Vers la fin de l’expérimentation

 Le documentaire « Hold-up »…
 
J’avais commencé son visionnage il y a quelques jours. Mais il est long et je m’étais promis d’y revenir quand j’aurai un peu plus de temps à y consacrer.
Patatras, mon lien, gardé religieusement, renvoyait vers une « erreur-fatale » 404 !
La censure avait encore frappé…
Et puis alors, pour retrouver une autre source « fiable », j’ai ramé : Tous les liens sur les moteurs de recherche renvoient à des commentaires plus ou moins acerbes et pour le moins très critiques de personnes qui auraient soi-disant vu l’intégralité.
2 heures 40’, il y en a qui ont du temps à perdre…
 
Comme j’en ai récemment eu (du temps à perdre), j’ai fini par retrouver un lien qui me semble pérenne (au moins encore quelques temps), sur un site que je qualifierai de « pseudo-complotiste » : Eux, ils en voient partout (ou presque) et s’insurgent tous les jours sur des thématiques, disons… « populistes ».
Je vous le livre pour vos prochaines soirées de confinement :
https://lalettrepatriote.com/depuis-24-heures-ce-documentaire-est-devenu-le-sujet-de-toutes-les-conversations/
Et j’ai « visionné » en « temps masqué », écoutant d’une oreille et m’activant par ailleurs (à mes « urgences »).
Pour vous faire partager mes impressions.
 
Finalement, c’est largement trop long, mais c’est « bien fait » : Un reportage à la « Cash-investigation » de la « môme-Maryse-Lucet ».
Je te prends des faits, je laisse autrui les commenter – avec parfois des auteurs prestigieux (« @Dactllys », « Douste-blabla-zy », quelques prix Nobel, des toubibs dont l’inimitable « Rat-Out », des chercheurs, des lanceurs d’alerte, des philosophes, des psy, des sociologues, une sage-femme qui en pleure sur la fin, et des… chauffeurs de taxi) – je te sors la plupart du temps leurs propos de leur contexte et j’agence le tout de façon à ce que vous fassiez les liens de vous-mêmes entre les diverses assertions et surtout « opinions » émises par tous ces personnages « superlatifs », de façon à ce que vous adhériez de vous-même à la thèse centrale.
C’est bien monté et documenté par des faits, dires et réalités que tout le monde connaît.
 
On commence comme ça sur le cafouillage autour des masques, puis celui qui aura tué l’hydro-Chloroquine au profit du « Rem-diviz » pour avancer tranquillement sur les délires du confinement généralisé en passant par les « conflits d’intérêt » en pagaille des « préférés des médias » qui sont venus « verrouiller » l’information au fil du temps, puis on poursuite sur la course au vaccin et ses enjeux financier, sur l’origine du virus (de souche Pasteurienne manipulée à Wuhan et de fait probablement « artificielle » : Un virus qui franchit la barrière des espèces pour ensuite se propager d’homme à homme, ce n’est forcément « pas naturel ») afin de terminer, par petites touches successives et intelligemment dissociées, vers le « projet 201 » (qui n’est jamais qu’une simulation) et le « Grand reset » et ses parrains qu’on croise à plusieurs reprises tout au long du film.
Vraiment « bien fait », il n’y a pas à dire : Le producteur est un « vrai pro » talentueux !
Bravo.
Sauf que…
 
Si l’ambition était noble, à vouloir apporter à tout prix la contradiction aux thèses les plus propagées par les grands médias, le documentaire se fourvoie forcément dans le complotisme.
Je ne nie pas l’existence de « comploteurs » divers et variés qui agissent chacun selon leur agenda propre (le transhumanisme et la vie éternelle pour quelques GAFAM, etc…) et leurs technologies destinées à se séparer des « inutiles » (l’extrait du cours d’un prof à l’X est stimulant pour le neurone et en fait même pleurer la « sage-femme » alors que c’est un contenu archi-connu où l’intervenant met surtout l’accent, dans son cours, sur le nécessaire éthique de ses étudiants…) dirigés de fait par une élite (l’X), les « happy-few ».
Par exemple, lui comme d’autres reprochent à Bill Gates de vouloir vacciner l’humanité entière pour la protéger des virus et bactéries (alors que l’humanité vit depuis bien avant son apparition avec virus & bactéries en tout genre) en commençant par les plus pôvres, en Afrique, et les plus blacks aux USA…
Mais se cacherait derrière ce plan « généreux et altruiste » l’ambition de disposer de cobayes pour tous les essais infructueux de mise au point de vaccins et médicaments…
Il y aurait ainsi 400.000 victimes prêtes à déposer plainte pour avoir été victime de ces « essais-thérapeutiques » et de leurs effets néfastes et désastreux sur leur santé…
Passons.
 
Oui, le cafouillage a été total sur les masques. Sauf que nous, avec notre bon sens à la kon et rase-bitume, on avait compris avant tout le monde que s’il était interdit aux pharmacies d’en délivrer, c’était parce que la « ligne de front » (les soignants) n’en avait pas en quantité suffisante.
 
