Décidément, les « écololos » osent tout !

Les Khmers et Mao rééduquaient  
 
Eux aussi !
Au moins Staline internait dans les hôpitaux psychiatriques en Sibérie, car il faut être fou pour s’opposer au « Socialisme-scientifique ».
Forcément, un « fait scientifique » ne supporte pas la contradiction.
Éventuellement, seulement son dépassement (la fameuse « dialectique Hégélienne »).
Tout le monde sait ça (même moâ, c’est dire !)
 
Et là, à Poitiers, ça va jusqu’à rééduquer les rêves d’enfant !
Magnifique, n’est-ce pas ?
L’édile « écolologiste » supprime les subventions à l’aérien, non pas au motif que l’aéroclub n’a pas besoin de ce coup de pouce financier (ce qui est vrai) mais parce qu’il ne faut pas « faire rêver les enfants » avec des objets carbonés.
La nouvelle bourgeoisie verte, en quelle que sorte, arrivée au pouvoir à la faveur de l’abstention massive, « montre ainsi à nouveau sa volonté de rééducation ».
 
Il faut dire qu’au championnat de « Gauloisie-imprécatrice » des mairies EELV n’a commencé que depuis juin dernier mais il tient décidément toutes ses promesses.
Ainsi Lyon avait placé la barre très haut en décrétant le Tour de Gauloisie indésirable car « polluant » et « misogyne » !
Yes, we can !
Évidemment elle aura refusé d’honorer la traditionnelle cérémonie des Échevins pour les mêmes motifs.
Les mêmes auront fait avancer son agenda gastronomique pro-végétarien en profitant du protocole sanitaire lié à la pandémie pour supprimer la viande dans les cantines.
C’est que ça pue, un bovin, et sa pète du méthane, gaz hautement « à effet de serre » !
Bordeaux semblait viser les accessits en refusant d’installer le sapin de Noël, cet « arbre mort », devant l’Hôtel de Ville.
Peut-être préfèrent-ils les arbres en toc et en plastique pour sauver la planète ?
Strasbourg a préféré accorder une subvention de 2,5 millions d’euros à une association islamiste proche de l’AKP « d’Air-dos-gagne », en vue de la construction d’une mosquée monumentale : Au moins, d’une part, il y en a qui savent se servir du Concordat toujours en vigueur le long du Rhin, d’autre part, l’élévation de l’esprit par le culte, surtout quand il veut détruire les lois de la République, c’est forcément une bonne chose « écolologiste ».
En revanche, maigre bilan pour Besançon qui n’est pas parvenue pas à se débarrasser de la lanterne rouge synonyme de relégation à cette compétition, ne parvenant même pas à mettre en place sa promesse de carte d’identité municipale non-genrée, et ne remettant en cause qu’un morceau de rocade.
On se demande presque, sous cape, s’il faut s’en plaindre ou s’en réjouir.
 
La surprise vient donc du Poitou, l’outsider de la compétition.
Et la nouvelle star, la révélation qui tire au but plus vite que son ombre, c’est bien « Léo-n’or-Mon-con-d’aujourd’hui », qui pourrait bien ravir le trophée tant attendu entre Rhône et Saône.
Tout nouveau tout beau la mairesse de Poitiers se préoccupe désormais de l’enfance. Pas seulement en « dégenrant » les cours d’école comme le font toutes les municipalités vertes, mais avec audace qui va beaucoup plus loin que de bouter les terrains de football si patriarcaux des écoles en les remplaçant par des « espaces végétalisés ».
Elle veut aller plus loin, plus fort !
Ce ne sont pas les jeux d’enfants qu’il faut changer, mais aussi leurs imaginaires.
Leurs rêves.
 
Voilà comme Notre-drame-de-Poitiers a justifié la fin des subventions aux aéro-clubs de cité poitevine ce 29 mars en conseil municipal : « L’aérien, c’est triste, mais ne doit plus faire partie des rêves d’enfant aujourd’hui (…).
Nous considérons que l’argent public ne doit plus financer les sports basés sur la consommation de ressources épuisables.
L’argent public doit envoyer un signal de responsabilité.
Mettre dans la même phrase « rêve d’enfants » et « le fait de sauver des clubs aériens » ça a quelque chose d’indécent ».
Mort de rire…
Conséquence logique pour un « écololo », le rêve d’enfant, ce n’est pas devenir champion cycliste, footballeuse professionnelle ou pilote d’avion, mais bien de recracher un steak (surtout s’il n’est pas casher ou hallal) et de regarder pousser une carotte ou un navet dans « l’espace végétalisé » d’une cour d’école !
 
