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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 26 novembre 2020

Loi « sécurité globale »

Mais quoi donc, il n’y a que de bonnes choses, voyons !
 
D’ailleurs, au démarrage, le texte ne devait retraduire que les propositions d’un rapport parlementaire consacré au « continuum de sécurité » et destiné à mieux articuler le travail entre les trois grandes entités que sont la police et la gendarmerie (250.000 personnes environ), la police municipale (33.000 fonctionnaires) et le secteur de la sécurité privée (175.000 agents).
Et vous pensez bien que « Charlotte » – et sa CISA – qui trace absolument tout le monde dans l’hémisphère-nord avec son logiciel « BBR 2.0 » (si vous n’aviez pas suivi, c’est dans les romans déjà publiés) y est particulièrement attentif.
Donc, I3 également…
Rien à en dire pour être conforme aux lois de la République, sa constitution et divers traités européens et internationaux…
Au moins jusque-là.
 
Sauf que la semaine dernière, les députés ont commencé l’examen d’un texte bien différent.
C’est un projet, porté par le parti majoritaire, La République en marche, « LRM-même-pas-en-rêve » (qui porte décidément de mieux en mieux son sobriquet…), et son allié Agir (qui s’étiole au fil du temps au profit de « McMoDem »), qui recèle une kyrielle de mesures sécuritaires, dont plusieurs ont tout de suite fait débat, dont, la plus connue, l’encadrement de la diffusion d’images des policiers et gendarmes & gendarmettes.
C’est vraiment kon, d’autant que les restrictions des Libertés sont vraiment dans l’air du temps : Nous sommes tous des gamins priés de rester en « garde-à-vue » sauf dérogation dûment autorisée, c’est bien connu.
Et pas seulement en « Gauloisie-libertaire » (nous y reviendrons…)
 
Globalement, deux parties : Les nouvelles prérogatives pour les polices municipales et la structuration du secteur de la sécurité privée ; et un dernier volet consacré à l’examen d’une série de dispositions pour lesquelles le ministère de l’intérieur a tenu la plume, avec l’objectif supposé d’apaiser les syndicats policiers.
Pour paraphraser le « sinistre de l’intérieur & des cultes », comme pour les deux co-rapporteurs du texte, l’ambition est de « protéger ceux qui nous protègent », en « regagnant du terrain »… perdu.
Ah ? On en aura perdu ? Où ?
Mais oui, suis-je bête : On est « en guerre » !
 
En réalité, le contexte est marqué par une hausse de la défiance envers les forces de l’ordre dans le sillage du mouvement des « Gilets jaunes » (mais on a eu aussi la « Manif’-pour-tous », les « Bonnets-rouges », « Les pigeons » et la loi « Deux-Va-Quai » plus quelques autres, dont « Mai 68 ») notamment, mais aussi de dénonciations de violences policières.
Oh : La poulagaille du pays (qui est aussi le mien) serait-elle violente ?
Je n’y crois pas une seule seconde, même si l’ONU estime l’inverse et que l’UE s’émeut : Nos flics sont doux comme des agneaux et à l’ékole de police, on leur apprend à chanter des cantiques, tout le monde sait ça !
 
Du coup, comme les « séditieux » s’emballent pour un rien, des centaines de personnes se sont rassemblées à l’appel de syndicats de journalistes et d’associations de défense des droits humains, les gueux.
Ont-ils été d’ailleurs reçu à coups de grenade lacrymogène (juste pour assurer leur sécurité et leur Liberté de manifester) ?
Non, on a préféré garder « les munitions » pour des dormeurs-migrants qui campaient Place de la République (tu penses, juste devant une caserne de gendarme !) : Le préfet n’est pas fou, il ménage hommes et matériels…
 
D’ailleurs, en toute transparence, faisons les comptes : Sur la police municipale, le projet de loi prévoit la possibilité d’élargir leur champ d’intervention dans le cadre d’une expérimentation de trois ans pour les effectifs supérieurs à 20 agents.
D’ailleurs la « soce » parigote (« Sœur-Âne ») n’a pas hésité une seconde en proposant de budgéter une police municipale (qui existe déjà…) pour 2021 avec mes taxes foncières et d’habitation.
Une « soce », c’est de gôche-républicaine, non ?
Antinomique des liberticides, faut pas dék’, voyons !
 
