Bon pour la santé ?
Je vous pose la question, parce qu’on a beau se tourner et se retourner, l’actualité
politique de mon pays est une vaste « morne-plaine » : Les LRD
ont fini de débattre entre eux et ce n’est pas très réjouissant.
L’un fait du « Bling-bling » en moins bien, l’autre singe « Zézé-Amour », la « meuf » » du lot s’y croit déjà, « Barre-Niée » se veut sérieux et le dernier n’a pas l’étoffe d’un chef d’État.
Chez les « soces », c’est du pareil au même : Ils n’ont rien à dire des « valeurs de gôche ».
Idem chez les « écololos » qui tentent de tirer la couverture à eux sur « tapis-vert » sans en référer à l’électeur.
Quant aux autres, ils restent cantonnés dans leurs « clusters-dogmatiques » sans même se rendre compte que la guerre est terminée depuis belle lurette.
Il n’y a vraiment qu’à l’extrême-droâte qu’ils s’amusent encore à faire peur aux bourgeois et à quelques-uns qui se sentent visés. Comme ceux-là ne votent qu’avec leurs pieds, ça ne fera pas la différence : Presque trop facile !
Côté pandémie de « Conard-virus », eh bien tout se passe comme
prévu : Ça enfle, mais on devrait passer le cap des fêtes de fin d’année
sans trop de dégâts.
Quoique…
Personnellement, j’ai déjà programmé ma 4ème dose d’un vaccin qui n’en est pas vraiment un pour le mois de juin afin de disposer de mon corps comme je l’entends durant l’été prochain.
Tout cela est tellement prévisible que j’en reste persuadé que d’autres ont écrit le scénario et que tout le monde s’y tient.
Dans ce cadre-là, le scénario de la réélection de « Jupiter » est déjà écrit, mais là c’est moâ qui vous l’écrit depuis l’été dernier… pour l’été prochain.
Et ça avance doucettement.
Il faut dire que c’est compliqué que de vouloir être complet.
Alors je me suis penché sur autre chose. Un petit entrefilet « scientifique »
qui n’aura pas fait buzz mais qui me pousse à me poser des questions
superfétatoires : Être végétarien est-ce bon pour la santé ?
C’est parce que j’ai une nièce qui l’est devenue après un séjour en Inde et qu’elle m’emmerde à chaque fois que je lui fais une salade piémontaise : Et pas de ceci et pas de cela et pas trop de ça…
« Euh, tu veux juste des patates à l’huile, au juste ? »
Pour répondre à la question à votre place, en ce qui me concerne, j’en doute. Notamment quand je vois mon chat baffrer de l’herbe avec plaisir et en dégueuler par la suite. Même qu’il m’arrive de marcher dedans au réveil.
C’était pareil pour mon chien : Lui mangeait tout ce qui tombait de la table et des assiettes, avec une préférence pour le sucre, mais aussi du gazon dès qu’il en trouvait.
Mais ça le rendait également patraque.
Bref, moâ, je ne mange pas d’herbe : Je mange les bêtes qui mangent
de l’herbe, nuance.
Ce n’est pas pour rien que l’espèce humaine aura raccourci son tube digestif, jusqu’à réduire sa panse initiale à un appendice ridicule qui ne sert à rien sauf à s’infecter (et faire des appendicites occasionnelles), pour aller diriger le sang ainsi épargné jusqu’au cerveau qui aura pu enfler, tel que certains spécimens en ont « le melon » (Cf. les candidats LRD
ci-avant).
Mais il manquait quelques études « scientifiques » pour confirmer mon point de vue de béotien.
C’est chose faite.
Car, et ce n’est un secret pour personne, la plupart des végétariens sont
souvent des écologistes radicaux et des alarmistes du climat particulièrement
hystériques. Or, il est possible que l’université de Graz en Autriche ait
découvert une raison à cela : Leur régime alimentaire malsain !
La nouvelle étude de l’université de Graz conclut que les végétariens sont plus souvent malades et ont une qualité de vie moindre que celle des personnes mangeant de la viande !
Bien fait : La double peine.
Tu manges de l’herbe, ça te rend malade, donc tu deviens acariâtre et finalement écologiste !
C’est dire la déchéance intellectuelle des « écololos-bobos »…
Et selon le communiqué de la presse allemande, les végétariens sont « plus
souvent sujets aux cancers et aux problèmes cardiaques ». L’article déclare
également qu’ils sont plus souvent atteints de troubles d’ordre psychologique…
Tout est dit… : Des cinglés !
En conséquence, écrit le rapport, ils représentent une plus grande charge dans le système de sécurité sociale !
