Sûrs d’agir pour le bien de l’humanité toute entière.
Moâ, ils me font marrer pendant qu’ils sidèrent
quelques autres.
Je veux parler de « Sicile-du-flot-vert » et de « Nicole-à-culot », tous les deux « ex-sinistres de l’écolologie ».
Et ils le font bien.
Figurez-vous qu’ils n’ont pas hésiter à alerter l’opinion
public des kouillons pour faire pression sur leurs gouvernements respectifs – et
quelques autres hors de nos frontières – pour faire admettre « l’urgence
climatique », cette fadaise qui attrape encore les moucherons partout où
le soleil se lève.
Comprenons-nous bien : Je ne suis pas spécialement un « climato-septique » et j’aspire, comme beaucoup, à laisser une planète plus propre à ma descendance que je ne l’ai reçue à ma naissance.
Je veux dire par là que ce qui aura pu être saccagé par
mes ancêtres, je ne peux pas revenir dessus, pas plus que vous toutes et tous.
Je veux dire par là que si nous cessions collectivement de polluer à outrance par nos comportements, j’en serai le premier ravi. À condition que le prix social à payer soit à notre portée. Et pour ça, je compte sur la formidable capacité inventive de mon espèce pour trouver des solutions optimales, plutôt que sur les lois des hommes.
Je veux dire par là que si on suppose avoir un problème climatique, premièrement ce n’est pas nouveau – à mon époque on parlait de « pluies acides » qui tuaient les forêts, pas des « pov’-ours-polaires » en train de pêcher depuis un glaçon ridicule parce que c’est plus facile à faire qu’au milieu de la banquise – et j’aimerai qu’on se penche un peu plus sur les conditions de vie des « petits-Biafrais » et autres populations affamées par diverses calamités (guerres perpétuelles, inondations, sécheresses extrêmes, sauterelles vagabondes, microbes et virus dans l’eau « potable ») au lieu de se dépêcher à inventer une multitude d’interdictions qui font caguer la plupart d’entre-nous bien planqués à l’abri de tous ces fléaux !
Je veux dire par là que la solution « simpliste » de présenter un seul coupable, le CO2 émis par nos respirations et diverses activités, alors que c’est un gaz rare qui n’est même pas assez abondant pour faire proliférer la végétation luxuriante que la planète a connu il y a encore quelques millions d’années pour faire vivre des herbivores monstrueux en denses troupeaux, me paraît tellement ridicule que c’est nous prendre tous pour des konnards de première catégorie !
Ce qui est une démarche exécrable à mes yeux…
Je constate seulement que les gaz d’échappement de nos
véhicules puent, que le ciel est zébré de trainées d’avions même par temps
clair et que les navires rejettent des fumées noires de suies jusque dans le
port d’Ajaccio.
Pour le reste, ce n’est pas les quelques centimètres/an de montée des eaux qui feront la différence quand on peut voir que les grandes marées se mesurent en plusieurs mètres.
Et que si la mer de glace recule, c’est qu’il n’y a pas assez de neige mais probablement plus d’eau qui vient arroser les tomates.
Sans omettre les cornichons…
Il faut dire que les cucurbitacées, quand on les arrose, même de konnerie en pluie fine, ça pousse bien !
Bref, nous vivons encore en « démocrature » et on peut ne pas avaler toutes les âneries qu’on nous présente régulièrement sans en penser moins pour autant.
Nous avons donc eu deux « Sinistres de l’écolologie »
militants de la deuxième heure, avec une mention particulière pour « Nicole-à-Culot »
qui patrouillait en avion et hélicoptère (même pas électriques) jusqu’au fin
fond du monde pour nous rapporter de splendides images d’endroits où ne
pourrons jamais promener nos guêtres.
Du moment que ce n’est pas lui qui paye, mais qu’il est payé, cher, pour nous faire rêver, pourquoi pas ?
Même si ce n’est pas vraiment une démarche « écolologiste » pur jus.
Je n’ai pas été le dernier à me régaler avec ses images, au moins autant que quand défilaient les reportages de Thalassa… (J’ai une appétence toute particulière pour la mer : C’est plat et ça ne monte pas, en tout cas moins que la montagne…).
La « Gauloisie-politique » peut amèrement regretter d’avoir installé naguère ces deux charognards de l’écologie dans le nid du pouvoir.
Démonstration.
