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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 19 novembre 2021

Jean-Marc et son môme…

C’est l’histoire qu’il rapporte.
 
L’autre jour, le petit chien de la maison, Baba vient de se faire écraser.
Germaine, la maman du petit Jean-Nicolas ne sait pas trop comment annoncer la triste nouvelle à son fils, 8 ans.
Lorsque celui-ci rentre de l’école, elle lui annonce :
« Jean-Nicolas, Baba est mort. »
Le gamin semble ne pas être plus affecté que cela, monte dans sa chambre faire ses devoirs, redescend prendre son goûter puis sort jouer avec ses copains.
La mère est finalement rassurée, son fils prend la nouvelle plutôt bien.
Vient l’heure du dîner.
Il passe à table, se régale de sa côtelette de porc et de sa purée de pommes de terre.
Une fois le repas fini, il prend l’os, reliquat du repas, et appelle son chien :
« – Baba ! Baba !
Mais, Jean-Nicolas, je t’ai dit tout à l’heure que Baba était mort ! »
Et là, le gamin fond en larmes :
« J’avais cru que tu avais dit papa… »
 
Le même, une autre fois demande à sa mère :
« – Maman, qui m’a donné mon intelligence ?
Ton père parce que moi je l’ai encore. »
 
Jean-Marc entre chez un buraliste et demande un paquet de Malbarrée.
Le buraliste lui donne le paquet demandé.
« – Hum… Non, je veux un paquet de Morris à la place.
– Parfait, le voici. »
Jean-Marc le remercie et quitte l’établissement.
« – Hé ! Vous n’avez pas payé !
– Pas payé quoi ?
– Votre paquet de cigarettes.
– Le paquet de Mabarrée ???
– Oui, c’est ça.
– Hé ! Ça va pas, je te l’ai redonné !
– Oui, mais l’autre, vous ne l’avez pas payé !
– T’as pas remarqué que je ne l’ai pas pris aussi ! Je te l’ai échangé ! Pour qui me prends-tu ? »
 
Le Petit Chaperon Rouge rencontre mon premier dans les bois.
Mon deuxième est quelque chose qu’on souhaite très fort.
Mon troisième est le contraire de tard.
Mon tout est le petit de mon premier.
(Solution : Un louveteau (loup-voeu-tôt) !)
 
Trois vieilles dames se promènent en voiture à 15 Km/h sur l’autoroute.
Un policier les arrête et demande à la conductrice :
« – Pourquoi roulez-vous si lentement ?
– C’est la limite autorisée, n’est-ce pas ?
– Mais non madame.
– Voyons, c’est écrit sur le panneau, là ! »
Le policier regarde le panneau et comprend.
« Ce n’est pas la limite de vitesse madame, mais bien le numéro de l’autoroute. En ce moment, vous êtes sur l’autoroute « 15 ». »
Et le policier jette un œil sur la banquette arrière et voit 2 autres dames qui ont le teint pâle comme si elles venaient de voir un fantôme.
Le policier demande alors pourquoi elles sont dans un tel état.
« C’est qu’on vient de sortir de la route 168, monsieur l’agent. »
 
Deux Terriens viennent d’atterrir sur Mars et autour d’eux, tout n’est que sable et rochers. Quand soudain à quelques pas de leur vaisseau, une porte s’ouvre, et un Martien en scaphandre leur fait signe d’avancer.
Aussitôt les Terriens se dirigent vers l’entrée et empruntent un escalier d’une centaine de marches au bout duquel ils découvrent une ville fabuleuse.
Ébahis, ils découvrent une ville immense avec des véhicules qui se déplacent sans bruit et sans pollution.
Le Martien commence à retirer son scaphandre et apparaît une merveilleuse Martienne.
À sa demande, ils retirent aussi leur scaphandre et sont étonnés de respirer un air frais comme sur Terre. Ils demandent à la Martienne de visiter la ville.
« Bien sûr, mais puisque vous êtes deux, je vais chercher mon amie ».
Chemin faisant les Terriens découvrent que les Martiens sont très évolués, qu’ils étaient attendus car ils captent toutes les télévisions terriennes.
Ce sont des gens pacifiques.
Ils détestent les guerres qu’il y a sur terre et ils sont tellement bien sur Mars qu’ils ne veulent pas aller voir ailleurs.
Mais c’est le soir et après un bon repas dans un restaurant, les deux couples se séparent, chaque Terrien partant avec une Martienne.
À la maison, la Martienne se déshabille et toute nue se jette dans un jacuzzi au centre de la pièce.
Notre Terrien est subjugué par la beauté de cette femme au corps de déesse.
Il se déshabille et rejoint la Martienne dans le bain.
Bien sûr après un si long voyage et la vue de la merveilleuse créature à côté de lui, des pensées érotiques lui montent immédiatement à la tête.
Il lui demande insidieusement :
« Comment fait-on les bébés sur Mars ? »
La Martienne sort du bain, ouvre un placard, en sort deux bouteilles, une verte et une rose. Elle lui demande s’il veut un garçon ou une fille.
« Une fille ! »
Elle verse alors deux mesures de la bouteille rose et une mesure de la bouteille verte dans un grand saladier.
Elle remue environ une minute avec une cuillère en bois et tout à coup, un bébé fille apparaît.
« Voilà », dit-elle, et sur Terre comment faîtes-vous ? »
À ce moment-là, il n’en peut plus, il se jette sur la Martienne et lui fait l’amour.
Cependant au bout de quelques minutes, c’est déjà fini.
La martienne lui demande :
« – Où est le bébé ?
– Tu le verras dans 9 mois.
– Dans 9 mois ?
– Oui, c’est ça.
– Alors, pourquoi t’arrêtes ? Il faut continuer ! »
C’est une « histoire Kameulf » recyclée, avec une chute différente : La Ummo demande pourquoi Jean-Marc avait l’air si pressé s’il faut attendre 9 mois…
 
