J’en ai relevé trois pour vous.
1 – Par
exemple : Quels cris humains nous affectent le plus ?
Grande question s’il en est.
Et la réponse pourrait vous surprendre…
À l’inverse des primates, qui utilisent les cris pour communiquer
uniquement la colère et la peur, les humains crient pour exprimer six émotions
différentes : La colère, la peur, la douleur, la tristesse, le plaisir et la
joie.
Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, nous détectons et déchiffrons plus rapidement ces derniers que les cris alarmants, d'après une étude publiée dans la revue scientifique PLOS Biology.
« Les chercheurs supposent généralement que le système cognitif des primates et des humains est spécifiquement réglé pour détecter les signaux de danger et de menace dans l’environnement, comme un mécanisme de survie ».
Mais ce n'est pas totalement exact, rapporte CNN.
Certes, il est impossible de rester de marbre ou d’oublier les mythiques
cris de Shelley Duvall dans Shining ou celui de Janet Leigh dans Psychose.
D’excellentes comédiennes…
Cependant, chez les humains, « la communication par le cri semble s’être largement diversifiée », ce qui représente « une étape évolutive majeure » selon un professeur de psychologie de l’Université d’Oslo.
« Les humains partagent avec d’autres espèces la possibilité de signaler un danger en criant, mais il semble que seuls les humains crient pour signaler également des émotions positives », poursuit ledit scientifique.
Pour cette étude, Sascha Frühholz et son équipe ont mené quatre
expériences psychoacoustiques différentes, afin d’examiner les rapports entre
les perceptions auditives des douze participants et les sons qui parviennent à
leurs oreilles.
L’une d’elles consistait à faire écouter des cris aux participants pendant qu’ils subissaient une imagerie par résonance magnétique fonctionnelle, également appelée IRMf.
Les scans ont ainsi montré que les cerveaux réagissaient plus rapidement et plus précisément aux cris « non alarmants », dits positifs, qu’à des cris alarmants.
Pour l’auteur de l’étude, ce résultat peut être lié au fait que les humains doivent faire face à des situations et des signaux sociaux plus complexes que les chimpanzés et autres primates.
Ils sont aussi plus susceptibles d’entendre des expressions de plaisir, de joie et de surprise que des expressions de peur dans leur vie familiale et leurs cercles sociaux.
Ils réagissent donc plus vite à ces signaux.
Terrible constat, n’est-ce pas…
Et le cri de « la femme qui jouit », c’est quoi au juste ?
Alarmant (il faut réanimer après) ou non alarmant… même si l’apnée se prolonge à l’en faire devenir toute bleue ?
On ne saura pas cette fois-ci.
2 –
Justement, à propos d’orgasme féminin (un vaste sujet du plus haut intérêt… au
moins en ce qui concerne mon « unique-neurone » en fonction, celui du
nerf honteux), j’ai découvert l’arme secrète du « crime parfait » par
inadvertance.
Figurez-vous que le partenaire d’une dame,
bien sous tous rapports, lui gonfle le ventre comme un ballon lors d’un rapport
sexuel !
Des pratiques sexuelles en apparence anodines peuvent donc s’avérer bien
plus dangereuses que prévu !
On savait déjà, et je vous l’avais rapporté jusqu’ici, qu’un homme s’était provoqué une hémorragie cérébrale en se masturbant.
Cette fois-ci, un article du Journal of the Society of Laparoscopic & Robotic Surgeons raconte comment un homme a failli tuer sa compagne lors d’un cunnilingus : En insufflant de l’air dans sa cavité abdominale.
Rien de moins !
Tu souffles dedans et c’est mortel…
Le cas remonte à l’année 2000. Une jeune femme de 24 ans se présente aux
urgences pour de sévères douleurs abdominales et thoraciques.
Elle décrit une douleur très aiguë et continue, d’abord localisée en bas à droite du ventre, puis remontant et se propageant dans tout le ventre et s’aggravant au moindre mouvement.
