Une transgenre élue au Congrès, mais surtout…
Une « vraie » femme élue vice-présidente des États-Unis !
Et pas n’importe qui…
Kamala Harris, première vice-présidente de l’histoire des États-Unis.
« Black » et d’origine indienne !
Je ne sais pas si c’est un « faire-valoir » pour« Bide-Haine »
« Baille-dan » (désormais) ou simplement une
« assurance-vie » tous-risques pour lui (comme
« McDo-Trompe » avait choisi pire que lui en la personne de
« Pence » [Centimes de Livre] pour les mêmes raisons)…
Admettons seulement qu’elle ait contribué à la réussite de cette élection-là.
Moâ, je reste enthousiaste : C’est une excellente nouvelle !
C’était l’atout jeunesse et diversité de « Joe-Baille-dan ». Et
c’est loin d’être une ectoplasme. Après avoir été candidate à la primaire
démocrate, la sénatrice de Californie a fait de son histoire personnelle et de
sa carrière judiciaire des atouts précieux pour la campagne et la victoire du
démocrate.
C’est celle que le président sortant avait dénigrée en la qualifiant de « totalement improbable », de « communiste » puis, à deux reprises, de « monstre », au lendemain de son débat avec le vice-président « Mike-Centimes » (de Livre).
Cet accomplissement n’est finalement pas une surprise tant la sénatrice de 56 ans est une habituée des premières.
Une ambition nourrie lors de sa jeunesse à Oakland, auprès de ses parents qui militaient pour les droits civiques, un père professeur d’économie d’origine jamaïquaine et une mère, chercheuse spécialiste du cancer du sein d’origine indienne, aujourd’hui décédée.
L’ancienne candidate à la primaire démocrate avait également été la
première femme noire à diriger les services judiciaires de l’État le plus
peuplé du pays en devenant la procureure générale de Californie (2004-2017).
Elle fut ensuite en 2017 la première femme originaire d’Asie du Sud élue au Sénat et la deuxième sénatrice noire de l’histoire.
À 56 ans, elle a apporté à « Joseph-Baille-dan », 77 ans, un atout jeunesse avec une pugnacité et un dynamisme qui l’ont aidé à l’emporter dans son duel « à la vie, à la mort » face à « McDo-Trompe ».
Elle a aussi mobilisé une frange de l’électorat pas forcément encline à voter pour « Sleepy Joe ».
Kamala (prononcer « Comma-La », comme le soulignait le New Yorker dans un portrait l’année dernière), américaine de première génération, a réussi à attirer des électeurs aspirant à être mieux représentés au sommet du pouvoir, notamment dans la foulée du mouvement « Black Lives Matter ».
Pour autant, ses opposants, notamment au sein de la gôche américaine, lui rappellent régulièrement ses prises de position passées, notamment lorsqu’elle était procureure, à l’image de son opposition à la légalisation du cannabis ou les menaces envers les parents d’élèves absentéistes.
« Barque-Au-Bas-Mât » qui aura été son premier supporter, a en
tout cas dit d’elle qu’elle était « la partenaire idéale pour l’aider
(Joe) à se mesurer aux défis bien réels auxquels est confrontée l’Amérique
en ce moment, et auxquels elle sera confrontée dans les années à venir. »
Parce qu’elle n’a pas finie de vous étonner, dans la mesure où « Joe » aura averti qu’il ne fera qu’un seul mandat (s’il a la santé pour arriver au bout de celui que lui ont confié les « Ricains »)
Diplômée de l’université « Howard » – qui fut fondée à Washington pour accueillir les étudiants afro-américains en pleine ségrégation – elle rappelle régulièrement son appartenance à l’association d’étudiantes noires « Alpha Kappa Alpha ».
Ce sont ses expériences dans les branches législative, judiciaire et
exécutive du pouvoir, et sa proximité avec « Beau-Baille-dan », fils
de Joe et ancien procureur du Delaware décédé d’un cancer en 2015, qui ont
malgré tout convaincu son ex-rival de la choisir comme colistière l’an dernier.
Car elle n’a pas ménagé ses coups à l’occasion des primaires démocrates.
