Et « l’autorité » périclite…
C’est assez étonnant : Sa seule ressource – pour se
maintenir et assurer a minima sa fonction régalienne indispensable à la
cohésion nationale – c’est de prendre un virage liberticide inédit.
Si je me souviens bien, la dernière vague pandémique de « grippe espagnole », n’aura pas engendré le même recul, économique, social et politique.
Pourtant, les mêmes mesures « coercitives » avaient été prises : Port du masque, distanciation sociale, hygiène (lavage de mains, interdiction de cracher dans les rues), fermeture des bars et interdiction des rassemblements, mais sous la responsabilité des préfets et des maires, chacun sur son territoire.
Le président devenu simple préfet… national ?
Étonnant, n’est-ce pas !
N’a-t-il pas un gouvernement chargé institutionnellement de… « gouverner » ?
C’est pourtant bien l’époque que nous vivons.
Il y a un siècle, on estime à 400.000 morts les victimes du H1N1 « hispanique » en « Gauloisie-grippée », et les hôpitaux avaient été rapidement débordés : Les antibiotiques n’existaient pas, les salles de réanimations non plus, la cortisone et les vaccins pas plus.
Le taux d’infection a ensuite été estimé à 40 % de la population (il n’y avait pas de test), peut-être plus avec les cas asymptomatiques, avant d’atteindre cette fameuse « immunité-collective » et le taux de létalité a été calculé à hauteur 5 %.
On en est heureusement encore assez loin avec le « Conard-virus »…
Alors, « Jupiter » préfet ?
Avec l’assurance que les résultats seront donc meilleurs un siècle plus tard avec le « Conard-virus », a n’en pas douter, mais forcément parce que nous avons plus de moyens de lutte pour mieux soigner.
Il n’empêche que, probablement, la grande victime restera l’autorité de l’État.
Je m’explique, car on l’a déjà évoqué, même si ce n’était pas le thème de ce post-là.
Le reconfinement de fin octobre aura été finalement une
excellente illustration des résultats issus de l’expérience de Stanley Milgram dont
l’objectif était d’évaluer l’influence que peut exercer un scientifique,
autrement dit un « expert » dans son champ de compétence, sur le
comportement d’un individu lambda.
En d’autres termes, il s’agissait de mesurer le pouvoir d’autorité qu’exerce un individu jugé « légitime » sur un autre.
Vous le savez, les résultats sont affligeants : Un individu « banal », sans réel penchant sadique, est capable de faire preuve de totale obéissance face à une autorité qu’il juge légitime, jusqu’à infliger la mort à autrui par électrocution.
(Je vous recommande d’ailleurs le film « I comme Icare » de Henri Verneuil avec Yves Montand qui y consacre une longue séquence…)
Un des intérêts de l’expérience de Stanley Milgram est qu’elle s’appuie sur 18 « variantes ».
Et la « variante 15 » peut retenir tout
particulièrement l’attention : Concrètement, le volontaire y est confronté
aux points de vue totalement contradictoires de deux pouvoirs légitimes. Un
premier « scientifique » refuse de poursuivre l’expérience pour des
raisons éthiques tandis que le second « scientifique » soutient qu’il
est nécessaire de la continuer coûte que coûte.
Les résultats obtenus sont que dès lors que se manifeste une « autorité légitime double », les volontaires profitent du désaccord entre experts pour stopper leur participation à l’expérience.
Stanley Milgram en tire la conclusion qu’à partir du moment où le signal transmis par une autorité considérée comme légitime est parasité par un désaccord majeur en son sein, la cohérence du système hiérarchique est profondément altérée, jusqu’à provoquer un comportement de « sortie » de la part des « cobayes ».
La fameuse « variante 15 » de l’expérience nous
éclaire quant aux contestations en tous genres qu’a générées en « Gauloisie-banale »
la décision de reconfinement de fin octobre 2020.
Elle nous aide à comprendre les tendances séditieuses de maires ayant autorisé par décret l’ouverture (illégale) de tous les commerces de leur commune ou les comportements plus désinvoltes, voire transgressifs remarqués, lors de ce deuxième confinement par une partie plus importante de la population (ou de certaines d’entre-elles : Je suis le premier à me signer des autorisations multiples qui se succèdent dans la journée…).
