Ils étaient 2 à 300 samedi dernier sous mes fenêtres.
Ce qui faisait environ mille personnes à bloquer sur 700 à 800 mètres la circulation sur mon boulevard : Bé oui, il fallait compter avec les deux ou trois compagnies de CRS qui les encadraient, tiens donc !
Bon, on connait leurs arguments : Ils ne veulent pas devenir les cobayes d’une molécule expérimentale.
Je veux bien les croire.
Personnellement, pour avoir été vacciné contre tout et même l’inutile depuis mon passage sous les drapeaux, j’en viens à faire de l’immuno-résistance même contre la konnerie-humaine : Elle ne m’atteint plus… ou alors rarement et jamais sous sa forme la plus grave, celle des « autistes-trisomiques » qui se promènent en toute liberté dans mon pays.
Leur « fait de guerre », c’est que même des
doublements vaccinés peuvent choper le « Conard-virus » et parfois en
mourir : Ce qui prouve bien que le vaccin non seulement ne sert à rien, est
inutile, mais peut en plus provoquer des maux dont on ignore la portée sur les
personnes et surtout sur les générations futures.
Personnellement, je note qu’on compte déjà 5 mégamorts qui ne pourront plus se reproduire dans le monde avec cette saloperie « expérimentale »…
Là, je parle du « Conard-virus ».
Et puis les meks ne savent décidément pas compter :
Pour eux quand on en sera à 100 % de vaccinés, les malades et les décès dû au « Conard-virus »
seront tous vaccinés, ce qui voudra dire que 100 % des vaccinés en seront décédés
!
Hein, elle est majeure cette vérité-là…
Car il y aura encore des décès de cette « grippe augmentée », puisqu’effectivement les vaccins proposés n’ont au mieux qu’une efficacité de 90 %…
C’est un peu comme « Floflo-Fili-Peau », l’ex du « F.Haine » qui surfe sur la peur du vaccin.
Ils devraient plutôt râler sur « l’État-Policier » de la « démocrature » qui se met en place dans le pays.
Mais comme lui, c’est un facho (de « l’extrême-gôche » pour « Zézé-Amour »), il devrait plutôt se réjouir, d’autant qu’il a pu traverser quelques frontières soutenir, par exemple les antivax « ritaliens », grâce à son « pass-sanitaire » : Comme quoi, « Jupiter » leur aura préparé le terrain !
Et en plus, si nous nous lui disons « merci », eux n’ont même pas la reconnaissance du ventre.
Tout se perd, ma brave dame…
Car il préfère enfoncer le clou avec comme exemple la
cité-État Singapourienne qui connaît une vague de contamination d’une ampleur
inédite. Certains y voient l’échec de la vaccination, alors qu’il s’agit
surtout de l’effet d’un changement de stratégie : du « zéro-conard-virus »,
ils sont passés au « on vit avec » et ses variants !
Car si Singapour connaît une recrudescence épidémique malgré un taux de vaccination parmi les plus élevés, cela prouverait une nouvelle fois l’inefficacité des vaccins prétendent ceux qui n’ont décidément rien compris…
Et le fondateur du mouvement « Les Patriotes » cherche depuis des mois à capitaliser sur les discours conspirationnistes et antivaccins en s’emparant, notamment, de cet exemple. Dans un message posté lundi 1er novembre, en hommage à « tous les saints » (là où nous honorons nos prédécédés) sur les réseaux sociaux, il interpelle ainsi les « covidistes », ceux qui font confiance aux recommandations des institutions de santé : « 83 % de double vaccinés à Singapour et une courbe des cas et des morts qui n’en finit plus d’exploser ! Qu’en disent les covidistes ? Rien, ils font semblant de ne pas voir ! Stop ! »
Et il se trouve que les données citées sont
authentiques. Mais la présentation qui en est faite passe sous silence un
élément central pour comprendre la situation : Singapour a récemment changé de
stratégie.
Et elle n’aurait pas pu le faire sans la vaccination massive de ses citoyens.
Selon les chiffres rapportés par Our World in Data,
Singapour avait, à la fin du mois d’octobre, le quatrième taux de vaccination
complète contre le « Conard-virus » le plus élevé au monde, avec près
de 80 % de personnes vaccinées. Il s’agit donc bien d’un pays où la couverture
vaccinale est très forte.
Nous, nous y arriverons probablement et péniblement dans quelques semaines.
Et la ville-jardin aux 5,7 millions d’habitants est bel et bien actuellement frappée par une vague inédite.
Alors qu’elle ne comptait guère plus qu’une trentaine de contaminations recensées depuis un an, leur nombre s’est multiplié depuis le début du mois de septembre, pour atteindre des sommets à plus de 5.000 cas par jour, à la fin du mois d’octobre.
