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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 22 avril 2021

Désormais, on en est certain !

Des origines du « Conard-virus », bis.
 
Treize de mes compatriotes ont été testés positifs a posteriori par des chercheurs de l’Inserm. Ils ont trouvé des anticorps dans des prélèvements sanguins effectués dès novembre 2019.
Ils n’en reviennent d’ailleurs toujours pas.
Quand on leur a fait un prélèvement de sang en novembre et décembre 2019, ils étaient loin de se douter qu’ils étaient porteurs du SARS-CoV-2, et qu’ils deviendraient les premiers « Gauloisiens » contaminés bien avant le déclenchement de l’épidémie.
 
C’est en effet près d’un an plus tard, en septembre 2020, qu’ils ont appris qu’ils avaient été infectés.
Le professeur Fabrice Carrat, directeur de l’Institut Pierre-Louis d’épidémiologie et de santé publique (Inserm, Sorbonne Université), a eu la bonne idée d’analyser 9.000 échantillons de sang prélevés sur des participants de la cohorte « Constances ».
« Depuis 2018, on propose à des volontaires de participer à la mise en place d’une biobanque », explique la directrice scientifique de ce projet. « Ils acceptent que des échantillons de leur sang et de leurs urines soient congelés dans des grandes cuves d’azote pour des recherches ultérieures.
Avec le professeur Carrat, nous nous sommes dit que ce serait intéressant de retrouver des traces du virus, c’est-à-dire la présence d’anticorps entre le mois de novembre 2019 et le mois de mars 2020. »
 
Les 9.000 échantillons de sang des participants ont donc été testés, ce qui a permis d’identifier 176 cas positifs.
Un second test, réputé fiable et plus spécifique, a ensuite permis d’éliminer les faux positifs pour n’en retenir plus que treize, dont une dizaine qui avaient été prélevés en novembre et décembre 2019.
Puis, les personnes ont répondu à des questionnaires qui ont permis d’en savoir plus sur les circonstances de leur infection.
 
Parmi ces « vrais » positifs, se trouve un trentenaire qui vit à Paris, dont la prise de sang analysée remonte au 29 novembre 2019.
Lorsqu’il apprend a posteriori sa positivité par un courrier de l’Inserm en septembre 2020, il n’en croit pas ses yeux : « Je savais que mon colocataire avait séjourné quatre jours à Montréal au Canada début novembre. Une semaine après, il a commencé à avoir de très fortes quintes de toux. Ce qui était très frappant c’est que j’ai eu la même chose que lui, vers le 8 ou le 10 novembre, une semaine avant le prélèvement de sang que j’ai fait pour la cohorte Constances ».
« C’était une toux très sèche et très longue, qui durait 20 à 30 secondes. J’avais l’impression de cracher mes poumons, à tel point que je me suis dit que j’irai voir un médecin. »
Mais au bout de quelques jours, les symptômes sont passés.
Et il ne s’est pas posé plus de questions.
 
Un autre homme, âgé de 40 ans vivant dans le Sud-Ouest du pays a, lui, passé près de deux mois en Chine avec son épouse. Lorsqu’il a appris qu’il avait été porteur du virus du « Conard-virus » début décembre 2019, il a fait le lien avec le périple qu’il avait effectué du 17 octobre au 9 décembre : « On est arrivés à Pékin. Puis on est descendus dans le Sud, plutôt côté Ouest, côté Tibet. On est remontés dans le centre de la Chine, puis on est redescendus du côté de Canton, Macao et puis Hong-Kong. Et ensuite, nous sommes rentrés ».
Et le couple n’a pas fait d’escale dans la capitale du Hubei : « À aucun moment, nous ne sommes allés à Wuhan. Au plus près, nous étions à environ à 400 km ».
 
Huit jours après avoir atterri sur le sol Gauloisien, le voyageur fait un prélèvement de sang – celui qui sera analysé et testé positif neuf mois plus tard.
Impossible de savoir précisément où il a été contaminé.
Mais pour le professeur Carrat, il ne fait guère de doute que c’est en Chine qu’il a contracté le « Conard-virus », et donc ailleurs qu’à Wuhan où il n’est pas allé, à une période où l’épidémie n’avait pas démarré : « On ne peut pas garantir qu’il ne se soit pas infecté après son arrivée sur le territoire français le 9 décembre. Mais il faut environ 12 à 15 jours pour qu’un individu développe une réponse d’anticorps détectable avec nos méthodes. Cela voudrait dire que sa montée d’anticorps aurait été beaucoup plus rapide que celle des autres personnes qui s’infectent. C’est peu probable.
Il est donc beaucoup plus probable qu’il ait été infecté en Asie en novembre, et même au mois d’octobre ».
Le voyageur n’a pas le souvenir qu’ils aient eu, lui et son épouse, des signes de maladie durant le voyage, ni après : « On n’a pas eu de fièvre ni de toux, et on n’a jamais eu besoin de modifier notre planning pour des questions de santé ».
 