Jeudi 14 octobre, Le tribunal administratif de Paris,
qui applique la loi votée par le Parlement sur présentation du pouvoir
exécutif, a enjoint à mon pays à « réparer le préjudice écologique »
causé par le non-respect des engagements de mon pays en matière de réduction
des émissions de gaz à effet de serre, le fameux CO2.
Les autres, les boues rouges, les algues vertes, les dégazages sauvages, les huiles de friture et les seringues sur les plages de Balagne, on s’en fout.
L’État, vous quoi, a maintenant jusqu’au 31 décembre 2022 pour économiser les 15 millions de tonnes de CO2 qu’il a « indument » rejeté dans l’atmosphère pendant la période 2015-2018…
C’est globalement l’équivalent de 3 centrales nucléaires à développer au détriment du gaz, du charbon et du pétrole.
Et cela en vertu d’une loi votée sous la pression desdits
personnages précités, et quelques autres, se sentant « porte-la-parole »
des minorités opprimées de l’opinion publique (jusque-là 5 % d’électeurs dans
les meilleures années), tous les autres (95 %) n’ayant rien demandé.
Car à l’origine de cette condamnation, on trouve, entre autres, « Sicile-Du-Flot-vert » et « Nicole-à-Culot » qui ne sont aujourd’hui que les dirigeants de deux des quatre ONG qui ont attaqué l’État en justice (la fondation Nicolas Hulot et Oxfam France).
Fabuleux, puisque les deux mêmes « écolologistes » participaient hier aux gouvernements et, dans ce cadre, ont patiemment sapé les bases d’une politique de l’énergie à même de répondre aux défis du réchauffement qu’ils dénonçaient par ailleurs avec la conviction du désespéré.
Je me souviens même du sieur « Nicole-à-culot » arpenter devant les caméras, sans mandat pour ne représenter que lui-même, les couloirs d’une réunion de la COP se tenant au Danemark, ancienne donc, nous expliquer que de toute façon c’était déjà trop tard…
Alors à quoi bon, avais-je envie de lui répondre à l’époque !
Rappelons qu’en tant que secrétaire nationale d’Europe
Écolologie les Verts, « Sicile-Du-flot-vert » a négocié en 2012 un
accord politique avec le Parti des « soces » prévoyant la fermeture
de la Centrale de Fessenheim.
C’était bien après qu’une infirmière, également « Sinistre écolologique », ait décidé la fermeture de « Superphénix », qui aura permis à mon pays et ses ingénieurs de prendre 20 ans de retard sur la technologie des sels fondus que relancent actuellement, « Ricains », Chinois, Russes et Indiens, alors que « Jupiter » espère encore attraper le train de ces technologies prometteuses, là où « Le Chi » aura précipité le pays dans un « super Tokamak » avec Iter.
« On n’a pas de pétrole dans mon pays, mais on a des idées », qu’en disait « Giskar-A-la-barre » : C’est une évidence quand il s’agit de balancer des montagnes d’argent public en pure perte (jusqu’à financer des « avions renifleurs » sous « son règne » et couper les financements de l’aérotrain, là où Chinois et Nippons font désormais mieux que nous…)
Miss « Sicile-du-Flot-vert » participa ensuite
au gouvernement qui prit officiellement la décision du démantèlement de Fessenheim.
Et « Nicole-à-Culot », qui fut ministre en charge de l’écolologie entre mai 2017 et septembre 2018, a poursuivi les actions en vue de la fermeture.
Faites donc le calcul : Le surcroît d’émission lié à l’arrêt des réacteurs de Fessenheim est estimé, selon la Revue Générale Nucléaire, entre « 6 et 10 millions de tonnes équivalent CO2 par an »…
On en cherche 15 millions au total : Le calcul est vite fait…
Paradoxalement, et au-delà de cette affaire particulière, ces deux-là ont par ailleurs été deux acteurs importants de la décision prise par l’État de réduire la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité !
L’atome, pourtant, est l’un des moyens les plus efficaces pour produire une électricité « décarbonnée » bon marché et c’est un des atouts économiques et écologiques majeurs de mon pays…
Après avoir quitté leurs responsabilités
gouvernementales, ils sont naturellement retournés tous les deux tranquillement
sur leurs rochers associatifs, l’esprit serein du devoir accompli.
Sur leurs promontoires, on les imagine devisant peut-être du mal qu’ils venaient de faire et surtout du mal qu’ils pourraient encore faire.
C’est d’ailleurs sans aucun scrupule qu’ils ont décidé de se retourner contre leurs anciens alliés, ceux qui les avaient faits rois.