Oui, le confinement total est un moyen archaïque et très discutable de répondre à une pandémie. Et si, comme le souligne Michael Levitt, prix Nobel de Chimie, on peut pardonner un premier confinement, persévérer dans cette stratégie aux effets néfastes multiples parfois mortels, est diabolique.
Mais nous, nous avions compris, sous notre béret et avec notre vue-basse, qu’il fallait préserver le système de soins intensifs menacé d’être débordé dès la première vague, faute de moyens en adéquation.
Alors nous n’avons pas mis de masque et nous sommes restés chez nous douillettement (et moâ je me pose la question de savoir s’il y aura une explosion des naissances vers la mi-décembre – à défaut de prescription de contraceptif puisque plus personne n’allait chez son toubib de peur d’être infecté – ou si au contraire il y aura un effondrement de celles-ci, la faute aux gestes barrière : On n’est pas très nombreux à pouvoir faire un gosse à un mètre de distance…).
 
Oui, l’arrêt autoritaire des essais de la nivaquine améliorée du Pr « Rat-out » est incompréhensible : Non seulement, cela fait plusieurs décennies qu’on utilise la molécule sans accident grave partout dans le monde sur des milliards de patients, mais même les chinois en font la promotion chez eux !
Naturellement, si « Riton-Chiotti » affirme qu’il a été guéri avec ça, il ne raconte que des konneries : C’est juste l’effet du hasard… comme de bien entendu !
Probablement comme tous les patients de IHU de Marseille.
Re-passons…
 
Non, le gouvernement n’est pas assoiffé d’autoritarisme comme on l’entend dans le documentaire : Il n’en a pas besoin (revenez-donc aux fondamentaux révélés par l’expérience de Milgram et le jeu de la mort : Faites-gaffe, moâ je pleure à chaque fois quand je regarde ça…).
Il est, comme le reste de la population, pétri de moraline, et pour la justifier il fait peur, se fait peur, car rien de plus contagieux que cette émotion primitive.
Et comme le rappelle un des intervenants dans le documentaire, « à partir du moment où vous faites croire à quelqu’un qu’il est en danger de mort vous en faites ce que vous voulez ».
En clair, plus la mort parait imminente et plus on arrive à un consensus politique sur la nécessité d’agir vite et fort, et cette propension repose sur un mécanisme non rationnel, instinctif, bien naturellement : Nous ne sommes que des bêtes de chair et d’os… avant d’avoir reçu de l’esprit.
 
Et c’est là le point clé qui est ressassé dans le documentaire : Gouverner par la peur, c’est faire avaler n’importe quelle couleuvre à n’importe qui.
Faire prendre des vessies pour des lanternes, un sport où les « politiques » sont tous des champions !
Une observation dont je vous rabats l’existence sur ce blog depuis des années : Peur de la faillite, peur du terrorisme, peur de la violence routière, peur de « peste-blonde », peur des musulmans, peur de l’inconnu, peur pour vos gamins, pour vos seniors, peur pour le climat, peur de la pollution, du veau aux hormones, du nuage de Tchernobyl, de la guerre froide et de sa promesse d’holocauste nucléaire, peur du Rond-up, des nanoparticules de plastique, bref, peur du déclassement et in fine peur de la mort !
Ça fait des années et des années qu’on nous fait vivre de « peur en peur » : Rien de nouveau sous le soleil !
 
Mais sait-on que la pandémie la plus contagieuse aujourd’hui dans le monde, ce n’est pas celle du « Conard-virus » avec ses 0,003 à 0,005 % de décès et un coefficient « R₀ » inférieur à 1 : C’est le virus de la rougeole qui est actuellement en pleine recrudescence : Elle n’a fait qu’un peu plus de 200.000 morts en 2019, une hausse de 50 % en trois ans, encore assez loin du million dépassé de « covidés » et des hécatombes que provoque les cancers et les maladies-cardiovasculaires !
Et l’Europe est particulièrement touchée par la rougeole, en raison notamment du mouvement antivaccins.
On estime qu’un malade de la rougeole peut contaminer jusqu’à 20 personnes…
Elle se transmet par la toux, les éternuements et les sécrétions nasales, et affecte particulièrement les enfants de moins de cinq ans, mais aussi les adultes non vaccinés, chez qui elle peut prendre des formes graves.
Chez les plus de 15 ans, dans un cas sur deux de rougeole, une hospitalisation est nécessaire. Pourtant le vaccin est sûr et remboursé à 100 % par l’Assurance maladie pour les moins de 17 ans.
 
Dans un des reportages que j’ai regardé en cherchant LE lien ci-dessus, un intervenant demande à son auteur quel était son objectif en « produisant » ce documentaire. Le mek part dans une explication que je qualifierai de « chercheur » : Il cherche des réponses à des questionnements restés en suspens.
Bien.
Mais en fait il ne fait que dénoncer « les élites » du « Big-Reset » qui se cacheraient derrière le « Conard-virus ».
Il n’a rien compris…
Le « Conard-virus » était prévu, nous assure-t-il dans son reportage.
 