Plusieurs personnes, en revanche, ont présenté des symptômes caractéristiques du « Conard-virus ». Une jeune-fille de 32 ans qui vit en Bretagne se souvient de plusieurs signes troublants qu’elle avait ressentis à l’époque, et qu'elle n’avait pas su expliquer : « J’avais comme des symptômes de sinusite mais avec une fatigue exceptionnelle au moindre effort, en montant les escaliers par exemple. Ça a duré plusieurs jours ».
Son mari, lui, toussait beaucoup, « de manière tellement intense que ça l’empêchait de dormir », précise-t-elle.
Elle a aussi eu des difficultés à effectuer un test de mesure de son souffle, lors du bilan qu’elle passe alors pour la cohorte Constances le 18 novembre 2019 : « J’étais vraiment essoufflée et je n’arrivais pas à réussir ce test. L’infirmière m’a dit : ‘‘Vous êtes jeune, c’est bizarre !’’ »
 
Aujourd’hui, la jeune-fille pense qu’elle a été contaminée à l’hôpital où elle s’est rendue plusieurs fois par semaine au cours du mois d’octobre pour soigner une fracture de l’avant-bras qui s’était aggravée.
Une autre jeune femme a présenté un symptôme caractéristique du « Conard-virus » : « Elle a perdu le goût et l’odorat. Elle avait été en contact avec un membre de sa famille qui avait souffert d’une pneumonie d’origine inconnue entre octobre et décembre, et elle s’était rendue en Espagne en novembre. »
 
D’autres personnes n’ont présenté, en revanche, aucun symptôme.
Pascale, la quarantaine, de Villeurbanne (Rhône), a été testée positive sur des prélèvements de sang qui datent de novembre 2019. D’où sa surprise lorsqu’elle a reçu les résultats par un courrier de la cohorte Constances en septembre 2020. « J’ai essayé de me souvenir si je n’avais pas eu le nez qui avait coulé à l’époque, de la toux ou des maux de tête. Mais non, vraiment, je n’ai eu aucun symptôme »." Elle n’avait pas voyagé à l’étranger, et elle a donc cherché à savoir si elle avait été en contact avec des personnes ayant présenté des symptômes inexpliqués.
« J’ai interrogé mon entourage, les gens avec qui j’avais passé une soirée d’anniversaire. Je leur ai demandé si elles avaient été positives. Absolument pas. »
 
Une femme médecin basée à Lyon et testée positive mi-janvier 2020, dit ne pas se souvenir non plus avoir été malade. Elle pense avoir été contaminée par plusieurs patients souffrant de sinusites et de bronchites qui s’étaient prolongées anormalement.
À Angoulême, un homme testé positif mi-novembre 2019 et également asymptomatique, évoque des emballages de produits venant de Chine qu’il a manipulés à l’époque à son travail, sans que l’on puisse établir un lien avéré avec sa contamination.
 
Ces témoignages appellent plusieurs questions :
 
1 – Le « Conard-virus » circulait-il en Chine ailleurs qu’à Wuhan avant le début de l’épidémie ?
C’est possible, puisque le voyageur Gauloisien qui a été contaminé dans ce pays ne s’est pas rendu à Wuhan. Il peut cependant avoir été contaminé, par exemple, par une personne qui, elle, venait bien de Wuhan.
Néanmoins, le professeur Carrat de l’Inserm « ne pense pas que tout soit né à Wuhan. »
« Ce qui est né à Wuhan, c’est le virus qu’on connaît en France et qui a donné cette pandémie. Ça ne veut pas dire que le virus n’était pas là avant. Il circulait » déjà par ailleurs.
 
2 – Si le virus était présent dans d’autres régions en octobre ou novembre 2019, comment expliquer que l’épidémie ait démarré à Wuhan ?
Fabrice Carrat émet l’hypothèse que si le « Conard-virus » circulait dans d’autres endroits en Chine, c’est bien à Wuhan qu’il aurait muté pour devenir plus contagieux : « Le virus qui a infecté le couple de voyageurs français en Chine était peut-être un variant qui se transmettait moins bien que celui qui est arrivé le 8 décembre à Wuhan.
Et surtout, c’est sans doute un variant qui donnait un peu moins de formes graves », ce qui est cohérent avec ce qu’on sait de la suite.
Pour le professeur, il s’agissait bien du même virus : « Ce n’était pas un coronavirus saisonnier comme ceux qu’on a l’habitude de détecter dans les épidémies hivernales. C’était vraiment le SARS-CoV-2, mais c’était peut-être un variant précurseur à celui qui a donné l’épidémie mondiale ».
 