Les examens de routine ne détectent aucune fièvre et les paramètres vitaux (pouls, température, tension…) sont normaux.
Il s’agit en fait de la troisième fois que la jeune femme connaît ce genre de douleur intense. Deux précédents événements six et douze mois auparavant l’avaient déjà conduite aux urgences pour les mêmes raisons et avaient alors détecté un pneumopéritoine.
Le pneumopéritoine est une grave pathologie où la cavité de l’abdomen
(cavité péritonéale) se remplit d’air.
L’air s’accumule entre le foie et la paroi abdominale, et peut remonter sous les coupoles diaphragmatiques.
Dans 90 % des cas, le pneumopéritoine fait suite à une fuite d’air (tel un pneu crevé) lors d’une intervention chirurgicale (ponction péritonéale, endoscopie, biopsie, effraction de la paroi abdominale…).
Il peut aussi résulter d’une perforation du tube digestif suite à un ulcère ou l’insertion d'un corps étranger.
Environ 10 % des pneumopéritoines demeurent cependant de « cause inconnue » dans les dictionnaires médicaux.
En interrogeant la patiente, les médecins s’aperçoivent que les épisodes
de pneumopéritoine surviennent à chaque fois après des rapports sexuels oraux,
au cours desquels son partenaire a pratiqué un cunnilingus en insufflant de l’air
dans son vagin, « gonflant » ainsi son abdomen comme un ballon de baudruche.
Malin le bonhomme…
Lors de ces rapports sexuels, « de grandes quantités de gaz peuvent être insufflées sous pression dans le vagin. Le gaz peut se frayer un chemin à travers l’utérus et, après avoir dilaté les tubes, entraîner un pneumopéritoine », décrivent les médecins.
Le gaz se résorbe généralement en quelques jours (jusqu’à une semaine)
lorsqu’il n’y a pas de perforation de la paroi intestinale. Cependant, « l’inhalation
oro-vaginale est particulièrement dangereuse, notamment pendant la grossesse,
car de grandes quantités de gaz peuvent facilement pénétrer dans les veines
utérines et provoquer une embolie gazeuse mortelle », mettent en garde les
auteurs du rapport médical.
Or, les cas de pneumopéritoine liés au sexe oral sont loin d’être exceptionnels. Un article de 2013 de l’International Journal of Surgery Case Reports indique que 19 cas de pneumopéritoine liés à un rapport oro-génital ont été recensés dans la littérature scientifique.
Mais ce chiffre est sans doute largement sous-estimé, car de nombreuses patientes ne se rendent pas à l’hôpital ou parce que les douleurs sont de durée limitée, estiment les auteurs de l’étude de 2000.
De plus, le risque de pneumopéritoine, le cunnilingus présente des risques d’infection en cas de mauvaise hygiène, ainsi qu’un mode de transmission pour d’autres maladies sexuellement transmissibles (hépatite B, hépatite C, syphilis, gonorrhée, herpès…).
En tout cas, cette patiente-là aurait comme intérêt à se méfier quant à
ses pratiques sexuelles…
Un peu plus, elle « clamsait » sans pouvoir être réanimée après un puissant orgasme qui l’aura fait monter au 7ème ciel, peut-on supposer.
L’arme du crime parfait…
C’est d’ailleurs le thème d’une « Histoire d’en rire » restées
célèbre :
Un petit garçon surprend sa mère, dans la chambre à coucher, dans la position d’Andromaque.
Le lendemain, il lui demande pourquoi elle était assise sur papa.
Et la dame, gênée de répondre : « C’est pour lui dégonfler le ventre. »
Alors le gamin lui répond : « Ça ne sert à rien. La femme de ménage le lui regonfle quand tu n’es pas là ! »
3 – Toujours
à propos de nos « dames-adorées » des toubibs ont signalé un cas
extrêmement rare « d’auto-brasserie urinaire ».
Si !
