Jean-Marc rapporte que :
En plein été, dans un magasin de tissu, une jeune fille en mini-jupe
s’adresse à un vendeur :
« – Je voudrai prendre de ce tissu pour me faire une nouvelle robe. Combien vaut-il ?
– Ça sera un baiser le mètre, jolie demoiselle », répond le vendeur
« Très bien. Vous m’en couperez 5 mètres alors », dit la
fille.
Tout rougissant et rapidement, le vendeur prend les mesures du tissu et fait la découpe, puis il emballe le tissu et le pose sur le comptoir en regardant la fille avec insistance.
À ce moment-là, la fille se tourne vers le trottoir et appelle :
« Grand-père, tu peux venir payer le monsieur ? »
Jean-Jérôme est chez le dentiste.
Sa maman, qui l’accompagne, le supplie :
« Sois sage Jean-Jérôme… Ouvre la bouche et fait aaaaaaaah, pour que le docteur puisse enlever ses doigts… »
Un morceau de sucre a le coup de foudre pour une petite cuillère et lui
demande :
« – Où pourrions-nous nous rencontrer plus intimement ?
– Dans un café, peut-être… »
Jean-Jacques en train d’installer sa nouvelle imprimante, reçoit
continuellement de son ordinateur le message :
« Ne voit pas l’imprimante ! »
Après de moults efforts, sans succès il décide de téléphoner le numéro du support technique de l’imprimante, se plaignant qu’il reçoit continuellement le message que l’ordinateur ne voit pas l’imprimante.
Et il affirme au technicien :
« J’ai même placé l’imprimante devant l’écran de l’ordinateur et il continue à me dire qu’il ne la voit pas ! »
Jean-Marc fait la leçon de catéchisme à Jean-Paul
« – Tout le monde sait que Jésus descend du chat !
– Ah oui ? Et pourquoi ça ?
– Car jésus EST descendu parmi nous ! » (par minou )
– Que t’es con quand tu as un verre de bière dans le nez… »
Jean-Marc rapporte une histoire tenue de son grand-père, Jean-Michel.
« Un dimanche, pour son sermon, le curé du village dit à ses
paroissiens :
“À partir de maintenant, je ne veux plus entendre parler
d’adultère dans les confessions.
C’est bien simple, si j’entends encore quelqu’un confesser qu’il a trompé son mari ou sa femme, je demande à changer de paroisse !”
Comme tout le monde aime bien le curé, une réunion informelle a lieu dès la sortie de la messe, et il est décidé de continuer à confesser les adultères, mais d’utiliser un code pour ce péché : Il est convenu que lorsque quelqu’un aura fauté sexuellement, il confessera être tombé par terre et avoir proféré des jurons à cette occasion.
Une semaine plus tard, le curé croise le maire du village dans la rue.
“Bonjour Monsieur le Maire. Dites-moi, je suis bien content de vous voir. Vous devriez faire étendre du sable sur les trottoirs.
Plusieurs personnes se plaignent d’être tombées par terre ! ”
Le maire ne peut pas s’empêcher de rigoler en entendant la remarque naïve de son curé, mais le curé le coupe tout de suite :
“Vous ne devriez pas rire de ça, rien que cette semaine, votre femme est quand même tombée trois fois !…” »
Une autre « revenue » :
Un couple avait 2 garçons un de 8 ans et l’autre de 10 ans, de vrais espiègles, il n’y avait rien à leur épreuve, ils avaient fait à peu près tous les mauvais coups incroyables qui avaient eu lieu dans leur petit village.
À chaque fois que quelque chose se passait dans le village, les résidents savaient qui étaient les responsables.
La mère les avait punis, grondés, discuté avec eux mais c’était peine perdue.
Le père, après avoir fait la même chose, dit à sa femme :
« Qu’est-ce que tu dirais si on demandait au curé de discipliner nos deux espiègles ? »
Ils demandèrent donc au curé de discuter avec leurs enfants, mais il devait leur parler un à la fois.
