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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 30 avril 2021

Les « revenues » de la semaine

Relevées par Jean-Marc…
 
Pour les béotiens, les « revenues » sont des « histoires d’en rire » de Jean-Marc & Cie déjà publiées sur ce blog.
Elles partent sur la blogosphère au gré des connexions, essentiellement dans l’hémisphère-nord et probablement jusque chez des francophones (un petit peu l’Océanie) et « reviennent » après un parcours improbable autour de la planète, légèrement modifiées, « adaptées » ou parfois intactes, à peu près à l’improviste et dans des délais très aléatoires.
On en jette une grande partie, sauf celles qui amusent vraiment Jean-Marc.
Les suivantes en font partie.
 
La maîtresse demande à ses élèves de faire une phrase avec « et pourtant ».
« – Vas-y Jean-Pascal :
– Hier, j’ai été à la pêche avec mon papa et pourtant il pleuvait. »
La maîtresse :
« – Oui, ce n’est pas trop mal. À toi Isabelle.
– Le chat a attrapé une souris et pourtant elle courait vite ! »
La maîtresse :
« Voilà, c’est très bien. À toi Jean-Marc. »
Jean-Marc réfléchit un instant et se lance :
« Les filles mouillent entre les jambes et pourtant elles ne rouillent pas !!! »
La maîtresse très mécontente :
« Tu me copieras 100 fois : “Je ne raconte pas de grossièreté en classe” pour demain et tu prépareras une phrase correcte avec “et pourtant”. »
Le lendemain, Jean-Marc remet sa punition à la maîtresse.
« J’espère que tu as compris. Vas-y, dis-nous ta nouvelle phrase. »
Jean-Marc :
« La terre est ronde (la maîtresse se dit : Pour l’instant ça commence bien) et pourtant ça baise dans tous les coins !!! »
 
C’est Jean-Marc (devenu adulte), sur l’autoroute avec sa Porsche, à 180 km/h.
Il est tout fier de sa nouvelle voiture quand tout à coup, il se fait rejoindre par un gars en 205 GTI.
Le gars baisse sa vitre et lui crie : « PEUGEOT, TU CONNAIS ? »
Pas content, Jean-Marc se dit : « Tu vas voir mon gaillard ! ».
Et il monte à 210 Km/h, double la 205 et la laisse loin derrière.
10 secondes plus tard, la 205 le rattrape et le mec lu rehurle : « PEUGEOT, TU CONNAIS ? »
Là, il est vraiment furax, le Jean-Marc !
Pied au plancher, il pousse à 250 km/h et il le redouble.
10 secondes plus tard, la 205 le rattrape et le mec lui redit : « PEUGEOT, TU CONNAIS ? »
C’en est trop pour Jean-Marc ! Au diable les flics, les radars et les retraits de permis, c’est une question d’honneur, à fond en sixième, il carbure à 300 km/h.
À son grand effroi, la 205 le rattrape, lentement, mais sûrement.
C’est alors que Jean-Marc se rappelle qu’à cet endroit, la route se rétrécit et qu’il y a un virage serré.
Il ralentit, et constate avec horreur que la 205 s’explose en mille morceaux dans une gerbe de flammes.
En pleine panique, Jean-Marc s’arrête, quitte sa Porsche et s’approche de la carcasse fumante de la 205.
Il s’aperçoit que le conducteur est encore vivant, à moitié brûlé et encastré dans la tôle.
Le gars lui demande alors dans un souffle à peine audible : « Peugeot, tu connais ? »
Jean-Marc répond surpris : « Mais oui je connais Peugeot !! ».
Et dans son dernier soupir, le gars lâche : « Y sont où, les freins ? »
 
Un pasteur huguenot se balade dans la campagne avec son petit garçon.
Il tente de lui inculquer la morale chrétienne et le respect de la nature.
Soudain, un pigeon lâche une fiente sur le chapeau du papa “SPLATSCH”.
« – Oh papa, ton beau chapeau est tout sale, maman ne sera pas contente !
– Ce n’est pas grave mon fils.
Remercions plutôt le Seigneur de ne pas avoir donné d’ailes aux vaches. »
 
À essayer !
La nouvelle position amoureuse :
Elle s’appelle “La position Rodéo”.
Jean-Marc en fait une description méticuleuse à Jean-Paul.
« Tu retournes ta dame sur le ventre.
Tu la pénètres délicatement.
Tu prends ses seins des deux mains.
Et tu lui dis : “On dirait vraiment ceux de ta sœur !”
À partir de là il FAUT tenir 8 secondes !!! »
 
Une femme veut se faire opérer car elle trouve que ses lèvres vaginales sont trop grandes.
Elle demande au docteur de garder le plus grand secret sur l’opération car elle est embarrassée et ne veut que personne ne le sache.
Le docteur y consent.
Elle se réveille de son opération et trouve trois roses placées avec soin à côté de son lit.
Outragée, elle appelle le docteur.
« – Je pensais vous avoir demandé de ne pas parler de mon opération à personne !
– Ne vous inquiétez pas. Je n’ai rien dit à personne.
La première rose est de moi. Je me suis senti mal parce que vous avez traversé tout ceci complètement seule.
La deuxième est de mon infirmière.
Elle m’a aidé à vous opérer.
– Et la troisième ?
– Elle provient d’un type dans l’unité des grands brûlés qui vous remercie pour ses nouvelles oreilles ! »
 