Cette pathologie, que les chercheurs proposent d’appeler « syndrome de fermentation vésicale » ou « d’auto-brasserie urinaire » est extrêmement rare. Elle est similaire au syndrome d’auto-brasserie, lors duquel le simple fait d’ingérer des glucides peut suffire à vous rendre ivre, même sans consommer d’alcool.
Ce n’est hélas pas à moâ que ça arriverait…
Mon foie métabolise tout, même les pierres.
Des médecins ont pris connaissance du cas d’une patiente de 61 ans qui
présentait des lésions hépatiques et un diabète mal contrôlé. La dame s’est
rendue à l'hôpital presbytérien du centre médical de l’université de
Pittsburgh, en Pennsylvanie, pour être placée sur une liste d’attente de
transplantation du foie.
Les médecins avaient auparavant soupçonné que ses problèmes provenaient d’une dépendance à l’alcool, car ses analyses d’urine répétées se sont révélées systématiquement positives. « Au départ, notre conclusion était la même : cette patiente est diabétique. C’est ce qui a conduit nos cliniciens à penser qu’elle cachait un trouble de la consommation d’alcool », expliquent les médecins dans un rapport publié en février 2020.
« Cependant », poursuivent-ils, « nous avons remarqué
que les résultats des tests plasmatiques pour l’éthanol et les résultats des
tests urinaires pour l’éthyl-glucuronide et l’éthyl-sulfate, qui sont les
métabolites de l’éthanol, étaient négatifs, alors que les résultats des tests
urinaires pour l’éthanol étaient positifs. »
Grand mystère…
En plus de nier systématiquement avoir consommé de l’alcool, la patiente ne semblait pas présenter de signes d’intoxication lors de ses visites à la clinique, même si son urine présentait des taux élevés d’éthanol.
Un autre mystère résidait dans la présence de grandes quantités de glucose
dans son urine – une maladie appelée hyperglycosurie – avec des niveaux
abondants de levure bourgeonnante observée dans les échantillons d’urine.
« Ces résultats nous ont amenés à vérifier si les levures colonisant la vessie pouvaient fermenter le sucre pour produire de l’éthanol », ont écrit les chercheurs.
En effectuant des tests sur son urine, l’équipe a confirmé des niveaux remarquablement élevés de production d’éthanol, suggérant que les résultats étranges étaient dus à une levure fermentant le sucre dans la vessie.
La levure en question a été identifiée comme étant la « Candida glabrata », naturellement présente dans l’organisme et s’apparentant à la levure de bière, mais qu’on ne trouve normalement pas en aussi grande quantité dans la vessie.
Malheureusement, les efforts pour éliminer la levure avec des traitements
antifongiques ont échoué, peut-être en raison du diabète mal contrôlé de la
patiente.
À la lumière de la situation apparemment unique de cette femme, les médecins notent qu’elle a été reconsidérée pour une transplantation du foie, bien que leur rapport ne précise pas ce qu’il est advenu d’elle.
C’est dommage, parce que distiller du sucre à travers sa vessie, c’est un talent qui n’est pas donné à tout le monde !
En étudiant ce cas particulier, les médecins ont pris connaissance d’autres rapports faisant état d’une production similaire d’éthanol dans l’urine, mais uniquement dans un cas post-mortem et dans le cadre d’expériences in vitro. Cela dit, il est possible que d’autres patients aient déjà présenté cette pathologie rare, mais que les symptômes n’aient pas été reconnus, en raison de la nature inhabituelle et largement inconnue de la pathologie.
Entre cette dame qui pisse de la bière, l’autre qui se fait souffler dans
le vagin, personne ne nous a dit si celles-ci criaient, sous l’éventuelle
douleur, des cris « alarmants » ou non alarmants…
Comme quoi, la « science en marche » reste à avoir des lacunes !
Bonne fin de journée à toutes et à tous : Bientôt la journée de la
libération…
I3
Et la réponse pourrait vous surprendre…
Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, nous détectons et déchiffrons plus rapidement ces derniers que les cris alarmants, d'après une étude publiée dans la revue scientifique PLOS Biology.
