeutes de 2024, qui ont fait 14 morts et plus de deux milliards d’euros de dégâts, et une crise économique qui persiste encore.
 
Depuis, je vous le répète, les Kanaks ne savent même plus ce qu’ils demandent.
Les caldoches, si…
Mais eux sont allés à l’ékole de la République…
Bref, un coup (et un coût) pour rien : Mais ça, on s’en doutait déjà avant même que « Menuet-Valse » ne s’oblige à aller jusqu’à Nouméa aux frais de la princesse…
Il n’empêche, de moins point de vue, il est urgent que les caldoches et métropolitains qui vivent dans l’archipel redeviennent des « citoyen à part entière », autorisés à participer à des élections locales comme partout… dans l’UE (et même en « Corsica-Bella-Tchi-tchi ») !
Là, il y a urgence, une urgence démocratique, même si ça déplait à Pékin et à Bakou.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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