C’est plein « d’iconoclasteries »
Malgré le confinement, Jean-Marc
flâne dans les rues de la ville en quête d’un « bon coup, son masque sur
le nez, son attestation dans la poche.
Quand soudain il se fait aborder par une péripatéticienne patentée :
« – Alors, tu viens mon chéri ? Combien tu me donnes ?
– Bof, dans la soixantaine… »
Dumè rencontre « Jean-Ba »
dans les rues de Calvi (Balagne – Corsica-Bella-Tchi-Tchi ») :
« – Aïo Jean-ba ! Comment va ?
– Eh, Dumè, je va…
– Tu
as l’air d’être content de ta journée, mon cousin.
– Hé oui ! Tu te rends compte que je viens d’assurer le garage contre le feu et la grêle…
– Aho ? Tu me macagnes, là ! Contre le feu et la grêle, rien que ça.
Je comprends pour le feu, mais pour la grêle, je ne vois pas comment tu vas t’y prendre pour faire tomber une averse de grêle ! »
Germaine passe à la banque.
Elle regarde à gauche, regarde à droite, et ne semble pas trouver ce qu’elle cherche.
Elle va au comptoir, et demande à voir le directeur.
« – Bonjour monsieur. Mon nom est Germaine, l’épouse de Jean-Marc qui est assistant comptable ici, et j’aimerais bien l’embrasser.
– Mais madame, vous êtes bien Germaine,
l’épouse de notre collaborateur Jean-Marc …
– Oui, oui, c’est moi.
– Alors, je peux vous dire où se trouve votre mari : ce matin, il nous a téléphoné pour nous dire qu’il était à vos funérailles. »
Jean-Marc et Germaine se disputent.
« Tu as un amant »,
s’écrie Jean-Marc.
« – Oui, et alors ?
– Alors, ça veut dire que tu en as
assez de moi !
– Mais non, pauvre cave ! Au contraire, si j’ai un amant, c’est que je n’en ai pas assez de toi. »
Jean-Marc et Jean-Paul confinent
chacun sur son balcon autour d’une bière.
Et ils révisent leurs leçons d’Histoire
biblique.
« – Sais-tu pourquoi, dans le désert, les Hébreux ont-ils fait le veau d’or ?
– Bé Moïse s’était cassé tout seule
dans le désert et il ne revenait pas.
– Non ! C’est parce qu’ils ont manqué d’or pour faire un chameau. »
Le peintre, sa toile sous le bras, et
les tubes de peinture dans un coffre en bois, s’approche de la ferme d’un
paysan.
« – Comme c’est beau. Comme c’est paisible !
– Oui. Paisible.
– La mer… les moutons… Est-ce que je peux peindre vos moutons ?
– Non ! Après je ne pourrai pas les vendre. »
Marie-Chantal et Germaine bavardent
autour d’un café allongé sur leurs balcons mitoyens.
« – Non mais c’est épouvantable : On m’a filé des fausses pièces de 2 € chez le boulanger.
C’est une honte ! » dit Marie-Chantal.
« Voyons, ma chérie, fais une
bonne action, donne tes pièces à un pauvre. »
Jean-Marc et Jean-Paul reconfinent
devant une bière, chacun sur son
balcon.”
« – Moi, j’ai connu une
cartomancienne, en Algérie qui pour
ménager la sensibilité de
certains clients, et ne pas devoir annoncer des
nouvelles trop brutales, lisait
leur avenir dans des tasses de café décaféiné. !
– Ah oui ? »
Germaine veut vendre son appartement et
donne un mandat à un agent immobilier.
Deux jours plus tard, l’agence la prévient qu’ils ont un acheteur…
« Je ne vends plus, j’ai changé d’avis.
J’ai lu votre annonce et je ne me
rendais pas compte à quel point cet appartement était idéale ! »
Un « sahélien » entre dans un
bar, avec un perroquet perché sur sa tête.
« – Super ! » dit le barman. « C’est un vrai, quoi ? Où l’avez-vous trouvé ?
– En Afrique », répond le
perroquet.
« – Monsieur, savez-vous que
votre chien aboie toute la nuit ?
– Oh, ça ne fait rien, il dort toute la
journée. »
Un fermier vivait seul avec son chien
depuis très longtemps.
Ils étaient devenus inséparables.
Un jour le chien meurt.
Le fermier demande au curé du village s’il peut dire une messe pour son chien.
« – Je suis bien désolé pour toi, mais on ne peut dire une messe pour un chien. À la paroisse voisine, il y a un prêcheur, je ne sais trop de quelle religion il est, mais peut-être qu’il peut faire quelque chose pour toi.
