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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 2 avril 2021

Spécial « vendredi-saint »

Ce n’est pas pour se moquer,
Mais juste pour mieux en rire…
 
Alors qu’on commémore le martyr du Christ, par malchance, cette année on se fera également des « poissons d’avril » !
Ces blagues idiotes telles que on a pu faire croire aux foules ébahies des âneries invraisemblables :
L’année dernière, « Jupiter » nous aura fait croire qu’on ne sortirait pas du confinement généralisé…
Et ce n’était pas une blague.
C’est vous dire le sens de l’humour du bonhomme…
 
Vous me direz que la BBC aura fait un reportage, en 1957, sur ces paysans du canton de Tessin qui cultivaient les arbres à spaghettis dont on montrait alors la cueillette à la télé.
Les mêmes avaient également fait, bien plus tard, un reportage sur les « manchots-volants » en essaim des plus crédibles.
En 1986, on annonçait le déménagement de la tour Eiffel dans le futur parc Disneyland pour y construire un stade de 35.000 places à la place en vue des Jeux olympiques de 1992 !
Tollé général des crédules…
Le 1er avril 1992, il est annoncé par Richard Nixon, ex-président des États-Unis, qu’il sera candidat à la prochaine élection présidentielle.
Dix-huit ans après le scandale du Watergate, il avait même choisi pour slogan : « Je n’ai rien fait de mal, je ne recommencerai pas une nouvelle fois ! »
L’année suivante, « The Independent » annonce que des archéologues ont découvert les vestiges du vrai village d'Astérix en côte d’Armor (qui ne s’appelait pas comme ça à ce moment-là).
En 1998, Burger King publie une pleine page de publicité pour promouvoir un hamburger pour gauchers dans le quotidien USA Today. Spécialement conçu pour les 32 millions d'Américains plus habiles de la main gauche !
C’était le même que pour les droitiers, mais tourné de 180°…
Le premier avril 2008, le sélectionneur des « bleus » de l’époque, Raymond Domenech, déclarait forfait à l’Euro de l’année.
En 2009, des journalistes de Gauloisie-3 Poitou-Charentes expliquent très doctement que les éoliennes seraient responsables d’un ralentissement de la rotation de la Terre.
Ce jour, je vous laisse donc faire le tri entre vraie information (on paye les gens même s’ils restent confinés chez eux au lieu d’aller bosser) et canular.
On fera le tri une prochaine fois : Soyez attentifs.
 
Personnellement, je me tourne vers le monde de la religion – parce que je les aime bien – et vous reprendre quelques « perles » historiques, pas pour se moquer, mais pour mieux en rire :
 
Un curé fait passer un examen aux futurs premiers-communiants.
Il s’adresse à un des enfants présents :
« – Qu’a dit le Seigneur en instituant le sacrement du baptême ?
– Il a dit : "Je te baptise au nom du Père du Fils et du Saint-Esprit" !
– Très bien ! Et toi » demande-t-il à un second enfant, « qu’a t’il dit pour l’Eucharistie ?
– Il a dit : "Prenez et mangez, ceci est mon corps, ceci est mon sang" », répond le second enfant.
« – Parfait ! Et toi », demande-t-il à un troisième enfant, « qu’a dit le Seigneur en instituant le sacrement du mariage ?
– Heu… Heu… Ah oui ! C’est quand il a dit : "Mon Dieu, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font" ! »
 
« – Bonjour M. le curé, je me pose une question : qu’est-ce qu’elle faisait comme métier, la Vierge Marie ?
– Elle était mère de famille, mon petit Jean-Marc.
– Alors pourquoi a-t-elle mis Jésus à la crèche, comme moi ? »
 
Deux prêtres catholiques discutent en marchant dans un jardin.
« Crois-tu que nous verrons un jour le mariage des prêtres ? » demande l’un.
Et l’autre de lui répondre :
« Nous non, mais nos enfants, sûrement ! »
 
