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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 13 novembre 2020

La tournée de Jean-Marc

Sa collecte hebdomadaire…
 
On sonne à la porte. Germaine se lève pour ouvrir à son visiteur :
« – Bonjour madame », dit le représentant, « je veux…. bla … bla … bla …
– Bien ! Magnifique ! Votre façon de présenter les choses me plaît beaucoup.
Maintenant, montrer moi votre façon d’en finir au plus vite ! »
 
C’est un prêtre qui a envie pressante de se soulager.
Il se précipite dans un Bar et demande au barman :
« – Où sont les toilettes s’il vous plaît ?
– Vous prenez cette porte et c’est au fond du couloir.
– D’accord, merci. »
Soudain, le barman le rappelle :
« – Attendez, mon père !
– Qu’est-ce qu’il y a ?
– J’ai oublié de vous dire que dans le couloir se trouve la statue d’une femme dont le sexe, si je peux me permettre le mot, est caché par une feuille de vigne. J’ai peur que cela vous gêne… »
Le prêtre lui répond :
« Oh, ça ? Vous savez tant que c’est caché tout va bien. Et puis de toute façon, ça ne m’intéresse pas du tout ! »
Il prend donc la porte et revient 3 minutes plus tard.
À peine a-t-il ouvert la porte que tous les clients l’applaudissent en scandant des : « Bravo ! il est des nôôôôtres… »
Le prêtre se tourne alors vers le Barman :
« – Je ne vois pas en quoi aller aux toilettes est un évènement !
– Ils veulent parler de la statue…
– Et bien quoi la statue ?
– Quand on soulève la feuille de vigne, la lumière du bar s'éteint ! »
 
« – Docteur », dit Jean-Marc, « ma femme vous a consulté, il y a un mois, et depuis ce jour, ou à peu près, elle n’est plus la même.
– C’est-à-dire ?
– Ben avant, elle était gentille avec moi, me cajolais, m’embrassait dans le cou, me disait des mots tendres…
– Et maintenant ?
– Maintenant, elle rentre tard à la maison, trouve toujours des choses à faire sans moi, elle ne me regarde plus, et me parle même brutalement.
– Je ne comprends pas.
– Lui avez-vous prescrit des médicaments ? C’est peut-être ça ?
– Aucunement, je lui ai juste dit de changer la force de ses lunettes. »
 
« – Chéri, une fois que nous serons mariés, m’aimeras-tu autant ?
– Oui. Mais oui, j’ai toujours aimé les femmes mariées. »
 
« – Comment peut-on marier une femme riche, belle, intelligente et jeune ?
– En se mariant quatre fois, nigaud. »
 
On demande à un petit gars de 4 ans :
« Peux-tu faire une phrase avec “poulet”, “poussin” et “clément” ? »
Le petit gars réfléchit puis dit :
« Poulet-tu avoir poussin centime de clément glacé. »
 
Une dame vient de mourir.
Aujourd’hui, c’est son enterrement.
Après la cérémonie religieuse, les employés du service de pompes funèbres transportent le cercueil hors de l’église jusqu’au corbillard.
À la sortie, les porteurs heurtent le mur de l’église avec le cercueil.
Celui-ci tombe violemment sur le sol, provoquant une stupéfaction générale.
Dans la confusion, l’un des porteurs entend un gémissement qui semble venir du cercueil.
On décide de l’ouvrir et on découvre que la femme est encore bel et bien vivante. Elle vivra d’ailleurs une bonne dizaine d’années.
Au moment de son décès, le vrai, on dit la messe à la même église.
Quand les porteurs s’approchent du mur, le veuf s’approche…
« Faites attention à ce foutu mur ! »
 
Une dame âgée entre dans la cabine téléphonique.
Elle dépose ses pièces de monnaie, et compose le numéro. Elle parle, elle parle, elle parle.
La cabine téléphonique est située à trois mètres de l’arrêt d’autobus, et les gens le regarde, dont Jean-Marc qui rapporte cette histoire-là.
Elle parle de plus en plus fort :
« Oui, attendez, ne raccrochez pas ! »
Elle prend l’annuaire, le pose par terre, et monte dessus.
Puis elle continue de parler, et elle répète :
« Non, non ! Ne raccrochez pas. Une petite minute. Je reviens. »
Elle prend un second annuaire, le pose sur le premier, monte dessus, et reprend la conversation.
« Comment ? Non. Attendez. Oui, c’est ça. »
Elle parle quelques secondes, et reprend son manège une troisième fois.
Montée sur les trois annuaires, elle reprend le combiné et hurle :
« Non, non ! Je le regrette, mais je ne peux pas parler plus haut ! »
 
Le petit Jean-Marc qui passe le mois d’août dans un camp de vacances, est puni parce qu’il mène le diable dans le dortoir.
Pour le calmer, il devra éplucher les légumes, à la cuisine.
Le soir, le directeur passe à la cuisine, et découvre Jean-Marc, assis, les bras croisés, qui regarde son copain qui fait le travail.
« – Alors Jean-Marc tu ne travailles pas ?
– Non m’sieur, on s’est partagé le travail.
– Ah oui ! Et toi tu fais quoi ?
– Ben, je pleure. »
 
Trois jeunes et jolies femmes se racontent leurs petites habitudes pour savoir si elles ont passé vraiment une belle soirée…
« – Moi », dit la première, « je prends mon chapeau et le lance sur le crochet. S’il reste accroché cela veut dire que j’ai passé une bonne soirée.
– Moi », dit la seconde, « c’est simple, j’enlève mes souliers et les lance. S’ils tombent correctement droit un à côté de l’autre, c’est que j’ai passé une bonne soirée.
– Ben moi », termine la troisième, « je lance ma petite culotte au plafond et si elle reste collée… »
 
Trois mères parlent de leurs fils.
La première dit :
« Mon fils, a bien réussi. C’est le meilleur avocat de Paris ».
La seconde dit :
« Mon fils c’est mieux. C’est le meilleur psychiatre de Paris »
La troisième dit :
« Mon fils n’a pas si bien réussi. Il n’a pas un bon travail et il est homosexuel. Mais il a deux petits amis.
L’un c’est le meilleur avocat de Paris. Et l’autre, c’est le meilleur psychiatre de la ville. »
(C’est une revenue sous de multiples formes…)
 
« – Ce que je cherche pour ce poste », dit le directeur du personnel, « c’est une personne responsable.
Alors monsieur, je suis votre homme ! » s’exclame Jean-Marc.
« Partout où j’ai travaillé, chaque fois qu’il se passait quelque chose, on disait que c’était moi le responsable. »
 
Aux États-Unis, un type est condamné à la chaise électrique.
Curieux de nature, il ne peut résister au besoin de questionner le bourreau au moment où celui-ci l’attache à la chaise :
« – Dites, comment ça marche, votre truc ?
– Ne vous en faites pas, je vais vous mettre au courant. »
 
Jean-Marc tambourine à la porte d’un sex-shop.
« – C’est un scandale ! » hurle-t-il. « Retirez ça immédiatement !
Vous entendez, enlevez-moi ça ! »
Voulant éviter un scandale, le vendeur sort :
« – Mais enlever quoi ?
– La buée, on n’y voit rien ! »
 
Jean-Marc reconfine avec son voisin de balcon, Jean-Paul, chacun devant une bière.
« Finalement, il y a deux choses de vraiment importantes dans la vie : Une bonne paire de souliers et un bon lit.
Quand tu n’es pas dans l’un, tu es dans l’autre. »
 
Germaine et Marie-Chantal prenne l’apéro en plein reconfinement, chacune sur leur balcon contigu.
Elles sont encore dans la quarantaine et depuis qu’elles se connaissent, elles sont toujours en compétition : Maris, amants, bijoux, voyages…
« – Je voudrais bien savoir », dit l’une en minaudant, « qui est ce monsieur qui me regarde avidement depuis dix minutes ?
– Lui ? C’est un antiquaire. »
 