Autrement dit, leurs démarches répétées comme d’une consigne dogmatique, c’est de cracher dans la main qui leur donne à manger…
Fameuse attitude !
Tout faire, du dedans, pour réduire les performances de l’État en termes de lutte contre les rejets de CO2 et tout faire, du dehors, pour accuser l’État de ne jamais en faire assez !
Mais au fond, les dirigeants de l’État, en votre nom,
l’ont finalement bien cherché…
Du moment que c’est vous qui payez, bien sûr.
Moâ, je serai mort avant d’y parvenir.
De ces « écolologistes », ils ont repris, sans nuance, le discours de l’apocalypse climatique et, avec naïveté, leurs préconisations « d’objectifs chiffrés » dont tout le monde sait, depuis l’échec de Kyoto (qui ne date pas d’hier), qu’ils sont impossibles à atteindre, et c’est dramatique pour « la vraie écologie » d’une planète propre…
En tout cas plus propre que celle qu’on a trouvé en naissant ici et à cette époque-là.
L’ironie de cette histoire est qu’à cette heure, si la
centrale de Fessenheim était restée en fonctionnement en 2020 et 2021, elle
aurait pu compenser le « trop plein » de CO2 émis pendant la
période incriminée (2015-2018).
Pour répondre à l’injonction du tribunal administratif et clouer le bec à ces oiseaux de mauvais augure, la solution est donc peut-être toute trouvée : Redémarrer les réacteurs de Fessenheim !
Et de démultiplier les nouvelles installations à venir…
Magnifique résultat pour des « anti-nucléaires » assumés !
Eux, ils savent depuis Tchernobyl et Fukushima, que le
nucléaire c’est dangereux.
Moâ, je le savais depuis Hiroshima.
Mais autant ce dernier est un exemple d’utilisation volontaire qui aura mis fin à la seconde guerre mondiale évitant des centaines de milliers de morts de GI’s et autres « boys » parmi les alliés et de tous les camps du champ de bataille, autant cette technologie aura été le principal levier de la guerre froide qui aura servi à maintenir la paix sur nos territoires, vaille que vaille, pendant plus de 70 ans.
Autant le premier « accident » est dû à une erreur humaine et à un défaut de conception, autant le second était dû à une succession d’erreurs humaines face à un tsunami aux effets mal anticipés : Je rappelle à cet effet que deux autres centrales nippones exploitées à proximité de Fukushima ont subi le même tsunami, le même tremblement de terre et ont été arrêtées à temps pour éviter tout accident d’exploitation, elles.
En bref, prendre l’avion, traverser la rue ou le boulevard, c’est également dangereux et ce sont des erreurs humaines qui en sont principalement la cause, y compris pour le 737-Max (un mauvais calcul d’ingénieur).
Et qu’il y a encore 3.000 morts par an sur les chemins publics en « Gauloisie-routière »…
Et je ne raconte pas les ravages de la malnutrition ou ceux de la manipulation génétique de virus « augmentés », n’est-ce pas…
En conclusion, point trop n’en fasse. Je veux bien
écouter les paraboles des « cyniques écolologistes » au nom de la
liberté d’expression et de celle des « opinions », leur catastrophisme
outrecuidant, leurs prophéties de malheur et même leurs thèses « déclinistes »,
mais de là à payer pour m’être laissé racketter par les mêmes quand ils
accèdent « aux manettes », je la trouve vraiment insolente !
Car inutile de vous dire qu’en un peu plus d’un an, jamais on ne « rattrapera » le retard pris depuis 2015.
Et puis si on paye une amende, on la paye à qui au juste ?
Au Trésor public… avec les sous du Trésor public !
C’est dire le délire de tous ces personnages qui devraient se cacher…
Et se laisser mourir sans un mot, comme le loup d’Alfred de Vigny : Une grande leçon d’humilité de la condition humaine (et animale) sur cette planète qui compte, hélas, tant de fats impétueux !
Je veux parler de « Sicile-du-flot-vert » et de « Nicole-à-culot », tous les deux « ex-sinistres de l’écolologie ».
Et ils le font bien.
Comprenons-nous bien : Je ne suis pas spécialement un « climato-septique » et j’aspire, comme beaucoup, à laisser une planète plus propre à ma descendance que je ne l’ai reçue à ma naissance.
Je veux dire par là que si nous cessions collectivement de polluer à outrance par nos comportements, j’en serai le premier ravi. À condition que le prix social à payer soit à notre portée. Et pour ça, je compte sur la formidable capacité inventive de mon espèce pour trouver des solutions optimales, plutôt que sur les lois des hommes.
