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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 15 novembre 2021

Très étonné…

Car je ne me suis pas endormi !
 
Souvenez-vous, lors du débat des cadors des « Républicains-démocrates » la veille, je me suis effondré bien malgré moâ dans les bras de Morphée (I-Cube (l'exilé): Je suis honteux… (flibustier20260.blogspot.com)).
Le lendemain, j’avais récupéré et étais au RDV fixé aux « Gauloisiens » par « Jupiter ».
C’était le jour anniversaire de la mort du Général De Gaulle : Je m’en souviens encore car je me suis senti bien orphelin ce jour-là. Déjà, sa démission m’en avait mis un coup sur le carafon, mais là, ça devenait définitif : Plus de recours possible, il fallait devenir adulte et se démerder tout seul !
Or, dans le poste de télé, pas un mot de la part de « Jupiter » sur son illustre prédécesseur, alors que je ne dormais pas et étais à jeun…
Il faut dire qu’on attendait autre chose, puisque les concurrents étaient tous à « Colombey-les-deux-mosquées » ou à Bayeux pour « Marinella-tchi-tchi »…
Tout un symbole pour celle-là : Première sous-préfecture libérée, elle ne finira même pas sous-préfète !
La belle ambition que voilà.
 
On attendait surtout de savoir comment on allait être bouffés par la énième vague de « Conard-virus » et on a tout juste eu seulement droit à une piqûre de rappel !
Il faut dire que le prophète des mauvais augures n’est décidément plus le même. Il ne parle plus de guerre, il est encore différent physiquement de son « avatar » du mois de l’été dernier, quand il était à Brégançon à s’occuper de notre sort.
Raide, statique, peut-être trop maquillé ou l’effet d’un mauvais éclairage et parlant d’une voix inhabituellement monotone, « Jupiter » aura livré une allocution insipide.
Presque nulle : C’est qu’il vieillit lui aussi, ou alors il n’avait pas « sa dose » au moment de l’enregistrement des 27 minutes d’allocution.
L’audimat nous dit que nous étions seulement 19 millions à regarder le navrant spectacle quand nous étions 37 millions en avril 2020, 30 millions le 31 mars de cette année et 22 millions le 12 juillet dernier.
Un spectacle étrange et déclinant, finalement.
 
Tout au long de la journée, il s’était murmuré dans le tout « Paris-sur-la-plage » qu’il avait fait exprès de placer son intervention en ce jour anniversaire de la mort du Général de Gaulle pour empêcher « Zézé-Amour » de profiter de la date pour annoncer sa propre candidature…
Les langues malveillantes, décidément.
Car ce kon là aura loupé l’occasion.
Comme il aura laissé passer l’échéance du 11 pour, pour probablement se reporter au 5 décembre, date anniversaire de la création du RPR par « le Chi », en oubliant de dire que c’est aussi la date anniversaire de l’accession au trône de « Gauloisie » de Charles IX en 1560.
Voire également le jour où, en 1496, le roi des lusitaniens, Manuel Ier de Portugal, signe un décret d’expulsion des Juifs de son pays. Allez savoir !
Il faut dire que le 2 décembre aurait plus de gueule pour un « féru » d’Histoire de la « Gauloisie-célèbre ― 1804 : Couronnement de Napoléon 1er ; 1805 : Bataille d’Austerlitz ―, mais c’est avant la désignation du candidat des « Républicains-Démocrates ».
 
L’ensemble de la prestation de « Jupiter » aura été curieuse. Non seulement il n’a pas annoncé, lui non plus, sa candidature, mais il aura joué sur « la guerre », qui n’a sans doute jamais eu lieu, même si nous avions perdu en moins d’un mois notre seul porte-avions opérationnel…
Qu’on se rappelle : le 12 juillet dernier, « Jupiter » engageait le pays dans un chantage à la vaccination. Il rendait cette dernière obligatoire pour quelques professions (professions de santé, pompiers, etc…) et il mettait en place un pass-sanitaire obligatoire pour un certain nombre de lieux publics, à commencer par les restaurants, les gares, les aéroports.
Personnellement, j’avais le mien en poche dès avant, pour devoir supporter un tas d’ALD sur le dos et il ne m’a même pas remercié de faire ainsi barrage à la pandémie.
En revanche il a annoncé la nécessité d’une troisième dose pour les plus âgés des « Gauloisiens » encore adultes et en bonne santé. Et il a appelé au « sens de la responsabilité » des « six millions de non-vaccinés », tout en affirmant que le vaccin ne fonctionnait pas plus de six mois puisqu’il faut des rappels.
Le kon : C’était prévu de longue date. Il faudra un rappel tous les ans tant que le « Conard-virus » circule.
Et si à l’occasion il a fait l’éloge des soignants et s’est félicité d’une augmentation sur leur fiche de paie, il aura oublié qu’un certain nombre auront été suspendus et même privés de traitements.
La vaccination, c’est un « libre choix »… pistolet sur la tempe.
J’irai donc faire ma troisième dose avant Noël.
Ou la veille de mon 65ème anniversaire (seulement si je survis jusque-là…)
 
