Et si « Baille-Daigne » avait raison ?
Vous vous souvenez que le nouveau président de la fédération étatsunienne
aura qualifié le leader de Russie de « tueur sans âme ».
Tueur, probablement, comme tout bon agent du FSB, sans âme, oui s’il reste athée.
De toute façon, avec une seule morale : Se maintenir coûte que coûte au pouvoir de la « Russie-éternelle » afin de poursuivre la reconstruction de l’URSS de ses fantasmes dans ses frontières antérieures à sa chute.
Dernière idée du dictateur russe, limiter la navigation de navires
militaires et officiels étrangers dans trois zones au large de la Crimée !
La Mer Noire, son lac intérieur à lui qu’il partage avec les ex-satellites de l’ex-URSS…
« Cela représente une nouvelle escalade sans provocation dans la campagne actuellement menée par Moscou qui vise à affaiblir et déstabiliser l’Ukraine », a affirmé le « porte-la-parole » du département d’État US.
Alors que dans le même temps, d’importantes troupes russes ont été positionnées à la frontière avec l’Ukraine : Sébastopol ne lui suffit plus, il rêve d’Odessa !
Comme si l’Histoire pouvait bégayer éternellement…
Cette suspension concerne trois zones, dont une au large de la presqu’île de Kertch, proche du détroit du même nom, qui relie la mer Noire à la mer d’Azov et qui est d’une importance cruciale pour les exportations de céréales ou d’acier produits en Ukraine.
Dans le même temps, la Turquie et son propre dictateur annoncent deux
initiatives : Les premiers coups de pioche pour créer un canal reliant la
Mer Noire à la Mer de Marmara doublant ainsi le détroit du Bosphore au motif
que le trafic maritime augmente sensiblement et qu’il faut prévoir son
engorgement.
Ce qui n’empêche pas d’accéder à la Méditerranée par le détroit des Dardanelles… un peu plus large.
D’autant que les deux détroits sont quelques peu tortueux.
Et que les gros navires militaires, notamment les porte-avions sont interdits de passage depuis le traité de 1936…
Par ailleurs son dirigeant aura annoncé se préparer à porter assistance militaire à l’Ukraine en cas de besoin.
On se souvient que la Turquie est membre de l’OTAN et aura pris l’habitude de shooter les batteries anti-aériennes russes en Lybie avec ses fameux drones.
Avec les mêmes tactiques qui auront mis à genoux les forces arméniennes l’été dernier en moins d’un mois de combats…
Changements majeurs dans « l’art de la guerre ».
Depuis quelques semaines, les tensions russo-ukrainiennes vont crescendo
l’Ukraine accusant Moscou de chercher un casus belli pour l’envahir et
la Russie accusant Kiev de préparer une offensive contre les séparatistes
prorusses de l’Est ukrainien, dans le Donbass, voie d’accès naturelle de la
Crimée.
Les États-Unis « appellent la Russie à arrêter de harceler les navires dans la région et à diminuer le nombre de ses troupes le long de la frontière avec l’Ukraine », a dit le porte-la-parole du département d’État.
Les autres pays membres de l’OTAN avaient déjà exprimé vendredi leur « inquiétude » à propos des manœuvres maritimes de Moscou et exigé que la Russie garantisse « le libre accès » aux ports ukrainiens de la mer d’Azov.
Les forces russes à la frontière ukrainienne, estimées à 140.000 soldats par l’Union européenne, seraient plus importantes que lors de l’invasion de la Crimée annexée en 2014, a par ailleurs estimé le Pentagone, lundi en huit.
Tueur, probablement, comme tout bon agent du FSB, sans âme, oui s’il reste athée.
De toute façon, avec une seule morale : Se maintenir coûte que coûte au pouvoir de la « Russie-éternelle » afin de poursuivre la reconstruction de l’URSS de ses fantasmes dans ses frontières antérieures à sa chute.
