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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 24 novembre 2020

Il faudra ne pas oublier de s’en souvenir !

Qui sont les fascistes de ce pays ?
 
Nous disposons d’au moins deux vaccins contre le « Conard-virus ». Enfin, on devrait dire « nous disposerons », parce que pour l’heure, même si tout le monde semble se préparer à des vaccinations massives (« Sœur-Âne », la mère parigote voulant commencer par les soignants et les Ehpad sans même avoir la première seringue), aucun des candidats vaccins n’a encore reçu d’autorisation de mise sur le marché.
Mais ça ne va pas tarder et ce, pour des raisons financières, bien entendu.
Mais pas celles que vous croyez…
 
En fait, il y en a un dont on sait qu’il ne va pas fonctionner : Celui de « Pfizer-&-Cie », tout simplement parce qu’il faut le conserver dans des frigidaires à – 80° C (ou – 70°C) entre « l’usine » et votre derme sous-cutané.
En plus c’est un « OGM »…
Quand on sait que la chaîne du froid à – 30° C a du mal à être totalement irréprochable pour vos produits surgelés, on imagine les difficultés logistiques qui vont se présenter.
Le second a l’avantage de se conserver « à l’abri de la chaleur », dans un frigo ou un sac isotherme (celui que j’utilise pour garder la bière au frais sur la route).
Le troisième est russe (Spoutnik V) et communique assez peu sur ses performances : Il reste douteux.
Et puis le quatrième est chinois, dont on sait également assez peu de choses, sinon que Pékin en use sans précaution particulière sur ces « chairs à vaccin » (qui sont autant de cobayes, comme nos généraux faisaient la même chose sur le front de 14-18) : Dans le tas, il y aura des survivants…
Et puis il y en a des dizaines d’autres qui en sont au stade expérimental, dont on espère tout de même qu’ils auront moins de contre-indications et de potentiels dangereux et plus de réussite que tous les autres… que les autorités s’arracheront !
 
On n’a pas résolu les problèmes de fabrication ni encore moins ceux de la logistique qui va avec tout ça que déjà tout le monde se pose la question de savoir à qui il sera distribué (vous savez les cobayes…) en priorité.
Moâ, je sais déjà : Comme d’habitude, ils seront réservés aux « soignants ». Ce sont eux qui phagocytent les vaccins contre les grippes saisonnières (les risques du métier), il n’y a pas de raison que ça ne soit pas le cas cette fois-ci (même si le « Conard-virus » fait à peine plus de mort que ladite grippe annuelle).
Mais ensuite ?
Eh bien comme d’habitude, les « seniors » et les populations à « santé-fragile ».
Pour les enfants, comme le tétanos, on verra plus-tard…
 
C’est que tout le monde se souvient de l’épisode de la grippe A et de son vaccin (pourtant éprouvé) : Il y a onze ans, « Rose-Lyne-Bache-l’eau », alors « sinistre de la santé » sous « Fifi-le-souteneur 2 » (avant de faire « amuseur » de radio et de rempiler sous « Jupiter »), doit faire face à une crise sanitaire sans précédent.
La « Gauloisie-réfractaire » est officiellement touchée par la grippe H1N1, un virus contagieux qui se transmet d’homme à homme, à partir du 30 juillet 2009 et à la mort d’une fillette sur le territoire.
Puisque le vaccin existe déjà, une vaste campagne de vaccination est lancée au mois de juillet 2009 et 94 millions de doses (pas moins) sont commandées par le gouvernement, avec dans l’idée de vacciner 75 % de ses ressortissants.
Je m’en souviens, j’étais né (et vous aussi) !
À l'époque, ce vaccin n’est pas obligatoire mais pour montrer l’exemple, la ministre décide de se faire vacciner sous l’œil des caméras dans un centre parisien.
Même pas mal…
 