« Les chercheurs supposent généralement que le système cognitif des primates et des humains est spécifiquement réglé pour détecter les signaux de danger et de menace dans l’environnement, comme un mécanisme de survie ».
Mais ce n'est pas totalement exact, rapporte CNN.
D’excellentes comédiennes…
Cependant, chez les humains, « la communication par le cri semble s’être largement diversifiée », ce qui représente « une étape évolutive majeure » selon un professeur de psychologie de l’Université d’Oslo.
« Les humains partagent avec d’autres espèces la possibilité de signaler un danger en criant, mais il semble que seuls les humains crient pour signaler également des émotions positives », poursuit ledit scientifique.
L’une d’elles consistait à faire écouter des cris aux participants pendant qu’ils subissaient une imagerie par résonance magnétique fonctionnelle, également appelée IRMf.
Les scans ont ainsi montré que les cerveaux réagissaient plus rapidement et plus précisément aux cris « non alarmants », dits positifs, qu’à des cris alarmants.
Pour l’auteur de l’étude, ce résultat peut être lié au fait que les humains doivent faire face à des situations et des signaux sociaux plus complexes que les chimpanzés et autres primates.
Ils sont aussi plus susceptibles d’entendre des expressions de plaisir, de joie et de surprise que des expressions de peur dans leur vie familiale et leurs cercles sociaux.
Ils réagissent donc plus vite à ces signaux.
Et le cri de « la femme qui jouit », c’est quoi au juste ?
Alarmant (il faut réanimer après) ou non alarmant… même si l’apnée se prolonge à l’en faire devenir toute bleue ?
On ne saura pas cette fois-ci.
On savait déjà, et je vous l’avais rapporté jusqu’ici, qu’un homme s’était provoqué une hémorragie cérébrale en se masturbant.
Cette fois-ci, un article du Journal of the Society of Laparoscopic & Robotic Surgeons raconte comment un homme a failli tuer sa compagne lors d’un cunnilingus : En insufflant de l’air dans sa cavité abdominale.
Rien de moins !
Tu souffles dedans et c’est mortel…
Elle décrit une douleur très aiguë et continue, d’abord localisée en bas à droite du ventre, puis remontant et se propageant dans tout le ventre et s’aggravant au moindre mouvement.
Les examens de routine ne détectent aucune fièvre et les paramètres vitaux (pouls, température, tension…) sont normaux.
Il s’agit en fait de la troisième fois que la jeune femme connaît ce genre de douleur intense. Deux précédents événements six et douze mois auparavant l’avaient déjà conduite aux urgences pour les mêmes raisons et avaient alors détecté un pneumopéritoine.
L’air s’accumule entre le foie et la paroi abdominale, et peut remonter sous les coupoles diaphragmatiques.
Dans 90 % des cas, le pneumopéritoine fait suite à une fuite d’air (tel un pneu crevé) lors d’une intervention chirurgicale (ponction péritonéale, endoscopie, biopsie, effraction de la paroi abdominale…).
Il peut aussi résulter d’une perforation du tube digestif suite à un ulcère ou l’insertion d'un corps étranger.
Environ 10 % des pneumopéritoines demeurent cependant de « cause inconnue » dans les dictionnaires médicaux.
Malin le bonhomme…
Lors de ces rapports sexuels, « de grandes quantités de gaz peuvent être insufflées sous pression dans le vagin. Le gaz peut se frayer un chemin à travers l’utérus et, après avoir dilaté les tubes, entraîner un pneumopéritoine », décrivent les médecins.
Or, les cas de pneumopéritoine liés au sexe oral sont loin d’être exceptionnels. Un article de 2013 de l’International Journal of Surgery Case Reports indique que 19 cas de pneumopéritoine liés à un rapport oro-génital ont été recensés dans la littérature scientifique.