Face à « Mike-Centimes » (de Livre), dans l’unique débat des vice-présidents, elle avait attaqué à de multiples reprises la gestion par l’exécutif de la crise du « Conard-virus », qu’elle a qualifiée de « plus gros échec de toute administration présidentielle dans l’histoire » du pays.
Probablement, mais il n’y avait pas que ça non plus…
Forte d’un parcours brillant, digne du plus beau des « rêves américains »,
sans doute aspire-t-elle à devenir aussi, un jour, la première présidente noire
des États-Unis : Cette vice-présidence lui offre la meilleure rampe de
lancement possible pour se présenter à l’élection de 2024, et l’espoir de
briser l’ultime plafond de verre !
Pour l’histoire, seuls quatre vice-présidents sortants ont réussi cette gageure.
Dès sa première réaction partagée sur « Twister » après l’annonce de la victoire du ticket démocrate à la présidentielle, « Comma-La » a pris soin de souligner le caractère historique de cette élection.
Mais n’en déplaise à la future ex-sénatrice, elle entre de fait dans l’Histoire des États-Unis en devenant la première femme noire et d’origine indienne à accéder à la vice-présidence du pays.
Tout un symbole après une campagne fortement marquée par les tensions raciales !
Masquée contre le « Conard-virus » et respectant les distances
de précaution comme « Joe-Baille-dan », elle a mené une campagne plus
active que le septuagénaire, dansant au rythme des fanfares ou rencontrant les
clients de cafés… en extérieur, pandémie oblige.
Elle a aussi rencontré à Milwaukee la famille de Jacob Blake, un homme noir grièvement blessé par la police, en pleine vague de colère historique contre le racisme aux États-Unis.
C’est une pionnière.
Et bien avant cette victoire emblématique, « Comma-la » accumulait déjà les titres de pionnière.
Après deux mandats de procureure à San Francisco (2004-2011 et 2011-2017).
Puis en janvier 2017, elle avait prêté serment au Sénat à Washington, s’inscrivant comme la première femme originaire d’Asie du Sud.
En 2024 il ne lui restera plus qu’une marche pour faire voler en éclat un ultime plafond de verre.
Ce n’était pourtant pas gagné. L’Irlandais d’origine (« papiste »
comme JFK), méprisé, gaffeur, ramolli du bulbe avait pourtant fait connaitre
son côté résistant lorsqu’il avait enjoint à son adversaire de « la fermer »
lors du premier débat (houleux).
Et jusqu’au bout, on pouvait douter que le ticket soit gagnant.
Les parents de la belle se séparent lorsqu’elle a sept ans et « Comma-la »
vit à Montréal de 1976 à 1981, avec sa sœur et sa mère, cette dernière ayant
obtenu un poste à l’Hôpital général juif et un emploi d’enseignante à l’Université
McGill.
Elle poursuit ses études primaires dans une école francophone, puis entame des études secondaires au Canada à la Westmount High School à Westmount, Québec, où elle obtient un diplôme de fin d’études en 1981.
Elle revient aux États-Unis, à Washington, où elle obtient un baccalauréat universitaire en science politique à l’université Howard suivi d’un diplôme de Juris-Doctor à l’École de droit Hastings de l’université de Californie.
Elle intègre le barreau de Californie en 1990.
Elle épouse en 2014 l’avocat Douglas Emhoff (first vice-gentleman), qui a deux enfants d’un premier mariage.
Elle est baptiste, membre de la Third Baptist Church de San Francisco, affiliée aux Églises baptistes américaines USA.
La « huguenote » et le « Papiste »…
Dès le début de son mandat au Sénat, elle apparaît comme l’une des
opposantes démocrates les plus déterminées aux décisions prises par l’administration
« Trompe », suscitant des questions sur sa possible candidature aux
primaires démocrates pour l’élection présidentielle de 2020.
À l’approche d’une possible candidature présidentielle, des reproches provenant de la gôche et l’accusant de ne pas avoir suffisamment lutté dans sa carrière contre les violences policières se font entendre.
D’ailleurs elle avait été soutenue par les forces de police californienne à l’occasion de sa campagne pour devenir sénatrice « hispanique » de l’État.