Je veux dire par là que si on suppose avoir un problème climatique, premièrement ce n’est pas nouveau – à mon époque on parlait de « pluies acides » qui tuaient les forêts, pas des « pov’-ours-polaires » en train de pêcher depuis un glaçon ridicule parce que c’est plus facile à faire qu’au milieu de la banquise – et j’aimerai qu’on se penche un peu plus sur les conditions de vie des « petits-Biafrais » et autres populations affamées par diverses calamités (guerres perpétuelles, inondations, sécheresses extrêmes, sauterelles vagabondes, microbes et virus dans l’eau « potable ») au lieu de se dépêcher à inventer une multitude d’interdictions qui font caguer la plupart d’entre-nous bien planqués à l’abri de tous ces fléaux !
Je veux dire par là que la solution « simpliste » de présenter un seul coupable, le CO2 émis par nos respirations et diverses activités, alors que c’est un gaz rare qui n’est même pas assez abondant pour faire proliférer la végétation luxuriante que la planète a connu il y a encore quelques millions d’années pour faire vivre des herbivores monstrueux en denses troupeaux, me paraît tellement ridicule que c’est nous prendre tous pour des konnards de première catégorie !
Ce qui est une démarche exécrable à mes yeux…
Pour le reste, ce n’est pas les quelques centimètres/an de montée des eaux qui feront la différence quand on peut voir que les grandes marées se mesurent en plusieurs mètres.
Et que si la mer de glace recule, c’est qu’il n’y a pas assez de neige mais probablement plus d’eau qui vient arroser les tomates.
Sans omettre les cornichons…
Il faut dire que les cucurbitacées, quand on les arrose, même de konnerie en pluie fine, ça pousse bien !
Bref, nous vivons encore en « démocrature » et on peut ne pas avaler toutes les âneries qu’on nous présente régulièrement sans en penser moins pour autant.
Du moment que ce n’est pas lui qui paye, mais qu’il est payé, cher, pour nous faire rêver, pourquoi pas ?
Même si ce n’est pas vraiment une démarche « écolologiste » pur jus.
Je n’ai pas été le dernier à me régaler avec ses images, au moins autant que quand défilaient les reportages de Thalassa… (J’ai une appétence toute particulière pour la mer : C’est plat et ça ne monte pas, en tout cas moins que la montagne…).
La « Gauloisie-politique » peut amèrement regretter d’avoir installé naguère ces deux charognards de l’écologie dans le nid du pouvoir.
Démonstration.
Les autres, les boues rouges, les algues vertes, les dégazages sauvages, les huiles de friture et les seringues sur les plages de Balagne, on s’en fout.
L’État, vous quoi, a maintenant jusqu’au 31 décembre 2022 pour économiser les 15 millions de tonnes de CO2 qu’il a « indument » rejeté dans l’atmosphère pendant la période 2015-2018…
C’est globalement l’équivalent de 3 centrales nucléaires à développer au détriment du gaz, du charbon et du pétrole.
Car à l’origine de cette condamnation, on trouve, entre autres, « Sicile-Du-Flot-vert » et « Nicole-à-Culot » qui ne sont aujourd’hui que les dirigeants de deux des quatre ONG qui ont attaqué l’État en justice (la fondation Nicolas Hulot et Oxfam France).
Fabuleux, puisque les deux mêmes « écolologistes » participaient hier aux gouvernements et, dans ce cadre, ont patiemment sapé les bases d’une politique de l’énergie à même de répondre aux défis du réchauffement qu’ils dénonçaient par ailleurs avec la conviction du désespéré.
Je me souviens même du sieur « Nicole-à-culot » arpenter devant les caméras, sans mandat pour ne représenter que lui-même, les couloirs d’une réunion de la COP se tenant au Danemark, ancienne donc, nous expliquer que de toute façon c’était déjà trop tard…
Alors à quoi bon, avais-je envie de lui répondre à l’époque !
C’était bien après qu’une infirmière, également « Sinistre écolologique », ait décidé la fermeture de « Superphénix », qui aura permis à mon pays et ses ingénieurs de prendre 20 ans de retard sur la technologie des sels fondus que relancent actuellement, « Ricains », Chinois, Russes et Indiens, alors que « Jupiter » espère encore attraper le train de ces technologies prometteuses, là où « Le Chi » aura précipité le pays dans un « super Tokamak » avec Iter.
