Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 14 novembre 2021

L’avenir des espèces…

La reproduction sans mâle !
 
Chez les condors de Californie, une espèce toujours menacée, les dames ont cependant pu reprendre leur essor grâce à ce phénomène peut-être plus courant qu’on ne l’imagine.
 
C’est le plus grand oiseau volant d’Amérique du Nord, rapporte The Guardian.
Avec son envergure d'environ 3 mètres, le condor de Californie peut atteindre une altitude de près de 4,5 kilomètres, soit la moitié de celle atteinte par un avion de ligne.
Mais ce n’est plus la seule spécificité de cette espèce : Les scientifiques viennent en effet de découvrir qu’en l’absence de mâles, les femelles parvenaient tout de même à se reproduire entre elles.
 
C’est ce qu’on appelle la parthénogenèse, mode de reproduction étudié pour la première fois en 1740 par le naturaliste et philosophe Charles Bonnet.
Il avait alors découvert que des pucerons étaient capables de se reproduire indépendamment de toute sexualité, le développement d’un individu pouvant se dérouler à partir d’un ovule non fécondé !
 
Le responsable du département génétique et biodiversité pour le pôle californien de l’ONG Wildlife Alliance, qui travaille avec le zoo de San Diego sur la préservation des animaux sauvages, explique que les condors sont en danger depuis un siècle.
Les Européens qui se sont installés dans l’Ouest ont souvent tué, empoisonné ou capturé ces oiseaux, mais également collecté leurs œufs.
En 1982, on ne comptait plus que 22 individus, et leur extinction semblait quasiment inéluctable.
 
Plus récemment, grâce à l’action du zoo de San Diego, la population est remontée à environ 900 condors de Californie. Dernièrement, des analyses ADN ont été menées sur ces animaux afin de déterminer les liens de parenté entre eux et d’éviter la consanguinité et leurs effets.
Ces recherches ont abouti à des résultats imprévus, qui ont posé question.
Ledit responsable décrit notamment le cas de deux femelles venues d’un œuf dépourvu du matériel génétique de leur père présumé !
Une découverte inattendue mais confirmée à de multiples reprises par différentes méthodes d’analyse.
 
De fil en aiguille, lui et son équipe ont abouti à la conclusion qu’il y avait eu parthénogenèse. Un phénomène qui survient principalement lorsque les femelles n’ont pas accès aux mâles.
Or, ce n’est apparemment pas le cas chez les condors de Californie : Il reste des mâles, et ceux-ci sont « accessibles ».
Cette découverte ouvre donc des perspectives immenses, puisqu’elle indique la possibilité que bien d’autres espèces pratiquent la parthénogenèse sans que nous en ayons eu conscience jusqu’ici.
Elle permet aussi d’envisager un fonctionnement de l’espèce tournant uniquement autour des femelles.
 
Ce mode de reproduction n’est pas sans conséquence : Si les condors peuvent vivre une cinquantaine d’années, les deux derniers mâles conçus par parthénogenèse étaient peu développés et ont vécu respectivement moins de 2 ans et moins de 8 ans, avant même d’atteindre la maturité sexuelle.
 
Le groupe de recherche espèrent maintenant pouvoir étudier des spécimens des XIXème et XXème siècle afin de déterminer comment et quand la parthénogenèse s’est mise en place au sein de l’espèce.
Voilà qui serait prémonitoire, voire seulement prometteur.
Je m’explique : Une organisation sociale matriarcale, on en manque dans l’espèce Sapiens-sapiens des hominidés.
Pas beaucoup d’exemple, hors les mythiques amazones grecques de l’île de Lesbos.
Mais elles ne reproduisaient pas par parthénogenèse non plus.
Il n’y a globalement que le cas de Jésus-Christ qui y est parvenu, mais là encore, le sujet fait débat depuis plus de 2.000 ans.
Et l’hypothèse n’a jamais été évoquée jusque-là.
On lui préfère l’apparition de l’Archange Gabriel, le même qui est allé féconder l’esprit de Mahomet, le dernier des prophètes…
 
Mais convenez avec moâ qu’une civilisation sans mâles belliqueux, ça doit être extraordinaire.
Plus de guerre, plus d’affrontement d’égos surdimensionnés, plus de violence, rien que de la « tendresse » et de l’homosexualité…
Génial, non ?
De toute façon, j’ai toujours dit que le kouillu était une « poulie-fendue » ratée : Il n’y a qu’à comparer le matériel génétique du « XX » de nos dames au rachitique « y » des meks qui portent le « Xy ».
Il n’y a pas photo : Il en manque !
Dans un de « mes romans » (celui en réplique de « Paradoxes temporels », à savoir « Ultime récit - Suite ») j’imagine que l’amiral de la flotte de la Légion spatiale qui veut annihiler les Krabitz posés sur une planète lointaine, très lointaine, dans une partie d’une galaxie encore plus lointaine de la nôtre, dans un futur éminemment lointain également, est en fait une « amirale » à la tête d’une flopée de guerrières venues là pour en découdre !
 
Je vous laisse deviner : Paul de Bréveuil, alias « Charlotte », propulsé jusque-là par les « Homos-Ultras » depuis notre époque contemporaine, va ouvrir « une voie » (la « Voie Charlotte ») jusqu’aux tréfonds de l’univers (car il a une frontière) gardée par les « sans âmes » qui détruisent toute matière et énergie (c’est la même chose en physique) sauf à être boutés par les Krabitz qu’il s’agit de faire migrer là où ils ont utiles pour la vie.
Les « Ultras », le stade ultime de l’évolution de l’espèce Sapiens-sapiens, sont eux-mêmes asexués.
C’est vous dire si l’information sur les Condors de Californie m’amuse : L’avenir est porté par nos femmes, comme le chantait le poète, à n’en pas douter…
 
Ça méritait d’être signalé.
Car la parthénogenèse est une solution, probablement d’avenir pour la survie de toutes les espèces.
Et plus particulièrement du Condor de Californie. Mais probablement d’autres, comme les lézards, les requins-zèbres, les dindes sauvages, les Varans de Komodo, les grenouilles, les écrevisses marbrées, les puces d’eau, les abeilles du Cap et j’en passe par dizaines.
Alors qu’Aldous Huxley, dans son « Meilleur des mondes » partait du principe du clonage en 1932 pour assurer une « paix des mondes »…
Le clonage avance, mais personne ne s’inquiète de la parthénogenèse…
Pendant qu’un « Conard-virus » génétiquement modifié tue par millions…
 
Car le problème reste une guerre des sexes, l’ultime : Cette technologie du futur sera-t-elle aux mains de « kouillus » ou de « poulies-fendues » ?
En tout cas des « ultra-riches » que génère notre civilisation actuelle qui avancent dans l’ombre.
Un domaine de l’anticipation qui ouvre plein de possibilités extraordinaires et stupéfiantes.
Avis au amateurs avertis.
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire