À lui les vendredis !
Un quidam drague une très riche veuve,
qui a déjà enterré quatre maris.
Il lui fait une cour à tout casser.
Mais la dame ne mord pas à l’hameçon.
« – Écoutez, monsieur, je commence à être découragée.
Pensez-y ! Quatre fois veuve…
– Bof ! Faut pas s’en faire. Essayez encore une autre fois : La chance va peut-être tourner. »
Jean-Marc et Jean-Paul
reconfinent, chacun sur leur balcon et partagent une bière.
« – Sais-tu qu’il n’existe seulement
que trois tailles de préservatifs ?
– Ah bon ?
– Oui ! Petit, moyen et vantard ! »
La malheureuse épouse d’un gangster qui
vient d’être guillotiné promène son petit garçon dans un parc.
Sa voisine s’émerveille :
« – Mon Dieu ! Comme votre garçon a grandi !
– Oui, c’est sûr qu’il aura au moins
une tête de plus que son père ! »
Marie-Madeleine demande une
augmentation à son patron.
« – Vous savez plusieurs organismes très importants me courent après…
– Ah bon. Et vous pouvez me donner leurs
noms ?
– Bien-sûr… EDF, GDF, Visa, Cofinoga, Netflix … »
En plein hiver, un couple d’amoureux
roule en voiture lorsqu’un pneu éclate.
Il fait – 15° C et des rafales de neige balaye l’horizon.
Le gars descend et se met au boulot.
Mais pauvre lui, il n’a pas de gants, ce qui fait qu’à peine il a dévissé deux écrous de la roue, il est obligé de rentrer dans la voiture pour se réchauffer.
Le voyant rentrer avec ses mains bleuies par le froid, sa copine lui dit :
« Mets tes mains entre mes jambes, ça les réchauffera très vite ! »
C’est ce que fait le gars, et dix minutes plus tard, il est à nouveau dehors.
Mais après avoir retiré les deux derniers écrous, il rentre à nouveau pour se faire réchauffer les mains, toujours de la même façon.
Ça recommence une nouvelle fois, le temps de remonter la roue de secours, puis le gars remonte en voiture, la roue remplacée, et la voiture est prête à repartir.
Au moment où il met la clé dans le contact, la copine lui dit :
« T’aurais pas froid aux oreilles par hasard ? »
Jean-Marc et Jean-Paul prennent
place dans un restaurant à la mode, très chic et très cher juste avant le
reconfinement.
Les deux hommes, pour ne pas tacher
leurs chemise et cravate attachent leur serviette derrière le cou.
Le patron, chuchote à l’oreille du maître d’hôtel pour qu’il trouve un moyen de convaincre les deux gougnafiers d’enlever leur serviette.
« – Mais tu ne dois pas les humilier car ils dépensent beaucoup.
– Je vais voir… »
Le maître d’hôtel s’approche de la
table de nos deux compères :
« Alors, messieurs, si c’est pour les cheveux, c’est à deux portes d’ici.
Sinon, inutile d’attacher vos
serviettes. »
« – Moi », dit Jean-Michel, « je rêve de gagner
20.000 € par mois, comme mon père. »
– Hein ? Ton père gagne 20.000 €
par mois ?
– Non, mais il en rêve aussi… »
Le juge rend enfin son jugement :
« – Vous êtes condamné à 1.000 € d’amende pour outrages et injures à un agent de la force publique.
Avez-vous quelque chose à ajouter ?
– Oui, mais à ce tarif-là, je n’ose pas. »
Une jeune fille se présente pour une
place d’employée de maison.
La dame dit :
« – Vous verrez, mademoiselle, je ne suis pas très difficile.
–
Je sais, Madame. J’ai aperçu Monsieur en entrant ! »
Germaine téléphone à l’électricien.
« – Non mais qu’est-ce qui se passe ? Je vous ai téléphoné à huit heures ce matin, pour vous demander de venir réparer ma sonnette.
Il est passé midi, personne n’est venu,
et vous m’aviez promis de passer vers 9 heures.