Concrètement, ces agents pourraient participer à la sécurisation de manifestations sportives, récréatives ou culturelles. Ils pourraient également constater davantage d’infractions, comme l’ivresse sur la voie publique, la vente à la sauvette, la conduite sans permis ou sans assurance, mais aussi les squats de halls d’immeubles, les tags ou encore l’occupation illégale d’un terrain municipal.
Que du bon pour le populo (et même les « romanos » priés de crécher là où ça leur est réservé) !
En revanche, ils ne pourraient pas intervenir sur les rodéos urbains : Trop dangereux, tiens-donc !
Mais ces agents pourront, par ailleurs, immobiliser et mettre en fourrière un véhicule (comme s’ils ne se gênaient pas jusque-là…).
Et la mise en commun des policiers municipaux au niveau intercommunal est encouragée.
 
On peut dire que ces nouvelles dispositions ne constituent pas le « grand soir de la police municipale », a fait valoir un des rapporteurs. Certaines préconisations de son rapport, parmi lesquelles l’armement obligatoire des policiers municipaux ou la création d’une École nationale de police municipale, ne figurent d’ailleurs pas dans le projet de loi.
Rien d’inquiétant d’avoir des porteurs d’uniforme mal formés, n’est-ce pas…
 
Autre volet : La sécurité privée. C’est qu’avec l’organisation de la Coupe du monde de rugby, en 2023, puis des Jeux olympiques de « Paris-sur-la-plage » en 2024, la montée en puissance du secteur de la sécurité privée est déjà programmée.
Comme on se souvient encore de la pagaille des JO de London (Cf. « Parcours olympiques »), on y fait très attention : On ne va pas mobiliser le porte-avions CDG jusque sur la Seine pour protéger les sites olympiques non plus. Il aurait un peu de mal à franchir les ponts-&-écluses…
La sous-traitance, « véritable plaie pour le secteur », selon « Alice » (l’autre rapporteuse), sera mieux encadrée.
Tant mieux…
 
L’emploi de policiers dans le secteur privé sera d’ailleurs favorisé, en permettant le cumul emploi-retraite pour une « pantoufle » bienvenue… parce que les retraites, ce n’est plus ce que ça a été.
D’autant que le périmètre des missions des agents va par ailleurs s’élargir : Ils pourront être associés aux opérations de palpation de sécurité.
Le texte prévoit même de les habiliter à détecter des drones et à exercer des missions de surveillance contre les actes terroristes sur la voie publique, à titre exceptionnel et sur autorisation du préfet !
On n’est jamais trop prudent…
 
Et les 170.000 agents de sécurité privée seront sanctionnés plus durement en cas de dérapage. Leurs agresseurs, auteurs de violences physiques ou de menaces, également : C’est prévu comme ça.
Quand tu veux casser la gueule à un flic, tu fais gaffe à t’en prendre à un vrai, parce qu’à un faux, ça coûtera plus cher…
 
Ainsi la proposition de loi « sécurité globale » modifie le cadre juridique des caméras mobiles dont sont dotés policiers et gendarmes, avec une nouvelle finalité qui justifie l’enregistrement et son exploitation : « L’information du public sur les circonstances de l’intervention. »
Eh bé, tu vois bien que les photos ne sont pas interdites, eh, pignouf !
Juste qu’elles seront sélectionnées par les flics eux-mêmes…
Par ailleurs, le texte permet aussi de transmettre les images en temps réel à la salle de commandement : Les « war-rooms » !
Une mesure d’économie : On n’aura plus besoin de mobiliser un hélicoptère, ça coûte trop cher…
Les agents qui ont procédé à l’enregistrement pourront accéder aux images dans le cadre d’une procédure judiciaire (procès-verbal) ou d’une intervention, sur une personne en fuite par exemple.
A-t-on idée de fuir les foudres de la police « Jupitérienne » ?
Elle voit tout, sait tout et reste omnisciente, qu’on se le dise : Même pas la peine d’essayer.
Restez chez vous, autrement vous pourriez être contaminé !
 
L’usage des drones lors de manifestations, seulement en cas de craintes « de troubles graves à l’ordre public » (c’est-à-dire tout le temps), mais aussi pour la prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens dans des lieux particulièrement exposés à des risques d’agressions, vol ou trafic d’armes, d’êtres humains ou de stupéfiants, ou la surveillance des « rodéos » (donc partout), est d’ailleurs précisé.
Le public devra être informé de la mise en œuvre de ces « dispositifs aéroportés de captation d’images ».
Il suffira de lire le Journal Officiel…
Seulement si vous êtes abonnés, parce qu’on ne le trouve pas en kiosque.
 