Dans un camp de nudistes, Jean-Marc dit à son garçon de 8 ans :
« – Tu vas aller quêter pour ramasser de l’argent pour les œuvres de bienfaisances et tu dois choisir les gens les plus riches.
– Mais papa, ils sont tous nus ! Comment vais-je reconnaître les riches des pauvres ?
– En général », répond Jean-Marc, « les gens pauvres ont un petit pénis et les riches en ont un plus grand. »
Le petit garçon commence sa quête, et deux heures plus tard, Jean-Marc lui demande :
« – As-tu vu ta mère ?
– Oui, elle parlait avec un gars pauvre, puis tout d’un coup, le gars est devenu très, très riche et ils sont partis ensemble… »
 
Jean-Marc entretient aussi un petit lopin dans un jardin communautaire.
Sa voisine était surprise par la belle couleur rouge de ses tomates.
Alors un jour elle insista auprès de notre homme pour connaître son secret.
Celui-ci finit par lui avouer que le matin, très tôt, il vient se promener tout nu devant ses tomates et que c’était ainsi qu’elles devenaient si rouges.
La fille très surprise par sa technique se dit qu’elle allait l’essayer.
Quelques semaines plus tard notre homme rencontre de nouveau sa voisine :
« – Alors comment vont tes tomates depuis que tu pratiques ma technique à poil ?
– À vrai dire mon cher, l’effet sur mes tomates n’est pas évident du tout.
Mais si tu voyais la longueur de mes concombres… alors ça ! »
 
Un vieux monsieur essaie de mâcher son steak, mais ça n’a pas l’air facile.
À la fin, excédé, il retire son dentier, le pose à côté du steak et s’exclame :
« Arrangez-vous tous les deux ! »
 
Dans un train Jean-Marc mâche du chewing-gum.
Une vieille dame assise en face le prévient :
« Pas la peine de me faire la conversation, je suis sourde… »
 
Deux confrères d’université se rencontrent après 15 ans.
« – Gaston !
– Jean-Paul !
– Tu n’as pas changé !
– Toi non plus ! »
Et ils bavassent comme ça, pendant une dizaine de minutes.
« – Dis donc, Gaston, es-tu marié ?
– Oui, Jeanne, tu te souviens, elle étudiait avec nous. Et toi ?
– Deux fois. Deux échecs.
La première m’a quitté et la deuxième s’accroche férocement. »
 
Un professeur demande à ses élèves :
« Quelle est la partie du corps qui va au ciel la première ? »
La petite Nathalie répond :
« – C’est le cœur… parce que le petit Jésus aime s’entourer d’amour.
– C’est bien ma petite Nathalie. Et toi Jean-Sébastien ?
– Je crois que c’est les pieds, Madame.
– Les pieds ? Eh bien pourquoi donc ?
– Parce que hier, j’ai vu ma Maman au lit. Elle avait les pieds dans les airs et elle criait : ‘‘Mon Dieu, je viens ! Je viens !’’ »
 
C’est Jean-Marc qui lève une fille dans un bar, un beau samedi soir.
Il l’invite chez lui.
Elle accepte.
En moins de deux, ils se déshabillent.
Il retire le soutien-gorge de la fille… et soudain, il est pris d’un doute :
« – T’as quel âge ?
– Treize ans…
– Ouach. Habille-toi, on s’en va.
– Pourquoi ? T’es superstitieux ? »
 
Comment rendre les gens fous : Les recettes de Jean-Marc.
 
À l’heure du déjeuner, garez votre voiture le long de la route et pointez un séchoir à cheveux en direction des voitures qui arrivent sur vous.
 
À chaque fois que quelqu’un vous demande de faire quelque chose, demandez s’il veut des frites avec cela.
 
Mettez votre poubelle sur votre bureau et étiquetez-la « Urgences ».
 
Mettez du café décaféiné dans la machine à café pendant 3 semaines.
Une fois que tout le monde a surmonté sa dépendance à la caféine, changez pour de l’expresso.
 
Dans le champ mémo de tous vos chèques, au lieu de libeller le numéro de la facture payées, écrivez “pour faveurs sexuelles.”
 
Aussi souvent que possible, sautillez plutôt que de marcher.
 
Demandez donc aux gens de quel sexe ils sont.
 
Trouvez où votre patron fait ces courses et achetez les mêmes tenues que lui. Portez-les un jour après que votre patron le fait.
 
Envoyez un courriel à vos collègues pour leur dire ce que vous faites.
Par exemple : Si quelqu’un a besoin de moi, je serai dans la salle de bains.
 
Appelez la ligne 3619 médium et dites juste : « Devine ! »
 
À la banque, quand l’argent sort du guichet automatique, criez « j’ai gagné ! J’ai gagné !
C’est la troisième fois cette semaine ! »
 
Chaque fois vous voyez un balai, hurlez « Chéri, ta mère est ici ! »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine passée :
 
« Jean-Marc aime bien les copulations des postières »
« Le même : Je suis fasciné par le cul de cette gourde »
« L’oncle de Jean-Marc perd courage devant les appâts de ma tante »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« J’ai vu le vieux lycée Ampère… »
Recommandations de Jean-Marc :
« Il ne faut pas planter ses dattes dans les champs ! »
Mais heureusement on peut « se coucher sur la touche »…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » (à copier/coller. Je ne parviens plus à faire des liens hypertexte avec cette version de Word-là !) :
Ma bibliothèque (livresinterdits.blogspot.com)
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html

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