Donc le plus jeune se présenta au presbytère le matin, le curé le fit asseoir et immédiatement lança au jeune :
« Où est Dieu ? » Aucune réponse du gamin.
Le curé répéte :
« Tu connais le Bon Dieu ! Où est-il ? »
Toujours le silence.
Le curé exaspéré par ce silence du jeune lança cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire :
« Pour la dernière fois, je te demande, où est Dieu ? »
Le jeune se lève, prend ses jambes à son cou et sans s’arrêter se sauve directement chez lui.
En arrivant, il prend son frère par le bras le tire jusque dans la cave, ferme la porte et à bout de souffle lui dit :
« On est dans de beaux draps, ils ont perdu le Bon Dieu et ils nous accusent déjà pour ça ! »
Germaine va voir un thérapeute et lui dit :
« – J’ai un gros problème. Chaque fois que nous sommes au lit avec mon mari et qu’il arrive au point culminant, il laisse échapper ce hurlement qui me casse les oreilles.
– Mais, dans le fond, c’est normal…
– Le problème, c’est que ça me réveille ! »
Jean-Fabrice a eu un accident terrible, et son pénis a été mutilé.
Le chirurgien lui assure qu’il y a des solutions, mais qu’elle n’est pas couverte par l’assurance-maladie.
« – Alors ? Combien ?
– Bien ça coûterait 3.500 € pour un petit pénis, 6.500 €
pour un moyen, et 14.000 pour un grand format. »
Jean-Fabrice hésite entre le moyen et le grand, mais le docteur lui
suggère de consulter sa femme.
Il prend le téléphone et lui explique la situation…
« Surtout ne fais rien, on va mettre tout cet argent dans la rénovation de la cuisine ! »
Jean-Marc et Germaine ont une violente querelle le jour de leur trentième
anniversaire de mariage.
Il lui hurle :
« – Quand tu mourras, je ferai graver sur ta tombe : Ici repose ma femme, froide comme toujours.
– Et moi, je ferai graver sur ta tombe : Ici repose mon mari… enfin raide ! »
Une mère cannibale à son petit qui manque de manières à table :
« Ne t’ai-je pas déjà dit qu’on ne doit pas parler avec quelqu’un dans la bouche ? »
En Islande, un crime a été commis, ce qui est extrêmement rare.
L’inspecteur interroge un suspect :
« Que faisiez-vous pendant la nuit du 15 novembre au 3 février ? »
Jean-Marc à Jean-Paul (qui sirotent une bière-confinée sur leur balcon
respectif) :
« – Tu connais le dernier comble pour un dentiste.
– Non ! Vas-y : C’est quoi ?
– Rentrer chez-lui le soir et trouver sa femme au lit avec
un mâle dedans. »
Une autre « revenue », mais transformée :
Jean-Raymond a très, très mal à la tête.
Quand il se lève le matin, il a mal à la tête.
Dans les embouteillages vers le bureau, il a mal à la tête.
Toute la matinée, il a mal à la tête.
À midi il déjeune seul, forcement il ne peut pas participer aux conversations de ses collègues, puisqu’il a mal à la tête.
L’après-midi, il essaie d’oublier qu’il a mal à la tête.
Il rentre tôt pour essayer de se coucher et dormir un peu, mais dans la nuit il se retrouve réveillé par son mal de tête.
Ça fait dix ans que ça dure et après avoir consulté plusieurs médecins, Jean-Raymond prend rendez-vous chez un spécialiste.
L’homme de l’art passe la tête de Raymond au scanner et rend son verdict :
« – Jean-Raymond, j’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise.
La bonne c’est que nous avons trouvé l’origine de votre mal.
La mauvaise, c’est justement l’origine de votre mal.
En fait, vos testicules font pression sur le bas de votre dos.