– Mais je suis venu !
– Ne me dites pas ça ! Je n’ai pas bougé de la maison, je vous attendais.
– Mais j’ai même sonné à plusieurs reprises. Et comme personne ne venait ouvrir, j’ai pensé que vous n’étiez pas là, alors je suis parti.
– Quouaaaaa ! Vous n’avez même pas pensé à cogner dans la porte ?
– Non, je vous ai dit que j’ai sonné. Plusieurs fois en plus ! »
« – Moi, mon patron, il a un
caractère égal. Très égal.
– Chanceuse, va !
– Non, un enfer : Il est toujours de mauvaise humeur. »
Germaine est pingre.
Jean-Marc, son mari vient d’appeler un taxi pour une course.
« Et je t’avertis : Ne
commence pas à jaser et à faire copain-copain avec le chauffeur.
Ça finit toujours par de gros
pourboires.
Mieux vaut prendre un air renfrogné. »
C’était avant le second confinement…
Au restaurant, Germaine attend depuis quinze minutes et le garçon ne s’est pas encore pointé.
Alors elle se fâche :
« – Garçon ! Garçon ! Non mais vous allez me faire attendre encore longtemps comme ça. Mais c’est épouvantable !
Tu parles d’un service pourri.
– Pardon madame, mais vous êtes injuste ! Comment pouvez-vous affirmer que le service est pourri alors que je ne vous ai encore rien servi ? »
Une femme très active sexuellement
depuis de longues années cherche toujours l’expérience totale qui lui donnerait
le plus grand des frissons.
La plus forte des émotions.
Elle publie une petite annonce où elle offre une récompense à celui qui lui donnera la jouissance extrême.
Elle reçoit quelques jours plus tard la visite de Jean-Marc qui lui promet de l’envoyer au 7ème ciel.
« – Oui, mais que ferez-vous ?
– Je vais vous lécher le nombril.
– Vous êtes fou, ça ne va rien me faire si vous me léchez le nombril !
– Peut-être, mais sûrement pas de l’intérieur. »
Après une scène de ménage, Jean-Marc
offre à sa femme un manteau de putois dont elle rêvait depuis longtemps.
Folle de joie, elle s’écrie :
« – Jamais je n’aurais cru qu’une bête aussi puante puisse donner un si beau manteau.
– Je ne te réclame pas de
remerciements, mais au moins, aies un peu de respect. »
Jean-Marc et Jean-Paul sur leur
balcon respectif, chacun devant une énième bière, en plein reconfinement, se
plaignent d’avoir froid.
« Oh ce n’est rien. Il paraît
qu’hier, il faisait tellement froid que les exhibitionnistes se contentaient de
se décrire ! »
Jean-Marc et Jean-Paul devise
devant une autre bière, en plein confinement.
« – Ma femme rêve toutes les
nuits qu’elle mariée avec un millionnaire.
– Moi, c’est le jour qu’elle rêve
qu’elle est mariée avec un millionnaire.
Résultat, je n’ai plus un radis. »
C’était il y a longtemps (on ne
confinait pas encore les gens) : Jean-Marc et Germaine se sont
mariés et comme ils n’avaient pas assez d’argent leur permettant de faire un
voyage de noces, ils se sont installés à la demeure de la maman de Jean-Marc…
Au matin, le jeune frère de Jean-Marc, Jean-Alexandre demande à sa maman si les nouveaux mariés sont levés ?
La maman répondit NON
Avant de quitter la maison pour l’école Jean-Alexandre dit à sa maman, « veux-tu savoir ce que j’en sais ? »
La maman dit NON « je ne veux pas le savoir, vas à l’école. »
De retour pour le repas du midi, Jean-Alexandre interroge de nouveau sa maman sur le même sujet.
La réponse fut, non ils ne sont pas levés.
« Maman, veux-tu savoir ce que j’en crois… »
Non, « retourne en classe, c’est bon ».
