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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 27 avril 2021

La « Gauloisie-libérale-avancée » progresse…

… dans ses camisoles !
 
Moâ, j’admire : Plus ils en ont, plus ils en réclament et plus on les leur impose !
L’horreur à Rambouillet ? On va te refaire, dans l’urgence, une nouvelle loi antiterroriste !
Qui viendra se rajouter à toutes les précédentes.
Probablement et hélas avec les mêmes résultats consternants…
Une décision de la Cour de cassation qui rend une décision « conforme à la loi » sur l’irresponsabilité des criminels devenus déments au moment des faits et on va te refaire le code pénal…
« Bling-bling » voulait déjà « juger les fous » à la suite de l’assassinat d’une infirmière psychiatrique par un de ses patients : Quel tollé à l’époque !
Mais là, comme la victime était une « feuj », on va avoir cette loi : Comme quoi, on a toujours besoin d’un « feuj » chez soi…
Et pourquoi pas, puisque dans les deux cas « l’opinion publique » est mûre et y est plus que favorable et même demandeuse ?
 
Toutes ces mesures « législatives » sont jugées « majeures », indispensables, réformatrices, signes de progrès immenses de la « très grande sagesse » de nos « sachants ».
Même si elle a du retard à l’allumage…
Personnellement, je ne comprends toujours pas pourquoi personne n’y avait pensé avant !
J’ai bien l’explication toute faite de « l’autisme-trisomique » natif de tous ces « sachants » qui vous pourrissent la vie pour votre « plus grand bonheur », puisque c’est vous qui payez leurs erreurs successives, mais tout de même, il se pourrait qu’il y ait des limites infranchissables à la konnerie.
Eh bien non : C’est ça que je ne comprends pas…
Songez-y, pour un monde meilleur, voire « parfait » composé uniquement de « justes » et de justice, lors d’un recensement réalisé par le Conseil d’État, on dénombrait encore « plus de 8.000 lois applicables et 110.000 décrets en vigueur ».
Avec toujours les mêmes résultats affligeants.
Des chiffres en constante augmentation.
En 2003, par exemple, le Conseil d’État a été amené à examiner 1.142 projets de textes.
« Il y aurait aujourd’hui près de 400.000 normes, 11.500 lois avec leurs 320.000 articles auxquels il convient d’ajouter 130.000 décrets ».
Et je ne vous raconte même pas le nombre d’arrêtés, de circulaires, d’instructions, et d’avis.
La dernière loi d’une année reste en principe la loi de finances pour l’année suivante. Celle du 29 décembre 2020 (JO du 30/12) porte le numéro 1721…
La machine à produire des réglementations s’emballe et force est de constater qu’elle ne sait plus s’arrêter…
 
Mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…) est devenu un patchwork de réglementations tatillonnes, de contraintes, de mesures coercitives avec pour splendide résultat une inhibition générale qui confine à l’ankylose et empire au lieu d’améliorer la situation de chacun.
Tel un imbécile qui s’enlise dans ses troubles obsessionnels compulsifs autopunitifs, « nos autorités » nous corsètent, nous contraignent, nous entravent, nous empêchent, nous privent, nous interdisent, nous condamnent à des amendes et finalement nous pousse à la « déconfiture-libérale »…
Et il paraît que nous vivons dans un monde affreusement libéral…
Fabuleux : Plus facho-communiste que ça, il faut aller en Chine ou en Corée !
 