De plus, il est précisé que les policiers et gendarmes pourront accéder à des établissements recevant du public avec leur arme de service.
Avant venaient-ils « tout nu » ? Je reste étonné.
En outre, les règles d’usage des armes par les militaires déployés sur le territoire national dans le cadre de l’opération « Sentinelle » seront assouplies : Ils pourront désormais, comme les forces de l’ordre, mettre fin à un « parcours criminel ».
Jusque-là, ils étaient spectateurs, pense-je…
Ah, vous aussi ?
Même pas capable de cafeter aux flics la direction à prendre…
 
Nec plus ultra, signalons que le bénéfice des crédits de réduction de peine est supprimé pour les personnes condamnées à la suite de certaines infractions commises à l’encontre d’élus, de militaires, d’agents de la police et de la gendarmerie et des pompiers. Encore faut-il les appréhender avant.
Achat, détention, utilisation et vente d’articles pyrotechniques à d’autres personnes que des professionnels seront également sanctionnés pénalement.
Pas bien grave : En « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », les « cousins-natios » piquent leurs flingues et munitions dans les gendarmeries et les bâtons de dynamite sur les chantiers…
Ça ne changera pas grand-chose.
Notez que je me demande pourquoi on laisse les bouteilles de gaz en vente libre dans les stations-services…
 
Mais la disposition qui fait bêtement le plus débat concerne l’article 24 du texte.
Ce dernier vise à pénaliser l’usage « malveillant » d’images des forces de l’ordre.
Selon l’article 24, la diffusion « du visage ou tout autre élément d’identification » d’un policier ou d’un gendarme en intervention lorsque celle-ci a pour but de porter « atteinte à son intégrité physique ou psychique » sera punie d’un an de prison et d’une amende de 45.000 euros.
Notez que la mesure n’interdira pas de transmettre les images aux autorités administratives et judiciaires, naturellement : Ça, ce n’est pas malveillant !
Vous noterez seulement que ce n’est pas le fait de photographier un flic qui est sanctionné, c’est « l’usage malveillant » fait du cliché (ou de la vidéo).
Il faut reconnaître que c’est « un peu flou » : Porter atteinte à la carrière d’un poulet-encarté et syndiqué, parce qu’il s’apprêtait à commettre un geste déplacé n’est-il pas une « atteinte psychique » ?
Y’en a qui vont devoir penser à la reconversion accélérée : Heureusement, ils sont autorisés à « plantoufler » dans les « « milices privées » où ils seront d’ailleurs mieux protégés, comme ci-dessus indiqué !
 
Le rapporteur argue que la mesure vise seulement à empêcher les « cabbales » contre les forces de l’ordre sur les réseaux sociaux, et « n’impose pas un floutage » contrairement à ce que tout le monde affirme.
La restriction ne vise par ailleurs pas le numéro de matricule, dit « RIO » − qu’un policier ou un gendarme est censé arborer en intervention.
En fait, il est souvent dans sa poche, sans ça « Benne-Allah » aurait été immédiatement identifié comme un intrus place de la contrescarpe (en début de mandat de « Jupiter », rappelez-vous…).
Mais le « sinistre de l’intérieur & des cultes » aura plaidé pour un durcissement de cette disposition lors du débat au Parlement : « Si vous voulez diffuser sur Internet de façon sauvage, pardon de le dire comme ça, vous devrez faire flouter les visages des policiers et des gendarmes. »
 
Mais son entourage a précisé à l’AFP que le gouvernement ne déposerait pas d’amendement sur cet article 24.
Alors quoi, tout ce cirque pour si peu ?
La Liberté sacrée de la Presse serait donc déclinante, voire euthanasiée alors même que l’amendement n’existe pas ?
Quand on vous dit que c’est une « bonne loi », pourquoi tant de ramdam là où une décision « Jupitérienne » vous met en garde-à-vue chez vous tous les jours ?
 