De retour pour le souper, Jean-Alexandre demande s’ils sont levés, et la maman répond NON « pas encore ».
« – Maman, veux-tu savoir ce que j’en sais ?
– Oui, OK. Dis-le-moi…
– Hier soir, Jean-Marc est venu dans ma chambre pour me demander de la vaseline et par mégarde, je pense lui avoir donné le pot de Superglue que j’utilise pour construire mes maquettes d’avions miniatures… »
Le jeune Jean-Marc vient trouver
sa mère et lui dit :
« Maman, je viens d’entendre ce que papa disait à la bonne ».
La mère, dressant l’oreille demande aussitôt :
« – Et qu’est-ce qu’il lui disait ?
– Eh bien, il lui disait qu’il allait
lui faire une grande surprise pour ses étrennes parce qu’elle était une des
plus jolies filles qu’il n’ait jamais vues. »
La mère ne dit rien, et Jean-Marc
continue :
« – D’après toi, maman, qu’est-ce que ça peut être, cette surprise ?
– Eh bien, c’est que la bonne va nous
quitter dès demain, et qu’elle ne le sait pas encore. »
« – Jean-Etienne, maman me
demande de te remettre le collier que tu m’as offert à Noël. Elle dit que je ne
dois pas accepter ce genre de cadeau.
– Voyons, je vais parler à ta mère…
– Inutile, elle l’a fait expertiser. »
« Madame », dit le
médecin de Jean-Marc, « votre mari a besoin de beaucoup de
repos.
Voici une ordonnance pour des tranquillisants.
Vous prendrez un comprimé toutes les six heures ! »
Germaine se rend dans le centre commercial
avec son fils, âgé de 5 ans.
« – Oh madame, comme vous avez un beau garçon » lui dit une employée d’une boutique de lingerie.
« – Pas besoin de lui dire », répond le gamin, « on le sait. »
(C’est une « revenue » de chez Dumé en parlant à des touristes continentaux : « Pas le peine de nous dire que notre île est très belle : Nous, on le sait ! »)
Un libraire, confiné, s’occupe comme il
peut et déclare :
« De nos jours, un livre est assuré de bien se vendre s’il y a une jolie fille sur la couverture.
Et il se vendra deux fois mieux encore
s’il n’y a pas de couverture sur la jolie fille. »
Jean-Marc dit à sa femme :
« – Tous les matins, quand je
me rase, j’ai l’impression de rajeunir de vingt ans !
– Rase-toi le soir, mon chéri ! »
De Jean-Paul à Jean-Marc devant
une autre bière
« – Il va falloir que je ferme mon zoo !
– Pourquoi ça ?
– Mon chat est mort… »
C’était après s’être sortis de leur
fâcheuse posture chez belle-maman (il y a longtemps de ça) Jean-Marc et
Germaine se décide à poursuivre leur nuit de noces à l’hôtel.
En arrivant à l’hôtel choisi pour ses prix attractifs, Germaine dit :
« – Moi, je trouve ça stupide de passer pour des nouveaux mariés.
Et si on leur faisait croire qu’on est
marié depuis un bon moment ?
– Pas de problème.
Porte les valises ! »
Jean-Marc vient d’être reçu pour
un entretien d’embauche.
Son patron éventuel téléphone au patron
de la boîte qu’il a donné en référence.
« – Bonjour monsieur, bla, bla, bla, dites-moi, ce monsieur Jean-Marc a travaillé combien de temps chez vous ?
– Environ deux semaines.
– Pas plus ? Il me semblait que…
– C’est à dire qu’il a passé deux ans chez nous, mais je ne crois pas qu’il ait travaillé plus de deux semaines. »
Jean-Marc entre chez le bijoutier
en état de grande panique.
« Monsieur, avez-vous un bijou spécial
pour le lendemain de l’anniversaire de mariage… ? »
Jean-Sylvestre arrive à l’école avec un
poumon d’acier.
« – Mais c’est un poumon d’acier » s’exclame l’institutrice.
« – Oui ! Un vrai !