« Les gestes de chacun font la santé de tous », lance alors la « sinistre » à la télévision pour inciter la population à se faire vacciner.
Chaque personne reçoit un bon de vaccination envoyé par l’Assurance Maladie, avec le nom du centre où se faire vacciner.
Six millions de courriers sont envoyés et 1.060 centres de vaccination, souvent des gymnases en raison de leurs grands espaces, sont identifiés au lancement de la campagne.
Il est aussi décidé d’organiser la campagne selon un ordre de priorité : Les premiers vaccins sont ainsi réservés au personnel médical, paramédical et aux aides-soignants des établissements de santé, ainsi qu’aux médecins et infirmiers du secteur ambulatoire.
Sont ensuite considérés comme prioritaires les femmes enceintes (à partir du deuxième trimestre de grossesse), l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois, ou encore les sujets âgés de 6 mois à 64 ans avec des facteurs de risque.
Le flop total : En huit mois, malgré les recommandations des autorités, seuls 5 millions de personne s’étaient fait vacciner contre la grippe H1N1 entre novembre 2009 et juin 2010, soit moins de 8,5 % de la population et on a jeté les doses en surplus !
Un gâchis ?
 
Une commission d’enquête parlementaire est donc créée en février 2010. Et dans son rapport rendu public en juillet de la même année, elle qualifie la campagne de vaccination d’« échec de santé publique », dont « le bilan a été insuffisant au regard des moyens engagés ».
Plusieurs problèmes sont alors pointés du doigt : Le faible taux de vaccination, un coût financier important, des résiliations de contrats coûteuses dues au fait que moins de personnes que prévues se sont faites vacciner, des stocks non écoulés, des commandes annulées, mais également des coûts de fonctionnement importants.
La totale, quoi…
Mais « principe de précaution » (devenu « constitutionnel » par la volonté du « Chi ») aura obligé à jeter l’argent du kontribuable par les fenêtres grandes ouvertes…
 
Ce bilan dressé par la commission d’enquête aura été révélateur, puisqu'il souligne un problème majeur qui rappelle étrangement la crise actuelle : « La pandémie a été le formidable révélateur d’une crise de confiance : nos concitoyens (…) se défient de la parole de l’État en période de crise sanitaire. »
Ah oui, déjà ?
« La défiance à l’égard de la vaccination constitue un défi pour l’avenir », écrivait déjà le rapporteur.
L’avenir, nous y sommes plongés en plein dedans.
Et de s’interroger : « Demain, il nous faudra peut-être faire face à une nouvelle pandémie à la gravité plus sévère. Comment ferons-nous si l’on ne croit plus aux mesures de santé publique ? »
D’où l’idée actuelle de rendre la vaccination obligatoire.
Naturellement qu’il vaudrait mieux se faire vacciner, même si ça ne fonctionne pas trop bien, mais si ça devient obligatoire, j’irai à reculons et en traînant des pieds (à moins que pour franchir une frontière il faille un carnet de santé à jour… comme pour aller en Afrique ou en Asie).
Comme « l’exil », j’ai déjà donné… ils ne sont pas près de me revoir à un poste frontière…
 
Et c’est là l’extraordinaire : Seuls 59 % des « Gauloisiens-patriotes » se disent prêts à se faire vacciner… contre 74 % au niveau mondial.
D’où l’idée de légiférer (une fois de plus) sur le sujet.
Et là, stupeur : Les fachos ne sont pas là où on pensait qu’ils se réfugient !
« Yan-nique-Yoda », le députacrouile européen de chez les « écololos-bobos » s’est dit favorable à une telle obligation : « Regardez le traumatisme que vivent nos sociétés. On ne peut pas se permettre aujourd’hui d’allonger la période de confinement, d’affaissement culturel, social, économique de notre pays », a-t-il fait valoir, au nom de l’impératif sanitaire.
Eh dukon, un vaccin, ça ne guérit pas les malades du moment, ça préserve seulement et potentiellement les futurs malades !
Et encore…
 