En mars 2018, elle soutient les liens forts entre Israël et les États-Unis dans un congrès organisé par le lobby pro-israélien AIPAC.
Le « Deep-state-Ricain » peut ainsi la valider…
Le 21 janvier 2019, elle annonce sa candidature à l’investiture démocrate.
Cette déclaration entraîne une hausse forte et rapide des intentions de vote en
sa faveur.
Elle attire l’attention médiatique à la suite du premier débat télévisé entre les candidats à l’investiture démocrate, organisé le 28 juin 2019, où elle s’oppose au favori, encore « Joe-Bide-Haine », l’accusant d’avoir travaillé avec des sénateurs favorables à la ségrégation raciale aux États-Unis.
Cependant, la dynamique qu’elle a créée après ce premier débat semble éphémère et les intentions de vote en sa faveur s’essoufflent pendant l’été, notamment à cause de ses positions contradictoires au sujet de l’assurance-maladie.
Lors du débat télévisé entre les principaux candidats démocrates du mois d’octobre, elle demande l’interdiction du compte « Twister » de « McDo-Trompe », l’accusant d’utiliser cette plateforme et ses 65 millions d’abonnés pour faire obstruction à la justice et intimider les témoins dans la procédure de destitution le visant.
Entre novembre et décembre 2019, elle n’est créditée que d’environ 3 % des
intentions de vote alors qu’elle talonnait « Bide-haine » dans les
enquêtes d’opinion réalisées quatre mois plus tôt.
Le 3 décembre, elle annonce le retrait de sa candidature, évoquant un manque de moyens financiers.
En mars 2020, elle apporte son soutien à son concurrent « Joe » bien qu’elle indique croire aux accusations d’agressions sexuelles portées à son encontre !
Lorsque Joe Biden devient le candidat présumé du Parti démocrate pour l’élection présidentielle de 2020, elle fait rapidement figure de favorite pour être désignée candidate démocrate à la vice-présidence.
Le 11 août 2020, « Joe » confirme qu’il la désigne pour être sa colistière. Elle est la troisième femme (après la démocrate Geraldine Ferraro en 1984 et la républicaine Sarah Palin en 2008) candidate à la vice-présidence de l’un des deux grands partis américains, ainsi que la première personne « afro-ricaine » et la première personne « asiatico-ricaine ».
Elle devient aussi le premier candidat sur un ticket du Parti démocrate à représenter un État de la côte ouest des États-Unis.
Pendant la campagne électorale, « McDo-Trompe », rappelant ses
origines indiennes et jamaïcaines, déclarait à son sujet : « Kamala Harris
ne pourrait jamais devenir la première femme présidente, ce serait une insulte
à notre pays », sans qu’il juge nécessaire de préciser devant ses partisans
ce qui serait insultant…
Le 7 octobre 2020, elle est confrontée au vice-président sortant durant un débat télévisé à Salt Lake City, dans l’Utah. Une semaine plus tard, elle annonce qu’elle suspend momentanément sa campagne en raison de cas de « Conard-virus » détectés dans son entourage proche.
Voilà pour les dernières marches de cette quinqua accorte qui ira
probablement plus loin : « Le monde d’après » est réellement « En
marche® », comme dirait « Jupiter ».
Une affaire à suivre…
Car reste à savoir si « Baille-dan » tiendra tout son mandat ou non et à scruter les réactions de ces « ricains » sectaires, suprémacistes, racistes qui avaient porté « McDo-Trompe » et qui sont désormais prêts à se soulever contre le pouvoir fédéral depuis la déconfiture de leur « super-héros »… qui a quelques chances de finir par croupir en prison.
On va aussi vérifier le comportement du « Deep-State » qui devrait rester « calme » : Il est ailleurs, loin de ces contingences électorales.
Nous y revenons dès demain, mais sans faire de prospective : C’est encore trop chaud pour dégager de vrais « fils-rouges » marqueurs de ce qui va advenir.
Jusque-là, clairement, il fallait virer le « nuisible » de la Maison-Blanche : C’est fait !
Et pas n’importe qui…
Kamala Harris, première vice-présidente de l’histoire des États-Unis.