Dimanche dernier, il faisait beau, frais mais beau à « Paris-sur-la-plage ».
J’ai donc pris mon passeport (pour passer « rive-droâte ») et je suis allé voir ce fameux croisement de la rue de Rivoli qui « comporte quatre sens interdits pour autant de voies » !
Ubuesque.
Une fois engagé dans la rue qui y mène et qui est en sens unique, il est « impossible d’échapper à une amende », en atteste une vidéo postée sur le site BFMTV.
L’élu responsable en dit qu’ils ont oublié de mettre un panneau à l’entrée de ladite rue signalant l’impasse…
L’impudent qui se défausse sur « ses » services !
En fait, ce n’est pas une impasse : Tu peux aller dans tous les directions si tu es à vélo, trottinette électronucléaire ou non, toutes ces « chairs-à-pneu » (comme il y avait de la « chair à canon » en 14/18…) volontaires pour finir en fauteuil roulant…
Sans ça tu roules en bus (et ses polluants aux particules fines), en Uber ou Taxi-diesel : Il y en a plus que de piétons !
La rue de Rivoli : Un vrai désert piéton.
Il y a nettement plus de monde dans le jardin des Tuileries et ça te soulève une poussière blanche qu’heureusement on s’en masque les muqueuses !
Bref une souricière, comme j’en ai croisée une autre vendredi en rentrant d’un déplacement auto-autorisé (dans ma « ahute-bienveillance… de toute façon, de toute la journée je n’ai pas croisé un flic, seulement des patrouilles « Vigi-pirate ») « à + de 30 km », en roulant sur un de mes « raccourcis favoris » et habituel : Au bout, il y avait des plots en béton tout nouveau-tout beau qui m’ont obligé à faire un long détour de plus de 20 minutes et 7 feux rouges pas coordonnés sur des voies encombrées alors que jusque-là, la circulation était fluide…
Là, j’ai forcément bien pollué les façades des immeubles !
Décidément, il y a vraiment des coups de pied au kul qui se perdent !
 
Une spécificité nationale qui fait notre fierté indubitable et que le monde entier envie notre « exception culturelle ».
Il y en a d’autres comme la réformette du Code du travail engagée par « Jupiter » comme d’une urgence et qui a consisté, quatre ans plus tard, à ajouter des textes à des textes : Au bas mot, 5 ordonnances d’un total de 160 pages, 26 décrets d’application publiés au Journal Officiel, le tout portant sur 117 mesures.
Tout ça pour si peu…
Inexorablement, les couches se superposent au fil des ans, tout simplement parce que cette pulsion normative est inassouvissable.
Et depuis les « 35 heures » imposés par « Tonton-Yoyo », tout le monde se réjouit à travers le monde.
Comme disait alors le n° 2 du 9ème des « Big-eight », mon patron, alors que je dirigeais son « service fiscal » : « Voilà une mesure qui va créer des millions d’emploi… mais pas chez nous ! »
S’il fallait choisir dans cette inextinguible logorrhée de contraintes qui plombent « l’Hexagonie », la loi des 35 heures mériterait la plus haute distinction !
Véritable mutilation que notre pays s’est infligée à lui-même, et dont aucun autre n’a bien évidemment voulu, cette mesure a impliqué de tels sacrifices qu’il a fallu financer, avec votre propre pognon, les PME pour qu’elles la mettent en place.
Une mesure qui non seulement handicape notre économie, mais qui en plus a coûté très cher à instaurer.
Un comble.
 
On peut citer aussi la limitation à 80 km/h imposée par « Kung-Fu-Panda » comme d’une caricature dramatique de cette fureur punitive hexagonale. Alors que la mortalité sur route est en « Gauloisie-routière » à peine supérieure à la moyenne européenne qui est elle-même la plus basse du monde (question d’équipement de « sécurité passive »), alors que cette limitation a été évaluée contre-productive sur le plan économique et social, alors même qu’il y a trois fois plus de mortalité par suicide que sur la route, le gouvernement l’a malgré tout instaurée.
Et après on ne se demande même pas pourquoi les jeunes préfèrent le suicide…
Ni les manifestations, ni le déclenchement du mouvement des « Gilets jaunes » ne sont venus à bout de cette décision démente à bien des égards.
D’autant que la plupart des chemins sont déjà limité à 50 km/h par les maires, quand ce n’est pas 30 ou 15 comme à « Paris-sur-la-Seine ».
En plus des chicanes et autres obstacles suranés…
Et loin d’assumer son erreur, « Kung-fu-Panda » s’est d’ailleurs défaussé sur les Préfets, laissant le soin à ces derniers de maintenir ou pas la mesure, tout en lançant une expérimentation d’une flotte de 440 véhicules banalisés équipés de radars !
Par chance, les premiers tests de ces véritables « mitrailleuses à PV » ne semblent absolument pas concluants. Mais la limitation demeure, avec de véritables pièges à automobilistes sur les portions à sens unique sans signalisation, ou pire encore, sur celles où les anciens et les nouveaux panneaux ne succèdent, quand ils ne cohabitent pas.
Qu’un pays en arrive à mettre en place contre ses propres citoyens une véritable flotte de miradors mobiles et indétectables en dit long sur son état mental.
C’est en tout cas le témoignage d’un puissant mépris des libertés individuelles de nos « sachants », ces fachos qui s’ignorent.
 
