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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 16 novembre 2021

Ça y est !

Un week-end chargé…
 
Car il s’est passé plein de choses. Le débat des « LRD » qui n’a pas encore viré au pugilat, mais ça devrait venir ;
Le confinement des non-vaccinés en Österreich ;
« Zézé-Amour » qui raconte des konneries devant le Bataclan que ça aura fait scandale, mais ça, on commence à avoir l’habitude : Je sens que celui-là ne se taira que s’il est élu président, parce qu’alors il n’aura plus rien à dire !
Et surtout, un détail de la COP26, que tout le monde dit être un échec, qui décode enfin le plan des « Maîtres du monde » : Il était temps depuis qu’on tourne autour…
Il s’agit du « Pacte de Glasgow », qui ne fait que des mécontents, mais eux, ils sont quand même contents !
 
Après deux semaines intenses de tractations et une journée de prolongations, la COP26, 26ème Conférence des Nations unies sur le climat, se sera achevée samedi soir à Glasgow, chez les « Rosbeefs ».
Les négociateurs de près de 200 pays sont parvenus à un compromis ridicule sur une déclaration finale, chose, toutefois inespérée.
Même si ce texte n’est pas un nouveau traité international et n’impose rien aux États mais leur fait seulement des « recommandations ».
Une déclaration a minima qui a été la seule à faire consensus lors du sommet écossais. Un texte adopté d’un coup de marteau du président britannique de la conférence mondiale pour le climat, Alok Sharma.
 
Témoignant de la difficulté à aboutir à cet accord, le président de la COP26 s’est dit d’une voix émue et les larmes aux yeux « profondément désolé » pour des changements de dernière minute introduits sur la question des énergies fossiles à la demande de la Chine et de l’Inde.
En effet, on ne parle plus de « sortie » des énergies fossiles mais de leur « réduction ».
New Delhi et Pékin « ont changé un mot mais ils ne peuvent pas changer le signal donné par cette COP: l’ère du charbon touche à sa fin », a analysé la patronne de Greenpeace International.
Mais oui, c’est exactement ça et demain ce sera le tour des hydrocarbures pour tous se retrouver avec des minicentrales nucléaires au pied de chaque village « isolé ».
Une balle de plus dans le pied des « écololos »…
 
De fait, le texte de la décision finale est jugé « pathétique » par les uns, « imparfait » et « a minima » par les autres, « équilibré » selon la présidence britannique de la COP26 qui n’y voit que du feu.
Celle-ci avait fait du slogan « maintenir le + 1,5 °C en vie » l’un des principaux marqueurs du succès de cette COP.
Un leitmotiv, une idée fixe depuis des lustres, sans cesse scandé par Londres, en référence à l’Accord de Paris, qui vise à limiter la hausse de la température moyenne du globe par rapport à la période préindustrielle (1850-1900) « bien en deçà de 2 °C » et si possible 1,5 °C.
C’est que l’heure est grave : Il paraît que la banquise arctique aurait atteint un point de « non-retour » et bientôt il en sera de même pour celle du pôle-Sud et ses glaciers.
Comme quoi, la lutte pour préserver la couche d’ozone dans ces zones-là n’aura pas servi à grand-chose, mais c’est une autre histoire.
On va pouvoir enfin cultiver du blé, du riz, des vignes, du soja au Groenland, dans le grand-Nord canadien et même dans la toundra russe !
Mais de ça, tout le monde s’en fout, naturellement : On veut de la neige sur les Alpes et les Pyrénées, dans le Colorado et au Chili, c’est nettement plus important.
Quant à construire des digues et des polders pour protéger nos littoraux, personnes ne l’envisage encore (sauf à Venise et chez les Bataves).
 
Donc, l’air de rien, la décision finale de la COP26 « réaffirme » cet objectif le plus ambitieux de « limiter le réchauffement à 1,5 °C », soulignant que « les impacts du changement climatique seront bien moindres avec un réchauffement de 1,5 °C, comparé à 2 °C ». Et elle « reconnaît » que pour y parvenir, il faut « accélérer l’action au cours de cette décennie critique ».
Bien : On voudrait enfoncer les portes ouvertes qu’on ne ferait pas mieux.
Le texte appelle donc à des « réductions rapides, fortes et soutenues des émissions mondiales d’émissions de gaz à effet de serre (GES), dont des réductions d’émissions de CO2 de 45 % en 2030 par rapport au niveau de 2010 et à la neutralité carbone vers le milieu du siècle, ainsi que des réductions fortes des autres gaz à effet de serre ».
Personne ne vous dit qu’il faudra des siècles à la nature pour avaler tout ce qu’on a déjà balancé dans l’atmosphère, mais peu importe.
Juste une allusion au méthane, un GES bien plus puissant que le CO2 à court terme qui heureusement se dégrade aux hautes altitudes sous l’effet du rayonnement solaire où sa densité le projette avec constance depuis le théorème d’Archimède.
 