Un petit Indien demande à son père, le grand Sachem-Toutatem :
« – Dis Papa, pourquoi, nous les Indiens, portons-nous des noms très longs, alors que les cow-boys eux, ont des noms plus courts comme Bill, Tex, Sam ?
– Eh bien, c’est parce que nous sommes des gens près de la nature et que de ce fait nous avons gardé une certaine poésie.
Pas comme ces blancs qui vivent en ville et ont tout perdu !
Vois ! Ta sœur s’appelle ‘‘Petite-lune-argentée-se-reflétant-dans-le-lac-scintillant’’.
C’est parce qu’elle est née par une nuit claire, un soir de printemps et que de ce fait, la lune se reflétait dans un grand lac sombre et profond, bordé de grands arbres.
Le paysage était magnifique.
Nous étions heureux ta mère et moi. Et nous avons voulu nous rappeler pour toujours cet instant.
D’où le nom de ta sœur.
Pour ton frère, c’est pareil, lui s’appelle ‘‘Aigle-majestueux-survolant-la-montagne’’ parce qu’il est né par un bel été, dans une grande prairie, entourée de hautes montagnes enneigées et qu’un grand aigle survolait à ce moment-là, toutes ailes déployées, à la recherche sans doute de sa future proie.
C’était grandiose et majestueux.
Nous avons voulu conserver ce souvenir. D’où le nom de ton frère.
Voilà, c’est tout simple.
As-tu d’autres questions ‘‘Petit-Préservatif-plein-de-trous’’ ? »
Encore une « recyclée » : Dans l’original, ça se passait en Polynésie…
 
Jean-Marc demande à Jean-Paul alors qu’ils sirotent leur bière :
« – Tu fais quoi après l’amour ?
– Je dors et toi ?
– Je m’en vais avant que tu rentres ! »
 
Un jour, un éléphant se baladait à l’orée de la forêt.
Soudain une épine lui entre dans la patte.
Pauvre éléphant…
Il a tout essayé pour enlever cette fichue épine, rien à faire…
Une souris passe….
« – Souris, souris, peux-tu m’aider ?
– Oui, peut-être, cela dépend. Quel est le problème ?
– J’ai une épine dans la patte et je n’arrive pas à l’enlever. Pourrais-tu le faire pour moi ?
– Oui, mais à une condition…
– Que veux-tu ?
– Que je puisse t’enculer.
– Hein ? Jamais ! Fous-moi le camp ! Salope !
– OK, OK, ciao ! »
Et la souris quitte les lieux tranquillement.
L’éléphant réfléchit à toute vitesse… jusque-là, il n’a pas pu enlever cette épine.
Une souris, c’est petit, donc son système est encore plus petit, lui est le plus gros animal de la savane, et, ultime précaution, il regarde alentour, personne, alors il dit :
« Hep, souris, viens, j’accepte. »
La souris fit demi-tour, ils s’endentent et la souris commence en premier.
Au loin, un singe voit la situation et se dit : « Mon Dieu, dans quel monde vit-on? Un éléphant se faire baiser par une souris ! ».
Il s’empare d’une noix de coco et la balance sur la tête de l’éléphant qui fit « aïe ! », et la souris de lui dire, en pleine extase :
« Je t’ai fait mal ? »
 