Le pape se fait inviter par ses proches pour faire un sauna.
Après quelques réflexions il accepte.
Surpris par sa nouvelle forme, il en redemande le jour suivant et ainsi de suite.
Le vendredi matin un cardinal lui dit :
« – Saint-père, aujourd'hui vous ne pouvez par nous accompagner car c’est sauna mixte !
– Comment ? » s’exclame le Saint-père. « Vous faites le sauna avec les protestants ? »
 
Un curé de campagne rencontre une de ses paroissiennes qu’il ne voit jamais à l’église.
Comme il s’en étonne, la dame lui déclare :
« – Oh je suis croyante, monsieur le Curé, mais je ne pratique pas."
– Oh, je comprends. C'est comme moi : je suis nudiste, mais je ne pratique pas. »
 
Le bébé vient d’être baptisé.
Le curé s’approche de la maman :
« Félicitations ! C’est la première fois que je baptise un enfant qui n’a ni pleuré ni crié. »
Elle lui répond :
« – C’est que nous l’entraînons depuis huit jours chez nous.
– Mais comment ? » interroge le curé.
– Avec un arrosoir ! »
 
Un curé de paroisse avait fait changer la sono de l’église.
Le dimanche matin, la mise au point n’étant pas encore complétée, le curé s’est vu dans l’obligation d’avertir ses paroissiens :
« – J’ai des problèmes avec mon micro.
– Et avec votre esprit ! » ont-ils répondu en chœur.
 
Jean-Marc fait une révélation surprenante à Jean-Paul, en plein confinement chacun devant une bière.
« – Tu ne le sais pas, mais en réalité les Beatles s’étaient convertis catholiques.
– Ah bon ? Et comment sais-tu ça ?
  Bé oui ! D’abord, ils ont été anoblis pas la reine et depuis on les appelle « sœurs ».
Et le chef du groupe s’appelait « John les Nones ». »
 
La catéchiste demande aux enfants combien il y a de sacrements.
Une petite fille se lève et dit :
« – Il n’y en a plus.
– Et pourquoi donc ?
– Parce que ma grand-mère a reçu le dernier… »
 
Le Président de General Motors est reçu par le Pape, en compagnie d’un de ses vice-présidents.
Il demande : « Très Saint-Père, seriez-vous disposé à introduire le nom d’une de nos marques, Chevrolet ou Chrysler par exemple, dans le Notre-Père, moyennant un don très généreux de notre société à vos œuvres ? »
Le Pape, outré, conclut l’audience plus que fraîchement et fait reconduire ses visiteurs.
Arrivé sur le parvis de la place Saint-Pierre, le président de GM se retourne vers son vice-président et lui dit : « Vous tâcherez quand même de savoir ce que ça a coûté aux patrons de Fiat cette pub dans toutes les messes du monde entier ! »
(« Fiat volontas tua », bien sûr !)
 
La petite fille regarde avec beaucoup de tendresse la statue de la Vierge Marie…
Un prêtre s’approche d’elle et lui demande :
« – Qu’aimerais-tu être, plus tard ?
– Je voudrais être une vierge !
– Et pourquoi cela ?
– Ben, pour avoir un enfant, moi-aussi ! »
 
Un curé croise une de ses ouailles dans la rue :
« – Et comment se fait-il que je ne vous voie plus jamais à l’église ?
– C’est qu’il y a bien trop d’hypocrites qui vont à la messe.
– Oh… Eh bien si c’est ça, ne t’en fais pas : Il y aura toujours de la place pour un de plus ! »
 
La scène se passe dans un zoo, un petit monsieur tout en noir avec un chapeau regarde un gardien qui hurle des jurons après un petit singe perché sur un arbre et qui ne veut pas rentrer dans son abri.
Le petit homme s’approche du gardien et lui dit : « Laissez-moi faire. »
Il fait un grand signe de croix et le singe épouvanté descend du perchoir et court se réfugier dans son abri.
Le gardien est époustouflé, il va vers le petit homme et lui demande :
« – Comment avez-vous fait ?
– Oh, rien de plus simple, je suis prêtre et vous savez il ne faut jamais dire de jurons en présence d’un homme d’église…
– Ah je vois… Vous l’avez exorcisé ?
– Non, je lui ai simplement dit : si tu ne descends pas tout de suite (geste de haut en bas) on va couper l’arbre (geste de gauche à droite…) »
 