Chez les écolologistes, la prudence reste toutefois de mise : « Le sujet, de fait, c’est déjà la disponibilité du vaccin. Donc peut-être faut-il commencer par la vaccination obligatoire des plus fragiles, comme les personnes âgées, en surpoids, qui souffrent d’hypertension ou de diabète », réagit leur secrétaire général pour éteindre l’incedie.
Lequel reconnaît toutefois un mérite à la prise de position de « Yan-nique-Yoda » : « Si ça peut tordre le cou à l’idée que les écolos sont contre les vaccins, c’est bien. »
Il n’a vu que ça avec sa myopie intransigeante ?
Grosse rigolade de ma part…
Chez les « soces », qui sont du même bois et chantent sur la même partition la même rengaine on se prononce « pour la vaccination obligatoire », mais en précisant, « après validation par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ».
Ce qui n’est pas pour demain…
Ils viennent même de réviser leurs recommandations sur le « Rem-désir » que d’ici à ce qu’ils soutiennent demain le remède du professeur « Rat-out », il n’y a pas loin !
 
Alors qu’il y a des meks qui tentent de se servir de leur neurone (même chez les « écololos-bobos ». Lu sur « Twister » : « Il est irresponsable de parler d’obligation vaccinale sur un vaccin dont on ne connaît rien de l’efficacité et de l’innocuité. (…) Pour l’heure, il ne s’agit que d’un bon coup commercial et financier » pour Pfizer.
Moâ, je vois ses cours de bourse : À peine + 6 % une fois la fumée retombée, ce n’est pas le panard…
Le débat semble moins véhément au sein des autres formations politiques. Ce qui n’empêche pas des approches parfois divergentes : « Je suis très favorable aux vaccins, mais un peu plus réservé sur le fait de le rendre obligatoire. On verra », glisse au Parisien le président de LRD « Chrichi-Yacob », pour qui « il ne faut pas se précipiter ».
Ouf : Moins kon que les cryptos-fachos de gôche !
Quoique le secrétaire général de mon ex-parti, « croit » au besoin de rendre le vaccin obligatoire. « Aujourd’hui, on ne peut pas ne pas voir les privations de liberté considérables (…), le vaccin sera la clé de sortie et dès lors, je pense que la vaccination obligatoire est évidemment une piste à envisager », a-t-il confié sur Public Sénat.
« Certainement obligatoire pour un certain nombre de publics, dits fragiles, vulnérables » et les personnels soignants, plaide le patron des députacrouilles LRD.
 
Côté du gouvernement, sans surprise, on botte en touche : « Ce n’est pas une question que l’on règle en une demi-journée de débat médiatique ». Le sujet vient « trop tôt » alors que la « priorité est de s’assurer que l’on dispose d’un vaccin sûr et efficace et que l’on assure sa distribution ».
L’intendance, quoi, et rien d’autre…
Mais celle qui m’aura le plus étonné, c’est quand même « Marinella-tchi-tchi », celle dont le paternel (le « borgne de San-Coud ») voulait ouvrir des sidatoriums pour y enfermer les malades du Sida…
Une autre époque.
Elle aura indiqué préférer laisser à chacun le choix dans sa « Ford-intérieur ». Si un vaccin était prochainement mis sur le marché, « je dirais à nos concitoyens qu’ils sont des citoyens libres », a-t-elle déclaré, plaidant pour le droit d’« attendre de voir ce qu’il en est de ce vaccin ».
« Moi, en ce qui me concerne je me vaccinerai, mais je ne forcerai personne à se vacciner car nous sommes en liberté », a-t-elle soutenu.
En voilà une qui remonte de mon estime (qui l’avait placée largement sous le niveau de la mer…), sans pour autant refaire surface (je vous rassure) !
 