– Bon, d’accord, je vais m’y rendre
immédiatement.
Croyez-vous qu’un don de 500 € serait suffisant pour une messe ?
– Mais pourquoi ne m’as-tu pas dit que ton chien était catholique ! »
Germaine va chez le dresseur de chiens.
« – Je veux dresser mon chien.
– Vous voulez sans doute », dit le dresseur,
« que le chien apporte ses chaussons à votre mari ?
– Non. Ce que je veux, c’est qu’il
fasse la tournée des brasseries pour qu’il apporte mon mari à ses chaussons. »
Jean-Marc, facétieux entre à la
pâtisserie :
« – Je veux un chausson aux pommes…
– Voilà monsieur.
– Euh… vous n’en auriez pas un plus grand, je chausse du 46… »
Le Docteur dit Jean-Marc :
« – Vous n’êtes pas malade. Appliquez donc la méthode Coué.
Toute la journée répétez : Je ne suis
pas malade, Je ne suis pas malade.
– D’accord Docteur. Et pour vos honoraires, appliquez la même méthode Coué.
Toute la journée répétez : J’ai été payé, j’ai été payé. »
Dans une boîte de nuit, deux hommes
discutent.
Il y a un homme d’affaires et un play-boy.
L’homme d’affaires explique :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir des actions en bourse. »
Le play-boy répond :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir les bourses en action. »
Un gars, très timide vient de se
marier.
Après avoir fait l’amour, il demande à sa femme.
« – Est-ce que c’était bon ?
– Oui, mon chou.
– Est-ce que je suis le premier ?
– Mais qu’est-ce que vous avez tous les hommes à vouloir savoir si vous êtes le premier ?
Cette semaine, oui, c’est toi le premier. »
Le même timide est à l’hôpital pour un
examen.
Il doit passer une radiographie.
Le spécialiste le fait pénétrer dans une pièce obscure, et lui demande de se déshabiller.
Quelques minutes passent, et le radiologue lui demande…
« – Monsieur, êtes-vous là ?
– Oui, toujours.
– Alors, ça y est ?
– Ça y est quoi ?
– Êtes-vous déshabillé ?
– Non.
– Alors, qu’est-ce que vous attendez ?
– Je croyais que vous parliez à l’infirmière… »
Germaine au volant :
« – Y a-t-il un problème, Monsieur l’agent ?
– Oui, madame. J’ai bien peur que vous
rouliez à une vitesse excessive.
– Ah, je vois.
– Est-ce que je peux voir votre permis de conduire, svp ?
– Je vous le donnerais bien, mais j’en n’ai pas.
– Vous n’en avez pas ?
– Non. On me l’a retiré il y a 4 ans pour conduite en état d’ivresse.
– Je vois… Est-ce que je peux voir la carte grise du véhicule ?
– Je n’en ai pas non plus.
– Pourquoi ?
– J’ai volé cette voiture.
– Vous l’avez volée ?
– Oui et j’ai tué le propriétaire.
– Vous avez fait quoi !?
– Les parties du corps sont dans des sachets en plastique dans la valise qui se trouve dans le coffre, si vous voulez les voir. »
Le policier recule très lentement de la
voiture en regardant la femme puis appelle du renfort.
Quelques temps après, d'autres voitures de police encerclent la voiture de la vieille femme et un policier avec un pistolet à la main s’approche lentement d’elle et lui dit :
« Madame, veuillez sortir lentement de votre véhicule, les mains en l’air !
Germaine s’exécute.
Elle s’adresse à l’officier qui la tient en respect :
« – Y a-t-il un problème, Monsieur l’officier ?
– Mon collègue m’a dit que vous avez
volé cette voiture et assassiné son propriétaire.
– Assassiné le propriétaire ? Êtes-vous sérieux ?
– Oui, pourriez-vous svp ouvrir la valise dans le coffre de votre voiture ? »
Germaine exécute et ouvre la valise,
mais il n'a rien de spécial à l'intérieur.
Le policier poursuit :
« – Est-ce votre voiture, madame ?
– Oui, voici la carte grise et
l’attestation d’assurance à mon nom. »
L’agent qui l’a arrêtée est tout à fait
surpris.
L’officier le regarde, courroucé, puis se tourne à nouveau vers Germaine :
« Mon collègue m’a dit aussi que vous n’avez pas de permis de conduire. »
Germaine ouvre son sac, sort son permis et le montre au policier.
Celui-ci regarde le permis puis lui dit :
« – Merci madame. Je suis vraiment confus. Mon collègue m’avait dit que vous n’aviez pas de permis, que vous aviez volé cette voiture et que vous aviez assassiné le propriétaire !