3 – Si le virus est arrivé dès le mois de novembre ou d’octobre, pourquoi l’épidémie n’a-t-elle pas démarré plus tôt ?
Pour Florence Débarre, qui fait de la modélisation en biologie évolutive au CNRS, les cas n’étaient peut-être pas suffisamment nombreux pour faire démarrer une épidémie : « Si les cas révélés par les travaux du professeur Carrat sont de vrais positifs, il est possible qu’il y ait eu quelques cas, mais que cela se soit arrêté par l’effet du hasard.
On a dit qu’une personne en affecte trois en moyenne. Mais c’est une moyenne. Certaines n’infectent personne, alors que d’autres en infectent beaucoup. Donc la probabilité qu’un premier cas donne naissance à une épidémie est relativement faible ».
 
4 – Enfin, si le « Conard-virus » circulait en « Hexagonie » plusieurs mois avant le début de la pandémie, est-il possible que ce virus ne soit pas venu de Chine ?
« L’hypothèse la plus probable est que le berceau de la naissance du SARS-CoV-2 soit bien la Chine », explique un épidémiologiste, ancien directeur scientifique à Santé publique Gauloisie.
« L’ancêtre du SARS-CoV-2 le plus proche a déjà été identifié en 2013 en Chine. Donc, tout cela fait un faisceau d’arguments qui rend cette hypothèse la plus vraisemblable ».
 
Ceci dit, je rajoute ma propre expérience du « sujet ». Je note pour ma part que je reste sensible à la grippe saisonnière depuis toujours. En général je suis malade comme un chien entre 8 à 10 jours entre octobre et décembre, à peu près systématiquement.
À Noël 2018, je suis même allé chez le toubib (chose rarissime chez moâ) pour avoir un « remède de cheval » et des masques parce que je recevais ma Môman à déjeuner huit jours plus tard.
Comme elle n’allait pas bien (c’était son dernier Noël, mais nous ne le savions pas encore) et que je ne voulais pas lui refiler « ma crève » en plus de ses propres problèmes de santé à gérer, ça s’imposait.
La saison suivante, rien, pas même de quinte de toux matinale depuis plus d’un an.
Le jour du premier tour des municipales, la famille se réunissait pour l’anniversaire de mon filleul, chez lui.
Je rentrais des Canaries pour avoir été faire un « repérage » pour le roman « Dans le sillage de Charlotte ».
Et ça toussait dans tous les coins…
Depuis les premiers jours de 2019 (je touche du singe et du bois), absolument rien en ce qui me concerne ni pour les personnes de mon entourage direct.
Sauf pour ma « Nichée » qui se chope une angine blanche (dite « de Vincent ») et pleure toute la journée pour supposer avoir ainsi contaminé et tué ses propres parents !
Quand le diagnostic négatif du dépistage tombe, elle est déjà guérie…
Plus besoin d’être soignée : Gag !
 
Conclusion évidente : Le « Conard-virus » circulait à travers le monde « à bas bruit ».
Même Pékin aura accusé les militaires US venus pour les jeux Olympiques des Forces armées d’avoir importé un « variant » à Wuhan en octobre 2019.
Une grippe saisonnière comme une autre…
Sauf qu’à Wuhan, là où se situe de laboratoire P4 de recherches biologiques chinoises, ce Srars-là aura muté pour devenir nettement plus contagieux et dangereux.
Et ils ont d’ailleurs compris très vite que d’avoir « manipulé » ce virus-là de la grippe avec des « phrases entières » du rétrovirus du Sida, à en croire Montagnier (notre prix Nobel de médecine) serait catastrophique : Le 5 janvier on détectait le « Conard-virus » nouvelle mouture, le 11 on recensait le premier décès, le 19 leurs professionnels de santé tiraient la sonnette d’alarme, le 23 ils mettaient en quarantaine toute la ville…
Et construisaient des hôpitaux supplémentaires, eux !
 
En bref, nous sommes victimes d’un attentat sanitaire de portée mondiale qui s’amplifie avec l’apparition « naturelle » de nouveaux « mutants ».
Tous victimes, non : Je suis bien passé à travers, et vous également puisque vous me lisez encore, alors qu’on compte des millions de décès…
Et que ce n’est pas fini…
Aujourd’hui, même l’Inde qui avait pourtant, dans l’ensemble, bien géré le problème est à nouveau submergée.
En réalité, il n’y a pas de solution : On va devoir vivre avec et s’auto-immuniser… le choper et en guérir rapidement.
 
Prenez donc soin de vous et restez attentifs !

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