Ça va tout de même être kon quand, dans le même élan de responsabilité climatique, « Vol de nuit » et « Le Petit Prince » vont être retirés des bibliothèques, des librairies et des programmes scolaires de Poitiers !
Pensez, des fois qu’un gosse s’émerveille de leur lecture.
L’horreur, quoi…
Même Pierre Perret et son « Ouvrez la cage des oiseaux » ou Michel Fugain qui chantait « Fais comme l’oiseau », risque désormais le classement vertical, l’épuration du catéchisme écolologiste !
Vous savez, un accident est si vite arrivé…
 
Le « sinistre des Transports », pilote de son état, s’en est même ému entre deux repas confinés ainsi que plusieurs dignitaires de la « Jupitérie ».
Si on ne les désapprouve pas, on leur recommandera aimablement de regarder en direction de « Barbarella-Pompe-à-huile » qui n’aura rien perdu de sa vocation de catéchèse verte : Elle avait d’ailleurs volé au secours de l’équipe de Lyon dans l’affaire du menu végétarien lyonnais.
Là, elle devrait apprécier, entre deux repas clandestins…
Car finalement, catéchèse, c’est en effet le mot qui résume le mieux la manière dont les maires « écololos » abordent leur action politique verdoyante.
Et il n’est pas indifférent d’étudier la sociologie électorale qui a permis la prise de ces quelques mairies provinciales par Europe-Ecolologie-Les-Verts : L’abstention massive des classes populaires lors des dernières municipales a favorisé cette nouvelle bourgeoisie provinciale.
Pour qui « l’argent public doit envoyer un signal de responsabilité », et on est prié de soutenir… vertement !
À condition de se rappeler que « l’argent public » ce n’est jamais que de l’argent racketté aux citoyens.
En principe au bénéfice de tous sinon du plus grand nombre.
Autrement dit, il doit y avoir « un rendu », un retour pour satisfaire les besoins des populations à qui il a été volé.
C’est d’ailleurs ce qui fonde le principe du « consentement à l’impôt ».
Et sans lui, si on doit reconvoquer des « états généraux », on sait que ça se termine mal pour les tenants, même légitimes (et de droit divin ou « jupitérien ») des manettes du pouvoir (la potestas).
 
En bref, les rêves des enfants n’appartiennent qu’à nos enfants, et certainement à pas aux « écololos » ou à tout autre ayatollah.
« Pruneau-le-Mère » l’aura sèchement rappeler.
Il fait référence à la saillie de la mairesse verte de Poitiers me semble-t-il, pour qui vouloir contrôler et changer les rêves des enfants, surtout de ceux qui avaient la tête dans les étoiles et dans les nuages et qui rêvaient d’avions est une hérésie de plus des Khmers-verts.
Même « Konne-benne-dite » leur aura infligé un « qu’ils aillent se faire foutre »…
 
C’est vraiment le problème avec le progressisme et l’écolologie.
C’est exactement cela avec les Khmers verts qui doivent être désignés exactement pour ce qu’ils sont. Non pas des écolologistes épris d’humanité, de bons sentiments et d’amour pour la planète, mais rien de moins que de petits fascistes, violents en puissance, qui pensent mieux penser que vous, qui pensent l’humanité comme un cancer pour la planète, et qui loin d’amour, sont en réalité rempli de haine à l’égard de l’homme et de la société qui les aura enfantés et éduqués.
Force est de constater, question éducation, c’est qu’il y a comme une sorte de « gros bug », là !
Quelque chose de raté…
D’immature et d’inachevé.
 
Eux sont persuadés qu’ils savent tous mieux que tout le monde comment bien penser.
L’écolologie, c’est « scientifique » : On ne peut pas être contre, comme aux temps des Goulags et des hôpitaux psychiatriques de chez mes « potes-cocos »
Ils savent mieux que vous vous comment bien rêver, consommer, produire.
Quitte à rééduquer… comme chez le kamarade Mao ou Pol-Pot !
Et finalement ils font involontairement la démonstration de ce qu’est idéologie verte : Un désastre !
Elle comporte et porte en elle-même d’immenses dangers et nous mènera inévitablement vers de nouveaux camps de redressements, vers de nouveaux goulags où l’on « aidera » les enfants à mieux rêver !
J’adore, j’adore…
 
