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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 16 novembre 2020

Ça nous promet un drôle de Noël…

…Même pas drôle !
 
Déjà l’année dernière, je venais de perdre ma « Môman-à-moâ » et j’avais envisagé d’aller me « ressourcer » loin de tout en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » à déguster le figatellu dans mon maquis avec une poignée de « cousins » locaux, et puis ça ne s’était pas fait…
Là, cette année, alors que la chasse au sanglier est ouverte (en Haute-Corse seulement : Tant pis pour les « sudistes »), ce n’est pas plus envisageable.
 
De deux choses l’une : Soit la crise sanitaire sera derrière nous et on sera remis en liberté conditionnelle de circuler de nouveau sans entrave pour bien faire zouker nos virus réciproques à travers toute la planète et on est bon pour un troisième confinement avant la fin janvier ;
Soit on se tient cloîtré dans notre kilomètre autorisé et adieu les pistes de ski à Vergio, Vizzavona et Asco !
 
Noël en famille alors, avec la seule « Nichée » confinée dans le kilomètre ?
Ça va être triste comme l’année dernière en l’absence de leur grand-mère.
Et puis sans « messe de minuit », ce n’est pas pareil.
Notez que je n’ai jamais fait une messe de minuit avec ma « Môman-à-moâ » : Elle avait d’autres chats à fouetter que de partager le boudin-blanc…
Ne me demandez pas quoi, je n’ai jamais su (et je ne veux pas savoir…).
En revanche, gamins (et même adulte) la distribution des cadeaux du « Père Noël » aux enfants sages aura toujours fait briller les yeux « des petits & des grands » : Un moment magique, qui dure et dure au pied du sapin décoré comme… un sapin de Noël.
Pas cette année : On n’est même pas sûr d’avoir un épineux devant la cheminée !
 
En revanche, j’ai déjà acheté le foie gras et commandé le caviar pour la Saint-Sylvestre : On ne sait jamais…
Et un calendrier de l’avant de bouteilles de bières exotiques et encore un autre de mignonettes de différents alcools forts : Je ne serai pas pris au dépourvu.
Si un peu plus d’un « Gauloisien » sur deux envisagent de ne pas passer Noël en famille par crainte des contaminations au « Conard-virus » (selon un récent sondage réalisé par OpinionWay pour Proximis), armé comme je le suis avec tous ces « gels-hydroalcooliques » là, je pense passer entre les gouttes encore cette fois-ci.
Mais ne sait-on jamais ?
Mon « ultime-post » est toujours programmé pour le 31 décembre à minuit (je repousse d’année en année sa publication), mais la bonne question est de savoir si nous serons encore confinés à ce moment-là, ne serait-ce que « par précaution » ?
Je parie que non dès les premières semaines de décembre, juste le temps de donner des devoirs et des colles avant les vacances scolaires.
 
Dimanche en huit sur « France-Intox », le « sinistre des Solidarités et de la Santé », « Olive-Verlan » aura indiqué vouloir « ardemment » que le confinement soit levé d’ici la fin de l’année afin de nous permettre de passer les fêtes avec nos proches, mais il s’est refusé à tout « pronostic » sur ce sujet.
C’est dire si l’on persiste, en haut-lieu (et jusqu’à l’Olympe Jupitérien) à maintenir la pression anxiogène.
Lors de la conférence de presse donnée jeudi dernier, « Casse-tête » n’a même pas prononcé le terme de « déconfinement » (quel paradoxe pour « Monsieur déconfinement » !) mais s’est borné à parler seulement d’« allégement ».
J’adore ce genre de nuances-là…
Notez qu’on savait qu’il n’allait pas annoncer de bonnes nouvelles et perspectives : Ce rôle est dévolu par avance à « Jupiter » !
 
« Notre objectif est de pouvoir permettre un nouvel allègement au moment des vacances de Noël afin que les Français puissent passer des fêtes de fin d'année en famille », a déclaré le « Premier sinistre » lors de cette conférence de presse.
Il a toutefois précisé que ces fêtes de fin d’année « ne pourront pas se tenir de la même manière que d’habitude ».
Finies les « classes de neige » alpines ou pyrénéennes ?
De toute façon, on sait déjà qu’au-delà du 1er décembre, une attestation sera toujours nécessaire pour se déplacer.
Que je vais continuer à me tamponner « ma dérogation », même pour ma « nichée » ?
Sera-t-elle encore obligatoire pour les vacances de Noël ? La question n’a pas encore été tranchée et la réponse dépendra certainement de la situation épidémique à ce moment-là.
Comme elle se sera améliorée mais pas suffisamment pour rester au milieu du gué, rien n’est encore sûr.
 