Certainement sans le vouloir, les batailles d’experts, relayées complaisamment par certaines chaînes TV d’information continue, ont ouvert la voie à de nombreuses « portes de sortie » pour réfuter le bien-fondé du reconfinement, au moment même où la deuxième vague de la pandémie est une réalité sanitairement incontestable, d’ailleurs reconnue par les pouvoirs publics à la mi-novembre 2020.
Heureusement, elle est moins violente que la première et on va finir par en sortir.
Il suffisait pour se convaincre de la cacophonie
ambiante de se placer pendant trois jours devant l’une des chaînes TV
précitées. La succession des avis contradictoires « d’experts médicaux »,
mais aussi politiques, a donné le vertige et a créé une confusion extrême
compte tenu des désaccords majeurs exprimés, sur les moyens les mieux adaptés
de protection, sur les vecteurs de contamination, sur l’usage de quelques
traitements, sur la mise en œuvre efficace de la distanciation physique, en
bref sur presque tout.
Vous en avez été témoins, je n’invente rien…
Les « troubles » au sein de l’autorité scientifique, pour reprendre la terminologie de Stanley Milgram, ont ainsi éclaté au grand jour devant un public mi-inquiet mi-sidéré.
Dès lors, la parole des « experts » s’en est trouvée durablement contestée, et il ne pouvait qu’en résulter un refus pur et simple des règles collectives du jeu.
Les bars de quartier ne jouent-ils pas un rôle
essentiel de maintien du lien social ? Un coiffeur recevant des clients au
compte-gouttes est-il vraiment un inducteur de contagion ? Et que dire des magasins
ouverts mais pas certains rayons ?
Que je suis obligé de me faire livrer mon papier par Amazon, mon papetier-libraire étant fermé…
Dans tous les cas, chacun affirme qu’il participe peu, voire pas du tout, à la deuxième vague, conforté par la voix critique de tel scientifique ou tel expert autoproclamé.
On pourrait alors dresser la longue liste des « exemptions » demandées par les uns et les autres, que certains jugeront finalement recevables… et d’autres inacceptables.
Les voix discordantes sont autant de « portes de
sortie » que de multiples acteurs veulent emprunter face aux « troubles » de
l’autorité scientifique, « portes de sortie » dans lesquelles se sont
engouffrés plusieurs maires, comme ci-dessus évoqué.
À la manière des volontaires de l’expérience de Stanley Milgram qui avaient stoppé leur participation à l’expérience en présence de deux scientifiques aux avis diamétralement opposés.
Notons, pour aller plus loin que le chercheur Olivier Fournout, dans un article publié par Atlantico le 8 octobre 2020, se désespérait des controverses sur le « Conard-virus » en évoquant l’absence de dialogue au profit de « prises de parole séparées, qui ont toute latitude pour s’étaler, mais qui ne rencontrent jamais les prises de parole adverses ».
Et il cite l’exaspération de la journaliste « Lolo-Ferra-rire » ayant interrompu sèchement sur CNews un débat télévisé entre médecins : « Cela suffit maintenant, on n’est pas dans une cour de récré, il y a des millions de Français qui n’en peuvent plus de ces dissensions entre les scientifiques, à qui on dit tout et n’importe quoi tous les jours, je vous assure qu’il y en a ras-le-bol ! »
Fine mouche, la guêpe…
Et c’est sans doute là l’une des manifestations les plus emblématiques de la délégitimation en cours du discours scientifique, particulièrement inquiétante, voire dramatique, car on ouvre alors la voie à tous les « populismes » et à un relativisme élevé au rang de dogme.
Comme si, par-delà ses funestes conséquences
économiques et sociales, la pandémie de « Conard-virus » nous donnait
à voir la profonde remise en question de l’un des fondements de la démocratie, débattre,
cet art subtil de l’échange policé d’arguments et contre-arguments pour avancer
dans la même direction, la fameuse dialectique hégélienne…
La question sous-jacente porte désormais sur le retour à un dialogue apaisé fondé sur la légitimité admise (ou non) de « l’expert ». Parler ici de légitimité, c’est faire référence à une aptitude à penser la prise de parole en respectant le rôle attribué à chacun, par exemple sur la base de ses compétences reconnues, en tenant compte des rôles attribués aux autres, issus de leurs propres compétences avérées.