C’était l’ADN même des jeunesses communistes.
C’était le fonctionnement même des jeunesses hitlériennes.
C’était la colonne vertébrale du franquisme.
C’était la même chose chez les chemises noires du Duce.
C’était ainsi que le Japon impérial aura embrigadé jusqu’à la détruire sa propre jeunesse enthousiaste.
Comment croyez-vous que les djihadistes recrutent des « allumés » de Dieu ?
Toujours plus jeunes…
 
Bien évidemment, il faut prendre soin de notre environnement.
Bien évidemment que ce n’est pas une option mais une obligation économique, éthique, politique, sociale et même vitale.
Tout le monde sait ça.
Mais de là à laisser l’écolologie devenir une dictature et les écologistes des petits Khmers verts qui changeront par la force, les rêves des enfants, il y a un pas.
Un pas de géant !
Un gouffre inacceptable en démocratie, même élective !
La réponse de « Pruneau-le-Mère » sur ce sujet est la bonne, et non, elle n’est pas que de la politique politicienne, il y a un vrai gouffre idéologique et intellectuel.
 
D’un côté, ceux qui pensent que nous devons continuer à nous développer en créant des solutions innovantes, voire « rêvées », où l’on pourrait voler sans polluer, et d’autres qui pensent qu’il faut changer les rêves des enfants, leur faire faire du vélo ou inventer des chars à voile capable d’emprunter les autoroutes…
Oui, parce que le train, c’est marrant, c’est électrique (sauf en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») et que l’électrique, c’est nucléaire à 70 % (30 % d’autre chose, dont 1 % pour le solaire et l’éolien réunis, et encore pas tout le temps…).
Et le nucléaire, ce sont de grosses usines technocratiques, des fonds mobilisés en pagaille depuis des décennies qui entretiennent la société « d’avant » qui les aura enfantés et qu’ils détestent !
 
Voler, le plus vieux rêve de l’humanité.
Voler est le plus ancien rêve de l’humanité.
Qui ne se souvient pas de la mythologie et d’Icare, qui ne se souvient pas de tous ceux qui ont laissé leur vie en suivant ce rêve ?
Qui ne se souvient pas des dessins si merveilleux des machines volantes de de Vinci.
Ce qu’impose cette mairesse « écololo », c’est que le plus vieux rêve de l’humanité n’a pas sa place dans son monde à elle.
Celui « d’après ».
Quitte à contrôler ce que chaque homme, femme et enfant de cette planète a de plus précieux : Ses rêves.
Ce que dit miss « Mon-con-d’aujourd’hui », c’est qu’elle veut castrer, casser, détruire, la plus belle des énergies créatrices de l’humanité qui est celle des rêves.
Car tout part des rêves, parce que tout ce qui peut être rêvé peut être imaginé.
Et tout ce qui peut être imaginé peut être entrepris.
Si personne n’avait jamais « fait un rêve » comme le pasteur Martin-Luther-King, franchement, on peindrait toujours les fonds des grottes de Lascaux avec de la boue sur les mains !  
 
Finalement, si on se veut philosophe (« foulosophe » en ce qui me concerne), notre monde n’est jamais qu’une immense fiction imaginaire à laquelle nous sommes des milliards à adhérer.
Cette fiction, n’est que la résultante et la conséquence des rêves portés et concrétisés par nos pères et les pères de nos pères et encore leurs géniteurs.
Le monde n’est que la conséquence de l’énergie fabuleuse de nos rêves.
Sauf pour les « écololos », surtout quand ils ont « le melon » à s’être fait élire sur un malentendu démocratique !
Jamais, « ils » n’ont autant mérité le surnom de Khmers verts.
Probablement que jamais également, il n’a été aussi nécessaire de combattre cette idéologie mortifère.
Mais il y en a d’autres à ne pas laisser passer.
 
Et figurez-vous que « le chef » des « écololos », « Y’a-nique-Yoda », il a annoncé vouloir faire une large union des « gôches ».
Jusqu’à nous faire croire que la « gôche », c’est finalement fachiste !
Lui au milieu, tous les autres tout autour, bien naturellement.
À croire aussi que tous ceux-là cherchent encore leur Pétain… de « gôche » qui justement embrigadait lui aussi la jeunesse du pays à son époque.
« Mythe-errant » l’a bien fait… et le pays aura été mis à genoux !
Comme ils s’y croient tous l’être avec conviction, on va avoir du mal à sortir le pays de l’ornière dans laquelle il est encalminé depuis…
Dommage.
Un si beau pays (que j’aime tant…) qui nous le rend décidément si mal…