– Mais il appartient à qui ?
– À mon père.
– Il t’a laissé faire ?
– Non.
– Il t’a dit quoi ?
– Piouffff ! »
Germaine et Marie-Chantal, au
téléphone, en plein confinement :
« – Moi, mon mari me donne de l’argent comme si c’était de l’eau…
– Ah oui, chanceuse, va ! Mais comment
ça ?
– Oui, comme de l’eau… en goutte à goutte. »
Solutions des contrepèteries de la
semaine dernière :
« Ah, les
plaisantes érections… »
« Elle bavait quand on l’a enculée ! »
« Et la petite prison dans la mairie ? »
Celles proposées cette
semaine à votre sagacité :
« Glisser dans la
piscine… »
« Suivre des yeux le bras du guide… »
« L’arbitre a été d’accord sur ce but ! »
Bon week-end à toutes et
à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon
« gardien » et « sa bibliothèque »
Il lui fait une cour à tout casser.
Mais la dame ne mord pas à l’hameçon.
« – Écoutez, monsieur, je commence à être découragée.
– Bof ! Faut pas s’en faire. Essayez encore une autre fois : La chance va peut-être tourner. »
– Oui ! Petit, moyen et vantard ! »
Sa voisine s’émerveille :
« – Mon Dieu ! Comme votre garçon a grandi !
« – Vous savez plusieurs organismes très importants me courent après…
– Bien-sûr… EDF, GDF, Visa, Cofinoga, Netflix … »
Il fait – 15° C et des rafales de neige balaye l’horizon.
Le gars descend et se met au boulot.
Mais pauvre lui, il n’a pas de gants, ce qui fait qu’à peine il a dévissé deux écrous de la roue, il est obligé de rentrer dans la voiture pour se réchauffer.
Le voyant rentrer avec ses mains bleuies par le froid, sa copine lui dit :
« Mets tes mains entre mes jambes, ça les réchauffera très vite ! »
C’est ce que fait le gars, et dix minutes plus tard, il est à nouveau dehors.
Mais après avoir retiré les deux derniers écrous, il rentre à nouveau pour se faire réchauffer les mains, toujours de la même façon.
Ça recommence une nouvelle fois, le temps de remonter la roue de secours, puis le gars remonte en voiture, la roue remplacée, et la voiture est prête à repartir.
Au moment où il met la clé dans le contact, la copine lui dit :
« T’aurais pas froid aux oreilles par hasard ? »
Le patron, chuchote à l’oreille du maître d’hôtel pour qu’il trouve un moyen de convaincre les deux gougnafiers d’enlever leur serviette.
« – Mais tu ne dois pas les humilier car ils dépensent beaucoup.
« Alors, messieurs, si c’est pour les cheveux, c’est à deux portes d’ici.
– Non, mais il en rêve aussi… »
« – Vous êtes condamné à 1.000 € d’amende pour outrages et injures à un agent de la force publique.
– Oui, mais à ce tarif-là, je n’ose pas. »
La dame dit :
« – Vous verrez, mademoiselle, je ne suis pas très difficile.
« – Non mais qu’est-ce qui se passe ? Je vous ai téléphoné à huit heures ce matin, pour vous demander de venir réparer ma sonnette.
– Mais je suis venu !
– Ne me dites pas ça ! Je n’ai pas bougé de la maison, je vous attendais.
– Mais j’ai même sonné à plusieurs reprises. Et comme personne ne venait ouvrir, j’ai pensé que vous n’étiez pas là, alors je suis parti.
– Quouaaaaa ! Vous n’avez même pas pensé à cogner dans la porte ?
– Non, je vous ai dit que j’ai sonné. Plusieurs fois en plus ! »
– Non, un enfer : Il est toujours de mauvaise humeur. »
Jean-Marc, son mari vient d’appeler un taxi pour une course.
Mieux vaut prendre un air renfrogné. »
Au restaurant, Germaine attend depuis quinze minutes et le garçon ne s’est pas encore pointé.