Oui, mais si je loue une bicoque en montagne (ou à la mer) est-ce que « ma nichée » pourra me rejoindre par le train ?
Bé s’il n’est pas encore possible de savoir si l’on pourra voyager pour rejoindre sa famille, en revanche, il est d’ores et déjà possible de réserver des billets de train.
Les ventes pour Noël sont ouvertes depuis plusieurs semaines et quoi qu'il en soit, les billets sont 100 % remboursables si d’aventure la situation épidémique ne permettait pas de rejoindre ses proches dans une autre région, à condition que ce ne soit pas en « Ritalie » (ni en UK : Ceux-là seraient capables de vous mettre en quarantaine pour 15 jours…).
Notez que les trains roulent à vide à hauteur de 85 % et 90 % des avions sont cloués au sol faute de client à moins de 100 km…
Et « Casse-tête », interrogé sur la possibilité de déplacements aura préféré de botter en touche, estimant qu’il était « encore un peu tôt pour répondre à cette question ».
On le comprend…
Mais, « le gouvernement s’est renseigné auprès de la SNCF pour savoir à partir de quand il serait trop tard, donc en sens inverse, nous avons encore un peu de temps devant nous, mais très vite, en fonction des données sanitaires, nous pourrons apporter une réponse claire à cette question, pour que les Français puissent s’organiser dans des délais raisonnables », a précisé le « Premier sinistre ».
Comme si le gars des horaires de la SNCF pouvait savoir tout ça à l’avance…
 
Et puis, la dinde aux marrons, je la prévois pour combien de convives ?
C’est qu’au sein de beaucoup de familles, comme la mienne (pas décomposée-recomposée), Noël rime avec grandes tablées.
Cette année, les habitudes risquent pourtant d’être un peu perturbées : « On pourra bien sûr se retrouver avec les siens, mais il ne serait pas raisonnable d’espérer pouvoir organiser de grandes fêtes à plusieurs dizaines de personnes, notamment pour le réveillon du 31 décembre », s’est-il borné à redire.
Mais alors, si c’est « 6 par table », combien de tables sont autorisées chez moâ ?
 
Souvenez-vous, le 14 octobre, « Jupiter » nous avait indiqué, qu’on ne pouvait pas être plus de six à table au restaurant, et avait poursuivi, au sujet de la sphère privée : « On essaie, quand on invite des amis, de ne pas être plus de six à table, et on essaie de ne pas se regrouper à plus de six ».
Le fait de « limiter au maximum ses contacts sociaux », avec cette limite de six, a même depuis intégré la liste des gestes barrières.
Mais comme j’ai quatre pièces à disposition (plus le palier), ça pourrait faire 24 (à faire la queue aux chiottes en fin de soirée).
Notez que s’il y a couvre-feu à 22 heures, je ne peux coucher que 6 personnes.
Les autres campent sur les tapis…
 
En fait, le respect de la consigne donnée par « Jupiter » reposait sur le civisme et la bonne volonté de la population : On voit ce qu’il en coûte à nos hôpitaux…
Mais il leur aura apparu compliqué d’imposer juridiquement un nombre restreint de convives.
Et puis, tous ces flics mobilisés un soir de réveillon pour venir compter vos invités au risque de se contaminer eux-aussi…
Ce chiffre de 6 – emprunté aux consignes des autorités britanniques – ne repose d’ailleurs sur aucune donnée scientifique.
 
« L’idée, c’est de garder une traçabilité », peut-on résumer. « À partir du moment où vous savez avec qui vous êtes, vous pouvez avoir l’information que quelqu’un est positif, c’est ça qui est important. »
J’avais pourtant laissé mon numéro de téléphone à la patronne de la dernière gargote fréquentée.
Mon « charme-méditerranéo-slave » en aura pris un coup de vieux derrière les oreilles : Elle ne m’a jamais appelé…
 
Et alors, justement, la messe de Noël ? Pour l’heure, les célébrations religieuses sont interdites avec un large public en raison du nouveau confinement de la population.
Je n’ai pas bien compris, mais quand ils se marient, les parents ne sont pas invités (pas plus la fraternelle et le cousinage) parce qu’avec deux témoins et le curé, ça fait déjà 7. Si tu rajoutes le page et l’organiste, il faut retirer les témoins…
Une décision gouvernementale d’ailleurs confirmée par le Conseil d’État, malgré la demande d’associations ou de représentants des cultes, comme la Conférence des évêques de « Gauloisie-papiste ».
« Des efforts collectifs sont nécessaires si nous voulons avoir une chance de célébrer Noël de manière digne, sans qu’une inquiétude exagérée pèse sur nos soignants mobilisés dans les hôpitaux et toutes les structures qui œuvrent pour la santé publique », a réagi l’évêque président de cette instance, après la décision du Conseil d’État.
« Mais il est demandé aux pouvoirs publics d’organiser une concertation avec les cultes : nous nous y préparerons sans délai, avec le ferme espoir de trouver un protocole satisfaisant. »
Optimiste, va…
Avec les bars-restaurants, les salles de sport, les salles de concert et théâtres/cinémas, les messes sont donc des lieux de contamination (mais pas le métro ni les bus : Notez, ils roulent à vide, c’est bon pour le climat !)
 