– Je parie que ce menteur vous a aussi
dit que je roulais trop vite… »
(Version féminine d’une facétie de Jean-Marc
dont il se vantait…)
Jean-Paul, parfois très timide à ses
heures, est assis sur un banc, dans un parc, auprès d’une femme plus âgée que
lui.
Il la prend par la taille.
Elle se laisse faire, et il se colle un peu plus.
Il ne bouge plus. Elle attend, elle attend, et elle attend.
« – Alors… Jean-Paul ?
– Je ne sais plus quoi faire, à partir
de là.
– Jean-Paul…
– Chaque fois que je suis allé plus loin, j’ai reçu une gifle. »
Question posée à une élève infirmière
dans le cadre d’un examen :
« – Citez une maladie causée par l’eau ?
– La noyade… »
Le Jean-Paul entre dans une librairie :
« – Je vous ai acheté, hier, ce livre, « Comment porter la culotte dans son ménage » et je voudrais me faire rembourser.
– Puis-je le voir ? » demande la
préposée.
« – Le voilà.
– Bien, il est toujours scellé, oui, je
peux vous rembourser. Vous avez changé d’idée ?
– Non, c’est ma femme… Ma femme m’interdit de le lire. »
Une autre question d’examen pour un
concours d’infirmière :
« – Que faites-vous si votre petit frère avale la clé de la maison ?
– Hummmm…. Ah oui, je grimpe sur le
balcon et je passe par la fenêtre qui n’est jamais verrouillée. »
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun
devant une bière, en plein téléconfinement, philosophent.
« – Sais-tu que l’aspirine est
la meilleure pilule contra-conceptionnelle ?
– Ah bon ? Et comment ça ?
– Eh oui ! Place un comprimé entre les deux genoux et surtout il ne faut pas le faire tomber. »
Solutions des contrepèteries de la
semaine dernière :
« J’ai trouvé
Marion les fesses en l’air ! »
« Jean-Marc déflore les poules… »
« Il échangerait bien toutes ces vieilles carnes pour une belle lubrique … »
Celles proposées cette
semaine à votre sagacité :
« Jean-Paul, ce
congre debout… »
« Le Président voudrait faire voter tous les concierges… »
« Décidément, il faut rassembler beaucoup de fonds pour former des cliques ! »
Bon week-end à toutes et
à tous !
I3
PS : N’oubliez pas mon « gardien »
et « sa bibliothèque »
Quand soudain il se fait aborder par une péripatéticienne patentée :
« – Alors, tu viens mon chéri ? Combien tu me donnes ?
« – Aïo Jean-ba ! Comment va ?
– Eh, Dumè, je va…
– Hé oui ! Tu te rends compte que je viens d’assurer le garage contre le feu et la grêle…
– Aho ? Tu me macagnes, là ! Contre le feu et la grêle, rien que ça.
Je comprends pour le feu, mais pour la grêle, je ne vois pas comment tu vas t’y prendre pour faire tomber une averse de grêle ! »
Elle regarde à gauche, regarde à droite, et ne semble pas trouver ce qu’elle cherche.
Elle va au comptoir, et demande à voir le directeur.
« – Bonjour monsieur. Mon nom est Germaine, l’épouse de Jean-Marc qui est assistant comptable ici, et j’aimerais bien l’embrasser.
– Oui, oui, c’est moi.
– Alors, je peux vous dire où se trouve votre mari : ce matin, il nous a téléphoné pour nous dire qu’il était à vos funérailles. »
« – Oui, et alors ?
– Mais non, pauvre cave ! Au contraire, si j’ai un amant, c’est que je n’en ai pas assez de toi. »
« – Sais-tu pourquoi, dans le désert, les Hébreux ont-ils fait le veau d’or ?
– Non ! C’est parce qu’ils ont manqué d’or pour faire un chameau. »
« – Comme c’est beau. Comme c’est paisible !
– La mer… les moutons… Est-ce que je peux peindre vos moutons ?
– Non ! Après je ne pourrai pas les vendre. »
« – Non mais c’est épouvantable : On m’a filé des fausses pièces de 2 € chez le boulanger.
Deux jours plus tard, l’agence la prévient qu’ils ont un acheteur…
« Je ne vends plus, j’ai changé d’avis.
« – Super ! » dit le barman. « C’est un vrai, quoi ? Où l’avez-vous trouvé ?
Ils étaient devenus inséparables.
Un jour le chien meurt.
Le fermier demande au curé du village s’il peut dire une messe pour son chien.
