Ou un putsch de militaires en préparation ?
Et ce n’est pas vraiment un hasard : Le 21 avril, c’était le 60ème
anniversaire du « Putsch d’Alger », mené par un
« quarteron » de « 4 étoilés », celui-là, qui aura fait
long-feu. Ils déclenchèrent cette opération en réaction à la politique choisie
par le président de la République, Charles de Gaulle, et son gouvernement,
qu'ils considéraient comme une politique d’abandon de « l’Algérie-gauloisienne ».
Il les avait pourtant compris…
En réalité, bien d’autres généraux participent à ce putsch, de sorte qu’il est impropre de parler uniquement de « quatre généraux putschistes » (Maurice Challe, Edmond Jouhaud, Raoul Salan et André Zeller). On peut citer par exemple le général Gardy et le général Faure, même s’ils n’ont pas le même prestige que les quatre généraux d’armée.
Et pour sa part, le général Jacques Massu n’avait pas participé à cette félonie…
Personnellement, je ne suis pas très étonné. En effet je vous ai
« fabriqué » une intrigue autour du même thème contre
« Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui devait avoir lieu le 14 juillet
2014.
Un simple tir de barrage d’artillerie depuis « la plaine de Gauloisie » effectué par un régiment stationné habituellement dans le « Grand-Est » avec pour cible la place de la Concorde.
Au démarrage, il devait être précédé par un lâcher de bombes au napalm à l’occasion du défilé aérien qu’il n’aura pas été possible d’organiser.
En remplacement, des mercenaires devaient larguer ces munitions incendiaires avec le « Nivelle 001 » volé à Salon-de-Provence et positionné sur la piste de l’ancienne base aérienne de Cambrai (ex-BA 110).
Puis le « travail » devait être achevé par des tirs de snipers postés sur les toits du bâtiment de l’amirauté et se clôturer par l’assaut de commandos d’élite et la troupe défilante des principaux ministères et points de passage « stratégiques » tout autour de « Paris-sur-la-plage »…
Je vous décris tout cela assez minutieusement dans le volume « Mains invisibles » (I-Cube (l'exilé): Mains invisibles (flibustier20260.blogspot.com)), notamment les raisons « idéologiques » voire seulement « politiques » du moment qui devaient transformer « Gras-Nul-Laid », notre « Capitaine de pédalo » national de l’époque, et ses invités en merguez trop cuites !
Et puis finalement, ça n’a pas eu lieu après l’intervention de la troupe,
sur l’initiative de Gustave Morthe-de-L’Argentière et de
« Charlotte » à l’occasion du dernier vol du prototype « Nivelle
001 » (qui sera parqué par la suite à Évreux), qu’ils auront récupéré in
extremis.
Toutes choses dont vous êtes restés totalement ignorant, comme de coutume…
Comme quoi, la République reste fragile et même l’opinion publique, d’après les derniers sondages, semble prête à accorder les « pleins pouvoirs » à un régime politique « autoritaire ».
Bref, c’est dans « l’air du temps »…
La preuve, dans cette lettre ouverte publiée la semaine dernière, des
militaires enjoignent « ceux qui dirigent notre pays » à « appliquer
sans faiblesse des lois qui existent déjà » afin d’éviter une « guerre
civile ».
Les comiques : Je ne dis pas autre chose !
Car je ne crois absolument pas à une guerre civile, mais seulement à des émeutes ethniques.
Qui est prêt à mourir pour la patrie, son territoire, sa constitution, ses institutions, ses valeurs de nos jours ?
Personne : C’est justement une tâche déléguée aux militaires payés pour cela !
En revanche, il y a toute une frange de la population qui se croit « spoliée » de « ses droits » et les revendique violemment.
Les mêmes qui se rêvent en martyrs du Divin.
Des imbéciles : Il suffit de se baisser pour ramasser ce qui est déjà acquis dans les textes de loi à la seule condition d’intégrer toute la Loi…
La tribune est intitulée « pour un retour de l’honneur de nos
gouvernants », dans laquelle des militaires, qu’on fait passer pour la
plupart comme des retraités ou des radiés, demandent aux dirigeants du pays d’agir
face à la menace d’une « guerre civile ». Ils dénoncent les « silences
coupables » du gouvernement et insinuent que des militaires actifs
pourraient être tentés de prendre les armes afin de remédier à ce « délitement
» de la société.
La guerre civile, la dernière fois, c’était en Mai 68 où les chars étaient stationnés aux portes de Paris…
Depuis, ils y rentrent régulièrement, mais sans munition… tous les 14 juillet !