« Black » et d’origine indienne !
Je ne sais pas si c’est un « faire-valoir » pour
Admettons seulement qu’elle ait contribué à la réussite de cette élection-là.
Moâ, je reste enthousiaste : C’est une excellente nouvelle !
C’est celle que le président sortant avait dénigrée en la qualifiant de « totalement improbable », de « communiste » puis, à deux reprises, de « monstre », au lendemain de son débat avec le vice-président « Mike-Centimes » (de Livre).
Cet accomplissement n’est finalement pas une surprise tant la sénatrice de 56 ans est une habituée des premières.
Une ambition nourrie lors de sa jeunesse à Oakland, auprès de ses parents qui militaient pour les droits civiques, un père professeur d’économie d’origine jamaïquaine et une mère, chercheuse spécialiste du cancer du sein d’origine indienne, aujourd’hui décédée.
Elle fut ensuite en 2017 la première femme originaire d’Asie du Sud élue au Sénat et la deuxième sénatrice noire de l’histoire.
À 56 ans, elle a apporté à « Joseph-Baille-dan », 77 ans, un atout jeunesse avec une pugnacité et un dynamisme qui l’ont aidé à l’emporter dans son duel « à la vie, à la mort » face à « McDo-Trompe ».
Elle a aussi mobilisé une frange de l’électorat pas forcément encline à voter pour « Sleepy Joe ».
Kamala (prononcer « Comma-La », comme le soulignait le New Yorker dans un portrait l’année dernière), américaine de première génération, a réussi à attirer des électeurs aspirant à être mieux représentés au sommet du pouvoir, notamment dans la foulée du mouvement « Black Lives Matter ».
Pour autant, ses opposants, notamment au sein de la gôche américaine, lui rappellent régulièrement ses prises de position passées, notamment lorsqu’elle était procureure, à l’image de son opposition à la légalisation du cannabis ou les menaces envers les parents d’élèves absentéistes.
Parce qu’elle n’a pas finie de vous étonner, dans la mesure où « Joe » aura averti qu’il ne fera qu’un seul mandat (s’il a la santé pour arriver au bout de celui que lui ont confié les « Ricains »)
Diplômée de l’université « Howard » – qui fut fondée à Washington pour accueillir les étudiants afro-américains en pleine ségrégation – elle rappelle régulièrement son appartenance à l’association d’étudiantes noires « Alpha Kappa Alpha ».
Face à « Mike-Centimes » (de Livre), dans l’unique débat des vice-présidents, elle avait attaqué à de multiples reprises la gestion par l’exécutif de la crise du « Conard-virus », qu’elle a qualifiée de « plus gros échec de toute administration présidentielle dans l’histoire » du pays.
Probablement, mais il n’y avait pas que ça non plus…
Pour l’histoire, seuls quatre vice-présidents sortants ont réussi cette gageure.
Dès sa première réaction partagée sur « Twister » après l’annonce de la victoire du ticket démocrate à la présidentielle, « Comma-La » a pris soin de souligner le caractère historique de cette élection.
Mais n’en déplaise à la future ex-sénatrice, elle entre de fait dans l’Histoire des États-Unis en devenant la première femme noire et d’origine indienne à accéder à la vice-présidence du pays.
Tout un symbole après une campagne fortement marquée par les tensions raciales !
Elle a aussi rencontré à Milwaukee la famille de Jacob Blake, un homme noir grièvement blessé par la police, en pleine vague de colère historique contre le racisme aux États-Unis.
C’est une pionnière.
Et bien avant cette victoire emblématique, « Comma-la » accumulait déjà les titres de pionnière.
Après deux mandats de procureure à San Francisco (2004-2011 et 2011-2017).
Puis en janvier 2017, elle avait prêté serment au Sénat à Washington, s’inscrivant comme la première femme originaire d’Asie du Sud.
En 2024 il ne lui restera plus qu’une marche pour faire voler en éclat un ultime plafond de verre.
Et jusqu’au bout, on pouvait douter que le ticket soit gagnant.