Un homme se présente à l’entrée du Paradis.
Derrière chaque guichet, un saint, qui examine les mérites des arrivants.
Notre homme se présente au guichet le plus proche et s’entend demander :
« – Avez-vous commis, dans votre vie, une action que vous jugez vraiment impardonnable ?
– Oui », dit l’arrivant. « J’étais arbitre de football, c’était la finale de la coupe de France, j’ai accepté un pot-de-vin, j’ai sifflé un penalty indu pour Saint-Etienne, qui a gagné la coupe grâce à cette tricherie.
– Passez en vitesse ! », répond le saint.
« – Quoi, pas un seul jour de purgatoire pour un péché qui m’a tourmenté toute ma vie ?
– Ne vous en faites pas, je suis Saint Etienne. »
 
Les jésuites et les dominicains ont la réputation de ne pas faire bon ménage, les seconds accusant les premiers d’esprit tortueux.
Un jour, un jésuite débarque à Rome et aborde un dominicain pour lui demander le chemin de la basilique Saint-Pierre
« Mon Père », dit le dominicain, « vous ne trouverez jamais : c’est tout droit. »
 
Quatre moines (catholiques) sont réunis dans une pièce. La théologie va bon train.
Soudain, panne d’électricité…
Le Franciscain s’agenouille et demande « la Lumière » au Seigneur.
Le Bénédictin récite son bréviaire qu’il connaît par cœur, persuadé que le Seigneur lui fera grâce.
Le Dominicain se lance sur une rhétorique de la Lumière et de l’Obscurité de ce monde.
La lumière revient… mais où est le Jésuite ?
Lui aussi revient…
Il était allé changer les plombs…
 
C'est une brave femme de ménage bretonne qui débarque un jour à Saint-Flour comme gouvernante de l’évêque.
Seulement, la pauvre ne sait pas trop bien où elle va et est un peu perdue dans la cité auvergnate…
Elle a beau chercher partout dans la ville, elle ne trouve pas l’évêché.
Elle se décide à entrer dans un café, elle y commande un verre d’eau et, prenant son courage à deux mains, demande d’une voix timide :
« – Excusez-moi, Monsieur, l’évêché, c’est par où, s’il vous plait ?
– Les Véchés ? Au sous-sol à droite, ma p’tite dame ! »
 
Un évêque, de retour de voyage par le train, arrive en gare chargé d’une énorme valise qu’il avait bien du mal à soulever.
Descendant sur le quai encombré de ce volumineux bagage, il tombe nez à nez avec un porteur qui le reconnaît aussitôt et lui dit :
« Ne bougez pas, Monseigneur, je vais chercher le diable ! »
 
Le père du Cardinal Lustiger se présente au Paradis.
Quand il arrive, le Seigneur l’accueille avec joie devant son trône.
Mais le voilà qui se jette aux pieds de Dieu en sanglotant :
« – Seigneur, tu sais que toute ma vie j’ai vécu comme un bon Juif.
J’ai respecté la Torah, je l’ai enseignée à mes enfants, j’ai conduit mes affaires honnêtement…
Mais il y a une chose qui m’accable et qui est plantée comme une épine dans ma chair… 
– Quoi donc, mon enfant ?
– Mon fils ! Il est devenu chrétien ! »
Alors Dieu, plein de miséricorde et de compassion, pose sa main sur son épaule et lui dit :
« Je sais… Le mien aussi… »
 
Rappelez-vous qu’après le Concile Vatican II, un curé de paroisse veut expliquer à ses paroissiens qu’ils peuvent communier en recevant l’hostie sur la langue ou dans les mains.
Et ça donne :
« Pour la communion, vous avez deux possibilités : à genoux sur la langue ou debout sur les mains ! »
Je sais, elle est kon !
 
Bonne fin de semaine (sainte) à toutes et à tous !
Pas de contrepèterie aujourd’hui : Je mange « maigre » (sans viande), et il faut donc ménager mon neurone faute de carburant !
 
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