Dans ce texte dépeignant une « France en péril », les signataires
dénoncent donc le « délitement qui frappe notre patrie », à travers « un
certain antiracisme » qui viserait selon eux à « créer sur notre sol un
mal-être, voire une haine entre les communautés ».
De la part de ceux qui accueillent sous l’uniforme toutes les conditions humaines sans distinction aucune, ce n’est pas mal…
Et un pouvoir qui « utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs ».
Et de rajouter : « Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation ».
Pointant « l’islamisme et les hordes de banlieue », ils appellent nos dirigeants à « trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers » en appliquant « sans faiblesse des lois qui existent déjà ».
« Comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables », dit-elle.
Évidemment, dénonçant « une insulte qui est jetée à la figure de
milliers de militaires », la « sinistre » des Armées, « Floflo-Parly-one »
(Parly II est un centre commercial du « sept-huit » et « Parly-tout-court »
une commune de l’Yonne, il n’y a pas de hasard…) a promis ce lundi sur « Transe-Info »
qu’en cas de découverte de militaires en exercice dans la liste des
signataires, « des sanctions tomberont », confirmant l’information selon
laquelle « le recensement » de ces potentiels aspirants-putschistes « est
en cours ».
Un discours qui tranche avec son tweet de la veille, qui dénonçait « une tribune irresponsable », « uniquement signée par des militaires à la retraite, qui n’ont plus aucune fonction dans nos armées et ne représentent qu’eux-mêmes ».
Ce lundi, la « sinistre déléguée chargée de l’Industrie », « Agnelle-du-Panier-à-remâcher », a quant à elle évoqué « un quarteron de généraux en charentaises » auquel il ne faudrait pas donner davantage d’importance. « Il faut simplement condamner sans réserve et passer à autre chose », estime-t-elle.
Elle se goure : Un quarteron, c’est 25 personnes.
Là, ils sont plus d’un millier, soit un petit régiment…
Dans l’opposition, la présidente du « Air-Haine » n’a évidemment
pas attendu dimanche pour s’émouvoir de la tribune, dans un tout autre ton. « Je
vous invite à vous joindre à notre action pour prendre part à la bataille qui
s’ouvre […] qui est avant tout la bataille de la France », a-t-elle
répondu aux signataires, dans « VA » là encore, deux jours après la
publication.
« Comme citoyenne et comme femme politique, je souscris à vos analyses et partage votre affliction », a-t-elle ajouté. Cela tombe bien, les signataires se disent dans la tribune « disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation ».
On lui aura rétorqué que : « Les mots de Mme Le Pen reflètent une méconnaissance grave de l’institution militaire, inquiétant pour quelqu’un qui veut devenir cheffe des armées » en aura dit la « sinistre ».
« La politisation des armées suggérée par Mme Le Pen affaiblirait notre outil militaire et donc la France. Les armées ne sont pas là pour faire campagne mais pour défendre la France et protéger les Français », conclut-elle.
J’en suis d’accord.
Et c’est déjà beaucoup pour tous ceux-là, jusqu’au fin fond du Sahel…
Et le jour où « Vigipirate » sort ses armes, je sortirai les miennes.
Soit pour les épauler s’ils réagissent à un acte de terrorisme ou de guerre, soit contre eux s’il leur vient à l’esprit de s’attaquer à mes voisins qui défendraient les institutions contre des putschistes-félons et factieux…
Et une partie de la gôche, une partie seulement, s’est élevée samedi après
la publication de cette tribune, tout en critiquant le manque de réaction du
gouvernement.
« Mes-Luches » a fustigé la « stupéfiante déclaration de militaires s’arrogeant le droit d’appeler leur collègue d’active à une intervention contre les islamogauchistes ».
« Aucune réaction de Florence Parly, Jean Castex ni Emmanuel Macron », avait dénoncé « Deux-noix-Âme-Mont ».
Preuve que celui-là ne sait même pas lire…
Normal, il vit à « Issy-les-Moules » en banlieue parigote et les ékoles n’y apprennent plus à lire, compter et écrire depuis bien longtemps !
En tout cas l’hypothèse d’un coup d’État est quant à elle à peine
dissimulée : « Si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se
répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et
l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de
protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos
compatriotes sur le territoire national », font savoir les signataires.
Et en l’état, difficile de savoir si cette tribune dépasse le cadre des « militaires en charentaises » dépeint par la majorité « En-marche-même-pas-en-rêve » ou si elle peut disposer de relais au sein de militaires en activité.
Car des militaires aux idées néonazies dans l’armée « Gauloisienne », le ministère ne veut « aucune tolérance » : On se souvient encore des « quenelles » qui avaient bien fait marrer le Président d’alors alors qu’il s’agissait d’un avertissement très clair à son encontre.