Elle poursuit ses études primaires dans une école francophone, puis entame des études secondaires au Canada à la Westmount High School à Westmount, Québec, où elle obtient un diplôme de fin d’études en 1981.
Elle revient aux États-Unis, à Washington, où elle obtient un baccalauréat universitaire en science politique à l’université Howard suivi d’un diplôme de Juris-Doctor à l’École de droit Hastings de l’université de Californie.
Elle intègre le barreau de Californie en 1990.
Elle épouse en 2014 l’avocat Douglas Emhoff (first vice-gentleman), qui a deux enfants d’un premier mariage.
Elle est baptiste, membre de la Third Baptist Church de San Francisco, affiliée aux Églises baptistes américaines USA.
La « huguenote » et le « Papiste »…
À l’approche d’une possible candidature présidentielle, des reproches provenant de la gôche et l’accusant de ne pas avoir suffisamment lutté dans sa carrière contre les violences policières se font entendre.
D’ailleurs elle avait été soutenue par les forces de police californienne à l’occasion de sa campagne pour devenir sénatrice « hispanique » de l’État.
En mars 2018, elle soutient les liens forts entre Israël et les États-Unis dans un congrès organisé par le lobby pro-israélien AIPAC.
Le « Deep-state-Ricain » peut ainsi la valider…
Elle attire l’attention médiatique à la suite du premier débat télévisé entre les candidats à l’investiture démocrate, organisé le 28 juin 2019, où elle s’oppose au favori, encore « Joe-Bide-Haine », l’accusant d’avoir travaillé avec des sénateurs favorables à la ségrégation raciale aux États-Unis.
Cependant, la dynamique qu’elle a créée après ce premier débat semble éphémère et les intentions de vote en sa faveur s’essoufflent pendant l’été, notamment à cause de ses positions contradictoires au sujet de l’assurance-maladie.
Lors du débat télévisé entre les principaux candidats démocrates du mois d’octobre, elle demande l’interdiction du compte « Twister » de « McDo-Trompe », l’accusant d’utiliser cette plateforme et ses 65 millions d’abonnés pour faire obstruction à la justice et intimider les témoins dans la procédure de destitution le visant.
Le 3 décembre, elle annonce le retrait de sa candidature, évoquant un manque de moyens financiers.
En mars 2020, elle apporte son soutien à son concurrent « Joe » bien qu’elle indique croire aux accusations d’agressions sexuelles portées à son encontre !
Lorsque Joe Biden devient le candidat présumé du Parti démocrate pour l’élection présidentielle de 2020, elle fait rapidement figure de favorite pour être désignée candidate démocrate à la vice-présidence.
Le 11 août 2020, « Joe » confirme qu’il la désigne pour être sa colistière. Elle est la troisième femme (après la démocrate Geraldine Ferraro en 1984 et la républicaine Sarah Palin en 2008) candidate à la vice-présidence de l’un des deux grands partis américains, ainsi que la première personne « afro-ricaine » et la première personne « asiatico-ricaine ».
Elle devient aussi le premier candidat sur un ticket du Parti démocrate à représenter un État de la côte ouest des États-Unis.
Le 7 octobre 2020, elle est confrontée au vice-président sortant durant un débat télévisé à Salt Lake City, dans l’Utah. Une semaine plus tard, elle annonce qu’elle suspend momentanément sa campagne en raison de cas de « Conard-virus » détectés dans son entourage proche.
Une affaire à suivre…
Car reste à savoir si « Baille-dan » tiendra tout son mandat ou non et à scruter les réactions de ces « ricains » sectaires, suprémacistes, racistes qui avaient porté « McDo-Trompe » et qui sont désormais prêts à se soulever contre le pouvoir fédéral depuis la déconfiture de leur « super-héros »… qui a quelques chances de finir par croupir en prison.
On va aussi vérifier le comportement du « Deep-State » qui devrait rester « calme » : Il est ailleurs, loin de ces contingences électorales.
Nous y revenons dès demain, mais sans faire de prospective : C’est encore trop chaud pour dégager de vrais « fils-rouges » marqueurs de ce qui va advenir.
Jusque-là, clairement, il fallait virer le « nuisible » de la Maison-Blanche : C’est fait !
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