Les salauds…
Si encore ils vivaient moins longtemps, ils participeraient ainsi à l’équilibre des régimes de retraites, mais l’étude ne le précise pas…
Selon le communiqué de presse, les scientifiques ont étudié des données de
l’Austrian Health Interview Survey (AT-HIS), qui fait également partie d’une
des enquêtes les plus importantes et reconnues de l’UE (European Health
Interview Survey).
Ces scientifiques germanophones ont utilisé un panel d’un total de 1.320 personnes divisées en 4 groupes de 330 personnes chacun. Tous les groupes étaient comparables en termes de sexe, d’âge et de statut socio-économique.
Cette étude prenait également en compte le tabagisme ainsi que l’activité physique.
L’IMC (Indice de Masse Corporelle) se trouvait également dans la moyenne (22,9 – 24,9, loin de la mienne…) pour les quatre groupes. La seule chose vraiment différente parmi ceux-ci était seulement leur régime alimentaire.
Les quatre groupes étaient : végétariens ; mangeurs de viande avec
beaucoup de fruits et de légumes ; mangeant très peu de viande ; mangeant
beaucoup de viande.
Le communiqué de presse indique ainsi que les résultats contredisent les clichés communs qu’on veut bien nous faire valoir, à savoir que le fait que les régimes sans viande sont plus sains.
Mon œil : Les végétariens ont deux fois plus d’allergies que le groupe mangeant beaucoup de viande (30,6 % contre 16,7 %) et ils sont soumis à un taux supérieur de 166 % de risque de cancer (4,8 % contre 1,8 %).
De plus, les scientifiques ont découvert que les végétaliens avaient un taux de risque de cardiopathie supérieur de 150 % (1,5 % contre 0,6 %).
Au total, ils ont étudié près de 18 maladies chroniques différentes : Comparés aux mangeurs de viande, les végétariens étaient davantage touchés pour 14 d’entre elles (78 %) y compris l’asthme, le diabète, les migraines et l’ostéoporose.
L’autisme, on ne sait pas encore…
Et puis ils n’ont pas vraiment mesuré le QI de la cohorte : Dommage.
L’université de médecine de Graz confirme en réalité les découvertes
faites par l’université d’Hildesheim : Les troubles psychologiques sont plus
fréquents chez les végétariens, déclare le communiqué de presse.
Dans cette analyse, l’université de Graz remarque que les végétariens étaient deux fois plus sujets à l’anxiété et à la dépression que les gros mangeurs de viande (9,4 % contre 4,5 %).
Un résultat confirmé par l’université d’Hildesheim qui avait noté que les végétariens souffraient de façon plus significative de dépression, d’anxiété, de maux psychosomatiques et de troubles alimentaires.
Les scientifiques de Graz révèlent également que les végétariens tombent plus souvent malades et se rendent plus souvent chez le médecin.
Ils ont tort : Moins ils seront soignés, plus on évitera de se les coltiner toute une vie… qu’ils ont en plus désagréables…
Les mangeurs de viande apparaissent également comme ayant une « qualité
de vie bien meilleure toutes catégories confondues » comme le démontre
l’étude. Les quatre catégories étudiées étaient : santé physique et
psychologique, relations sociales et qualité de vie liée à l’environnement.
Donc, une fois de plus, il ne s’agit pas de la première étude qui a récemment contredit l’idée que les végétariens vivaient plus sainement. L’étude la plus importante au monde concernant la nutrition (EPIC) indique qu’ils ont, au contraire, tendance à mourir plus jeunes.
(Ouf…)
Récemment, des experts ont démontré que les bénéfices sanitaires présumés
liés à un régime végétarien tiennent plus du bureau des mythes et des légendes.
Par exemple, selon le Professeur Ulrich Voderholzer, Directeur et Chef Médecin
de la Schön Klinik Roseneck et expert en troubles alimentaires, les promesses
faites par les associations végétariennes « ne sont pas scientifiquement
prouvées. »
Le communiqué de presse de l’université de Graz déclare ainsi que : « Il s’agit plus d’un message idéologique qui suggère de fausses promesses. »
Avant d’ajouter : « Concernant la prévention des cancers grâce aux fruits et légumes, le Prof. Rudolf Kaaks du Centre de Recherche Allemand sur le Cancer DKFZ indiquait : « Il n’y a pas de relation ; 0,0 % ». »
Personnellement, j’en fais tout de même 5 par jour pour faire plaisir à « ma Nichée » qui insiste : 5 petit-pois ou 5 haricots-verts, ou 5 grains de riz (ce poison à glucide), mais je préfère 5 cerises, seulement quand il y en a !