Depuis plusieurs années, Jean-Paul et Marie-Chantal font chambre à part.
Une nuit, Jean-Paul est réveillé par des cris d’effroi de son épouse.
Il se précipite dans sa chambre juste le temps de voir un homme s’échapper par la fenêtre.
« Que s’est-il passé ? » crie-t-il, bouleversé.
« – Un type s’est introduit ici et m’a violée à deux reprises !
– Comment ça à deux reprises ? Pourquoi n’as-tu pas crié tout de suite ?
– Parce que je croyais que c’était toi !
Ce n’est que quand il a voulu remettre ça que j’ai compris. »
 
Jean-Marcel, qui est particulièrement avare, rentre dans son appartement, un vendredi soir, après une soirée avec sa blonde, Marinette.
Jean-Marc lui demande :
« – Cette fois tu ne vas pas me faire croire que tu as passé la soirée avec une fille pareille avec seulement 20 € à vous deux !
– Je n’avais pas le choix : C’est tout ce qu’elle avait. »
 
Germaine, c’est bien connu, verse également dans l’avarice.
Au printemps dernier, elle fait passer une petite annonce pour recruter une assistante dans son salon de coiffure de Cagnes-sur-Mer, à proximité de Nice.
« – Je t’avertis, en été, le salaire est plus bas.
– Pourquoi, le travail est le même » dit la femme qui vient pour se faire embaucher.
« Pas tout à fait, l’été tu n’es pas obligée d’aider les clientes à enfiler leur manteau de fourrure. »
 
Un rabbin, un pasteur et un curé sont en train de discuter à propos des pigeons qui ont élu domicile dans le clocher.
Chacun propose des solutions pour s'en débarrasser.
Le rabbin dit :
« Il faut les enfumer… Ou bien essayer de les effrayer comme le font les agriculteurs dans les champs avec des bazookas. »
Le pasteur dit :
« Moi j'essaierai plutôt le blé empoisonné. »
Alors le curé les regarde tous les deux d’un air triste et leur dit :
« Vraiment, je pense qu’il y a une manière beaucoup plus facile de se débarrasser de ces pigeons : Il n’y a qu’à les baptiser, leur faire faire leur première communion et après on ne les reverra plus. »
 
Germaine rencontre, après plusieurs années, une amie de collège et vont prendre un café.
« – Moi, mon mari est un ange » dit l’amie de collège.
« – Chanceuse. Moi, il vit encore. »
 
Dans le bus, Jean-Marc et un autre passager réalisent qu’ils ont le même œil au beurre noir.
Amusés, ils engagent la conversation et se racontent mutuellement l’origine de leurs ennuis.
Le passager anonyme explique :
« Je vends des billets à la gare de Trois-Cochons.
Une femme est arrivée très en retard pour prendre son train.
Elle avait une poitrine si généreuse que j’en ai perdu mon latin.
Au lieu de lui dire : ‘‘Je crois, Madame, que votre train est en train de sonner’’, ma langue a fourché et j’ai dit “Je vois, Madame, que votre sein est en train de trôner.”
Elle m’a alors donné un coup de poing en pleine figure !
« – C’est curieux », dit Jean-Marc. « Il m’est arrivé exactement la même chose. Je soupais hier avec ma femme et au lieu de dire “Tu peux me passer encore un peu de soupe, chérie,” ma langue a fourché, et j’ai dit : “Pourquoi je gâche ma vie avec toi, grosse conne !” »
 
La grange de Dumè vient de brûler.
Son assureur lui rend visite…
« – J’ai une bonne nouvelle pour vous Dumè.
Nous ferons beaucoup mieux que vous verser un montant d’argent pour votre grange : Notre compagnie va en construire une toute neuve !
– Ah bon ? Alors puisque c’est comme ça, j’annule immédiatement l’assurance-vie que j’ai contracté sur ma femme, Francesca. »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« Pisser dans la glycine… »
« Suivre des yeux le gras du bide… »
« L’arbitre a été d’abord sur ce cul ! »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Salut les copains ! »
« Les premiers chrétiens ont montré leur calvaire à l’unisson. »
« Les jeunes filles gardent toujours leur cœur pour le vaincu… »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »

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