En fait, le problème est vraiment mal placé, une fois de plus.
L’empressement de certains hommes politiques de notre pays à vouloir nous faire piquer par des vaccins qui sont tout sauf finis – et dont la dangerosité est loin d’être parce que le développement sur des technologies nouvelles et sans recul ne permet pas, par définition, de définir un profil de risque précis – est plus lié à un problème économique qu’à un problème médical.
D’ailleurs vous ne serez pas vacciné en raison d’une balance bénéfices/risques médicale favorable mais d’une balance bénéfices/coûts économiques qui pourrait sembler à première vue positive mais qui ne l’est en réalité pas forcément.
Je m’explique : Chiffrer le coût du retard de la vaccination de la population est un exercice périlleux. En clair, si on vaccine tout le monde dès début 2021 et que l’on peut reprendre notre vie d’avant ce sera très vite très bon pour l’économie.
Si on attend pour vacciner, cela va risquer de nous coûter « un pognon de dingue » en perte de croissance puisqu’il faudra continuer à vacciner !
 
Pour résumer les récents travaux d’économistes, un décalage de six mois dans l’administration d’un vaccin amputerait le PIB « Gauloisien-richissime » de 60 milliards d’euros cumulés sur deux ans, soit environ 3 points de PIB !
Voilà le véritable enjeu (loin des bénéfices boursiers et financiers de Pfizer) : On ne parle plus de centaines de millions de dollars, mais de dizaines de milliards d’euros, et encore, sur un seul pays, pas tout autour de la planète…
C’est pour cette raison fondamentale de balance coûts/bénéfices économiques que l’on voudra vous piquer, même de force, avec des produits sur lesquels nous n’avons aucun recul suffisant…
Car si nous restons sur le plan financier, un vaccin injecté à des millions de personnes, s’il est mauvais, entraînera des coûts considérables de soins par la suite et de façon structurelle.
Il ne faut donc pas uniquement regarder le coût du vaccin si nous décalons sur 6 mois, mais aussi le bénéfice à ne rien faire ou à attendre d’autres candidats vaccins puisque je rappelle que nous n’avons pas qu’une seule piste mais plusieurs.
 
Sur le plan politique, expliquer que le « Conard-virus » ne fait pas plus de morts que la « grippette-saisonnière » et que le taux de létalité est de 0,5 % mais qu’il faut vacciner tout le monde avec un taux de problème de 1 %, ça sera dans tous les cas dévastateur !
Et juridiquement, il faudra trouver le moyen de contraindre la population à aller se faire piquer de force et à jouer les cobayes, ce qui n’est pas gagné au moment où le semi-confinement « 2.0 » semble donner quelques résultats positifs, et qui en cas de problème se retournera forcément contre l’autorité des « sachants ».
Il faut vous rappeler que les laboratoires veulent se faire exonérer de toute responsabilité en cas de problème et ce sera donc aux États d’indemniser les malades chroniques, et ceux pour qui cela se passera mal…
Ce n’est pas si innocent que ça, un vaccin c’est un produit vivant créé à partir d’un pathogène bien réel : Il doit bien y avoir au moins une, même une seule, raison pour ça, n’est-ce pas ?
 
En somme, ce n’est pas que votre vie dont il est question pour jouer avec cette histoire-là, ni son « confort » perdu, mais il s’agit bien vos impôts.
Notez qu’on en a tellement claqué depuis le début de la crise que désormais « l’État-Gauloisien » se finance à 50 % par ses prélèvements obligatoires et 50 % par la dette.
Alors un peu plus ou un peu moins…
Mais ça aura été révélateur.
 
En attendant, « Jupiter » va parler ce soir : J’ai hâte d’écouter « la messe », parce que, globalement, tout le monde sait ce qu’il va annoncer.
Peut-être qu’on n’aura même pas besoin d’un passeport-sanitaire dûment tamponné l’année prochaine pour aller se faire dorer la pilule « par ailleurs ».
Bé oui : Tu vaccines les 41 % de « volontaires », même avec de la poudre de perlimpinpin, et il est probable que le « Conard-virus » s’évaporera avant l’été…

2 commentaires:

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  2. Bonjour Nadimoberlies !
    Merci pour votrer passage jusqu'ici, mais il s'agit d'un site francophone qui ne se fait pas le relai d'hameçonnage.
    Aussi, je sui obligé de vous censurer !
    Désolé !
    Bonne journée tout de même à vous !
    I-Cube

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