Du coup, l’invocation d’une « cinquième vague », bien réelle en « Teutonnie-germaine » et encore ailleurs, avait un aspect étrange : Il a beau s’accorder un satisfecit pour la gestion de la crise, on était finalement loin du martial « Nous sommes en guerre » du printemps 2020.
Dix-huit mois plus tard, « Jupiter » apparaissait singulièrement raide, statique et artificiellement peu démonstratif, comme s’il avait décidé de jouer un rôle, celui d’un homme posé, bien loin du personnage provocateur défiant tous ses adversaires, qu’il a pu être, au début de l’affaire « Ben-Allah » ou lors de la crise des « Gilets Jaunes ».
Manifestement, il pose « sérieux » pour entrer en campagne, sauf qu’il en devient singulièrement fade.
 
« Aseptisé » pourrait-on en dire jusque dans sa présentation de la situation. Il a commencé par mentionner les angoisses des « Gauloisiens » et il a fini en les évoquant à nouveau.
Entre les deux, nous avons eu une série de bizarreries : Il a parlé de maîtrise de la dépense publique alors que jamais le taux d’endettement du pays n’a été aussi élevé. Il s’est vanté d’un chômage des jeunes à des niveaux historiquement bas en oubliant la détresse beaucoup plus générale de la jeunesse, par exemple privée de cours en présence à l’université pendant des mois. Il aura annoncé, un 180° fait au frein à main comme dans les meilleurs têtes-à-queues, que de fabriquer de nouveaux réacteurs nucléaires !
Il a parlé de l’Union Européenne comme s’il s’agissait de la solution pour l’avenir alors que nous constatons aussi que l’UE est en crise (mais elle l’est depuis toujours…), et surtout, il a provisoirement et définitivement renoncé à toute « réforme des retraites ».
La réforme pivot de son quinquennat, à plus d’un titre.
 
Et ça reste étonnant quand un Président ne parle pas du pays tel qu’il est, tel qu’il souffre et craint l’avenir, mais d’un pays comme il voudrait le voir.
Vous aurez noté : Pas un mot sur l’immigration !
Et quand il parle de l’insécurité, il dévie immédiatement vers la violence contre les femmes ou contre les enfants – deux réalités, bien entendu – au lieu de traiter la question de l’insécurité urbaine et de l’ensauvagement de la jeunesse, des « no-go-zones » et des trafics de drogue dans « les quartiers ».
Hors sol !
 
Dès lors, il était difficile de ne pas y voir un discours de campagne présidentielle, d’autant plus que « Jupiter » a mis en avant son souhait de conduire des réformes en 2022, et par conséquent, pendant la campagne voire après les élections.
En bref, la « mesure phare » de son discours n’aura a été que la troisième dose du vaccin.
Si cette mesure ne concerne qu’une partie de la population (diviser pour mieux régner), c’est celle qui est la plus dangereuse car il est à craindre qu’elle conduise peu à peu étendue au reste de la population. Et d’ailleurs « Jupiter » a rappelé que la campagne de rappel, pour l’instant non obligatoire, a commencé pour les plus de 50 ans.
Ainsi on continue sur la lancée coercitive pour pousser la population à la vaccination, là où certains pays européens n’ont pas de « pass-sanitaire » ou d’obligation vaccinale (Suède) ou l’ont supprimé (Danemark).
Ceux-là n’exigent donc aucun vaccin pour se rendre dans des lieux publics.
Contrairement au principe « Tout ce qui n’est pas interdit est permis », désormais, une bonne partie de la classe politique, considère la liberté comme « une récompense pour bonne conduite » : Tout ce qui n’est pas permis est interdit !
Un raisonnement de gardien de prison !
Vous ne le saviez pas mais, si vous étiez en « garde-à-vue » (chez vous) durant le premier confinement, vous êtes désormais en « liberté surveillée » permanente et « sous condition ».
Le nouveau régime de la « démocrature » qui s’est imposée au fil du temps.
Merci au « Conard-virus » et à nos « maîtres du monde »…
 