La Mer Noire, son lac intérieur à lui qu’il partage avec les ex-satellites de l’ex-URSS…
« Cela représente une nouvelle escalade sans provocation dans la campagne actuellement menée par Moscou qui vise à affaiblir et déstabiliser l’Ukraine », a affirmé le « porte-la-parole » du département d’État US.
Alors que dans le même temps, d’importantes troupes russes ont été positionnées à la frontière avec l’Ukraine : Sébastopol ne lui suffit plus, il rêve d’Odessa !
Comme si l’Histoire pouvait bégayer éternellement…
Cette suspension concerne trois zones, dont une au large de la presqu’île de Kertch, proche du détroit du même nom, qui relie la mer Noire à la mer d’Azov et qui est d’une importance cruciale pour les exportations de céréales ou d’acier produits en Ukraine.
Ce qui n’empêche pas d’accéder à la Méditerranée par le détroit des Dardanelles… un peu plus large.
D’autant que les deux détroits sont quelques peu tortueux.
Et que les gros navires militaires, notamment les porte-avions sont interdits de passage depuis le traité de 1936…
Par ailleurs son dirigeant aura annoncé se préparer à porter assistance militaire à l’Ukraine en cas de besoin.
On se souvient que la Turquie est membre de l’OTAN et aura pris l’habitude de shooter les batteries anti-aériennes russes en Lybie avec ses fameux drones.
Avec les mêmes tactiques qui auront mis à genoux les forces arméniennes l’été dernier en moins d’un mois de combats…
Changements majeurs dans « l’art de la guerre ».
Les États-Unis « appellent la Russie à arrêter de harceler les navires dans la région et à diminuer le nombre de ses troupes le long de la frontière avec l’Ukraine », a dit le porte-la-parole du département d’État.
Les autres pays membres de l’OTAN avaient déjà exprimé vendredi leur « inquiétude » à propos des manœuvres maritimes de Moscou et exigé que la Russie garantisse « le libre accès » aux ports ukrainiens de la mer d’Azov.
Les forces russes à la frontière ukrainienne, estimées à 140.000 soldats par l’Union européenne, seraient plus importantes que lors de l’invasion de la Crimée annexée en 2014, a par ailleurs estimé le Pentagone, lundi en huit.
Alors que ce n’étaient que des exercices militaires ! Qui auront démontré que tout est possible pour les armées russes dans la région : Comme s’ils ne le savaient pas avant.
« Les Russes proclament qu’il s’agit d’exercices. Ce n’est pas très clair à nos yeux que ce soit l’objectif », conclut-il.
On se souvient également que le procédé aura été identique à la fois à l’occasion des événements de la Place Maïdan à Kiev et plus récemment autour de la Biélorussie après les heurts postérieurs aux élections pour le moins contestables de l’allié de Moscou dans ce pays qui s’est maintenu par la menace des troupes russes massées à sa frontière.
Une façon de relancer la « course aux armements » alors que le peuple russe réclame des salaires augmentés et des vaccins… efficaces !
Et si l’Histoire bégayait, finalement…
Mais le FSB compte aussi sur ses trolls à « fakes news » pour déstabiliser les opinions publiques occidentales.
Et je vous assure que j’en vois passer des âneries.
Jusque dans cette fameuse torpille « autonome » capable de faire « 100 km/h » à 1.000 mètres de fond sur 10.500 kilomètres…
Techniquement complètement irréaliste !
La dégradation rapide de l’état de santé de l’opposant russe Alexeï Navalny a poussé l’Europe à réagir.
Du moins dans ses déclarations officielles.
Notre « sinistre des Affaires étrangères », « Jean-Yves Le-Riant », s’est dit « extrêmement préoccupé » et a pointé la « responsabilité majeure » du président « Vlad-Poux-Tine ».
Un message qu’ont également fait passer le chef de la diplomatie « teutonne », l’Union européenne et celle des « Ricains ».
Mais alors qu’elle a multiplié les sanctions depuis la crise du Donbass en 2014, l’UE a-t-elle encore une marge de manœuvre pour accentuer la pression sur Moscou, peut-on se questionner ?