Alors elle se fâche :
« – Garçon ! Garçon ! Non mais vous allez me faire attendre encore longtemps comme ça. Mais c’est épouvantable !
– Pardon madame, mais vous êtes injuste ! Comment pouvez-vous affirmer que le service est pourri alors que je ne vous ai encore rien servi ? »
La plus forte des émotions.
Elle publie une petite annonce où elle offre une récompense à celui qui lui donnera la jouissance extrême.
Elle reçoit quelques jours plus tard la visite de Jean-Marc qui lui promet de l’envoyer au 7ème ciel.
« – Oui, mais que ferez-vous ?
– Vous êtes fou, ça ne va rien me faire si vous me léchez le nombril !
– Peut-être, mais sûrement pas de l’intérieur. »
Folle de joie, elle s’écrie :
« – Jamais je n’aurais cru qu’une bête aussi puante puisse donner un si beau manteau.
Résultat, je n’ai plus un radis. »
Au matin, le jeune frère de Jean-Marc, Jean-Alexandre demande à sa maman si les nouveaux mariés sont levés ?
La maman répondit NON
Avant de quitter la maison pour l’école Jean-Alexandre dit à sa maman, « veux-tu savoir ce que j’en sais ? »
La maman dit NON « je ne veux pas le savoir, vas à l’école. »
De retour pour le repas du midi, Jean-Alexandre interroge de nouveau sa maman sur le même sujet.
La réponse fut, non ils ne sont pas levés.
« Maman, veux-tu savoir ce que j’en crois… »
Non, « retourne en classe, c’est bon ».
De retour pour le souper, Jean-Alexandre demande s’ils sont levés, et la maman répond NON « pas encore ».
« – Maman, veux-tu savoir ce que j’en sais ?
– Hier soir, Jean-Marc est venu dans ma chambre pour me demander de la vaseline et par mégarde, je pense lui avoir donné le pot de Superglue que j’utilise pour construire mes maquettes d’avions miniatures… »
« Maman, je viens d’entendre ce que papa disait à la bonne ».
La mère, dressant l’oreille demande aussitôt :
« – Et qu’est-ce qu’il lui disait ?
« – D’après toi, maman, qu’est-ce que ça peut être, cette surprise ?
– Inutile, elle l’a fait expertiser. »
Vous prendrez un comprimé toutes les six heures ! »
« – Oh madame, comme vous avez un beau garçon » lui dit une employée d’une boutique de lingerie.
« – Pas besoin de lui dire », répond le gamin, « on le sait. »
(C’est une « revenue » de chez Dumé en parlant à des touristes continentaux : « Pas le peine de nous dire que notre île est très belle : Nous, on le sait ! »)
« De nos jours, un livre est assuré de bien se vendre s’il y a une jolie fille sur la couverture.
« – Il va falloir que je ferme mon zoo !
– Mon chat est mort… »
En arrivant à l’hôtel choisi pour ses prix attractifs, Germaine dit :
« – Moi, je trouve ça stupide de passer pour des nouveaux mariés.
– Pas de problème.
Porte les valises ! »
« – Bonjour monsieur, bla, bla, bla, dites-moi, ce monsieur Jean-Marc a travaillé combien de temps chez vous ?
– Pas plus ? Il me semblait que…
– C’est à dire qu’il a passé deux ans chez nous, mais je ne crois pas qu’il ait travaillé plus de deux semaines. »
« – Mais c’est un poumon d’acier » s’exclame l’institutrice.
« – Oui ! Un vrai !
– À mon père.
– Il t’a laissé faire ?
– Non.
– Il t’a dit quoi ?
– Piouffff ! »
« – Moi, mon mari me donne de l’argent comme si c’était de l’eau…
– Oui, comme de l’eau… en goutte à goutte. »
« Elle bavait quand on l’a enculée ! »
« Et la petite prison dans la mairie ? »
« Suivre des yeux le bras du guide… »
« L’arbitre a été d’accord sur ce but ! »
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