Les dernières estimations du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), publiées le mardi précédent, sont plus que préoccupantes (des fois que vous ayez oublié d’avoir peur, tétanisés que vous êtes par un « Conard-virus » dont même les « vaccins miracles » ne vous rassurent pas du tout, puisqu’ils ne fonctionnent pas : Le preuve, l’obligation d’une troisième dose signant l’échec de ses produits !) : Si tous les États respectaient leurs plans d’action climatique pour 2030, appelés contributions déterminées au niveau national (CDN), le monde se dirigerait toujours vers un réchauffement « catastrophique » de + 2,7 °C d’ici la fin du siècle.
Soit la même trajectoire que le calcul effectué par le PNUE fin octobre, avant la COP26.
Voilà donc la preuve que ça ne peut pas fonctionner : C’est déjà prévu !
Mais admettons : Les russes auront plus de mal à exporter leur gaz pour nous réchauffer durant les hivers européens…
Tant pis si leurs gazoducs n’amortiront peut-être pas leurs coûts de mise en place : Ça fera moins de tensions géopolitiques à gérer.
 
Comme par ailleurs le texte de la COP26 n’est pas contraignant pour les États, les 55 pays du Climate Vulnerable Forum (CVF, qui représentent près de deux milliards d’habitants d’Afrique, d’Asie, du Pacifique ou des Caraïbes) ont demandé que les signataires de l’Accord de Paris soient obligés de soumettre des engagements plus ambitieux chaque année, plutôt que tous les cinq ans.
En vain… puisque l’objectif (caché) n’est manifestement pas là !
La déclaration finale appelle seulement les États membres à relever leurs engagements de réduction d’émissions plus régulièrement que prévu dans l’Accord de Paris, et ce dès 2022, mais avec la possibilité d’aménagements pour « circonstances nationales particulières ».
Je pose le principe mais j’ouvre la boîte à « exceptions » nombreuses et multiples…
 
Curieusement, on ne parle plus de « décarbonation » du développement des peuples et nations, mais on fait désormais figurer la mention des « énergies fossiles ».
Certes, il paraît que c’est la même chose, puisque le CO2 resterait de loin les principales responsables du réchauffement de la planète, et la notion est conservée dans la déclaration.
C’est toutefois une mention inédite dans un texte onusien de ce niveau.
Mais elle est très faiblarde et ne leur ferme pas du tout la porte, puisqu’au terme d’un intense lobbying, notamment de la part des pays producteurs, elle n’a cessé d’être amoindrie d’une version à l’autre du texte.
Et jusqu’à la dernière minute, en plus !
 
L’Inde, qui défend le droit des pays en développement à « un usage responsable » des énergies fossiles, a obtenu samedi soir que le texte prévoit de simplement « réduire » et non plus de « sortir » du charbon.
Ceci dit, même dans les précédentes versions, il n’était déjà plus question de sortir de tout le charbon. Le texte se contente donc d’appeler les pays membres à « accélérer les efforts vers la réduction de l’énergie au charbon sans système de capture (de CO2) et des subventions inefficaces aux énergies fossiles ».
Les termes « efforts » et « inefficaces » ne figuraient d’ailleurs pas dans la précédente version.
 
Même décriée, incomplète, voire dénaturée, cette déclaration finale vise à offrir des perspectives permettant à la présidence britannique d’afficher un succès sur son objectif de voir Glasgow « garder 1,5 en vie ».
Les experts avertissent régulièrement que « chaque dixième de degré compte » alors que se multiplient déjà les catastrophes liées au changement climatique: Inondations, sécheresses ou canicules, avec leur cortège de dégâts et de victimes, nous fait-on savoir.
Autre mention inédite dans un texte issu d’une COP, la déclaration « souligne » l’importance de la protection, de la conservation et de la restauration de la nature et des écosystèmes, pour réduire les émissions de GES.
Ce qui est un vrai pas en avant: La diplomatie internationale acte le fait que les questions de climat et de biodiversité sont inextricablement liées.
Ce n’est pas plus mal… et ça tombe sous le sens.
 