Mais il n’y a pas eu que ça : Au-delà de la situation sanitaire, « Jupiter » en a profité pour aborder quelques thèmes économiques en mettant l’accent sur son bilan, forcément positif, et sur les projets qu’il souhaite mettre en œuvre dans les prochains mois.
Qu’il s’agisse de « l’indemnité inflation » (phénomène d’envolée de prix qui paraît-il n’existe pas…) de 100 euros versée à ceux dont le revenu est inférieur à 2.000 euros net par mois (soit plus de 30 millions de personnes adultes tout de même) ou du plan « Gauloisie-impétueuse-2030 », doté de seulement 30 milliards d’euros sur cinq années, l’État sort le chéquier.
Une manière de faire passer la pilule des mesures sanitaires?
Là où ils sont encore nombreux qui ne comprennent toujours pas que cet argent prétendument « gratuit », ou investi, n’est autre que celui du « Kon-tribuable ».
Ces sommes devront être financées soit par une hausse des taxes & impôts, soit par de la dette avec tous les problèmes de soutenabilité, là où les taux vont immanquablement de tendre dans un futur proche…
Comment les générations futures pourront-elles assumer, au juste ?
 
La réforme des retraites est reportée au prétexte de la situation sanitaire, on vient de le dire, pour un choix guère surprenant étant donné que ce sujet est source de conflits.
« Jupiter » ne souhaite évidemment pas créer un nouveau front de contestation juste avant les élections, tout simplement !
Ce sera pour « après ».
 
Cette situation offre une image inquiétante de l’état économique du pays : Les réformes nécessaires ne sont pas effectuées ; les finances publiques déjà dans une situation dégradée seront encore plus affaiblies par des dépenses dont certaines sont électorales.
Seul point intéressant et positif, c’est le retour du nucléaire afin de garantir l’indépendance et la sécurité énergétique.
Ce n’est pas nouveau et de toute façon, il faudra bien financer tout ça via les factures d’électricité, puisque le KWH est facturé au prix du gaz russe…
Rien ne vous étonne, vous ?
Moâ, si : Le nucléaire, pour lequel on a déjà payé beaucoup, devait nous libérer de ce genre de situation…
Eh bien pas du tout, pas du tout !
Mais on avance encore plus profondément…
 
On peut tout de même déplorer que cette prise de position franche n’ait lieu qu’à la fin de son mandat après les propos ambigus de certains ministres.
Et à l’instar des retraites, de tels chantiers seront mis en œuvre après les élections.
On peut aussi y voir sa volonté de s’aligner sur celles des candidats de la droite LRD, « Air-Haine » ou de « Zézé-Amour ».
Mes potes « écololos » vont encore râler, eux les nouveaux chantres du « déclinisme » (au moins énergétique).
 
Curieusement également, la question européenne a aussi été abordée à travers la présidence de l’UE qui revient à la « Gauloisie-magnifique » à partir de janvier 2022 et pour six mois. Parmi les axes que « Jupiter » souhaite développer, il y a le «Ensemble, de mieux protéger nos frontières extérieures» ou bien «Ensemble, de mieux réguler les géants du numérique».
Les belles ambitions que voilà : Ces deux points ne sont pas neutres. Ils représentent des mesures phares des populistes respectivement de droâte et de gôche.
Autrement dit un moyen facile de faire plaisir à la droâte et à la gôche sur le terrain national, mais aussi, un peu, au niveau européen, puisque « Jupiter » s’y projette déjà.
 
Bref, un discours de campagne, qui heureusement n’aura pas duré très longtemps, mais où il manque l’essentiel : Faire rêver à un avenir meilleur !
Ce qu’il nous avait promis en 2017.
On a vu de quoi il en a retourné.
Il faut dire, pour sa défense, qu’il n’a pas vraiment pu faire autrement face à la cascade d’événements parfaitement imprévisibles, reconnais-je.
Mais il s’agit de comprendre que c’est la raison pour laquelle il ne veut surtout pas refaire le débat du deuxième tour de 2017, parce que le choix (le choix ? quel choix au juste ?) pourrait ne pas être celui qui l’aura porté à l’Élysée il y a 4,5 ans.
C’est dans cette optique qu’apparaît « Zézé-Amour » qui remélange les cartes…
Belle stratégie, s’il en est, n’est-ce pas ?
 
Et puis je suis allé dîner tranquillement, avec un petit-rosé sec Corsu bien frais avant de ménager mon taux de glycémie du lendemain avec une clémentine Corsa des plantations de ma grand-mère.
Ce n’est que le lendemain que j’ai pu voir le dernier 007, autrement plus marrant, en VO où la moitié de la bande son n’est que bruitage d’explosions et de coups de feu (ça détend) et le quart restant est en VF : Sympathique, car ça détend le neurone !

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