Parce qu’on vous rapporte que cet article polémique porte « une grave atteinte » au droit de la presse et vous n’y voyez que du feu.
Et on avance qu’en modifiant à la marge et sans y toucher à la loi de 1881 sur la liberté de la presse, la disposition du projet de loi de « sécurité globale » vise à limiter la diffusion d’images des forces de l’ordre sur le terrain ce qui provoque une levée de boucliers. Les représentants des journalistes et les défenseurs des libertés publiques fustigent « une grave atteinte » au droit des médias.
C’est une ânerie, comme chacun s’en doute puisque la loi de 1881 ne visait pas les vidéos et autres « selfies » : Ça n’existait même pas !
D’ailleurs, figurez-vous que ladite loi commençait par interdire l’affichage de publication sur les murs des bâtiments publics (c’est toujours le cas et parfois gravé dans la pierre), hors le Journal Officiel…
 
Mais, ce « nouveau délit a pour objectif réel de restreindre le droit des journalistes et la liberté de la presse de manière disproportionnée par rapport à la réalité de la menace », dénoncent ainsi les principaux syndicats de journalistes, des fédérations internationales et européennes de journalistes, ainsi que la Ligue des droits de l’homme (et de la femme, des gamins et autres transgenres).
Ils déplorent une « réponse clientéliste du ministère de l’intérieur à la plupart des syndicats de police », estimant que le texte « vise également à empêcher la révélation d’affaires de violences policières illégitimes, souvent dissimulées par la hiérarchie des fonctionnaires en cause ».
Ah bon, parce que ça existe encore, ça, dans la vraie vie ?
Je ne savais même pas…
 
Et puis dans une tribune de « Libé » (ce torchon…), la Société des réalisateurs de films (SRF) et des personnalités du cinéma ont également décrié cette disposition du projet de loi, y voyant une « censure pure et simple ».
Vous voyez que ça n’existe pas la censure, puisque cette tribune n’a pas été censurée !
De son côté, la « Défenseuse des droits » a estimé que cette mesure faisait peser des « risques considérables » pour les droits fondamentaux.
Tant qu’il ne s’agit que d’un risque…
Et tant que le pire n’est jamais certain…
 
Mais ces craintes sont par ailleurs partagées par plusieurs élus, à l’instar des députés du « McMoDem », qui veulent supprimer cet article.
Le député La République en marche (« LRM-même-pas-en-rêve ») des Bouches-du-Rhône aura, lui, annoncé son intention de ne pas voter ce dispositif, « contre-productif en jetant un doute illégitime sur toutes les interventions policières ».
Là, il a bien raison : Nos anges-gardiens du bien public et de l’ordre républicain, on l’a affirmé d’entrée, ce sont des anges-bienfaisants !
Un députée La « Gauloisie-insoumise (LFI) de « Paris-sur-la-plage », dénonce quant à elle un risque d’« autocensure ».
Kon, ça si la censure est interdite…
L’élu « soce » de l’Ardèche juge pour sa part qu’il « y a des lignes rouges à ne pas franchir ».
Probablement qu’il a raison : Casser du flic quand il rentre chez lui le soir à Magnanville, par exemple, c’est certainement une ligne rouge… parfaitement condamnable !
Bref, quand les politiques, syndicalistes et « intellectuels » s’emballent, il en ressort forcément une bouillie d’amalgames qui vise seulement à affaiblir notre « Jupiter » le bien aimé.
 
En bref, cette loi est excellente, puisqu’elle a été votée par nos « députacrouilles-aux-ordres », dans leur très grande sagesse de Parlementaires et est parfaitement inutile.
Et c’est une faute politique grave que de laisser supposer que nos flics, gendarmes et miliciens, depuis le temps que ça existe, n’étaient jusqu’ici en rien protégés dans leurs missions régaliennes de maintien de la paix publique !
Quelle konnerie, mais quelle konnerie que d’avoir voulu soi-disant enfin y remédier !
 
Alors je veux bien croire que ce texte vise finalement tout-à-fait autre chose : J’ai une sainte horreur des faux-nez et arguties pour me faire avaler n’importe quelle couleuvre (sans même la cuire) et là, on me plonge directement dedans, tête la première et sans même que j’aie pu prendre ma respiration préalablement.
En fait, « Jupiter » poursuit sa mainmise sur le peuple, ses opinions, ses ressorts, ses libertés : Déjà, réussir à mettre en « garde-à-vue » tout un peuple, et à deux reprises, c’est très fort et une réussite inespérée ! Il suffisait de « faire peur » et ça fonctionne tout seul.
 
Belle expérimentation qui lui permet d’accélérer le calendrier.
Ça tombe bien, il est pressé dans un monde qui bouge à vive allure (et sa réforme de la Constitution, l’urgence sitôt élu, est toujours en « cale-sèche »).
On y reviendra…

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