On ne compte plus le nombre de secteurs économiques dont les entreprises se plaignent de ne pouvoir se battre à armes égales avec ne serait-ce que nos voisins européens.
Et ce n’est pas qu’une question de « taxe » (que vous retrouvez jusque dans votre assiette).
Les transporteurs Bataves, les fermes industrielles Teutons, les laboratoires Rosbeefs de recherche sur les cellules souches mais aussi les viticulteurs californiens, australiens, « ritaliens » ou les agriculteurs hispaniques, les pêcheurs bretons, tous peuvent nous remercier de saborder notre économie sur l’autel des réglementations les plus diverses.
Droit du travail, surfaces agraires autorisées, contraintes de pollution, réglementations commerciales ou éthiques, tout est bon pour vous faire pleurer.
Inutile d’ajouter que les causes de l’impressionnante chute de nos parts de marché industrielles mondiales sont parfaitement identifiées.
Les médias n’en parlent jamais mais mon pays aura perdu 50 % de son industrie en moins de 30 ans.
On n’est même plus capable de fournir des masques respiratoires ni fabriquer nos vaccins contre une « grippette » émergeante !
 
D’ailleurs la pandémie de « Conard-virus » fournit un exemple d’autant plus récent et démonstratif de cette pulsion oppressive que celle-ci s’est développée au-delà de toute notion de sécurité sanitaire et d’intérêt général.
Il faut le lire pour le croire :
– Interdiction du port du masque chez les policiers jusqu’à ce que les syndicats réagissent ;
– Menaces envers les municipalités qui ont voulu s’en procurer pour leurs administrés ;
– Interdiction de déplacement pendant les confinements puis les couvre-feux avec l’obligation d’un questionnaire justificatif digne de l’occupation.
Les moyens mis en œuvre pour les contrôles de la population dépassent l’imagination puisqu’on dénombre plusieurs arrestations de citoyens sur des plages désertes grâce à la surveillance par hélicoptère ou drone de police ;
– Interdiction de la chloroquine sur la simple base d’une étude « orientée » du Lancet dont la publication a très vite été annulée et de l’ivermectine alors que ces molécules sont mondialement très utilisées en prévention des formes graves et font naturellement l’objet de nombreuses investigations scientifiques ;
– Interdiction d’ouverture des bars, restaurants, cinémas, salles de spectacles, et certains types de magasins.
Certains linéaires de grandes surfaces sont bannis à coups de rubans adhésifs.
Certains points de vente d’une même enseigne sont fermés dans les galeries marchandes mais restent ouverts par ailleurs ;
– Menaces envers les municipalités qui se sont débrouillées pour se procurer des vaccins en nombre suffisant (cf. le maire de Cannes)…
 
Je me marre quand les boutiques de lingerie envoient par la poste à « Casse-tête », notre « premier sinistre », des « petites-culottes » en dentelle, strings et autres fanfreluches, interdites à la vente, boutiques et rayons fermés.
Moâ, ce sont les chaussettes qui commencent à avoir des patates disgracieuses : Mon stock de « correctes » s’épuise dangereusement.
Il va me devenir urgent de déconfiner ces articles-là…
Souvenez-vous (pour ceux qui étaient nés) que déjà en 1966, alors « premier sinistre », « Pompon-pidou » avait déclaré à l’un des chargés de mission de son gouvernement : « Mais arrêtez donc d’emmerder les Français ! Il y a trop de lois, trop de textes, trop de règlements dans ce pays ! On en crève ! ».
C’était il y a 55 ans.
Depuis, la situation n’a pas cessé de se détériorer.
N’y-a–t-il pas urgence à engager les réformes indispensables afin de libérer le pays de ce carcan monstrueux ?
Non, il paraît qu’on veut aussi les enquiquiner avec des débats sur la laïcité, le communautarisme devenu par la magie des mots « séparatisme », les « genrés », les « racialisés » après avoir échoué sur la « convention citoyenne sur le climat ».
Et que sais-je encore d’autre…
Un cercle infernal…

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