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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 20 novembre 2020

Jean-Marc, toujours délicat !

Notamment quand il drague…
 
« – Hé jeune-fille, gaulée comme ça, tu dois avoir bien des gars dans ton lit, non ?
– T’es bien mal élevé, toi ! Ce sont mes affaires !
– Ben oui, tu as raison, excuse-moi bébé.
Et les affaires, comment ça marche ? »
 
Germaine et sa copine Gislaine se rencontre au centre commercial :
« – C’est bien effrayant, j’ai l’impression que tout augmente.
– C’est parce que tu ne connais pas mon mari… »
 
« Et maintenant », dit la prof, « vous allez me donner des noms de choses qui ont des poils ».
Plein d’élèves lèvent la main :
« – Un chat !
– Un chien !
– Un manteau de fourrure !
– Un renard !
– Très bien, très bien, et toi, Jean-Marc, tu n’as encore rien dit. Tu dois bien connaître quelque chose qui a des poils ?
– Oui, madame, les boules de billard.
– Les boules de billard ? Mais non !
– Si, madame.
– Alors tu te moques de nous !
– Non madame. »
Il se tourne alors vers le fond de la classe :
« Allez Billard montre nous tes boules comme tu les montrais, ce matin, à Marie-Pierre ! »
 
En plein confinement-actif, chacun sur leur Balcon, Jean-Marc et Jean-Paul, confinés devant une bière échangent leurs impressions :
« La plus belle profession du monde, finalement, c’est celle de médecin.
Tu peux recevoir une femme à ton cabinet, lui demander de se déshabiller, l’examiner sur toutes les coutures, et… envoyer la facture à la sécurité sociale… »
 
Un prêtre, dans la région de Bonnat (Creuse) rend visite à l’unique athée de sa paroisse.
Un irréductible.
Un tenace.
Il tente, par tous les moyens, de le convaincre de croire en Dieu, mais l’athée ne bronche pas.
À bout d’arguments, le prêtre résume tous les discours à leur expression la plus simple :
« – Allez, faites un effort, croyez en l’au-delà…
– Merci mon père, mais je préfère le vin d’ici ! »
 
Un grand fabricant de chips lance sa campagne de publicité pour les Fêtes.
Son thème : Blondes à croquer.
Un cannibale voit ce texte sur Internet. Et il s’en lèche déjà les babines.
« Tu vois ça », dit-il à son pote. « Blondes à croquer qu’ils disent. »
Il passe une commande énorme sur le Net, et il reçoit la marchandise une semaine plus tard.
Fou de joie, il déballe les boîtes en vitesse.
Et voyant comment la blonde à croquer se présente, il pique une crise :
« Les salopards, ils me l’ont livrée en tranches ! »
 
De Dumè, reçue de « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », cette règle de vie :
« Il ne faut jamais remettre au lendemain un travail qu’on peut faire faire par quelqu’un d’autre le jour même. »
 
Germaine et sa femme de ménage :
« – Mme. Laplante, quand vous montez sur une chaise pour essuyer les tablettes, mettez une ou feux pages de La Presse sur la chaise…
 – Inutile madame, je suis bien assez grande ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul sortent d’un bar.
Ils rentrent à la maison en voiture quand le chauffeur évite de justesse un poteau.
« – Jean-Marc » crie Jean-Paul, « fais attention t’as failli défoncer le poteau.
– Com… Comm… Comment ça ? C’est pas toi qui conduit ? »
 
Une jeune-fille de 19 ans, se confesse au curé du village :
« – Je suis sortie avec Jean-Claude, la semaine dernière. Il a garé sa voiture dans le parking du centre commercial et il a commencé à m’embrasser.
– Et alors ?
– Il m’a caressé les seins. Ses baisers étaient plus chauds. Plus longs. Plus étourdissants.
– Et alors ?
– Il a soulevé ma robe, enlevé ma culotte, et baissé son pantalon. »
À ce moment de sa confession, la jeune femme baisse la voix et le curé n’arrive plus à l’entendre.
« – Parle haut
– Non, non mon père, par le bas ! »
 