Quand on est nul, on est nul, il n’y a pas à tortiller, même si on est gras et laid !
La « quenelle », c’est un salut nazi « à l’envers ».
« Dieu-a-donné », son « inventeur », aura suffisamment été condamné pour ça par la justice de mon pays (vous savez, celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
En revanche, ce qui est sûr, c’est que cette tribune interpelle d’abord
par son caractère inédit, pour des hommes habitués au silence et au devoir de
réserve.
« Cette prise de position est sans précédent sous la Vème République puisqu’elle ne touche en rien les affaires militaires et le budget de la défense », commente le directeur de recherche en sociologie politique au CNRS.
Lui aussi se souvient de « Deux-Villes-Liées », alors « chef suprême » des armes du pays auprès de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et ensuite de « Jupiter » qui réclamait des budgets supplémentaires pour ses troupes.
Il sera passé « au trapèze » et à la trappe…
Il n’empêche selon « Valeurs actuelles », ils sont plus d’un millier de
militaires – « une vingtaine de généraux », « une centaine de hauts
gradés », « plus d’un millier d’autres militaires » à avoir signé la
tribune.
Sur le haut de la pile figure notamment le nom du général « Chrichri-Pique-mal », radié des cadres de l’armée en 2016 pour avoir organisé une manifestation anti-migrants quelques mois plus tôt à Calais, malgré une interdiction préfectorale.
La liste complète des signataires n’est pas diffusée par l’hebdomadaire, mais elle est consultable sur le blog Place d’Armes, « ouvert à tous les militaires à la retraite, d’active, et de réserve qui aiment la France et réalisent que celle-ci est au bord du gouffre ».
Ce site est le bébé de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien commandant de gendarmerie, à l’origine de la tribune.
Au total, la liste compterait plus de 1.200 signatures.
Quant à savoir si elles sont celles de militaires retraités ou si ont signé des membres de « l’active » – des militaires actuellement en poste – impossible à déterminer pour l’heure. « On est en train de regarder », aura glissé une source dans l’entourage du ministère des Armées.
Car de nouveaux noms se sont progressivement ajoutés à la liste initiale.
Reste à vérifier parmi ces nouveaux noms l’existence d’homonymes, ou encore à s’assurer que lesdits signataires figurent bien là parce qu’ils l’ont choisi.
La vérification devrait prendre un peu de temps. « Pour l’instant, ça a l’air d’être le cas », relativise-t-on dans l’entourage de la « sinistre ». Si des militaires d’active ont signé la tribune, une enquête interne sera systématiquement ouverte nous affirme-t-on.
Peu importe, le problème n’est pas là !
Si on est conduit à confier des armes, parfois de destruction massive, à des cinglés du képi, c’est qu’il y a un vaste problème de recrutement.
Passe encore dans la troupe du moment qu’elle reste disciplinée : On ne devient pas militaire par hasard non plus, bien naturellement.
Mais parmi les officiers, qui plus est « supérieurs », voire « étoilés » (les généraux), là c’est bien plus grave.
De quelle façon sont « filtrés » les têtes-brûlées ? Comment passent-ils les « filtres » d’une hiérarchie bien ordonnée et consciente de ses devoirs ?
Faudra-t-il en venir à les faire escorter et espionner par des « commissaires politiques » comme au bon vieux temps de l’URSS avec l’Armée rouge ?
J’en frémis de terreur, figurez-vous…
C’est toujours la même chose : Qu’on contrôle, OK, mais qui contrôle
les contrôleurs ?
Et quand il s’agit de personnel armé et formé à tuer, porter la mort, imposer la force des armes, ça devient plus que très sérieux.
Et c’est nouveau… pour des fonctionnaires payés avec vos impôts.
D’autant que je sache, les deux deniers qui aient réussi ce coup-là en « Hexagonie », c’était les « Cousins Bonaparte ».
Boulanger n’a pas osé, Pétain était maréchal et n’a pas tiré un seul coup de feu de sa vie hors les stands de tir.
Trop dangereux que de se heurter au Peuple et à ses représentants politiques : Ils devraient s’en souvenir !
Il les avait pourtant compris…
En réalité, bien d’autres généraux participent à ce putsch, de sorte qu’il est impropre de parler uniquement de « quatre généraux putschistes » (Maurice Challe, Edmond Jouhaud, Raoul Salan et André Zeller). On peut citer par exemple le général Gardy et le général Faure, même s’ils n’ont pas le même prestige que les quatre généraux d’armée.