« On n’a pas de pétrole dans mon pays, mais on a des idées », qu’en disait « Giskar-A-la-barre » : C’est une évidence quand il s’agit de balancer des montagnes d’argent public en pure perte (jusqu’à financer des « avions renifleurs » sous « son règne » et couper les financements de l’aérotrain, là où Chinois et Nippons font désormais mieux que nous…)
Et « Nicole-à-Culot », qui fut ministre en charge de l’écolologie entre mai 2017 et septembre 2018, a poursuivi les actions en vue de la fermeture.
Faites donc le calcul : Le surcroît d’émission lié à l’arrêt des réacteurs de Fessenheim est estimé, selon la Revue Générale Nucléaire, entre « 6 et 10 millions de tonnes équivalent CO2 par an »…
On en cherche 15 millions au total : Le calcul est vite fait…
Paradoxalement, et au-delà de cette affaire particulière, ces deux-là ont par ailleurs été deux acteurs importants de la décision prise par l’État de réduire la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité !
L’atome, pourtant, est l’un des moyens les plus efficaces pour produire une électricité « décarbonnée » bon marché et c’est un des atouts économiques et écologiques majeurs de mon pays…
Sur leurs promontoires, on les imagine devisant peut-être du mal qu’ils venaient de faire et surtout du mal qu’ils pourraient encore faire.
C’est d’ailleurs sans aucun scrupule qu’ils ont décidé de se retourner contre leurs anciens alliés, ceux qui les avaient faits rois.
Autrement dit, leurs démarches répétées comme d’une consigne dogmatique, c’est de cracher dans la main qui leur donne à manger…
Fameuse attitude !
Tout faire, du dedans, pour réduire les performances de l’État en termes de lutte contre les rejets de CO2 et tout faire, du dehors, pour accuser l’État de ne jamais en faire assez !
Du moment que c’est vous qui payez, bien sûr.
Moâ, je serai mort avant d’y parvenir.
De ces « écolologistes », ils ont repris, sans nuance, le discours de l’apocalypse climatique et, avec naïveté, leurs préconisations « d’objectifs chiffrés » dont tout le monde sait, depuis l’échec de Kyoto (qui ne date pas d’hier), qu’ils sont impossibles à atteindre, et c’est dramatique pour « la vraie écologie » d’une planète propre…
En tout cas plus propre que celle qu’on a trouvé en naissant ici et à cette époque-là.
Pour répondre à l’injonction du tribunal administratif et clouer le bec à ces oiseaux de mauvais augure, la solution est donc peut-être toute trouvée : Redémarrer les réacteurs de Fessenheim !
Et de démultiplier les nouvelles installations à venir…
Magnifique résultat pour des « anti-nucléaires » assumés !
Moâ, je le savais depuis Hiroshima.
Mais autant ce dernier est un exemple d’utilisation volontaire qui aura mis fin à la seconde guerre mondiale évitant des centaines de milliers de morts de GI’s et autres « boys » parmi les alliés et de tous les camps du champ de bataille, autant cette technologie aura été le principal levier de la guerre froide qui aura servi à maintenir la paix sur nos territoires, vaille que vaille, pendant plus de 70 ans.
Autant le premier « accident » est dû à une erreur humaine et à un défaut de conception, autant le second était dû à une succession d’erreurs humaines face à un tsunami aux effets mal anticipés : Je rappelle à cet effet que deux autres centrales nippones exploitées à proximité de Fukushima ont subi le même tsunami, le même tremblement de terre et ont été arrêtées à temps pour éviter tout accident d’exploitation, elles.
En bref, prendre l’avion, traverser la rue ou le boulevard, c’est également dangereux et ce sont des erreurs humaines qui en sont principalement la cause, y compris pour le 737-Max (un mauvais calcul d’ingénieur).
Et qu’il y a encore 3.000 morts par an sur les chemins publics en « Gauloisie-routière »…
Et je ne raconte pas les ravages de la malnutrition ou ceux de la manipulation génétique de virus « augmentés », n’est-ce pas…
Car inutile de vous dire qu’en un peu plus d’un an, jamais on ne « rattrapera » le retard pris depuis 2015.
Et puis si on paye une amende, on la paye à qui au juste ?
Au Trésor public… avec les sous du Trésor public !
C’est dire le délire de tous ces personnages qui devraient se cacher…
Et se laisser mourir sans un mot, comme le loup d’Alfred de Vigny : Une grande leçon d’humilité de la condition humaine (et animale) sur cette planète qui compte, hélas, tant de fats impétueux !
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