Elle a déjà du mal à imposer le protocole idoine à la Turquie quand il s’agit de sa Présidente, « Vanne-De-la-Lyre », signifiant le peu de cas qu’on fait « ailleurs » de son existence !
En outre « les sanctions individuelles contre des diplomates n’ont aucun
effet ».
Un point sur lequel le rejoint un chercheur à l’Iris et directeur de l’Observatoire franco-russe à Moscou : « En réalité, l’UE ne peut pas faire grand-chose et ne fera pas plier Poutine. L’UE peut sanctionner pour sanctionner, mais la Russie est imperméable aux sanctions » juge-t-il, estimant que la prochaine étape d’une éventuelle escalade serait « proche d’une déclaration de guerre ».
Bigre…
On pourrait commencer par fermer les frontières avant de se tirer dessus, non ?
Tant que la Russie veut faire bande-à-part devant la porte de l’UE, on ne parviendra manifestement pas à une paix durable sur le territoire…
Autant le savoir.
Force est de reconnaître que les sanctions économiques sont de fait forcément
limitées par l’interdépendance entre le bloc européen et le bloc russe : «
L’Europe n’a pas beaucoup de leviers et ne veut pas couper les ponts.
Elle a aussi besoin de la Russie, par exemple pour la sécurité
du continent.
À l’inverse, si la Russie ne vend pas son gaz, elle fait faillite.
Alors, si les ministres demandaient la libération de Navalny, Moscou ne prendrait même pas la peine de répondre ».
D’autant qu’une montée supplémentaire des tensions pourrait avoir des
effets néfastes pour les entreprises agroalimentaires par exemple. « Lors
des précédentes crises, les agriculteurs allemands ont perdu des parts de
marché. La Russie s’est alors tournée vers la Chine. Un pays dont les
productions nous remplaceront très vite », rappelle l’ancien ambassadeur de
« Gauloisie » en Russie.
« Toujours avec le but de garder Navalny en vie, l’UE peut s’attaquer au portefeuille des Russes », avance un essayiste et spécialiste de la Russie.
Or, une autre superpuissance l’a fait avec un impact certain : Les « Ricains » ont interdit à leurs institutions financières d’acheter directement de la dette émise par la Russie.
Ce que pourrait très bien faire l’Europe, selon cette experte-là, « en cette période de glaciation des relations ».
Parmi les hypothèses qui se présentent à l’Europe, la même ajoute une
menace qui a déjà été brandie. « Elle pourrait exclure la Russie du système
mondial de transactions bancaires, nommé Swift. Cela pourrait les gêner dans leurs
transactions internationales le temps qu’ils conçoivent un système parallèle
».
Voire aussi « menacer d’arrêter » le projet de gazoduc Nord Stream 2, censé approvisionner la « Teutonnie » et l’Europe en gaz russe, très controversé mais en cours d’achèvement.
Une réalisation jusqu’alors très chère à « En-Gèle-la-Mère-Quelle » et son entourage politique qui coadministrent le gazoduc quand ils ne siègent pas directement chez Gazprom.
Il faut se rappeler que la « Teutonnie » importe du gaz pour pouvoir fermer ses centrales à charbon, puisqu’elle ne veut pas de nucléaire sur son territoire.
Ce qui ne l’empêche pas d’importer du kilowatt de « Gauloisie-électronucléaire »…
Je ne sais pas bien si le gaz n’est finalement pas aussi bon pour la planète qu’on veut bien le prétendre, même si c’est toujours mieux que la tourbe, le lignite, le charbon et le fioul.
Quant à bloquer le « Swift », inutile de dire que ça va aider les cryptomonnaies, notamment le « E-Yuan » chinois qui n’attend que ça pour supplanter le dollar « ricain ».
Même si toute une région chinoise aura bloqué la semaine dernière ses « fermes à minage » pour cause de panne de courant gigantesque provoquée par des inondations…
La planète aura respiré un peu mieux quelques heures pour l’occasion !
Ces différentes mesures n’auraient pas d’impact sur l’Europe, « capable
de s’en sortir sans les produits et la sécurité russe ».