Singapour compte, par ailleurs, une quinzaine de décès quotidiens, alors qu’aucun n’a été recensé durant les sept premiers mois de l’année. Il n’est donc pas abusif de parler d’une explosion de cas et de décès.
Or, l’apparition de cette vague est parfaitement explicable.
Ce que le « patriote » se garde de préciser,
c’est que Singapour a opéré un virage majeur dans sa stratégie de lutte contre
le « Conard-virus », en passant d’une stratégie de « zéro Covid » à
une cohabitation avec le virus.
Comme l’assume Dale Fisher, professeur spécialiste en maladies infectieuses à l’université nationale de Singapour et président du réseau mondial d’alerte et de réponse aux épidémies de l’ONU : « Nous autorisons l’endémicité », c’est-à-dire l’installation habituelle de la maladie dans la population !
Quitte à avoir des « pertes en ligne ».
Si l’épidémie explose de manière historique, c’est, en
effet, parce que le virus ne circulait tout simplement pas dans la ville-État
jusqu’à présent, ou très peu.
Profitant de sa situation insulaire, Singapour, comme les Philippines, la Nouvelle-Zélande, ou dans un autre registre, la Chine, a longtemps adopté des mesures extrêmement strictes : Restrictions des entrées aériennes, quarantaines forcées, contact-tracing, etc.
Celles-ci ont permis de largement protéger la population du virus, mais au prix d’un important ralentissement des échanges économiques et d’un impact majeur sur la vie quotidienne.
Ce qui a visé à donner du temps au temps pour vacciner le plus grand nombre possible.
Mais il y a des réfractaires partout…
En juin, les ministres du commerce et de l’industrie,
des finances et de la santé avaient annoncé dans une lettre commune au
quotidien national Straits Time la transition vers « une nouvelle normalité
», dans laquelle, grâce à la vaccination, le « Conard-virus »
deviendrait endémique, tandis que les Singapouriens pourraient abandonner
progressivement les quarantaines et retrouver voyages et grands rassemblements.
De ce point de vue, la hausse du nombre de cas n’est pas une illustration de l’échec des vaccins – même s’ils n’empêchent toujours pas la transmission – mais une conséquence attendue d’un choix politique qui repose, au contraire, sur la protection vaccinale.
Sans elle, ils seraient toujours « confinés », parqués, pestiférés.
L’ampleur de la vague témoigne, néanmoins, de l’incapacité des vaccins à endiguer la transmission du variant Delta, plus contagieux, même avec un taux de vaccination supérieur à 80 %.
Le second point sur lequel le message est trompeur, c’est
qu’il lie vaccination et décès liés au « Conard-virus ». Or, même si
Singapour affiche l’un des taux de couverture vaccinale les plus élevés au
monde, 17 % de la population demeure non vaccinée.
Et c’est au sein de cette dernière que se trouvent les plus touchés par cette vague liée à la levée des restrictions. « Même si les personnes vaccinées sont dix fois plus nombreuses que les non vaccinées dans la population, ce sont les non vaccinées qui sont majoritaires en soins intensifs, qui ont besoin d’oxygène, et qui finissent par décéder ».
« Nous avons un groupe de seniors qui sont toujours non vaccinés. Ils pèsent 1,5 % ou légèrement moins de la population totale, et sur les vingt-huit derniers jours, ils représentaient les deux tiers des occupations en soins intensifs et des morts », a ajouté à la fin du mois d’octobre leur ministre de la santé.
Les jeux sont faits…
Et les résultats sont clairs.
Et selon les calculs du Straits Times, les personnes
non vaccinées ont huit fois et demie plus de risques de mourir du « Conard-virus »
que les autres.
Y’a pas photo !
Même si je peux rajouter, sans l’ombre d’une erreur possible, que 100 % des vaccinés – et des autres – finiront par mourir…
C’est tellement mathématique qu’on finit par faire dire n’importe quoi à n’importe quel chiffre, c’est bien connu : Comme d’une nouvelle démonstration, quoi.
« Nous avons désormais réduit nos efforts pour
empêcher les transmissions, par exemple, en rendant les quarantaines et les
isolements moins lourds. C’est dû à notre taux de vaccination élevé, qui fait
que pour la majorité d’entre nous, le Covid-19 est désormais une maladie bien
moins grave. Mais cela signifie une pandémie plus mortelle pour les
non-vaccinés », se désole un professeur associé à Saw Swee Hock School of
Public Health, l’université nationale de santé publique de Singapour, cité dans
le même article du Straits Times.
Bref, on cible et sacrifie les vieux et les non vaccinés, qui l’ont bien cherché les uns et les autres.
Quand il n’y en aura plus, le « Conard-virus » disparaîtra, encore une évidence.
Afin de convaincre les derniers réfractaires de
franchir le pas, souvent des personnes âgées, le gouvernement a introduit en
octobre des restrictions d’accès aux lieux publics pour les non-vaccinés et
prévoit de leur interdire l’accès aux lieux de travail à partir du 1er
janvier 2022.