En bref, savoir parler en référence à son espace d’expertise, sans déborder impudemment en dehors de ce dernier…
Et ils sont nombreux à avoir échouer à l’épreuve du débat médiatique : Même « Rat-out », malgré mille précautions sémantiques, sera tombé dans la fosse à plusieurs reprises.
Dans « Les Échos du matin » du 5 mai 2020,
alors que s’achevait le premier confinement, on nous avertissait déjà : « Je
veux croire que nous allons relativiser notre relativisme, c’est-à-dire
considérer que tous les discours ne se valent pas, que certains sont moins
vrais que d’autres. »
Pas de chance…
Car cet appel à l’intelligence du « bon sens » n’a jamais autant été d’actualité, et sans doute jamais aussi difficile à imaginer à l’heure du complotisme et des fake news triomphants, dont le documentaire sur le « Conard-virus » sorti en novembre 2020 Hold-up est un « gros résumé » (qui déborde lui aussi sur des domaines « hors-sujet »).
La « mécanique » est délétère : Elle
étouffe le bon sens. Et celle qui va payer l’addition de la « décribilisation »
c’est la parole étatique.
Donc son autorité.
Elles étaient déjà bien malmenées auparavant pour de multiples et fort nombreuses raisons, elle l’est encore plus aujourd’hui !
Comment notre « démocratie » a-t-elle pu se laisser déposséder du débat parlementaire ou simplement d’opinion par un quarteron de « scientifiques » ?
Non pas qu’ils ne disent que des konneries, loin de là, mais qui finalement décident de solutions « politiquement insoutenables »… Politiquement, socialement et économiquement.
Sont-ce des irresponsables ?
Leur rôle n’aurait dû être que « d’éclairer » ledit débat et au lieu de ça, ils ont réussi à l’embourber.
Résultat, il devient nécessaire pour « Jupiter »
et ses « bons soldats » de serrer les rênes et les étriers : Ils
en viennent même à interdire de photographier les visages des agents des forces
de l’ordre !
Demain, ce sera aussi le cas pour les « hommes politiques » (au sens large) alors qu’on multiplie les caméras de surveillance automatiques qui prennent même désormais les airs à bord de drones !
Avouez que c’est bien paradoxal !
Le paradoxe final, c’est de constater que notre
constitution a été dévoyée. Il était prévu, en l’article 16, qu’en cas de « menace
grave », tous les pouvoirs soient confiés à l’exécutif pour une période
renouvelable de quelques mois.
Avec pour corolaire la persistance de la session parlementaire « permanente ».
« Jupiter » a saisi l’opportunité de « l’état d’urgence » (sanitaire) pour confiner même le Parlement…
Une dérive à mon sens inacceptable.
Si encore ça avait pu donner des résultats flatteurs,
mais même pas : On en est venu à préserver les vacances estivales et
désormais celles de fins d’année.
Comme disait Jean Yann dans son film « Les chinois à Paris », les « Gauloisiens » ? « Les plus grands fumistes de la planète. Eh bien ils feront des cheminées ! »
Contrairement à ce que e commandait mon optimisme-natif, l’expérience va donc se poursuivre, avec ou sans vaccin : Ledit « état d’urgence » est validé par le Parlement (à la botte) jusqu’à la fin février : On repousse même les élections territoriales pour ça !
Face à une troisième vague déjà évoquée par quelques-uns, plus les quelques mesures d’assouplissement envisagées au-delà de celles annoncées hier, cet « état d’urgence » sera prolongé encore et encore : La clique des Préfets aura de quoi se réjouir et le premier d’entre eux, « Jupiter », aussi.
L’expérience se poursuit donc inexorablement…
Au moins jusqu’à la prochaine pandémie.
Si je me souviens bien, la dernière vague pandémique de « grippe espagnole », n’aura pas engendré le même recul, économique, social et politique.
