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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 27 novembre 2020

La semaine trépidante de Jean-Marc

C’est plein « d’iconoclasteries »
 
Malgré le confinement, Jean-Marc flâne dans les rues de la ville en quête d’un « bon coup, son masque sur le nez, son attestation dans la poche.
Quand soudain il se fait aborder par une péripatéticienne patentée :
« – Alors, tu viens mon chéri ? Combien tu me donnes ?
– Bof, dans la soixantaine… »
 
Dumè rencontre « Jean-Ba » dans les rues de Calvi (Balagne – Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») :
« Aïo Jean-ba ! Comment va ?
Eh, Dumè, je va…
– Tu as l’air d’être content de ta journée, mon cousin.
– Hé oui ! Tu te rends compte que je viens d’assurer le garage contre le feu et la grêle…
– Aho ? Tu me macagnes, là ! Contre le feu et la grêle, rien que ça.
Je comprends pour le feu, mais pour la grêle, je ne vois pas comment tu vas t’y prendre pour faire tomber une averse de grêle ! »
 
Germaine passe à la banque.
Elle regarde à gauche, regarde à droite, et ne semble pas trouver ce qu’elle cherche.
Elle va au comptoir, et demande à voir le directeur.
« – Bonjour monsieur. Mon nom est Germaine, l’épouse de Jean-Marc qui est assistant comptable ici, et j’aimerais bien l’embrasser.
– Mais madame, vous êtes bien Germaine, l’épouse de notre collaborateur Jean-Marc …
– Oui, oui, c’est moi.
– Alors, je peux vous dire où se trouve votre mari : ce matin, il nous a téléphoné pour nous dire qu’il était à vos funérailles. »
 
Jean-Marc et Germaine se disputent.
« Tu as un amant », s’écrie Jean-Marc.
« – Oui, et alors ?
– Alors, ça veut dire que tu en as assez de moi !
– Mais non, pauvre cave ! Au contraire, si j’ai un amant, c’est que je n’en ai pas assez de toi. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul confinent chacun sur son balcon autour d’une bière.
Et ils révisent leurs leçons d’Histoire biblique.
« – Sais-tu pourquoi, dans le désert, les Hébreux ont-ils fait le veau d’or ?
– Bé Moïse s’était cassé tout seule dans le désert et il ne revenait pas.
– Non ! C’est parce qu’ils ont manqué d’or pour faire un chameau. »
 
Le peintre, sa toile sous le bras, et les tubes de peinture dans un coffre en bois, s’approche de la ferme d’un paysan.
« – Comme c’est beau. Comme c’est paisible !
– Oui. Paisible.
– La mer… les moutons… Est-ce que je peux peindre vos moutons ?
– Non ! Après je ne pourrai pas les vendre. »
 
Marie-Chantal et Germaine bavardent autour d’un café allongé sur leurs balcons mitoyens.
« – Non mais c’est épouvantable : On m’a filé des fausses pièces de 2 € chez le boulanger.
C’est une honte ! » dit Marie-Chantal.
« Voyons, ma chérie, fais une bonne action, donne tes pièces à un pauvre. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul reconfinent devant une bière, chacun sur son balcon.”
« – Moi, j’ai connu une cartomancienne, en Algérie qui pour ménager la sensibilité de certains clients, et ne pas devoir annoncer des nouvelles trop brutales, lisait leur avenir dans des tasses de café décaféiné. !
– Ah oui ? »
 
Germaine veut vendre son appartement et donne un mandat à un agent immobilier.
Deux jours plus tard, l’agence la prévient qu’ils ont un acheteur…
« Je ne vends plus, j’ai changé d’avis.
J’ai lu votre annonce et je ne me rendais pas compte à quel point cet appartement était idéale ! »
 
Un « sahélien » entre dans un bar, avec un perroquet perché sur sa tête.
« – Super ! » dit le barman. « C’est un vrai, quoi ? Où l’avez-vous trouvé ?
– En Afrique », répond le perroquet.
 
« – Monsieur, savez-vous que votre chien aboie toute la nuit ?
– Oh, ça ne fait rien, il dort toute la journée. »
 
Un fermier vivait seul avec son chien depuis très longtemps.
Ils étaient devenus inséparables.
Un jour le chien meurt.
Le fermier demande au curé du village s’il peut dire une messe pour son chien.
« – Je suis bien désolé pour toi, mais on ne peut dire une messe pour un chien. À la paroisse voisine, il y a un prêcheur, je ne sais trop de quelle religion il est, mais peut-être qu’il peut faire quelque chose pour toi.
– Bon, d’accord, je vais m’y rendre immédiatement.
Croyez-vous qu’un don de 500 € serait suffisant pour une messe ?
– Mais pourquoi ne m’as-tu pas dit que ton chien était catholique ! »
 
Germaine va chez le dresseur de chiens.
« – Je veux dresser mon chien.
– Vous voulez sans doute », dit le dresseur, « que le chien apporte ses chaussons à votre mari ?
– Non. Ce que je veux, c’est qu’il fasse la tournée des brasseries pour qu’il apporte mon mari à ses chaussons. »
 
Jean-Marc, facétieux entre à la pâtisserie :
« – Je veux un chausson aux pommes…
– Voilà monsieur.
– Euh… vous n’en auriez pas un plus grand, je chausse du 46… »
 
Le Docteur dit Jean-Marc :
« – Vous n’êtes pas malade. Appliquez donc la méthode Coué.
Toute la journée répétez : Je ne suis pas malade, Je ne suis pas malade.
– D’accord Docteur. Et pour vos honoraires, appliquez la même méthode Coué.
Toute la journée répétez : J’ai été payé, j’ai été payé. »
 