Une stratégie à la « Jupiter » : T’es pas vacciné, tu ne sors pas de chez toi, même pour aller bosser et gagner ton quignon de pain quotidien…
Ça a bien fonctionné avec les « Gauloisiens », il n’y a pas de raison que ça ne fonctionne pas ailleurs.
L’autre solution c’est de mettre tous les non-vaccinés dans des camps de travail fermés comme l’aurait envisagé les canadiens (mais ce sont des racontars), façon « le Borgne de San-Cloud » du temps du sida avec ses « sidatoriums »…
T’imagines d’immenses ghettos de pestiférés, juste pour qu’ils n’encombrent pas les services d’urgence ?
Demandez donc à « Xi-Ping-pong » ce qu’il en pense…
Il n’empêche, la stratégie de vaccination malgré ce qu’elle
a coûté aux régimes sociaux et les quelques bugs repérés ici ou là, dont l’interdiction
d’accès aux soins et à la vaccination dans les hôpitaux si tu n’as pas ton
pass-sanitaire (ce qui est vraiment fort drôle…) aura permis de ressortir nos
vieux et de remettre au boulot nos jeunes, histoire qu’ils cotisent à leur tour !
Et ça aura fait repartir la machine économique qui galope vers les pénuries grandissantes et l’inflation surenchérissante.
Tout cela m’amuse, finalement.
Vaccin ou pas vaccin, le « monde d’avant »
aura définitivement disparu sans effusion de sang – qui viendra peut-être un
peu plus tard – et le « monde d’après » ne lui ressemblera plus
jamais.
Mais il ne sera pas mieux pour autant : On vous fait déjà frémir avec la COP26 et ses drames annoncés que tout le monde veut prendre au sérieux.
Le « monde d’après » n’est finalement pas tout-à-fait nouveau : Il y a comme un cousinage évident avec celui « d’avant »… mais en pire, soyez-en sûrs !
Et « Floflo », il a déjà raté le train, qui ne repassera pas à quai…
Ce qui faisait environ mille personnes à bloquer sur 700 à 800 mètres la circulation sur mon boulevard : Bé oui, il fallait compter avec les deux ou trois compagnies de CRS qui les encadraient, tiens donc !
Bon, on connait leurs arguments : Ils ne veulent pas devenir les cobayes d’une molécule expérimentale.
Je veux bien les croire.
Personnellement, pour avoir été vacciné contre tout et même l’inutile depuis mon passage sous les drapeaux, j’en viens à faire de l’immuno-résistance même contre la konnerie-humaine : Elle ne m’atteint plus… ou alors rarement et jamais sous sa forme la plus grave, celle des « autistes-trisomiques » qui se promènent en toute liberté dans mon pays.
Personnellement, je note qu’on compte déjà 5 mégamorts qui ne pourront plus se reproduire dans le monde avec cette saloperie « expérimentale »…
Là, je parle du « Conard-virus ».
Hein, elle est majeure cette vérité-là…
Car il y aura encore des décès de cette « grippe augmentée », puisqu’effectivement les vaccins proposés n’ont au mieux qu’une efficacité de 90 %…
C’est un peu comme « Floflo-Fili-Peau », l’ex du « F.Haine » qui surfe sur la peur du vaccin.
Ils devraient plutôt râler sur « l’État-Policier » de la « démocrature » qui se met en place dans le pays.
Mais comme lui, c’est un facho (de « l’extrême-gôche » pour « Zézé-Amour »), il devrait plutôt se réjouir, d’autant qu’il a pu traverser quelques frontières soutenir, par exemple les antivax « ritaliens », grâce à son « pass-sanitaire » : Comme quoi, « Jupiter » leur aura préparé le terrain !
Et en plus, si nous nous lui disons « merci », eux n’ont même pas la reconnaissance du ventre.
Tout se perd, ma brave dame…
Car si Singapour connaît une recrudescence épidémique malgré un taux de vaccination parmi les plus élevés, cela prouverait une nouvelle fois l’inefficacité des vaccins prétendent ceux qui n’ont décidément rien compris…
Et le fondateur du mouvement « Les Patriotes » cherche depuis des mois à capitaliser sur les discours conspirationnistes et antivaccins en s’emparant, notamment, de cet exemple. Dans un message posté lundi 1er novembre, en hommage à « tous les saints » (là où nous honorons nos prédécédés) sur les réseaux sociaux, il interpelle ainsi les « covidistes », ceux qui font confiance aux recommandations des institutions de santé : « 83 % de double vaccinés à Singapour et une courbe des cas et des morts qui n’en finit plus d’exploser ! Qu’en disent les covidistes ? Rien, ils font semblant de ne pas voir ! Stop ! »
Et elle n’aurait pas pu le faire sans la vaccination massive de ses citoyens.