Pourtant, les mêmes mesures « coercitives » avaient été prises : Port du masque, distanciation sociale, hygiène (lavage de mains, interdiction de cracher dans les rues), fermeture des bars et interdiction des rassemblements, mais sous la responsabilité des préfets et des maires, chacun sur son territoire.
Le président devenu simple préfet… national ?
Étonnant, n’est-ce pas !
N’a-t-il pas un gouvernement chargé institutionnellement de… « gouverner » ?
Il y a un siècle, on estime à 400.000 morts les victimes du H1N1 « hispanique » en « Gauloisie-grippée », et les hôpitaux avaient été rapidement débordés : Les antibiotiques n’existaient pas, les salles de réanimations non plus, la cortisone et les vaccins pas plus.
Le taux d’infection a ensuite été estimé à 40 % de la population (il n’y avait pas de test), peut-être plus avec les cas asymptomatiques, avant d’atteindre cette fameuse « immunité-collective » et le taux de létalité a été calculé à hauteur 5 %.
On en est heureusement encore assez loin avec le « Conard-virus »…
Avec l’assurance que les résultats seront donc meilleurs un siècle plus tard avec le « Conard-virus », a n’en pas douter, mais forcément parce que nous avons plus de moyens de lutte pour mieux soigner.
Il n’empêche que, probablement, la grande victime restera l’autorité de l’État.
Je m’explique, car on l’a déjà évoqué, même si ce n’était pas le thème de ce post-là.
En d’autres termes, il s’agissait de mesurer le pouvoir d’autorité qu’exerce un individu jugé « légitime » sur un autre.
Vous le savez, les résultats sont affligeants : Un individu « banal », sans réel penchant sadique, est capable de faire preuve de totale obéissance face à une autorité qu’il juge légitime, jusqu’à infliger la mort à autrui par électrocution.
(Je vous recommande d’ailleurs le film « I comme Icare » de Henri Verneuil avec Yves Montand qui y consacre une longue séquence…)
Un des intérêts de l’expérience de Stanley Milgram est qu’elle s’appuie sur 18 « variantes ».
Les résultats obtenus sont que dès lors que se manifeste une « autorité légitime double », les volontaires profitent du désaccord entre experts pour stopper leur participation à l’expérience.
Stanley Milgram en tire la conclusion qu’à partir du moment où le signal transmis par une autorité considérée comme légitime est parasité par un désaccord majeur en son sein, la cohérence du système hiérarchique est profondément altérée, jusqu’à provoquer un comportement de « sortie » de la part des « cobayes ».
Elle nous aide à comprendre les tendances séditieuses de maires ayant autorisé par décret l’ouverture (illégale) de tous les commerces de leur commune ou les comportements plus désinvoltes, voire transgressifs remarqués, lors de ce deuxième confinement par une partie plus importante de la population (ou de certaines d’entre-elles : Je suis le premier à me signer des autorisations multiples qui se succèdent dans la journée…).
Certainement sans le vouloir, les batailles d’experts, relayées complaisamment par certaines chaînes TV d’information continue, ont ouvert la voie à de nombreuses « portes de sortie » pour réfuter le bien-fondé du reconfinement, au moment même où la deuxième vague de la pandémie est une réalité sanitairement incontestable, d’ailleurs reconnue par les pouvoirs publics à la mi-novembre 2020.
Heureusement, elle est moins violente que la première et on va finir par en sortir.
Vous en avez été témoins, je n’invente rien…
Les « troubles » au sein de l’autorité scientifique, pour reprendre la terminologie de Stanley Milgram, ont ainsi éclaté au grand jour devant un public mi-inquiet mi-sidéré.
Dès lors, la parole des « experts » s’en est trouvée durablement contestée, et il ne pouvait qu’en résulter un refus pur et simple des règles collectives du jeu.
Que je suis obligé de me faire livrer mon papier par Amazon, mon papetier-libraire étant fermé…
Dans tous les cas, chacun affirme qu’il participe peu, voire pas du tout, à la deuxième vague, conforté par la voix critique de tel scientifique ou tel expert autoproclamé.
On pourrait alors dresser la longue liste des « exemptions » demandées par les uns et les autres, que certains jugeront finalement recevables… et d’autres inacceptables.