« – Je suis bien désolé pour toi, mais on ne peut dire une messe pour un chien. À la paroisse voisine, il y a un prêcheur, je ne sais trop de quelle religion il est, mais peut-être qu’il peut faire quelque chose pour toi.
Croyez-vous qu’un don de 500 € serait suffisant pour une messe ?
– Mais pourquoi ne m’as-tu pas dit que ton chien était catholique ! »
« – Je veux dresser mon chien.
« – Je veux un chausson aux pommes…
– Euh… vous n’en auriez pas un plus grand, je chausse du 46… »
« – Vous n’êtes pas malade. Appliquez donc la méthode Coué.
– D’accord Docteur. Et pour vos honoraires, appliquez la même méthode Coué.
Toute la journée répétez : J’ai été payé, j’ai été payé. »
Il y a un homme d’affaires et un play-boy.
L’homme d’affaires explique :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir des actions en bourse. »
Le play-boy répond :
« L’important dans la vie, c’est d’avoir les bourses en action. »
Après avoir fait l’amour, il demande à sa femme.
« – Est-ce que c’était bon ?
– Est-ce que je suis le premier ?
– Mais qu’est-ce que vous avez tous les hommes à vouloir savoir si vous êtes le premier ?
Cette semaine, oui, c’est toi le premier. »
Il doit passer une radiographie.
Le spécialiste le fait pénétrer dans une pièce obscure, et lui demande de se déshabiller.
Quelques minutes passent, et le radiologue lui demande…
« – Monsieur, êtes-vous là ?
– Alors, ça y est ?
– Ça y est quoi ?
– Êtes-vous déshabillé ?
– Non.
– Alors, qu’est-ce que vous attendez ?
– Je croyais que vous parliez à l’infirmière… »
« – Y a-t-il un problème, Monsieur l’agent ?
– Ah, je vois.
– Est-ce que je peux voir votre permis de conduire, svp ?
– Je vous le donnerais bien, mais j’en n’ai pas.
– Vous n’en avez pas ?
– Non. On me l’a retiré il y a 4 ans pour conduite en état d’ivresse.
– Je vois… Est-ce que je peux voir la carte grise du véhicule ?
– Je n’en ai pas non plus.
– Pourquoi ?
– J’ai volé cette voiture.
– Vous l’avez volée ?
– Oui et j’ai tué le propriétaire.
– Vous avez fait quoi !?
– Les parties du corps sont dans des sachets en plastique dans la valise qui se trouve dans le coffre, si vous voulez les voir. »
Quelques temps après, d'autres voitures de police encerclent la voiture de la vieille femme et un policier avec un pistolet à la main s’approche lentement d’elle et lui dit :
« Madame, veuillez sortir lentement de votre véhicule, les mains en l’air !
Germaine s’exécute.
Elle s’adresse à l’officier qui la tient en respect :
« – Y a-t-il un problème, Monsieur l’officier ?
– Assassiné le propriétaire ? Êtes-vous sérieux ?
– Oui, pourriez-vous svp ouvrir la valise dans le coffre de votre voiture ? »
Le policier poursuit :
« – Est-ce votre voiture, madame ?
L’officier le regarde, courroucé, puis se tourne à nouveau vers Germaine :
« Mon collègue m’a dit aussi que vous n’avez pas de permis de conduire. »
Germaine ouvre son sac, sort son permis et le montre au policier.
Celui-ci regarde le permis puis lui dit :
« – Merci madame. Je suis vraiment confus. Mon collègue m’avait dit que vous n’aviez pas de permis, que vous aviez volé cette voiture et que vous aviez assassiné le propriétaire !
Il la prend par la taille.
Elle se laisse faire, et il se colle un peu plus.
Il ne bouge plus. Elle attend, elle attend, et elle attend.
« – Alors… Jean-Paul ?
– Jean-Paul…
– Chaque fois que je suis allé plus loin, j’ai reçu une gifle. »
« – Citez une maladie causée par l’eau ?
« – Je vous ai acheté, hier, ce livre, « Comment porter la culotte dans son ménage » et je voudrais me faire rembourser.
– Non, c’est ma femme… Ma femme m’interdit de le lire. »
« – Que faites-vous si votre petit frère avale la clé de la maison ?
– Eh oui ! Place un comprimé entre les deux genoux et surtout il ne faut pas le faire tomber. »
« Jean-Marc déflore les poules… »
« Il échangerait bien toutes ces vieilles carnes pour une belle lubrique … »
« Le Président voudrait faire voter tous les concierges… »
« Décidément, il faut rassembler beaucoup de fonds pour former des cliques ! »
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