Les lombaires, en réaction, pincent le nerf spinal, lequel remontant le long de la colonne jusqu’à la tête et provoque une irritation permanente du cerveau, d’où vos maux de tête chroniques.
– Euh… Et que peut-on faire pour remédier à ça Docteur ?
– Seulement deux choses Raymond, vous couper les testicules, ou vous laisser vivre avec votre mal. »
Quelques instants de réflexion suffisent à Jean-Raymond pour se décider,
il a vraiment trop mal à la tête :
« On coupe, Docteur ! »
Trois jours suffisent pour que Jean-Raymond, remis des suites de l’opération, quitte la clinique.
Un monde nouveau s’étale devant ses yeux incrédules : Ses migraines l’ont quitté, ses tempes ne battent plus, ses idées sont claires, les gens lui sourient et il leur sourit enfin !
Toutefois, il a perdu ses testicules…
Passant devant un tailleur pour homme, il décide, pour fêter ça, de s’offrir un nouveau costume sur mesure et pousse la porte du magasin.
« – Bonjour, je veux un habit sur mesure !
– Pas de problème monsieur, je vous propose cette veste en
54 et ce pantalon en 46 qui vous iront parfaitement. »
Un peu étonne d’une telle acuité de jugement, Jean-Raymond enfile
l’ensemble et force est de constater qu’il lui va comme un gant.
« – Vraiment monsieur, je suis impressionné ! Comment pouvez-vous déterminer ma taille aussi précisément ?
– Le coup d’œil du pro, Monsieur, j’exerce depuis plus de
vingt ans. »
Emballé, Jean-Raymond avide de compléter ses achats en s’offrant un
caleçon de marque.
« – Vous avez bien raison monsieur, je vous propose ce modèle a carreau en taille 42.
– Désolé monsieur, mais cette fois vous faites erreur, je
porte uniquement du 40.
– Croyez-en le coup d’œil du pro, Monsieur. En caleçon, vous faites du 42. »
Jean-Raymond insiste :
« – Navré de vous prendre à défaut, monsieur, mais je porte du 40 depuis au moins 10 ans !
– C’est comme vous voudrez Monsieur, mais je dois vous
prévenir : En portant du 40, vos testicules vont faire pression sur le bas de
votre dos et vos lombaires, en réaction, pinceront le nerf spinal qui a son
tour vous donnera des maux de tête… »
C’est une reprise de celle attribuée à
« Bling-bling » quand il n’était encore que maire de
Neuilly-sur-la-Seine et s’était fait tout retirer hors l’estomac et les poumons
pour soulager ses maux de tête permanents…
Mais la chute, c’était la taille de son col de chemise…
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une énième bière :
« – Sais-tu comment fait-on pour oublier tous ses problèmes ?
– Je ne connais qu’un seul remède : La bière !
– Bé non, j’ai dit « tous ses problèmes ».
– Ah oui. Et alors ?
– Il faut porter des souliers trop petits. »
Bill et Hillary Clinton sont au lit en train de dormir.
Vers 2 heures du matin, Hillary se réveille car elle a besoin d’aller faire pipi.
Alors elle secoue Bill comme un prunier et lorsqu’il émerge, elle lui dit :
« – Je vais aux toilettes.
– M’enfin, tu n’as pas besoin de me réveiller pour me dire
ça ! Tu vas aux toilettes et puis c’est tout.
– C’est que… je voulais être sûre que tu me gardes ma place… »
Solutions des contrepèteries de la semaine passée :
« Vous avez à la main, Madame, une fière pine… »
« Formidables, les cons de Pologne ! »
« Jean-Marc devient mou en regardant la photo de Germaine. »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Jean-Marc aime bien les populations des Costières »
« Le même : Je suis fasciné par le goût de cette Kurde »
« L’oncle de Jean-Marc perd courage devant les amas patentes »
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » (à
copier/coller. Je ne parviens plus à faire des liens hypertexte avec cette
version de Word-là !) :
Ma bibliothèque (livresinterdits.blogspot.com)
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html
« – Je voudrai prendre de ce tissu pour me faire une nouvelle robe. Combien vaut-il ?