Par conséquent, les « écololos » ne sont pas seulement crédules
en matière de science climatique, mais nombreux sont ceux qui le sont aussi à
propos des sciences nutritionnelles.
Les mangeurs de barres de céréales et câlineurs d’arbres bisounours semblent donc être les plus mal informés de la planète.
Mais, bien mieux, l’État-nounou se trompe également sur la nutrition.
Les « progressistes » ont tendance à penser que l’État sait mieux tout que tout le monde. Le fiasco en cours sur la mauvaise information qu’il nous donne au sujet de la nutrition devrait les faire réfléchir.
Mais on en reparlera une autre fois.
Pour l’heure, je savoure la défaite des « blacks » au stade de Gauloisie : C’était également marqué comme ça, puisqu’ils jouaient « en négatif », autrement dit en blanc : Quelle hérésie !
Avant que je ne tombe sur cet extrait de la presse teutonne dont je
partage jusqu’ici tout le sel.
Qu’on évite de s’occuper de ce qu’il y a dans vos assiettes : Mangez donc ce qu’il vous plait de manger (et buvez de la même façon) : De toute façon, comme disait je ne sais plus quel humouriste des années 80, « T’y manges, t’y manges pas, t’y crèves quand même ! »
(C’était une rubrique de « La science en marche », exceptionnellement déportée en ce mardi…)
L’un fait du « Bling-bling » en moins bien, l’autre singe « Zézé-Amour », la « meuf » » du lot s’y croit déjà, « Barre-Niée » se veut sérieux et le dernier n’a pas l’étoffe d’un chef d’État.
Chez les « soces », c’est du pareil au même : Ils n’ont rien à dire des « valeurs de gôche ».
Idem chez les « écololos » qui tentent de tirer la couverture à eux sur « tapis-vert » sans en référer à l’électeur.
Quant aux autres, ils restent cantonnés dans leurs « clusters-dogmatiques » sans même se rendre compte que la guerre est terminée depuis belle lurette.
Il n’y a vraiment qu’à l’extrême-droâte qu’ils s’amusent encore à faire peur aux bourgeois et à quelques-uns qui se sentent visés. Comme ceux-là ne votent qu’avec leurs pieds, ça ne fera pas la différence : Presque trop facile !
Quoique…
Personnellement, j’ai déjà programmé ma 4ème dose d’un vaccin qui n’en est pas vraiment un pour le mois de juin afin de disposer de mon corps comme je l’entends durant l’été prochain.
Tout cela est tellement prévisible que j’en reste persuadé que d’autres ont écrit le scénario et que tout le monde s’y tient.
Dans ce cadre-là, le scénario de la réélection de « Jupiter » est déjà écrit, mais là c’est moâ qui vous l’écrit depuis l’été dernier… pour l’été prochain.
Et ça avance doucettement.
Il faut dire que c’est compliqué que de vouloir être complet.
C’est parce que j’ai une nièce qui l’est devenue après un séjour en Inde et qu’elle m’emmerde à chaque fois que je lui fais une salade piémontaise : Et pas de ceci et pas de cela et pas trop de ça…
« Euh, tu veux juste des patates à l’huile, au juste ? »
Pour répondre à la question à votre place, en ce qui me concerne, j’en doute. Notamment quand je vois mon chat baffrer de l’herbe avec plaisir et en dégueuler par la suite. Même qu’il m’arrive de marcher dedans au réveil.
C’était pareil pour mon chien : Lui mangeait tout ce qui tombait de la table et des assiettes, avec une préférence pour le sucre, mais aussi du gazon dès qu’il en trouvait.
Mais ça le rendait également patraque.
Ce n’est pas pour rien que l’espèce humaine aura raccourci son tube digestif, jusqu’à réduire sa panse initiale à un appendice ridicule qui ne sert à rien sauf à s’infecter (et faire des appendicites occasionnelles), pour aller diriger le sang ainsi épargné jusqu’au cerveau qui aura pu enfler, tel que certains spécimens en ont « le melon » (Cf. les candidats LR
Mais il manquait quelques études « scientifiques » pour confirmer mon point de vue de béotien.
C’est chose faite.
La nouvelle étude de l’université de Graz conclut que les végétariens sont plus souvent malades et ont une qualité de vie moindre que celle des personnes mangeant de la viande !
Bien fait : La double peine.
Tu manges de l’herbe, ça te rend malade, donc tu deviens acariâtre et finalement écologiste !