À ce jour cependant, l’exécutif n’a pour autant rien dit concentrant les célébrations religieuses à Noël, qui, si elle est largement passée dans les mœurs de tout un chacun (les feujs font la fête des lumières, les mahométans, je ne sais pas), est à l’origine une importante fête chrétienne et la « Gauloisie-des-cultes-laïcs » reste la « fille aînée » de « l’Église-papiste ».
Vous noterez tout de même qu’il y a belle lurette que les églises sont désertées (depuis que je n’y vais plus que pour les mariages, baptêmes et obsèques…)
 
Autre souci : S’il est clair que le Père-Noël est un danger public contaminant à faire le tour de toute la planète en 24 heures, il aurait peut-être intérêt pour tous, en commençant par lui-même, de se faire porter pâle cette année.
D’autant que ses lutins ne peuvent pas tout non plus. Et comme actuellement, seuls les commerces dits « essentiels » sont accessibles pour faire ses courses de première nécessité, faire les magasins à la recherche du cadeau-jouissif et improbable n’est pas autorisé. Et tout ce qui n’est pas autorisé, comme dans n’importe quelle dictature, reste interdit…
Pourtant, la période des fêtes de fin d’année est traditionnellement une période où les achats battent leur plein, cruciale pour les commerçants et spécialement les plus petits d’entre eux (qui collectent de la TVA à qui mieux-mieux).
Et puis même le « Black Friday » va être repoussé (comme les prochaines élections) alors que la journée des célibataires (1-1/1-1) aura battu son plein en Asie.
Mais c’est une coutume… asiatique seulement récente : Ils ne savent plus comment attirer le chaland…
On va finir par faire plaisir à « Yado » de chez les écololgistes : Noël au mois de juin ou juillet…
 
Jeudi soir, le « Premier sinistre » aura indiqué que la réouverture des commerces fermés n’était pour l’heure pas envisagée mais que si et seulement si la décrue des contaminations se confirmait, des « premières mesures d’allègement pourraient intervenir à compter du 1er décembre », en restant « strictement limitées aux commerces que nous avons dû fermer à compter du confinement ».
Pas question d’aller au cinoche, mais bon pour la ruée vers les rayons fermés : Je vais enfin pouvoir me racheter des chaussettes (pas trouées) !
Une réouverture qui, si elle est effective, sera couplée à de nombreuses précautions sanitaires : « Leur réouverture ne pourrait s’envisager que sur la base d’un protocole renforcé », a-t-il souligné.
C’est quoi « renforcé » ?
La combinaison de plongée, le masque, les palmes et la bouteille d’air comprimé dans le dos ?
 
Reste que si actuellement les hôtels peuvent ouvrir, même s’ils fonctionnent au ralenti, et il semblerait possible d’effectuer des réservations pour Noël.
Je ne vois pas à quoi ça sert si on ne peut pas se déplacer et s’ils ne servent pas à becqueter.
À moins d’aller se « dépayser » dans celui du coin de la rue… et revenir chez soi piocher dans le congélateur.
Mais rassurez-vous, les annulations sont cependant censées être facilitées.
Pour les restaurants, rien n’est encore annoncé pour la période des fêtes de fin d’année.
Une chose est sûre, ils ne seront pas concernés, à l’instar des bars et salles de sport, par les éventuelles mesures d’allégement envisagées pour certains commerces à compter du 1er décembre.
Donc, donc…
Pour ce qui est des loisirs et plus spécialement de la culture, on ignore encore à ce stade s’il sera possible de se rendre au cinéma ou d’aller voir un spectacle (vivant).
Probablement que non : Les directeurs de salle auraient été avertis.
Quant à envisager d’aller à l’étranger, bien naturellement à l'heure actuelle, les voyages d’agrément sont interdits !
Et rien n’a été annoncé quant aux règles qui seront en vigueur pour les déplacements lors des fêtes de fin d’année : Ils s’en gardent bien puisqu’ils ne savent pas…
 
Reste qu’on pourra peut-être fêter Noël en visioconférence…
Car il ne serait pas raisonnable d’espérer mieux.
Et puis il est toujours possible d’acheter des cadeaux en ligne…
Amazon ne rêvait pas mieux pour écraser définitivement la concurrence, tel que La Poste embauche à tour de bras pour livrer.
Restera alors « aux boutiques » à verser rapidement dans le « click & collect ».
Et puis la vente de sapins naturels sera autorisée selon des modalités qui doivent encore être détaillées par un décret.
On mentionne la date du « 20 novembre » et évoqué la piste de « l’achat de sapins sur les parkings des grandes surfaces et des fleuristes ».
Comme si ce n’était pas déjà le cas… ou l’art de réinventer l’eau tiède !
Bon pour la planète, tout ça…
 
Bref un Noël comme on n’en a jamais vu depuis quelques décennies.
Espérons seulement que ce sera le dernier, mais là encore, rien n’est moins sûr : Une fois qu’on y a pris goût, c’est comme chez « Félix Potin », on y revient.
Le monde d’après qui prend forme sous vos yeux : Vous pourrez au moins dire que « vous y étiez » !

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