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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 17 novembre 2020

Avec « Baille-dan » l’Amérique est de retour sur la scène internationale…

Il était temps !
 
Contrairement à « McDo-Trompe », c’est un fin connaisseur du monde diplomatique.
Le « futur-déchu » (qui ne sait toujours pas qu’il a perdu son élection…) n’était jamais qu’« un éléphant dans un magasin de porcelaine », façon bulldozer qui pensait que d’avoir un « bouton plus gros » que tous les autres lui permettait tout, jusqu’à l’irrespect et les retournages de vestes mémorables avec son « grand-pote Kim-tout-fou », Pékin, Téhéran, l’Europe et même l’Otan…
Et encore, j’en passe et des tombereaux.
Rappelez-vous, ce n’est jamais qu’un « bétonneur », mais sans le génie de son père.
On ne l’a guère vu dans la lutte contre l’EI et ses cohortes de djihadistes, où même sur le continent africain où il n’a jamais soutenu que du bout des ongles les troupes tricolores qui font l’essentiel du boulot, se contentant de retirer ses troupes en Irak, de vendre des armes et munitions à l’Arabie-Saoudite et de déplacer ses « boys » de « Teutonnie » vers Varsovie.
Tout ce qu’il savait faire, c’était d’instaurer des droits de douanes (sans se rendre compte que c’est le citoyen « ricain » qui les payaient) et de prononcer des sanctions à l’emporte-pièce de façon unilatérale.
 
La politique étrangère de son successeur devrait radicalement trancher avec l’imprévisible diplomatie de l’administration « Républicaine-non-démocrate » (pour n’être que celle du « fait du prince ») de « McDo ».
Pourtant, si le démocrate plaide pour un retour au multilatéralisme, les bases de la diplomatie « Ricaine » resteront bien ancrées.
Les traces de « l’État-profond » indissoluble dans l’alternance bipartisane qui déchire encore leur pays…
 
C’est avec un solide bagage en matière de politique étrangère que le futur président des États-Unis va s’installer à la Maison Blanche, le 20 janvier.
Le sénateur « démocrate-&-républicain » avait présidé la commission des affaires étrangères du Sénat en 2002, multipliant les déplacements en Irak et en Afghanistan, avant de devenir vice-président de « Baraque-Au-bas-Mât » (2009-2017).
La chancelière « Teutonne », qui l’a déjà côtoyé par le passé, a également salué les « décennies d’expérience de Biden en politique étrangère ».
« Il connaît bien l’Allemagne et l’Europe », a-t-elle précisé celle qui l’a opportunément félicité « très chaleureusement » pour sa victoire électorale.
 
La « Teutonnie » n’est pas le seul pays pressé de tourner la page des années « Trompe ». Ses voisins européens ont aussi appelé à rebâtir avec les États-Unis un « partenariat solide » après quatre années conflictuelles : Le retrait américain de l’Accord de Paris sur le climat et de l’accord iranien sur le nucléaire ou les oppositions sur la fiscalité du numérique ou encore l’Otan…
« Pendant 70 ans, les États-Unis, avec les présidents démocrate et républicain, ont joué un rôle de premier plan pour instaurer des règles, signer des accords et animer des institutions qui ont guidé les relations entre les nations et fait progresser la sécurité et la prospérité collectives, jusqu’à Trump », déplorait « Joe » en avril dernier, dans un article du magazine Foreign Affairs.
Dans ce contexte, se définissant lui-même comme « le président qui rassemble et non pas qui divise », il a déclaré, mardi 8 novembre, que l’Amérique était « de retour » sur la scène mondiale.
 
Devant plusieurs dirigeants mondiaux – dont « Jupiter » – il s’est aussi dit « confiant » dans sa capacité à restaurer « le respect » international pour son pays : « Je leur ai dit que l'Amérique était de retour (…) ce n’est plus l’Amérique seule ».
Bonne nouvelle…
Et parmi les dossiers prioritaires figure le climat, et notamment l’Accord de Paris.
Le candidat démocrate s’est engagé à renouer avec le texte « dès le premier jour ».
Il compte aussi investir 2.000 milliards de dollars dans les quatre ans pour un plan colossal de lutte contre le réchauffement climatique. 
« Au cours de ses 100 premiers jours au pouvoir », il réunira par ailleurs les dirigeants des nations les plus polluantes pour un sommet sur le climat, où il entend convaincre ces pays de revoir à la hausse leurs engagements.
 
Dans la liste des autres fractures que « Baille-Dan » entend réparer, l’annulation de la procédure de retrait des États-Unis de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), lancée par « McDo-Trompe » en juillet dernier alors que la pandémie de Covid-19 tuait à qui mieux-mieux.
« Les Américains sont plus en sécurité lorsque l’Amérique est engagée dans le renforcement de la santé mondiale », avait-il plaidé.
 