Tout rougissant et rapidement, le vendeur prend les mesures du tissu et fait la découpe, puis il emballe le tissu et le pose sur le comptoir en regardant la fille avec insistance.
À ce moment-là, la fille se tourne vers le trottoir et appelle :
« Grand-père, tu peux venir payer le monsieur ? »
Sa maman, qui l’accompagne, le supplie :
« Sois sage Jean-Jérôme… Ouvre la bouche et fait aaaaaaaah, pour que le docteur puisse enlever ses doigts… »
« – Où pourrions-nous nous rencontrer plus intimement ?
« Ne voit pas l’imprimante ! »
Après de moults efforts, sans succès il décide de téléphoner le numéro du support technique de l’imprimante, se plaignant qu’il reçoit continuellement le message que l’ordinateur ne voit pas l’imprimante.
Et il affirme au technicien :
« J’ai même placé l’imprimante devant l’écran de l’ordinateur et il continue à me dire qu’il ne la voit pas ! »
– Car jésus EST descendu parmi nous ! » (par minou )
C’est bien simple, si j’entends encore quelqu’un confesser qu’il a trompé son mari ou sa femme, je demande à changer de paroisse !”
Comme tout le monde aime bien le curé, une réunion informelle a lieu dès la sortie de la messe, et il est décidé de continuer à confesser les adultères, mais d’utiliser un code pour ce péché : Il est convenu que lorsque quelqu’un aura fauté sexuellement, il confessera être tombé par terre et avoir proféré des jurons à cette occasion.
Une semaine plus tard, le curé croise le maire du village dans la rue.
“Bonjour Monsieur le Maire. Dites-moi, je suis bien content de vous voir. Vous devriez faire étendre du sable sur les trottoirs.
Plusieurs personnes se plaignent d’être tombées par terre ! ”
Le maire ne peut pas s’empêcher de rigoler en entendant la remarque naïve de son curé, mais le curé le coupe tout de suite :
“Vous ne devriez pas rire de ça, rien que cette semaine, votre femme est quand même tombée trois fois !…” »
Un couple avait 2 garçons un de 8 ans et l’autre de 10 ans, de vrais espiègles, il n’y avait rien à leur épreuve, ils avaient fait à peu près tous les mauvais coups incroyables qui avaient eu lieu dans leur petit village.
À chaque fois que quelque chose se passait dans le village, les résidents savaient qui étaient les responsables.
La mère les avait punis, grondés, discuté avec eux mais c’était peine perdue.
Le père, après avoir fait la même chose, dit à sa femme :
« Qu’est-ce que tu dirais si on demandait au curé de discipliner nos deux espiègles ? »
Ils demandèrent donc au curé de discuter avec leurs enfants, mais il devait leur parler un à la fois.
Donc le plus jeune se présenta au presbytère le matin, le curé le fit asseoir et immédiatement lança au jeune :
« Où est Dieu ? » Aucune réponse du gamin.
Le curé répéte :
« Tu connais le Bon Dieu ! Où est-il ? »
Toujours le silence.
Le curé exaspéré par ce silence du jeune lança cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire :
« Pour la dernière fois, je te demande, où est Dieu ? »
Le jeune se lève, prend ses jambes à son cou et sans s’arrêter se sauve directement chez lui.
En arrivant, il prend son frère par le bras le tire jusque dans la cave, ferme la porte et à bout de souffle lui dit :
« On est dans de beaux draps, ils ont perdu le Bon Dieu et ils nous accusent déjà pour ça ! »
« – J’ai un gros problème. Chaque fois que nous sommes au lit avec mon mari et qu’il arrive au point culminant, il laisse échapper ce hurlement qui me casse les oreilles.