Nous, nous y arriverons probablement et péniblement dans quelques semaines.
Et la ville-jardin aux 5,7 millions d’habitants est bel et bien actuellement frappée par une vague inédite.
Alors qu’elle ne comptait guère plus qu’une trentaine de contaminations recensées depuis un an, leur nombre s’est multiplié depuis le début du mois de septembre, pour atteindre des sommets à plus de 5.000 cas par jour, à la fin du mois d’octobre.
Singapour compte, par ailleurs, une quinzaine de décès quotidiens, alors qu’aucun n’a été recensé durant les sept premiers mois de l’année. Il n’est donc pas abusif de parler d’une explosion de cas et de décès.
Or, l’apparition de cette vague est parfaitement explicable.
Comme l’assume Dale Fisher, professeur spécialiste en maladies infectieuses à l’université nationale de Singapour et président du réseau mondial d’alerte et de réponse aux épidémies de l’ONU : « Nous autorisons l’endémicité », c’est-à-dire l’installation habituelle de la maladie dans la population !
Quitte à avoir des « pertes en ligne ».
Profitant de sa situation insulaire, Singapour, comme les Philippines, la Nouvelle-Zélande, ou dans un autre registre, la Chine, a longtemps adopté des mesures extrêmement strictes : Restrictions des entrées aériennes, quarantaines forcées, contact-tracing, etc.
Celles-ci ont permis de largement protéger la population du virus, mais au prix d’un important ralentissement des échanges économiques et d’un impact majeur sur la vie quotidienne.
Ce qui a visé à donner du temps au temps pour vacciner le plus grand nombre possible.
Mais il y a des réfractaires partout…
De ce point de vue, la hausse du nombre de cas n’est pas une illustration de l’échec des vaccins – même s’ils n’empêchent toujours pas la transmission – mais une conséquence attendue d’un choix politique qui repose, au contraire, sur la protection vaccinale.
Sans elle, ils seraient toujours « confinés », parqués, pestiférés.
L’ampleur de la vague témoigne, néanmoins, de l’incapacité des vaccins à endiguer la transmission du variant Delta, plus contagieux, même avec un taux de vaccination supérieur à 80 %.
Et c’est au sein de cette dernière que se trouvent les plus touchés par cette vague liée à la levée des restrictions. « Même si les personnes vaccinées sont dix fois plus nombreuses que les non vaccinées dans la population, ce sont les non vaccinées qui sont majoritaires en soins intensifs, qui ont besoin d’oxygène, et qui finissent par décéder ».
« Nous avons un groupe de seniors qui sont toujours non vaccinés. Ils pèsent 1,5 % ou légèrement moins de la population totale, et sur les vingt-huit derniers jours, ils représentaient les deux tiers des occupations en soins intensifs et des morts », a ajouté à la fin du mois d’octobre leur ministre de la santé.
Les jeux sont faits…
Et les résultats sont clairs.
Y’a pas photo !
Même si je peux rajouter, sans l’ombre d’une erreur possible, que 100 % des vaccinés – et des autres – finiront par mourir…
C’est tellement mathématique qu’on finit par faire dire n’importe quoi à n’importe quel chiffre, c’est bien connu : Comme d’une nouvelle démonstration, quoi.
Bref, on cible et sacrifie les vieux et les non vaccinés, qui l’ont bien cherché les uns et les autres.
Quand il n’y en aura plus, le « Conard-virus » disparaîtra, encore une évidence.
Une stratégie à la « Jupiter » : T’es pas vacciné, tu ne sors pas de chez toi, même pour aller bosser et gagner ton quignon de pain quotidien…
Ça a bien fonctionné avec les « Gauloisiens », il n’y a pas de raison que ça ne fonctionne pas ailleurs.
L’autre solution c’est de mettre tous les non-vaccinés dans des camps de travail fermés comme l’aurait envisagé les canadiens (mais ce sont des racontars), façon « le Borgne de San-Cloud » du temps du sida avec ses « sidatoriums »…
T’imagines d’immenses ghettos de pestiférés, juste pour qu’ils n’encombrent pas les services d’urgence ?
Demandez donc à « Xi-Ping-pong » ce qu’il en pense…
Et ça aura fait repartir la machine économique qui galope vers les pénuries grandissantes et l’inflation surenchérissante.
Tout cela m’amuse, finalement.
Mais il ne sera pas mieux pour autant : On vous fait déjà frémir avec la COP26 et ses drames annoncés que tout le monde veut prendre au sérieux.
Le « monde d’après » n’est finalement pas tout-à-fait nouveau : Il y a comme un cousinage évident avec celui « d’avant »… mais en pire, soyez-en sûrs !
Et « Floflo », il a déjà raté le train, qui ne repassera pas à quai…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire