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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 16 avril 2021

Une histoire vraie rapportée par Jean-Marc

Et pour une fois, elle est Belge !
 
La mesure vise à éviter qu’un trop grand nombre de touristes n'affluent vers le littoral.
Elle s’appelle la « mesure fenêtre » et provoque une levée de boucliers chez nos voisins belges depuis le début du mois d’avril.
Comme le rapporte LCI, cette mesure a été mise en place par le gouvernement avant les vacances de Pâques locales afin de limiter le nombre de personnes ou de touristes se rendant vers le littoral belge.
Ainsi, en prenant cette mesure le gouvernement espère faire chuter de 50 % la fréquentation de trains : « Concrètement, sauf pendant les journées scolaires, à partir du 3 avril, seules les places assises situées à côté des fenêtres pourront être utilisées pour voyager en train à destination et au retour de lieux d’affluence touristiques ».
Soft, n’est-ce pas…
 
Sauf que cette mesure annoncée juste avant les vacances et qui doit normalement être respectée jusqu’au 25 avril, est assez ubuesque selon ses détracteurs, puisqu’elle sépare très souvent les couples qui voyagent forcément à deux, mais également les familles dont les parents ne sont plus à côté de leurs enfants de plus de 12 ans.
En effet, il n’y a pas de dérogation dans ces cas-là.
Du côté de la société de transport belge (SNCB), on déplore une décision prise sans concertation et sans vision future, puisqu’en prévision de l’été, de nombreux voyageurs devraient affluer vers les gares pour se rendre sur la côte, et donc se retrouver collés sans le moindre geste barrière.
Et la patronne de la SNCB, Sophie Dutordoir (ça ne s’invente pas…), enjoint l’État à prendre « une mesure urgente d’ordre public afin de limiter strictement les déplacements en train vers la côte ».
Et du côté des cheminots belges, on ne veut pas faire la police pour autant : « C’est pas au personnel de la SNCB de vérifier que les voyageurs respectent les conditions de sécurité de contrôler les flux de voyageurs dans les gares et sur les quai », explique le syndicat CGSP Cheminots. La CSC Transcom ajoute : « Les agents de la SNCB ne sont pas des videurs de boîte de nuit ». Le gouvernement, lui, persiste et signe, et demande aux Belges de choisir « d’autres destinations que la côte ».
En réalité, il s’agit de refouler les teutons.
Sauf que eux, ils sont absents pour cause de confinement.
Une histoire belge des plus classique.
Et si ça fonctionne, ils vont imposer des fenêtres au milieu des couloirs pour satisfaire à la demande…
Vous allez voir !
 
Philip est mort. À lui tout seul il aura inventé « la dentopédologie – la science d’ouvrir la bouche et d’y mettre le pied ».
Gaffeur impénitent, Jean-Marc aura relevé quelques perles mémorables parmi de très nombreuses !
Hommage au « cher disparu » :
 
En fait, ses « gaffes » étaient typiques de l’humour des officiers britanniques – bien que moins appréciées, parfois même offensantes, pour d’autres oreilles.
Un humour que l’on peut considérer comme mal placé comme quand il dit au président du Nigéria, qui portait la tenue nationale : « Vous avez l’air d’être prêt à aller vous coucher ».
Ou comme quand il donne conseil aux étudiants britanniques en Chine de ne pas y rester trop longtemps sous peine de se retrouver avec des « yeux bridés ».
 
Dire à un photographe de « juste prendre la putain de photo » ou déclarer « ce truc ouvert, quel qu’il soit », représentaient aussi des expressions d’exaspération ou de lassitude que l’on peut apprécier ou pas.
Il était également capable d’un esprit direct et terre-à-terre, disant par exemple de sa fille, la Princesse Anne, et de son amour des chevaux : « S’il ne pète pas ou ne mange pas de foin, elle n’est pas intéressée. »
La pôve-chérie…
Il y en a d’autres : Jean-Marc y travaille d’arrache-pied… lentement !
 
On revient à « nos classiques ».
À l’époque, Jean-Paul n’avait pas beaucoup de succès avec les femmes.
Il n’est pas bête, mais ne sait pas comment s’y prendre.
Il est dans une boîte de nuit avec son pote Jean-Marc, qui lui donne quelques conseils…
« – C’est simple. Quand tu invites une femme à danser, tu dois lui faire des compliments sur sa beauté, être aimable avec elle. Ça marche toujours.
– Tu penses que ça va marcher.
– Je te le dis. Vas-y ! »
Jean-Paul se dirige vers une table où il y a une femme seule.
« Madame, je vois dans vos beaux yeux verts la joie de vivre et dans votre sourire le goût de danser.
Accepteriez-vous de partager avec moi quelques moments de plaisir en m’accordant cette danse ? »
Devant de si beaux compliments, la femme accepte.
Au milieu de la chanson, en plein centre de la piste, voilà qu’elle le gifle à deux reprises !
Jean-Paul, se tenant la joue revient à sa table.
« – Que s’est-il passé ?
– Je ne le sais pas. Je lui ai fait de beaux compliments sur ses yeux et son sourire comme tu me l’avais conseillé…
– Ouais, mais c’est pas une raison pour recevoir une claque en pleine face.
Tu as certainement dit autre chose.
Quoi ?
– Bé, j’ai continué à lui faire des compliments.
Je comprends pas pourquoi, mais quand elle m’a giflé, je venais de lui dire… qu’elle ne suait pas beaucoup pour une grosse femme. »
 
Quelques conseils reçus de Jean-Étienne :
« De plus en plus de gens arrivent à l’âge de la retraite.
Et ce n’est pas facile pour tout le monde. Mais voici quelques conseils, suite à mon expérience personnelle.
 
À mesure que votre femme vieillit, soyez plus patient avec elle. Les hommes doivent savoir qu’à mesure que les femmes vieillissent, il devient de plus en plus difficile pour elles de maintenir la même qualité dans les tâches domestiques.
Il faut savoir composer avec cette nouvelle situation.
 
Quand j’ai pris ma retraite, Marie-Rose a décroché un emploi à temps plein comme téléphoniste dans un bureau de comptables pour nous aider à arrondir nos fins de mois et payer surtout ses médicaments.
Elle en consomme beaucoup.
 
C’est à ce moment-là que j’ai commencé à réaliser qu’elle tirait de la patte et qu’elle fatiguait vite.
Tenez ! Quand je rentre du golf, en fin d’après-midi, à peu près au même moment où Marie-Rose revient du travail, souvent le repas n’est pas prêt.
Bien entendu, je lui dis de prendre son temps et que je vais en profiter pour faire une sieste. Elle n’aura qu’à me réveiller quand le repas sera sur la table.
 
Elle avait l’habitude de faire la vaisselle immédiatement après les repas. Maintenant, très souvent, elle néglige de le faire.
C’est vraiment désagréable.
Alors, quand on est assis devant la télévision, pendant les publicités, je dois la motiver et lui rappeler que la vaisselle ne se lavera pas toute seule.
Maintenant qu’elle vieillit, elle semble se fatiguer beaucoup plus rapidement.
 
Notre lave-linge et l’essoreuse se trouvent au sous-sol. Parfois, elle me dit qu’elle ne peut plus descendre les marches. ‘‘Ne fais pas un drame avec ça’’, que je lui dis. ‘‘Je n’ai pas besoin de chemises avant la semaine prochaine pour le golf et les cartes. Le repassage peut attendre’’.
Je suis vraiment conciliant.
 
En plus ça lui laisse tout le temps qu’il faut pour les petites besognes telles donner le shampoing au chien, passer l’aspirateur ou faire l’époussetage.
J’ai d’ailleurs remarqué qu’il y a de la poussière au-dessus du frigo.
 
Évidemment, comme elle travaille dans un bureau, elle se plaint de manquer de temps, le midi, pour aller payer les factures, faire les petites commissions, etc.
Je lui ai dit que c’est l’occasion rêvée pour commencer un régime puisqu’elle est un peu ronde et peut avantageusement sauter le repas du midi.
Et puis, au lieu d’aller au gym le samedi, elle n’a qu’à courir, la semaine, pour faire les commissions.
En plus, on économisera l’argent de l’abonnement à la gym.
Ça coûte cher ces affaires-là.
 
Même en faisant des petites tâches, elle semble avoir besoin de plus en plus de repos. Par exemple, il lui faut maintenant deux jours pour faire la pelouse, mais je ne dis pas un mot.
 
Par contre, mon frère et ses enfants sont venus à la maison, la semaine dernière et je n’ai pas apprécié son commentaire sur le gazon qu’il trouvait un peu long.
J’en ai parlé à Marie-Rose. Mais, rassurez-vous, avec délicatesse.
Je pense qu’elle a bien compris le message.
 
Le secret ? Il faut toujours rester calme et très patient. Je l’accompagne dans sa vieillesse.
C’est difficile pour le conjoint !
Pour bien des hommes, la tâche serait insurmontable. S
ouvent, c’est l’enfer.
Mais il faut toujours rester calme.
Messieurs, faites donc comme moi. Soyez patients.
Ne criez pas ! »
PS de Jean-Marc : Les funérailles de Jean-Étienne eurent lieu samedi le 2.
Marie-Rose fut acquittée lundi le 4.
 
Trois femmes sont dans un bar et discutent des performances de leurs époux.
La première dit :
« – Mon mari est une vraie Ferrari, rapide, efficace.
– Le mien est comme une BMW, rapide, efficace, confortable. »
La troisième qui ne disant mot, est interrogée par les autres :
« – Et toi, comment est-ce qu’il est ton époux ?
– Mon mari c’est comme une vieille Ford T. Il faut que je le démarre à la main et puis je me dépêche à monter dessus avant qu’il ne s’arrête… »
 
Jean-Marc et Jean-Oliver sont dans un autobus et voient monter une bonne  sœur en béquille avec une jambe dans le plâtre.
Jean-Marc lui demande ce qui s’est passé.
Elle répond qu’elle a glissé en entrant dans son bain et s’est cassé la jambe.
Jean-Marc se tourne alors vers son copain et lui dit :
« – Dis, c’est quoi un bain ?
– Je ne sais pas, je ne suis pas catholique… »
(C’est une blague anglo-saxonne qui met en exergue la réputation internationale des français…)
 
C’est l’histoire de Louis et Claire qui se fréquentaient depuis plusieurs années, et décident enfin de se marier.
Malheureusement ils divorcent après quelques années.
À la suite de ce divorce, il est survenu 2 catastrophes.
Claire est devenue sourde parce qu’elle a perdu l’ouïe (Louis).
Et Louis est devenu aveugle parce qu’il ne voit plus clair (Claire)
 
Une petite-revenue ?
Un notaire reçoit 3 candidats pour un poste d’employé, dont l’une des missions est de tamponner les actes notariaux, pouvant aller jusqu’à 10.
Le notaire demande au premier candidat de compter jusqu’à 10 :
« – Oui, bien sûr : 10… 9… 8… 7… 6… 5… 4… 3… 2… 1… 0 !!
– OK, et dans l’autre sens ?
– Je ne sais pas… J’ai bossé à la NASA et j’ai toujours compté ainsi.
– OK, nous en resterons là. »
Le notaire demande au second candidat de compter jusqu’à 10 :
« – Oui, bien sûr : 1 – 10 – 11 – 100 – 101 – 110 – 111 – 1000 – 1001 – 1010
– Je ne comprends pas…
– J’étais développeur et j’ai toujours compté en binaire.
– OK, nous en resterons là. »
Le notaire demande au troisième candidat de compter jusqu’à 10 :
« – Oui, bien sûr : 1 – 2 – 3 – 4 – 5 – 6 – 7 – 8 – 9 – 10
– Parfait ! Où avez-vous travaillé avant ?
– Dans l’administration.
– Je n’en reviens pas ! Pouvez-vous continuer de compter après 10 ?
– Évidemment ! Valet, Dame, Roi ! »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dépassée :
 
« Gratter la notice… »
« Tripotez vous-même votre con chaud, Madame… »
« Ah, les filles des cocus ! »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Vous avez à la main, Madame, une pierre fine… »
« Formidables, les ponts de Cologne ! »
« Jean-Marc devient fou en regardant la moto de Germaine. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » (à copier/coller. Je ne parviens plus à faire des liens hypertexte avec cette version de Word-là !) :

Ma bibliothèque (livresinterdits.blogspot.com)

https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html

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