Mais ce chiffre est sans doute largement sous-estimé, car de nombreuses patientes ne se rendent pas à l’hôpital ou parce que les douleurs sont de durée limitée, estiment les auteurs de l’étude de 2000.
De plus, le risque de pneumopéritoine, le cunnilingus présente des risques d’infection en cas de mauvaise hygiène, ainsi qu’un mode de transmission pour d’autres maladies sexuellement transmissibles (hépatite B, hépatite C, syphilis, gonorrhée, herpès…).
Un peu plus, elle « clamsait » sans pouvoir être réanimée après un puissant orgasme qui l’aura fait monter au 7ème ciel, peut-on supposer.
L’arme du crime parfait…
Un petit garçon surprend sa mère, dans la chambre à coucher, dans la position d’Andromaque.
Le lendemain, il lui demande pourquoi elle était assise sur papa.
Et la dame, gênée de répondre : « C’est pour lui dégonfler le ventre. »
Alors le gamin lui répond : « Ça ne sert à rien. La femme de ménage le lui regonfle quand tu n’es pas là ! »
Cette pathologie, que les chercheurs proposent d’appeler « syndrome de fermentation vésicale » ou « d’auto-brasserie urinaire » est extrêmement rare. Elle est similaire au syndrome d’auto-brasserie, lors duquel le simple fait d’ingérer des glucides peut suffire à vous rendre ivre, même sans consommer d’alcool.
Ce n’est hélas pas à moâ que ça arriverait…
Mon foie métabolise tout, même les pierres.
Les médecins avaient auparavant soupçonné que ses problèmes provenaient d’une dépendance à l’alcool, car ses analyses d’urine répétées se sont révélées systématiquement positives. « Au départ, notre conclusion était la même : cette patiente est diabétique. C’est ce qui a conduit nos cliniciens à penser qu’elle cachait un trouble de la consommation d’alcool », expliquent les médecins dans un rapport publié en février 2020.
Grand mystère…
En plus de nier systématiquement avoir consommé de l’alcool, la patiente ne semblait pas présenter de signes d’intoxication lors de ses visites à la clinique, même si son urine présentait des taux élevés d’éthanol.
« Ces résultats nous ont amenés à vérifier si les levures colonisant la vessie pouvaient fermenter le sucre pour produire de l’éthanol », ont écrit les chercheurs.
En effectuant des tests sur son urine, l’équipe a confirmé des niveaux remarquablement élevés de production d’éthanol, suggérant que les résultats étranges étaient dus à une levure fermentant le sucre dans la vessie.
La levure en question a été identifiée comme étant la « Candida glabrata », naturellement présente dans l’organisme et s’apparentant à la levure de bière, mais qu’on ne trouve normalement pas en aussi grande quantité dans la vessie.
À la lumière de la situation apparemment unique de cette femme, les médecins notent qu’elle a été reconsidérée pour une transplantation du foie, bien que leur rapport ne précise pas ce qu’il est advenu d’elle.
C’est dommage, parce que distiller du sucre à travers sa vessie, c’est un talent qui n’est pas donné à tout le monde !
En étudiant ce cas particulier, les médecins ont pris connaissance d’autres rapports faisant état d’une production similaire d’éthanol dans l’urine, mais uniquement dans un cas post-mortem et dans le cadre d’expériences in vitro. Cela dit, il est possible que d’autres patients aient déjà présenté cette pathologie rare, mais que les symptômes n’aient pas été reconnus, en raison de la nature inhabituelle et largement inconnue de la pathologie.
Comme quoi, la « science en marche » reste à avoir des lacunes !
A propos de cri alarmant, vous aurez noté que personne - pas même moâ - aura relevé le cri du "kon-tribuable", les jours de paye et celui qui pousse au désespoir irrépressible et annuel quand il reçoit son avis d'imposition.
RépondreSupprimerC'est "hors champ" des études scientifiques, même les mieux faites !
Curieux, non ?
I-Cube