Non : Il était seulement probable que ça nous vous tombe sur le râble depuis quelques années ! Toutes les agences de renseignements (et la plupart des autorités) avaient envisagé ce type « d’accident » sanitaire.
Curieusement, sans en préparer les vaccins ou les mesures de prévention ou de traitement : La preuve, tout le monde aura été surpris et la seule solution à appliquer en urgence était le confinement généralisé !
Une décision catastrophique au plan social et économique (et fiscal 😉…)
Du coup, je pense qu’il ne s’agit là que d’une vaste « répétition » pour un « grand-soir » futur : Maintenant on sait qu’en cas de « guerre bactériologique », on peut sauver la situation en gardant l’essentiel !
Les « 3BF » (Bouffer, Boire, Baiser, Fumer), assurer les services d’urgence (soigner, ramasser les ordures, maintenir l’ordre public pour assurer l’application des décisions des autorités et leur fournir le carburant pour fonctionner), le reste, tout le reste, c’est du superfétatoire dont on apprend à se passer : Rire, se distraire, sortir, danser, voyager, aller au spectacle, s’habiller, se maquiller, pour aller acheter un bouquin, un CD ou un DVD, ce n’est pas « essentiel ».
CQFD. Ce que démontre parfaitement le second confinement.
 
L’essai étant concluant (les paramètres sont désormais réglés), où on en arrive même à « télétravailler », la remarquable adaptation permise par les NTIC – Merci Bill Gates – on met fin à la « récréation ».
Pile-poil, on nous vous annonce que dans quelques mois la crise sanitaire sera terminée. C’est une (quasi) certitude.
Grâce aux vaccins. Grâce à des traitements efficaces (la cortisone entre autres). D’ailleurs « les marchés » en sont convaincus.
Les investisseurs (un de mes baromètres avancés) sont déjà largement positionnés sur le « monde d’après » avec une belle « rotation » (les « techs » sont délaissées après avoir ramassé les plus-values) et ils reviennent aux « values » délaissées depuis le mois de mars dernier.
 
Après le vaccin de « Pfizer-BioNTech » efficace à 90 %, voici le vaccin de Moderna qui serait efficace à 94,5 %.
Le russe, « Spoutnik V » (pas le 5 romain, mais le « vé ») plafonne probablement en-dessous de 92 % mais les hongrois vont le produire.
Le « Pfizer-BioNTech » n’ira pas bien loin : Il faut le manipuler à – 81°C, dans de l’azote liquide, sans ça il n’est d’aucune utilité… Car il faut une usine de cryogénisation à côté.
Le Moderna est un peu en retard, mais il est plus facile à fabriquer et à administrer.
Et puis d’autres vont suivre.
La question n’est donc plus « si », mais « quand » ?
Quand pourra-t-on être vacciné et fonctionner normalement ?
 
Les informations à ce sujet sont un peu confuses, mais on peut estimer/espérer que ceux qui le souhaiteront, si la vaccination n’est pas obligatoire, seront vaccinés avant l’été et pourront franchir les frontières avec un certificat en poche : Un ciel enfin dégagé pour les industries mécaniques (et aéronautiques) qui sont à la ramasse…
Il ne reste donc plus que quelques mois à tenir.
Rappelons au passage que le développement du vaccin de Moderna a coûté plus d’un milliard de dollars selon son PDG.
Et qu’il a été financé… à 100 % … pour le gouvernement américain.
 
Ce qui n’empêche pas notre gouvernement de préparer à une campagne de vaccination dès janvier 2021.
Il est déjà dans « les starting-blocks pour être prêt pour distribuer un vaccin contre le Covid-19 » s’il est validé, et a budgété pour cela 1,5 milliard d’euros pour 2021, a assuré hier le « porte-la-parole » « Gaby-@tal ».
De son côté, la SNCF sera prête pour les fêtes si elle a un « go sanitaire »
 
Et « Olive-Verlan », notre « sinistre de la santé » (spécialiste des neuropathies que j’espère bien avoir un jour sa thèse sur la folie vécue au gouvernement dont il fait partie) parle désormais de « décroissance de l’épidémie » mais laisse Noël en suspens…
Car le virus continue à circuler très activement partout en « Gauloisie-contaminée », a-t-il répété.
« Nous avons commencé la décroissance de l’épidémie (…) mais cela ne veut pas dire que nous avons vaincu le virus. Cela veut dire que nous sommes toujours en phase de circulation active importante, mais que nous sommes en train de reprendre le contrôle sur la dynamique du virus, ça veut dire que les mesures du gouvernement fonctionnent », s’est-il félicité.
Le « sinistre » a ajouté ne pas être en mesure d’avancer une date pour la fin du confinement et confirme également que l’aberration des attestations pour circuler à l’extérieur de son domicile ne seront « pas supprimées le 1^er décembre ».
Your laisser-passer, bitte !
J’adore, finalement…