Le directeur du personnel se frotte la joue tandis que la postulante à l’emploi de secrétaire sort de son bureau en claquant la porte :
« C’est pas de ma faute si je bégaie », gémit le malheureux.
« C’est vrai, mon pauvre ami », lui dit son directeur, « mais sa réaction s’explique. Quand vous lui avez dit : ‘‘montrez-moi votre cu… cu… cu…’’, elle n’a pas attendu que vous ajoutiez ‘‘…riculum vitae’’ ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, confinés sur leur balcon respectif, philosophent :
« On dit que fumer une cigarette réduit ta vie de 2 minutes.
Une bière la réduit de 4 minutes.
Mais on oublie de dire qu’une journée de travail la raccourcit de 8 heures. »
 
Un pilote, Juif, et son second, un Chinois, font leur premier vol ensemble à bord d’un des rares avions qui vole encore.
Et il est évident, par leur silence, que ce n’est pas le grand amour entre les deux. Après 30 minutes de vol, le commandant dit :
« – Je n’aime pas les Chinois.
– Ooooh, tu n’aimes pas les Chinois ? Mais pourquoi ?
– Vous avez bombardé Pearl Harbor. C’est pourquoi je n’aime pas les Chinois.
– Non, non, non, ce n’est pas les Chinois mais les Japonais qui ont bombardé Pearl Harbor.
– Chinois, Japonais, Vietnamiens, ça n’a pas d’importance, ils sont tous pareil. »
 Un autre silence de trente minutes s’écoule.
Le Chinois dit :
« – Je n’aime pas les Juifs.
– Mais pourquoi tu n’aimes pas les Juifs ?
– Les Juifs ont coulé le Titanic.
– Non, non, non, c’est un iceberg, qui a coulé le Titanic.
– Iceberg, Greenberg, Goldberg, ça n’a pas d’importance, ils sont tous pareil. »
(Une « revenue » déjà servie à feu notre capitaine « Haddock », commandant de bord chez « Air-Transe »)
 
« – Mme Dugland, ça fait deux semaines que cette robe doit être terminée !
Vous êtes en retard.
Que se passe-t-il ? Je n’aime pas ça. Pas du tout !
– Mais madame, j’avais d’autres clientes à servir. Je vous avais prévenue, et…
– Je n’accepte pas vos excuses, et puis, Dieu a créé le monde en sept jours, vous êtes bien capable de faire cette petite robe !
– Oui, sept jours, et vous voyez le résultat… »
 
Un jeune homme plutôt timide s’enhardit un beau matin et s’en va demander la main de sa fille à un père plutôt grincheux.
« – Ah ! Ça jamais ! » répond le père. « Je ne veux pas voir ma fille gâcher sa vie auprès d’un imbécile ! »
Alors, le jeune homme rougissant, bafouille :
« Moi non plus, monsieur. C’est justement pourquoi j’étais venu vous demander sa main. »
 
Mariée depuis trois ans, Monique n’a pas d’enfants.
Inquiète, elle se rend chez son gynécologue.
« Déshabillez-vous et couchez-vous sur ce divan » dit le docteur.
« C’est que… docteur, pour mon premier, je préférerais tout de même qu’il soit de mon mari ! »
 
Deux pépés, assis sur un banc, au centre commercial, tuent le temps en regardant les décorations de Noël.
« – C’est quand même beau Noël
– Oui, c’est comme le sexe.
– Oui, sauf que Noël, c’est plus souvent ! »
 
Au restaurant, le garçon récapitule la commande de Jean-Marc :
« – Nous disions donc : Pâté en croûte, langouste, foie gras. Et avec ça qu’est-ce que monsieur prendra ?
– Du ventre, certainement », répond Germaine.
 
Le médecin demande à sa patiente de se déshabiller.
« – Mais, docteur, votre remplaçant que j’ai consulté la semaine dernière m’a trouvé très en forme !
– Justement… Il me l’a dit ! Madame, permettez-moi de vous dire combien vous êtes belle !
– Merci, je ne peux pas en dire autant de vous.
– Facile. Faites comme moi, mentez ! »
 
Ça se passe au XVIème siècle.
Un homme est torturé et empalé sur la place publique.
« – Pourquoi l’a-t-on empalé » demande un curieux.
– On dit que c’est un savant et qu’il était à la pointe du progrès. »
 
Un gros s’installe sur la chaise du barbier.
« Tu me coupes la barbe. »
Quand le travail est fini, le barbier lui demande le double du tarif normal qui est affiché au mur.
« – Hé, Mais tu me demandes le double !
– Ben oui, vous avez du double menton. »
 