Et pour sa part, le général Jacques Massu n’avait pas participé à cette félonie…
Un simple tir de barrage d’artillerie depuis « la plaine de Gauloisie » effectué par un régiment stationné habituellement dans le « Grand-Est » avec pour cible la place de la Concorde.
Au démarrage, il devait être précédé par un lâcher de bombes au napalm à l’occasion du défilé aérien qu’il n’aura pas été possible d’organiser.
En remplacement, des mercenaires devaient larguer ces munitions incendiaires avec le « Nivelle 001 » volé à Salon-de-Provence et positionné sur la piste de l’ancienne base aérienne de Cambrai (ex-BA 110).
Puis le « travail » devait être achevé par des tirs de snipers postés sur les toits du bâtiment de l’amirauté et se clôturer par l’assaut de commandos d’élite et la troupe défilante des principaux ministères et points de passage « stratégiques » tout autour de « Paris-sur-la-plage »…
Je vous décris tout cela assez minutieusement dans le volume « Mains invisibles » (I-Cube (l'exilé): Mains invisibles (flibustier20260.blogspot.com)), notamment les raisons « idéologiques » voire seulement « politiques » du moment qui devaient transformer « Gras-Nul-Laid », notre « Capitaine de pédalo » national de l’époque, et ses invités en merguez trop cuites !
Toutes choses dont vous êtes restés totalement ignorant, comme de coutume…
Comme quoi, la République reste fragile et même l’opinion publique, d’après les derniers sondages, semble prête à accorder les « pleins pouvoirs » à un régime politique « autoritaire ».
Bref, c’est dans « l’air du temps »…
Les comiques : Je ne dis pas autre chose !
Car je ne crois absolument pas à une guerre civile, mais seulement à des émeutes ethniques.
Qui est prêt à mourir pour la patrie, son territoire, sa constitution, ses institutions, ses valeurs de nos jours ?
Personne : C’est justement une tâche déléguée aux militaires payés pour cela !
En revanche, il y a toute une frange de la population qui se croit « spoliée » de « ses droits » et les revendique violemment.
Les mêmes qui se rêvent en martyrs du Divin.
Des imbéciles : Il suffit de se baisser pour ramasser ce qui est déjà acquis dans les textes de loi à la seule condition d’intégrer toute la Loi…
La guerre civile, la dernière fois, c’était en Mai 68 où les chars étaient stationnés aux portes de Paris…
Depuis, ils y rentrent régulièrement, mais sans munition… tous les 14 juillet !
De la part de ceux qui accueillent sous l’uniforme toutes les conditions humaines sans distinction aucune, ce n’est pas mal…
Et un pouvoir qui « utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs ».
Et de rajouter : « Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation ».
Pointant « l’islamisme et les hordes de banlieue », ils appellent nos dirigeants à « trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers » en appliquant « sans faiblesse des lois qui existent déjà ».
« Comme nous, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables », dit-elle.
Un discours qui tranche avec son tweet de la veille, qui dénonçait « une tribune irresponsable », « uniquement signée par des militaires à la retraite, qui n’ont plus aucune fonction dans nos armées et ne représentent qu’eux-mêmes ».
Ce lundi, la « sinistre déléguée chargée de l’Industrie », « Agnelle-du-Panier-à-remâcher », a quant à elle évoqué « un quarteron de généraux en charentaises » auquel il ne faudrait pas donner davantage d’importance. « Il faut simplement condamner sans réserve et passer à autre chose », estime-t-elle.
Elle se goure : Un quarteron, c’est 25 personnes.
Là, ils sont plus d’un millier, soit un petit régiment…
« Comme citoyenne et comme femme politique, je souscris à vos analyses et partage votre affliction », a-t-elle ajouté. Cela tombe bien, les signataires se disent dans la tribune « disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation ».
On lui aura rétorqué que : « Les mots de Mme Le Pen reflètent une méconnaissance grave de l’institution militaire, inquiétant pour quelqu’un qui veut devenir cheffe des armées » en aura dit la « sinistre ».
« La politisation des armées suggérée par Mme Le Pen affaiblirait notre outil militaire et donc la France. Les armées ne sont pas là pour faire campagne mais pour défendre la France et protéger les Français », conclut-elle.
J’en suis d’accord.
Et c’est déjà beaucoup pour tous ceux-là, jusqu’au fin fond du Sahel…
Et le jour où « Vigipirate » sort ses armes, je sortirai les miennes.