Dans une boîte de nuit, deux hommes discutent.
Il y a un homme d’affaires et un play-boy.
L’homme d’affaires explique :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir des actions en bourse. »
Le play-boy répond :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir les bourses en action. »
 
Un gars, très timide vient de se marier.
Après avoir fait l’amour, il demande à sa femme.
« – Est-ce que c’était bon ?
– Oui, mon chou.
– Est-ce que je suis le premier ?
– Mais qu’est-ce que vous avez tous les hommes à vouloir savoir si vous êtes le premier ?
Cette semaine, oui, c’est toi le premier. »
 
Le même timide est à l’hôpital pour un examen.
Il doit passer une radiographie.
Le spécialiste le fait pénétrer dans une pièce obscure, et lui demande de se déshabiller.
Quelques minutes passent, et le radiologue lui demande…
« – Monsieur, êtes-vous là ?
– Oui, toujours.
– Alors, ça y est ?
– Ça y est quoi ?
– Êtes-vous déshabillé ?
– Non.
– Alors, qu’est-ce que vous attendez ?
– Je croyais que vous parliez à l’infirmière… »
 
Germaine au volant :
« – Y a-t-il un problème, Monsieur l’agent ?
– Oui, madame. J’ai bien peur que vous rouliez à une vitesse excessive.
– Ah, je vois.
– Est-ce que je peux voir votre permis de conduire, svp ?
– Je vous le donnerais bien, mais j’en n’ai pas.
– Vous n’en avez pas ?
– Non. On me l’a retiré il y a 4 ans pour conduite en état d’ivresse.
– Je vois… Est-ce que je peux voir la carte grise du véhicule ?
– Je n’en ai pas non plus.
– Pourquoi ?
– J’ai volé cette voiture.
– Vous l’avez volée ?
– Oui et j’ai tué le propriétaire.
– Vous avez fait quoi !?
– Les parties du corps sont dans des sachets en plastique dans la valise qui se trouve dans le coffre, si vous voulez les voir. »
Le policier recule très lentement de la voiture en regardant la femme puis appelle du renfort.
Quelques temps après, d'autres voitures de police encerclent la voiture de la vieille femme et un policier avec un pistolet à la main s’approche lentement d’elle et lui dit :
« Madame, veuillez sortir lentement de votre véhicule, les mains en l’air !
Germaine s’exécute.
Elle s’adresse à l’officier qui la tient en respect :
« – Y a-t-il un problème, Monsieur l’officier ?
– Mon collègue m’a dit que vous avez volé cette voiture et assassiné son propriétaire.
– Assassiné le propriétaire ? Êtes-vous sérieux ?
– Oui, pourriez-vous svp ouvrir la valise dans le coffre de votre voiture ? »
Germaine exécute et ouvre la valise, mais il n'a rien de spécial à l'intérieur.
Le policier poursuit :
« – Est-ce votre voiture, madame ?
– Oui, voici la carte grise et l’attestation d’assurance à mon nom. »
L’agent qui l’a arrêtée est tout à fait surpris.
L’officier le regarde, courroucé, puis se tourne à nouveau vers Germaine :
« Mon collègue m’a dit aussi que vous n’avez pas de permis de conduire. »
Germaine ouvre son sac, sort son permis et le montre au policier.
Celui-ci regarde le permis puis lui dit :
« – Merci madame. Je suis vraiment confus. Mon collègue m’avait dit que vous n’aviez pas de permis, que vous aviez volé cette voiture et que vous aviez assassiné le propriétaire !
– Je parie que ce menteur vous a aussi dit que je roulais trop vite… »
(Version féminine d’une facétie de Jean-Marc dont il se vantait…)
 
Jean-Paul, parfois très timide à ses heures, est assis sur un banc, dans un parc, auprès d’une femme plus âgée que lui.
Il la prend par la taille.
Elle se laisse faire, et il se colle un peu plus.
Il ne bouge plus. Elle attend, elle attend, et elle attend.
« – Alors… Jean-Paul ?
– Je ne sais plus quoi faire, à partir de là.
– Jean-Paul…
– Chaque fois que je suis allé plus loin, j’ai reçu une gifle. »
 
Question posée à une élève infirmière dans le cadre d’un examen :
« – Citez une maladie causée par l’eau ?
– La noyade… »
 
Le Jean-Paul entre dans une librairie :
« – Je vous ai acheté, hier, ce livre, « Comment porter la culotte dans son ménage » et je voudrais me faire rembourser.
– Puis-je le voir ? » demande la préposée.
« – Le voilà.
– Bien, il est toujours scellé, oui, je peux vous rembourser. Vous avez changé d’idée ?
– Non, c’est ma femme… Ma femme m’interdit de le lire. »
 
Une autre question d’examen pour un concours d’infirmière :
« – Que faites-vous si votre petit frère avale la clé de la maison ?
– Hummmm…. Ah oui, je grimpe sur le balcon et je passe par la fenêtre qui n’est jamais verrouillée. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière, en plein téléconfinement, philosophent.
« – Sais-tu que l’aspirine est la meilleure pilule contra-conceptionnelle ?
– Ah bon ? Et comment ça ?
– Eh oui ! Place un comprimé entre les deux genoux et surtout il ne faut pas le faire tomber. »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine dernière :
 
« J’ai trouvé Marion les fesses en l’air ! »
« Jean-Marc déflore les poules… »
« Il échangerait bien toutes ces vieilles carnes pour une belle lubrique … »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Jean-Paul, ce congre debout… »
« Le Président voudrait faire voter tous les concierges… »
« Décidément, il faut rassembler beaucoup de fonds pour former des cliques ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas mon « gardien » et « sa bibliothèque »

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