Monsieur Jean-Honoré et sa douce épouse Marie-Ludivine s’installent au lit, pour la nuit …
Il faut mentionner, que Monsieur est âgé de 88 ans et madame est âgée de 86 ans, cela vous permettra de mieux comprendre la situation…
Revenons au lit.
Bon ! Après avoir réussi à installer les oreillers, à replier la couette, à remonter les draps…
Jean-Honoré :
« – Dis-dons, ma tite vieille préférée, j’ai encore mes dentiers, si tu veux bien commencer, ça ira beaucoup mieux pendant que j’ai encore mes dents !
– De que çé ? Tu veux que je commence ? C’est à ton tour de commencer !
– Ben non ! C’est à ton tour voyons ! Jte’l dit !
– Voyons donc mon tit pépère, c’est à ton tour, c’est moi qui a commencé hier !
– Ben voyons donc ! Tu perds-tu la mémoire en plus de perdre tes cheveux ma vieille ? Je t’ai même dit d’accélérer hier, je te trouvais trop lente, tu t’en souviens pas ?
– T’es ben certain ? Tu me fais pas marcher ?
– Certain !
– Je pense que tu me comptes des blagues… t’aimes trop ça quand c’est moi qui commence !
– C’est vrai que j’aime ça quand tu commences, t’es bonne ! Qu’est-ce que tu veux ? T’as toujours eu le tour de ben partir… t’es bonne ! Envoie-donc.
Tu veux-tu ?
– Vieux fatiguant ! OK Mais si c’est moi qui commence, tu vas t’ajuster à ma vitesse… Tu sais que je fais de l’arthrite. J’ai mal aux mains. Je me fatigue vite. T’as-tu ben compris ?
– Oui, ma belle vieille, je te promets que demain, c’est moi qui va commencer !
– Bon ! Ok ! Prépare-toi, t’es-tu prêt ?
– Oui ! Ben prêt ! Vas-y ! »
Et Marie-Ludivine s’installe … sur les genoux et commence :
« Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une nouvelle bière :
« – Tu sais ce que dis une femme devant un gros zizi ?
– Non.
– Moi je sais ! »
 
Plus tard, les mêmes :
« – Quelle est la différence entre les seins d’une femme et un train électrique ?
– Je ne vois pas : Il y en a plein !
– Non ! Aucune. Les deux sont faits pour les enfants et c’est papa qui joue avec. »
 
Jean-Nicolas, un garçon de huit ans assez futé, observe les allées et venues au sortir d’une maison de passe de la ville.
Tout à coup, il se met à poursuivre le dernier client qui vient d’en sortir en lui criant :
« Et là-bas monsieur, je vous ai vu ! Je vous ai vu sortir du bordel. Je vais le dire à tout le monde ! »
L’homme se retourne vers le garçon et lui tendant un petit billet, lui dit :
« Allez, file et que je ne t’entende plus ! »
Non content de ce fait, le garnement s’empresse de suivre notre homme jusqu’à sa porte :
« Ah ! Ah ! Maintenant je sais où tu habites. Je vais le dire à tout le monde ! »
L’homme retourne une fois de plus dans son porte-monnaie et redonne un autre petit billet au petit garçon :
« Allez file et que je ne te revois plus, vilain garnement ! »
Content de sa journée, Jean-Nicolas, fier de lui, s’en retourne auprès de son père afin de lui raconter comment il a gagné cet argent :
« Quoi ! », s’écrie Jean-Marc en colère. « Tu n’es qu’un sale petit voyou ! »
Et il lui colle la fessée de sa vie, et finit par lui dire :
« Et maintenant file à l’église pour te confesser ! »
Jean-Nicolas entre dans le confessionnal, la petite grille porte s’ouvre, et notre garnement de dire :
« AH ! AH ! Maintenant je sais où vous travaillez ! »
 
Ce matin-là le grand-père, âgé de 85 ans, faire son bilan de santé annuel chez son médecin.
Après l’examen, le docteur lui dit que tout va bien et que c’est pas demain la veille qu’il lui arrivera un problème.
Le vieillard lui dit :
« – J’ai une question pour vous, Docteur : Quand j’avais 25 ans, je me levais le matin en ayant une trique… aussi dure qu’un tuyau de métal. Je ne pouvais pas la plier, même avec les deux mains !
– Oui », répond le Docteur. « C’est normal à cet âge.
Quand j’avais 50 ans, je pouvais la plier avec une main.
Oui, ça arrive », dit le docteur.
« – Maintenant », dit le vieux gars, « je peux la plier avec un seul doigt !
– Eh bien c’est normal à votre âge », répond le médecin.
« Mais Docteur, quand est-ce que je vais m’arrêter de devenir de plus en plus fort ? »
C’est une vieille revenue, adaptée, attribuée originellement à Henri IV qui en disait qu’il croyait que, jeune, c’était un os…
 
Solutions des contre-pets de la semaine dernière :
« Une Vache sur la Toiture… »
« Le FLair s’exerce sous la Motte ! »
« Cette femme est une CHieuse de Lardons. »
 
Propositions de la semaine :
« Les pêcheurs sont en quête des thons. »
« Le laboratoire dispose d’inspecteurs de germes… »
« Cette lutte est vraiment passive »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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