Dans un collège, le prof de biologie fait passer un examen oral à ses élèves.
Il invite Nathalie au tableau.
« Mademoiselle, quel est l’organe du corps humain qui, dans certaines conditions, peut multiplier sa taille par six ? »
Rouge comme une tomate, Nathalie répond :
« – Monsieur, je ne crois pas que ce soit la question la plus appropriée à poser à une jeune fille… Croyez-moi, je vais en parler à mes parents.
– Bon… Qui a la réponse ?
C’est la pupille de l’œil dans la lumière » dit Sébastien.
– Très bien. Quant à vous, Nathalie, laissez-moi vous dire trois choses : premièrement, vous n’avez pas appris votre leçon ; deuxièmement, vous avez l’esprit mal placé et, troisièmement, préparez-vous à la plus grande désillusion de votre vie. »
(C’est une « revenue »…)
 
Un cannibale qui souffre de terribles maux de tête, consulte un médecin.
« Je vois, vous mangez trop d’intellectuels… »
 
Le patron d’une boutique de prêt-à-porter rentre d’un voyage d’affaires.
En entrant, il voit son vendeur qui porte un épais bandage à la main.
« – Ben, qu’est-ce qui vous est arrivé mon petit Jean-Marc ?
– J’ai une excellente nouvelle, patron. Vous ne le croirez jamais mais j’ai réussi à le vendre !
– Quoi ? Non…? L’habit rose et vert à 700 € ?
– Oui, celui qu’on a en stock depuis sept ans !
– Jean-Marc, tu es un champion ! Trouver un pigeon prêt à payer aussi cher pour un truc aussi hideux, c’est tout simplement inouï. Comment tu as fait ?
– Ben j’ai mis l’accent sur la coupe plutôt que sur la couleur. Le client a payé mais, avant de partir, son chien-guide m’a mordu ! »
 
Une voiture rate son virage et s’écrase contre un arbre. Jean-Marc s’extirpe du véhicule accidenté, et se rend compte que seul son dentier est cassé.
Il explique cela à la personne qui est venue l’aider, et qui par chance lui en propose un du lot qu’il a dans sa voiture.
Il en essaye une dizaine et en trouve un qui lui va.
« – Dans mon malheur » dit-il, « j’ai tout de même de la chance de tomber sur un dentiste.
Je ne suis pas dentiste, je suis croque-mort. »
 
Un professeur de philosophie dit un jour à ses élèves :
« Les hommes intelligents sont toujours dans le doute. Il n’y a que les idiots pour être affirmatifs. »
Le fils de Jean-Marc questionne :
« – Vous êtes sûr de ce que vous avancez là ?
– Certain ! »
 
Jean-Marc, client d’un hôtel, en le quittant s’explique avec le concierge :
« – C’est la dernière fois que je mets les pieds dans votre établissement !
– Mais ! » s’exclame l’hôtelier, « qu’est-ce qui n’allait pas dans le service ?
– Ben, il n’y avait jamais de papier au petit endroit.
– Mais enfin, monsieur, c’est une défaillance de notre part. Le client peut toujours réclamer. Vous avez bien une langue tout de même ?
– J’ai une langue, mais je ne suis pas contorsionniste ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul prennent un coup sur leurs balcons respectifs, en plein confinement.
La bière coule.
Soudain Jean-Paul lance à Jean-Marc :
« – Sais-tu que tu es un vrai frère pour moi ?
– Ah oui. Je le sais. Je le sens, mais ça me fait plaisir que tu me le dises.
– Vraiment, tu es un frère… »
Les deux gars regardent fixement devant eux.
Puis, après quelques minutes de silence…
« – Jean-Marc…
– Quoi ?
– Jean-Marc, si nous sommes des frères… Si tu es un frère pour moi… Peux-tu me prêter 100 € jusqu’à jeudi ?
– Non !
– Aïe ! Et pourquoi ça ? Je suis ton frère. Je suis un frère pour toi.
– Non. Non et non !
– Pourquoi ?
– Mon frère et moi on ne se parle plus depuis trois mois ! »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« Ça pue les colins ! »
« Les premiers chrétiens ont montré leur cul à l’univers. »
« Les jeunes filles gardent toujours leur cul pour le vainqueur… »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« J’ai trouvé Marion les laissant faire ! »
« Jean-Marc déplore les foules… »
« Il échangerait bien toutes ces vieilles briques pour une belle lucarne … »
 
Bon week-end de confinement à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »

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