C’est dire la déchéance intellectuelle des « écololos-bobos »…
Tout est dit… : Des cinglés !
En conséquence, écrit le rapport, ils représentent une plus grande charge dans le système de sécurité sociale !
Les salauds…
Si encore ils vivaient moins longtemps, ils participeraient ainsi à l’équilibre des régimes de retraites, mais l’étude ne le précise pas…
Ces scientifiques germanophones ont utilisé un panel d’un total de 1.320 personnes divisées en 4 groupes de 330 personnes chacun. Tous les groupes étaient comparables en termes de sexe, d’âge et de statut socio-économique.
Cette étude prenait également en compte le tabagisme ainsi que l’activité physique.
L’IMC (Indice de Masse Corporelle) se trouvait également dans la moyenne (22,9 – 24,9, loin de la mienne…) pour les quatre groupes. La seule chose vraiment différente parmi ceux-ci était seulement leur régime alimentaire.
Le communiqué de presse indique ainsi que les résultats contredisent les clichés communs qu’on veut bien nous faire valoir, à savoir que le fait que les régimes sans viande sont plus sains.
Mon œil : Les végétariens ont deux fois plus d’allergies que le groupe mangeant beaucoup de viande (30,6 % contre 16,7 %) et ils sont soumis à un taux supérieur de 166 % de risque de cancer (4,8 % contre 1,8 %).
De plus, les scientifiques ont découvert que les végétaliens avaient un taux de risque de cardiopathie supérieur de 150 % (1,5 % contre 0,6 %).
Au total, ils ont étudié près de 18 maladies chroniques différentes : Comparés aux mangeurs de viande, les végétariens étaient davantage touchés pour 14 d’entre elles (78 %) y compris l’asthme, le diabète, les migraines et l’ostéoporose.
L’autisme, on ne sait pas encore…
Et puis ils n’ont pas vraiment mesuré le QI de la cohorte : Dommage.
Dans cette analyse, l’université de Graz remarque que les végétariens étaient deux fois plus sujets à l’anxiété et à la dépression que les gros mangeurs de viande (9,4 % contre 4,5 %).
Un résultat confirmé par l’université d’Hildesheim qui avait noté que les végétariens souffraient de façon plus significative de dépression, d’anxiété, de maux psychosomatiques et de troubles alimentaires.
Les scientifiques de Graz révèlent également que les végétariens tombent plus souvent malades et se rendent plus souvent chez le médecin.
Ils ont tort : Moins ils seront soignés, plus on évitera de se les coltiner toute une vie… qu’ils ont en plus désagréables…
Donc, une fois de plus, il ne s’agit pas de la première étude qui a récemment contredit l’idée que les végétariens vivaient plus sainement. L’étude la plus importante au monde concernant la nutrition (EPIC) indique qu’ils ont, au contraire, tendance à mourir plus jeunes.
(Ouf…)
Le communiqué de presse de l’université de Graz déclare ainsi que : « Il s’agit plus d’un message idéologique qui suggère de fausses promesses. »
Avant d’ajouter : « Concernant la prévention des cancers grâce aux fruits et légumes, le Prof. Rudolf Kaaks du Centre de Recherche Allemand sur le Cancer DKFZ indiquait : « Il n’y a pas de relation ; 0,0 % ». »
Personnellement, j’en fais tout de même 5 par jour pour faire plaisir à « ma Nichée » qui insiste : 5 petit-pois ou 5 haricots-verts, ou 5 grains de riz (ce poison à glucide), mais je préfère 5 cerises, seulement quand il y en a !
Les mangeurs de barres de céréales et câlineurs d’arbres bisounours semblent donc être les plus mal informés de la planète.
Mais, bien mieux, l’État-nounou se trompe également sur la nutrition.
Les « progressistes » ont tendance à penser que l’État sait mieux tout que tout le monde. Le fiasco en cours sur la mauvaise information qu’il nous donne au sujet de la nutrition devrait les faire réfléchir.
Mais on en reparlera une autre fois.
Pour l’heure, je savoure la défaite des « blacks » au stade de Gauloisie : C’était également marqué comme ça, puisqu’ils jouaient « en négatif », autrement dit en blanc : Quelle hérésie !
Qu’on évite de s’occuper de ce qu’il y a dans vos assiettes : Mangez donc ce qu’il vous plait de manger (et buvez de la même façon) : De toute façon, comme disait je ne sais plus quel humouriste des années 80, « T’y manges, t’y manges pas, t’y crèves quand même ! »
(C’était une rubrique de « La science en marche », exceptionnellement déportée en ce mardi…)
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