À la grande déception des délégations venues d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine, le texte n’a en revanche pas évolué sur l’enveloppe financière destinée à aider les pays les plus pauvres à réduire leurs émissions et à se préparer à affronter les conséquences dévastatrices du dérèglement climatique, qui était au cœur des tensions dans les négociations.
Il se contente de « regretter » que les pays riches n’aient pas été capables de tenir leur engagement, pourtant pris en 2009, de consacrer 100 milliards de dollars par an au plus tard pour 2020 pour aider les pays pauvres. Sans proposer de solution concrète pour y parvenir.
Idem pour la prise en compte des « pertes et dommages » des pays pauvres, c’est-à-dire les dommages irréversibles, déjà causés par les impacts ravageurs des tempêtes, sécheresses et canicules qui se multiplient : « Les pays riches, dont la France au sein de l’Union Européenne, ont bloqué jusque dans les dernières heures la mise en place d’un financement additionnel » pour ces pertes et dommages, s’insurge le Réseau Action Climat (RAC).
Il faut dire aussi que nous ne sommes pas si riches que l’on croit, si je me réfère au solde de mon compte bancaire en fin de mois.
Mais passons : Je suis peut-être le seul sur cette planète à survivre dans ces conditions-là, après tout…
 
La COP26 de Glasgow a également réussi à clore des négociations en cours depuis six ans sur l’application de l’article 6 de l’Accord de « Paris-sur-la-Seine », qui traite notamment du fonctionnement des marchés carbone, c’est-à-dire de la possibilité d’échanger des unités de réduction de CO2.
Telsa du Musk fait ses bénéfices avec ça, pas en fabricant des bagnoles.
« Malgré le fait que les marchés carbone peuvent s’avérer dangereux à la fois pour atteindre l’objectif de + 1,5 °C et pour le respect des droits humains, les États ont adopté un texte qui donne quelques garanties sur l’intégrité environnementale et les droits humains », estime le RAC.
Admettons, mais je ne suis pas un expert pour en juger.
 
En revanche, sous les mots, je décrypte un autre message (là, je suis quasiment le seul à m’en être rendu compte !).
Avec un peu de recul, on finit par se rendre compte que ces COP successives ne visent qu’à une chose : « Défossiliser » l’économie mondiale !
Toute l’économie mondiale.
En commençant par les ex-nations industrielles qui avancent dans ce sens, alors que les « ex-pays émergeants » (Inde, Chine) font de la résistance !
Quant aux pays dits « pôvres », ils sont sciemment et sempiternellement laissés sur la touche…
Tout cela est fort drôle finalement, même si c’est cruel (voire inopérant) !
 
Pensez donc, en juillet 1969, l’Homo-sapiens-sapiens pose un pied sur son satellite naturel. Déjà en décembre 1968, en pleine guerre du Vietnam, Franck Borman et son équipage ramène une photo de derrière la Lune d’un lever de Terre qui aura fait le tour du monde : J’en avais un exemplaire au-dessus de ma table de labeur chez mes parents. On y voyait la belle planète bleue que nous salopons sciemment depuis des siècles dans un ciel absolument noir : Il n’y avait rien tout autour, mais rien de rien… noir de vide ! Un choc…
En 1972, le « Club de Rome » nous disait déjà clairement que la situation économique mondiale de forte croissance ne pouvait pas durer éternellement… physiquement impossible.
En 1974, à l’occasion des élections présidentielles consécutives au décès de « Pompon-Pie-Doux », on voyait apparaître le premier candidat « écolologiste », René Dumont.
Depuis, je ne peux que constater que les « Maîtres du monde » auront évolué et de nouvelles générations auront éclos, de celles qui sont nées avant le Minitel et le Bip-bop : Elles auront drôlement avancée avec leurs « réseaux sociaux » et la globalisation qui réduit la planète à un « petit-village » où tout le monde connait tout le monde.
 
En bref, avec cette nouvelle « conscience collective » et les outils de communication dont on dispose, clairement, la COP26 vous indique que désormais il faut tourner la page de la dernière révolution industrielle.
Au départ, l’homme use des animaux pour soulager sa peine et accessoirement de personnes mises en esclavage.
On aura remplacé le servage par la machine à vapeur.
Puis la machine à vapeur par la machine à « combustion interne ».
Désormais, l’une et l’autre seront interdites.
On passe à l’électricité « durable »… et pilotable, tant qu’à faire, plus des robots (électriques) capables de travailler 24 heures sur 24 bien mieux que vous !
 
Rien ne nous empêche de ne pas le faire et rien ne nous oblige à le faire, sauf les « COP » successives et nos dirigeants manipulant nos « écololos » qui applaudissent à chaque « avancée », suivant en cela le schéma des « Maîtres du monde », comme soumis à devoir le relayer.
La preuve, aucun d’entre eux ne lève le petit-doigt pour favoriser le rattrapage des « économies émergentes », les « pays-pôvres », ces potentiels concurrents !
L’avenir n’appartient décidément seulement à une élite auto-désignée, tel est notre monde qui avance lentement vers cet objectif-là…
Les « supplétifs » finiront par devenir tous inutiles, voire « nocifs », vous verrez.

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