Soit pour les épauler s’ils réagissent à un acte de terrorisme ou de guerre, soit contre eux s’il leur vient à l’esprit de s’attaquer à mes voisins qui défendraient les institutions contre des putschistes-félons et factieux…
« Mes-Luches » a fustigé la « stupéfiante déclaration de militaires s’arrogeant le droit d’appeler leur collègue d’active à une intervention contre les islamogauchistes ».
« Aucune réaction de Florence Parly, Jean Castex ni Emmanuel Macron », avait dénoncé « Deux-noix-Âme-Mont ».
Preuve que celui-là ne sait même pas lire…
Normal, il vit à « Issy-les-Moules » en banlieue parigote et les ékoles n’y apprennent plus à lire, compter et écrire depuis bien longtemps !
Et en l’état, difficile de savoir si cette tribune dépasse le cadre des « militaires en charentaises » dépeint par la majorité « En-marche-même-pas-en-rêve » ou si elle peut disposer de relais au sein de militaires en activité.
Car des militaires aux idées néonazies dans l’armée « Gauloisienne », le ministère ne veut « aucune tolérance » : On se souvient encore des « quenelles » qui avaient bien fait marrer le Président d’alors alors qu’il s’agissait d’un avertissement très clair à son encontre.
Quand on est nul, on est nul, il n’y a pas à tortiller, même si on est gras et laid !
La « quenelle », c’est un salut nazi « à l’envers ».
« Dieu-a-donné », son « inventeur », aura suffisamment été condamné pour ça par la justice de mon pays (vous savez, celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…)
« Cette prise de position est sans précédent sous la Vème République puisqu’elle ne touche en rien les affaires militaires et le budget de la défense », commente le directeur de recherche en sociologie politique au CNRS.
Lui aussi se souvient de « Deux-Villes-Liées », alors « chef suprême » des armes du pays auprès de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et ensuite de « Jupiter » qui réclamait des budgets supplémentaires pour ses troupes.
Il sera passé « au trapèze » et à la trappe…
Sur le haut de la pile figure notamment le nom du général « Chrichri-Pique-mal », radié des cadres de l’armée en 2016 pour avoir organisé une manifestation anti-migrants quelques mois plus tôt à Calais, malgré une interdiction préfectorale.
La liste complète des signataires n’est pas diffusée par l’hebdomadaire, mais elle est consultable sur le blog Place d’Armes, « ouvert à tous les militaires à la retraite, d’active, et de réserve qui aiment la France et réalisent que celle-ci est au bord du gouffre ».
Ce site est le bébé de Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien commandant de gendarmerie, à l’origine de la tribune.
Au total, la liste compterait plus de 1.200 signatures.
Quant à savoir si elles sont celles de militaires retraités ou si ont signé des membres de « l’active » – des militaires actuellement en poste – impossible à déterminer pour l’heure. « On est en train de regarder », aura glissé une source dans l’entourage du ministère des Armées.
Car de nouveaux noms se sont progressivement ajoutés à la liste initiale.
Reste à vérifier parmi ces nouveaux noms l’existence d’homonymes, ou encore à s’assurer que lesdits signataires figurent bien là parce qu’ils l’ont choisi.
La vérification devrait prendre un peu de temps. « Pour l’instant, ça a l’air d’être le cas », relativise-t-on dans l’entourage de la « sinistre ». Si des militaires d’active ont signé la tribune, une enquête interne sera systématiquement ouverte nous affirme-t-on.
Si on est conduit à confier des armes, parfois de destruction massive, à des cinglés du képi, c’est qu’il y a un vaste problème de recrutement.
Passe encore dans la troupe du moment qu’elle reste disciplinée : On ne devient pas militaire par hasard non plus, bien naturellement.
Mais parmi les officiers, qui plus est « supérieurs », voire « étoilés » (les généraux), là c’est bien plus grave.
De quelle façon sont « filtrés » les têtes-brûlées ? Comment passent-ils les « filtres » d’une hiérarchie bien ordonnée et consciente de ses devoirs ?
Faudra-t-il en venir à les faire escorter et espionner par des « commissaires politiques » comme au bon vieux temps de l’URSS avec l’Armée rouge ?
J’en frémis de terreur, figurez-vous…
Et quand il s’agit de personnel armé et formé à tuer, porter la mort, imposer la force des armes, ça devient plus que très sérieux.
Et c’est nouveau… pour des fonctionnaires payés avec vos impôts.
D’autant que je sache, les deux deniers qui aient réussi ce coup-là en « Hexagonie », c’était les « Cousins Bonaparte ».
Boulanger n’a pas osé, Pétain était maréchal et n’a pas tiré un seul coup de feu de sa vie hors les stands de tir.
Trop dangereux que de se heurter au Peuple et à ses représentants politiques : Ils devraient s’en souvenir !
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