« On peut certes aligner nos sanctions sur celles des États-Unis. Mais les Américains peuvent se permettre de prendre des mesures plus strictes parce qu’ils n’exportent en Russie que des biens de consommation, comme des iPhones. Les répliques russes en réponse vont moins les affecter ».
En attendant, Navalny présenté comme un militant anti-corruption chez nous a cessé de s’alimenter il y a plus de trois semaines et se trouverait dans un état critique selon ses proches, alors qu’il est présenté comme un récidiviste de « l’incivilité-politique » et même condamné pour fraude en Russie.
Il se trouverait dans un état critique selon ses proches. Plusieurs docteurs dont le médecin personnel d’Alexeï Navalny ont été refoulés mardi dernier à l’entrée de la colonie pénitentiaire réservée aux taulards tuberculeux où il est hospitalisé. L’opposant russe se trouve dans une unité carcérale hospitalière de Vladimir, au Nord-Est de Moscou. Et ses proches affirment depuis huit jours qu’il risque de mourir à tout moment.
« Tueur sans âme », vous avez dit ?
La médecin personnelle d’Alexeï Navalny et dirigeante d’un syndicat d’opposition
Anastasia Vassilieva, a affirmé n’avoir pas pu rencontrer son patient mardi
dernier, comme toutes les fois où elle a essayé depuis son incarcération début
mars. « C’est une sorte d’attitude très irrespectueuse pour des gens qui
étaient juste venus exercer leur devoir humain, le devoir médical d’aider un
patient », a-t-elle déclaré devant la colonie, ajoutant qu’il était
question « de la vie » de l’adversaire numéro un de « Vlad-Poux-Tine ».
Les avocats d’Alexeï Navalny ont en revanche pu rentrer dans la prison.
« Poux-Tine » aurait, à mon sens, plutôt intérêt d’avoir un « opposant » sous la main, plutôt que de faire naître des vocations de martyrs dans la confusion…
Mais de ce que j’en dis ou rien, comme d’habitude, tout le monde s’en tamponne le coquillard et les roubignoles dans le même élan !
La pression occidentale pour sa libération reste forte, la chancelière « Teutonne »
se disant « extrêmement préoccupée » et affirmant que le gouvernement de
son pays à elle « travaille pour s’assurer qu’il reçoive les soins médicaux
appropriés ».
Alexeï Navalny a arrêté de s’alimenter le 31 mars pour protester contre ses conditions de détention, accusant notamment l’administration pénitentiaire de lui refuser la visite d’un médecin alors qu’il souffre d’une double hernie discale et de perte de sensibilité aux jambes et bras.
Il avait été arrêté en janvier, sitôt rentré en Russie après cinq mois de convalescence en « Teutonnie » pour un empoisonnement pour lequel il accuse personnellement les services sous autorité de « Vlad-Poux-Tine ». Il avait été condamné à deux ans et demi de prison pour une affaire de fraude remontant à 2014, généralement considérée comme « politiquement motivée ».
Même leurs juges et justice se laissent berner…
Ils réclament d’ailleurs à ce que le pouvoir politique déclare « terroriste » l’organisation de Navalny, ce qui permettrait d’arrêter tous les militants sans autre forme de procès.
Un point sur lequel le rejoint un chercheur à l’Iris et directeur de l’Observatoire franco-russe à Moscou : « En réalité, l’UE ne peut pas faire grand-chose et ne fera pas plier Poutine. L’UE peut sanctionner pour sanctionner, mais la Russie est imperméable aux sanctions » juge-t-il, estimant que la prochaine étape d’une éventuelle escalade serait « proche d’une déclaration de guerre ».
Bigre…
On pourrait commencer par fermer les frontières avant de se tirer dessus, non ?
Tant que la Russie veut faire bande-à-part devant la porte de l’UE, on ne parviendra manifestement pas à une paix durable sur le territoire…
Autant le savoir.
À l’inverse, si la Russie ne vend pas son gaz, elle fait faillite.