À la manière des volontaires de l’expérience de Stanley Milgram qui avaient stoppé leur participation à l’expérience en présence de deux scientifiques aux avis diamétralement opposés.
Notons, pour aller plus loin que le chercheur Olivier Fournout, dans un article publié par Atlantico le 8 octobre 2020, se désespérait des controverses sur le « Conard-virus » en évoquant l’absence de dialogue au profit de « prises de parole séparées, qui ont toute latitude pour s’étaler, mais qui ne rencontrent jamais les prises de parole adverses ».
Et il cite l’exaspération de la journaliste « Lolo-Ferra-rire » ayant interrompu sèchement sur CNews un débat télévisé entre médecins : « Cela suffit maintenant, on n’est pas dans une cour de récré, il y a des millions de Français qui n’en peuvent plus de ces dissensions entre les scientifiques, à qui on dit tout et n’importe quoi tous les jours, je vous assure qu’il y en a ras-le-bol ! »
Fine mouche, la guêpe…
Et c’est sans doute là l’une des manifestations les plus emblématiques de la délégitimation en cours du discours scientifique, particulièrement inquiétante, voire dramatique, car on ouvre alors la voie à tous les « populismes » et à un relativisme élevé au rang de dogme.
La question sous-jacente porte désormais sur le retour à un dialogue apaisé fondé sur la légitimité admise (ou non) de « l’expert ». Parler ici de légitimité, c’est faire référence à une aptitude à penser la prise de parole en respectant le rôle attribué à chacun, par exemple sur la base de ses compétences reconnues, en tenant compte des rôles attribués aux autres, issus de leurs propres compétences avérées.
En bref, savoir parler en référence à son espace d’expertise, sans déborder impudemment en dehors de ce dernier…
Et ils sont nombreux à avoir échouer à l’épreuve du débat médiatique : Même « Rat-out », malgré mille précautions sémantiques, sera tombé dans la fosse à plusieurs reprises.
Pas de chance…
Car cet appel à l’intelligence du « bon sens » n’a jamais autant été d’actualité, et sans doute jamais aussi difficile à imaginer à l’heure du complotisme et des fake news triomphants, dont le documentaire sur le « Conard-virus » sorti en novembre 2020 Hold-up est un « gros résumé » (qui déborde lui aussi sur des domaines « hors-sujet »).
Donc son autorité.
Elles étaient déjà bien malmenées auparavant pour de multiples et fort nombreuses raisons, elle l’est encore plus aujourd’hui !
Comment notre « démocratie » a-t-elle pu se laisser déposséder du débat parlementaire ou simplement d’opinion par un quarteron de « scientifiques » ?
Non pas qu’ils ne disent que des konneries, loin de là, mais qui finalement décident de solutions « politiquement insoutenables »… Politiquement, socialement et économiquement.
Sont-ce des irresponsables ?
Leur rôle n’aurait dû être que « d’éclairer » ledit débat et au lieu de ça, ils ont réussi à l’embourber.
Demain, ce sera aussi le cas pour les « hommes politiques » (au sens large) alors qu’on multiplie les caméras de surveillance automatiques qui prennent même désormais les airs à bord de drones !
Avouez que c’est bien paradoxal !
Avec pour corolaire la persistance de la session parlementaire « permanente ».
« Jupiter » a saisi l’opportunité de « l’état d’urgence » (sanitaire) pour confiner même le Parlement…
Une dérive à mon sens inacceptable.
Comme disait Jean Yann dans son film « Les chinois à Paris », les « Gauloisiens » ? « Les plus grands fumistes de la planète. Eh bien ils feront des cheminées ! »
Contrairement à ce que e commandait mon optimisme-natif, l’expérience va donc se poursuivre, avec ou sans vaccin : Ledit « état d’urgence » est validé par le Parlement (à la botte) jusqu’à la fin février : On repousse même les élections territoriales pour ça !
Face à une troisième vague déjà évoquée par quelques-uns, plus les quelques mesures d’assouplissement envisagées au-delà de celles annoncées hier, cet « état d’urgence » sera prolongé encore et encore : La clique des Préfets aura de quoi se réjouir et le premier d’entre eux, « Jupiter », aussi.
Au moins jusqu’à la prochaine pandémie.
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