– Le problème, c’est que ça me réveille ! »
Le chirurgien lui assure qu’il y a des solutions, mais qu’elle n’est pas couverte par l’assurance-maladie.
« – Alors ? Combien ?
Il prend le téléphone et lui explique la situation…
« Surtout ne fais rien, on va mettre tout cet argent dans la rénovation de la cuisine ! »
« – Quand tu mourras, je ferai graver sur ta tombe : Ici repose ma femme, froide comme toujours.
« Ne t’ai-je pas déjà dit qu’on ne doit pas parler avec quelqu’un dans la bouche ? »
L’inspecteur interroge un suspect :
« Que faisiez-vous pendant la nuit du 15 novembre au 3 février ? »
Jean-Raymond a très, très mal à la tête.
Quand il se lève le matin, il a mal à la tête.
Dans les embouteillages vers le bureau, il a mal à la tête.
Toute la matinée, il a mal à la tête.
À midi il déjeune seul, forcement il ne peut pas participer aux conversations de ses collègues, puisqu’il a mal à la tête.
L’après-midi, il essaie d’oublier qu’il a mal à la tête.
Il rentre tôt pour essayer de se coucher et dormir un peu, mais dans la nuit il se retrouve réveillé par son mal de tête.
Ça fait dix ans que ça dure et après avoir consulté plusieurs médecins, Jean-Raymond prend rendez-vous chez un spécialiste.
L’homme de l’art passe la tête de Raymond au scanner et rend son verdict :
« – Jean-Raymond, j’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise.
La mauvaise, c’est justement l’origine de votre mal.
En fait, vos testicules font pression sur le bas de votre dos.
Les lombaires, en réaction, pincent le nerf spinal, lequel remontant le long de la colonne jusqu’à la tête et provoque une irritation permanente du cerveau, d’où vos maux de tête chroniques.
– Euh… Et que peut-on faire pour remédier à ça Docteur ?
– Seulement deux choses Raymond, vous couper les testicules, ou vous laisser vivre avec votre mal. »
« On coupe, Docteur ! »
Trois jours suffisent pour que Jean-Raymond, remis des suites de l’opération, quitte la clinique.
Un monde nouveau s’étale devant ses yeux incrédules : Ses migraines l’ont quitté, ses tempes ne battent plus, ses idées sont claires, les gens lui sourient et il leur sourit enfin !
Toutefois, il a perdu ses testicules…
Passant devant un tailleur pour homme, il décide, pour fêter ça, de s’offrir un nouveau costume sur mesure et pousse la porte du magasin.
« – Bonjour, je veux un habit sur mesure !
« – Vraiment monsieur, je suis impressionné ! Comment pouvez-vous déterminer ma taille aussi précisément ?
« – Vous avez bien raison monsieur, je vous propose ce modèle a carreau en taille 42.
– Croyez-en le coup d’œil du pro, Monsieur. En caleçon, vous faites du 42. »
« – Navré de vous prendre à défaut, monsieur, mais je porte du 40 depuis au moins 10 ans !
Mais la chute, c’était la taille de son col de chemise…
– Bé non, j’ai dit « tous ses problèmes ».
– Ah oui. Et alors ?
– Il faut porter des souliers trop petits. »
Vers 2 heures du matin, Hillary se réveille car elle a besoin d’aller faire pipi.
Alors elle secoue Bill comme un prunier et lorsqu’il émerge, elle lui dit :
« – Je vais aux toilettes.
– C’est que… je voulais être sûre que tu me gardes ma place… »
« Vous avez à la main, Madame, une fière pine… »
« Formidables, les cons de Pologne ! »
« Jean-Marc devient mou en regardant la photo de Germaine. »
« Le même : Je suis fasciné par le goût de cette Kurde »
« L’oncle de Jean-Marc perd courage devant les amas patentes »
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