Alors, si les ministres demandaient la libération de Navalny, Moscou ne prendrait même pas la peine de répondre ».
« Toujours avec le but de garder Navalny en vie, l’UE peut s’attaquer au portefeuille des Russes », avance un essayiste et spécialiste de la Russie.
Or, une autre superpuissance l’a fait avec un impact certain : Les « Ricains » ont interdit à leurs institutions financières d’acheter directement de la dette émise par la Russie.
Ce que pourrait très bien faire l’Europe, selon cette experte-là, « en cette période de glaciation des relations ».
Voire aussi « menacer d’arrêter » le projet de gazoduc Nord Stream 2, censé approvisionner la « Teutonnie » et l’Europe en gaz russe, très controversé mais en cours d’achèvement.
Une réalisation jusqu’alors très chère à « En-Gèle-la-Mère-Quelle » et son entourage politique qui coadministrent le gazoduc quand ils ne siègent pas directement chez Gazprom.
Il faut se rappeler que la « Teutonnie » importe du gaz pour pouvoir fermer ses centrales à charbon, puisqu’elle ne veut pas de nucléaire sur son territoire.
Ce qui ne l’empêche pas d’importer du kilowatt de « Gauloisie-électronucléaire »…
Je ne sais pas bien si le gaz n’est finalement pas aussi bon pour la planète qu’on veut bien le prétendre, même si c’est toujours mieux que la tourbe, le lignite, le charbon et le fioul.
Quant à bloquer le « Swift », inutile de dire que ça va aider les cryptomonnaies, notamment le « E-Yuan » chinois qui n’attend que ça pour supplanter le dollar « ricain ».
Même si toute une région chinoise aura bloqué la semaine dernière ses « fermes à minage » pour cause de panne de courant gigantesque provoquée par des inondations…
La planète aura respiré un peu mieux quelques heures pour l’occasion !
« On peut certes aligner nos sanctions sur celles des États-Unis. Mais les Américains peuvent se permettre de prendre des mesures plus strictes parce qu’ils n’exportent en Russie que des biens de consommation, comme des iPhones. Les répliques russes en réponse vont moins les affecter ».
En attendant, Navalny présenté comme un militant anti-corruption chez nous a cessé de s’alimenter il y a plus de trois semaines et se trouverait dans un état critique selon ses proches, alors qu’il est présenté comme un récidiviste de « l’incivilité-politique » et même condamné pour fraude en Russie.
Il se trouverait dans un état critique selon ses proches. Plusieurs docteurs dont le médecin personnel d’Alexeï Navalny ont été refoulés mardi dernier à l’entrée de la colonie pénitentiaire réservée aux taulards tuberculeux où il est hospitalisé. L’opposant russe se trouve dans une unité carcérale hospitalière de Vladimir, au Nord-Est de Moscou. Et ses proches affirment depuis huit jours qu’il risque de mourir à tout moment.
« Tueur sans âme », vous avez dit ?
« Poux-Tine » aurait, à mon sens, plutôt intérêt d’avoir un « opposant » sous la main, plutôt que de faire naître des vocations de martyrs dans la confusion…
Mais de ce que j’en dis ou rien, comme d’habitude, tout le monde s’en tamponne le coquillard et les roubignoles dans le même élan !
Alexeï Navalny a arrêté de s’alimenter le 31 mars pour protester contre ses conditions de détention, accusant notamment l’administration pénitentiaire de lui refuser la visite d’un médecin alors qu’il souffre d’une double hernie discale et de perte de sensibilité aux jambes et bras.
Il avait été arrêté en janvier, sitôt rentré en Russie après cinq mois de convalescence en « Teutonnie » pour un empoisonnement pour lequel il accuse personnellement les services sous autorité de « Vlad-Poux-Tine ». Il avait été condamné à deux ans et demi de prison pour une affaire de fraude remontant à 2014, généralement considérée comme « politiquement motivée ».
Même leurs juges et justice se laissent berner…
Ils réclament d’ailleurs à ce que le pouvoir politique déclare « terroriste » l’organisation de Navalny, ce qui permettrait d’arrêter tous les militants sans autre forme de procès.
Il faut dire aussi que depuis les Skripal, père et fille, lesdits
« services » auront perdu la main avec leur fameux « Novitchok » : s’ils savaient travailler correctement, on n’en serait pas là.
Sa mère Lioudmila a de son côté estimé sur Instagram que la nouvelle colonie où il est hospitalisé est « pire » que la précédente.
L’ONG Amnesty international a estimé elle que ce transfert était « une punition déguisée en traitement médical », car les autorités se préparaient « à le nourrir de force pour casser sa grève de la faim et le punir encore ».
Le garder en vie jusqu’à ce qu’il ait purgé la totalité de sa peine ?
« Sans compassion » plutôt que « sans âme »…
De son côté, la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a transmis des questions à Moscou sur les conditions de détention du militant anti-corruption, s’inquiétant de savoir si celles-ci étaient « compatibles avec son droit à la vie ».
Et droit dans ses bottes, Moscou continue de dénoncer les critiques occidentales comme de l’ingérence.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé que ces critiques « ne pouvaient être acceptées ».
D’ailleurs, dans son discours de mercredi, le locataire du Kremlin aura prévenu de réponses rapides et fulgurantes, voire dissymétriques si les occidentaux franchissaient les lignes rouges (lesquelles, on ne sait pas).
Lui peut les franchir, les autres non : J’adore !
Ce qu’il n’a pas manqué de faire : Résultat, une mobilisation réduite et plus de 1.800 arrestations. Ils vont finir par manquer de place dans leurs goulags !
Le parquet veut faire interdire le mouvement de Alexeï Navalny, le Fonds de lutte contre la corruption (FBK), pour « extrémisme ».
J’aime bien l’idée : C’est un peu comme si on traitait de la même façon l’ONG « Anti Cor » chez nous.
Quant aux manifestations, on a bien eu le traitement des « Manif’ pour tous » et des « Gilets jaunes » chez nous, ce qui a permis à « Vlad-Poux-Tine » de tacler « Jupiter » sur le sujet à Brégançon…
Mais ce n’était pas une « ingérence » insupportable du Kremlin, naturellement…
Non pas quant à son climat qui est un souci « cadet », mais en raison des « tensions » qui enflent autour du globe.
Extrême-Orient où la Chine joue les matadors jusqu’à Hong-Kong maté, et la Corée du Nord qui ne s’endort pas pour autant sur sa diplomatie agressive à l’égard de son voisin sudiste et du Japon.
La Birmanie où les militaires s’en donnent à cœur-joie.
Tensions au Tibet, pandémie en Inde, retrait « ricain » en Afghanistan aux mains des Talibans, « chaudes » élections en Iran sabotée (qui aura riposté sur le site nucléaire d’Israël) ; Moyen et Proche-Orient qui accumulent les conflits ; tensions autour de la Turquie, au Nord, au Sud et à son Est ; péninsule arabique assise sur la poudrière Yéménite ; Canal de Suez bloqué ; guerre perpétuelle au Tchad et au Sahel ; les Caraïbes qui vont être perturbées par la succession de Castro ; le Venezuela aux mains d’un saigneur du peuple ; le Brésil et l’Amérique du Sud qui ne parviennent pas mieux à se calmer malgré ou à cause du « Conard-virus » ou des problèmes de gros sous pour devoir être mis sous perfusion monétaire.
Franchement, le « monde d’après » ressemble à celui
« d’avant », mais vraiment en pire.
On dirait que personne n’aura appris quoique ce soit des sages de notre époque qui restent bien silencieux…
Et c’est dans ce cadre-là que les « enfants-gâtés » des milliardaires
du foot européen tentent un coup d’État totalement puéril contre eux-mêmes
!
C’est totalement surréaliste, finalement.
Vivement que je m’en aille définitivement…
On dirait que personne n’aura appris quoique ce soit des sages de notre époque qui restent bien silencieux…
C’est totalement surréaliste, finalement.
Vivement que je m’en aille définitivement…
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