Enfin, le président élu s’est également engagé à accueillir « un sommet mondial pour la démocratie afin de renouveler l’esprit et le but commun des nations du monde libre ».
Pour comprendre, il faut lire « à l’envers » : L’objectif déclaré d’un tel rassemblement est d’obtenir des engagements dans les luttes contre la corruption, l’autoritarisme, notamment par la sécurité électorale, et la promotion des droits de l’Homme dans le monde.
Sans oublier sa volonté de rejoindre le Conseil des droits de l’Homme des Nations unies.
On va y revenir (*).
Concernant l’Otan, le partenariat transatlantique devrait retrouver des couleurs et un ton plus courtois que sous le mandat de « Trompe ».
Je rappelle à cette occasion qu’on va vous annoncer l’élargissement de l’organisation d’ici à quelques mois : Les « Nippons » et « Kangourous » y seront les bienvenus…
À terme, ce sera une organisation militaire non plus de l’Atlantique-Nord, mais des « deux océans ».
 
Parce que le véritable objectif est toujours le même : Contrer les russes et plus généralement les empires « continentaux », dont la Chine.
Car s’il y a un dossier sur lequel le démocrate sera plus intransigeant que son prédécesseur, c’est bien la Russie.
C’est pour ça que « Poux-tine » et « Xi-Jumping » ont du mal à admettre la victoire de « Joe ».
Il s'agit de « la plus grande menace pour l’Amérique en ce moment, en ce qui concerne notre sécurité et nos alliances ».
Le triomphe (provisoire) de « l’État-profond » jusque-là assez malmené par « McDo-Trompe » qui crie naturellement au complot : le « Deep-state » lui a bien volé « sa » victoire (éternelle), pas de doute… pour lui !
 
Et ça pourrait devenir saignant à souhait : « Nous devons imposer des coûts réels à la Russie pour ses violations des normes internationales et nous tenir aux côtés de la société civile russe, qui s’est bravement opposée au système autoritaire kleptocratique du président Vladimir Poutine », aura asséné « Baille-dan ».
Ouh-la… !
Néanmoins, le président élu devrait poursuivre sur la voie de la réduction des armes stratégiques, négociée en 1991 avec la Russie : La destruction de la civilisation n’est pas à l’agenda du nouvel élu.
Au contraire, il veut renforcer ses alliances. Parce que pour lui, la Chine reste « le plus grand concurrent » de l’Amérique, ce qu’affirmait également son concurrent.
Il a promis de conduire son pays à « gagner la compétition » en s’engageant à investir massivement dans les nouvelles technologies dans le cadre de son programme économique « Buy American ».
Du Georges-Marchais pur sucre : « Mais achetez donc français ! » disait le leader du PCF.
« Monte-et-bourre-la », notre illustre ex-sinistre du « dressement-reproductif », ne disait pas autre chose.
Depuis il fait dans la crème glacée (et je ne sais plus quoi d’autre…)
 
Mais peu de détails ont filtré sur le maintien des sanctions de « McDo » à l’encontre des entités inscrites sur la liste noire, comme Huawei. Le nouveau président élu entend seulement adopter une méthode moins unilatérale que celle de son prédécesseur.
Il prévoit de travailler avec ses alliés en désaccord avec Pékin pour mettre une pression collective sur son rival, que ce soit sur les questions climatiques, la santé publique mondiale, ou la non-prolifération nucléaire – notamment vis-à-vis de la Corée du Nord de « Kim-Tout-fou ».
Il n’empêche que ses diplomates vont devoir œuvrer lourdement pour renouer les liens avec l’UE sur les sanctions autorisées par l’OMC et « adoucir » les relations commerciales entre les deux continents, notamment autour de la « taxe GAFAM ».
Car quelle que part, c’est vous qui allez payer…
Déjà qu’on vous interdit de travailler « en boutique » si vous n’êtes pas « essentiel », ça ne va pas être simple pour les « Sans-dent-qui-puent-le-gasoil-et-la-clope »…
Et par ricochet, je ne vous dis pas les délires à venir sur l’urbanisme commercial qu’il va falloir repenser en « Gauloisie-contaminée » alors que les immeubles de bureaux se vident (au moins aussi vite que les locaux des administrations centrales…)
 
Pour revenir à notre thème du jour, du côté du Moyen-Orient, la lignée de « McDo-Trompe » de mettre fin « aux guerres éternelles » en Afghanistan et en Irak devrait perdurer avec le prochain locataire de la Maison Blanche.
Ce dernier a aussi dit vouloir « mettre fin à notre soutien à la guerre menée par l’Arabie saoudite au Yémen ».
Ils trouveront des solutions avec la constitution d’armées de mercenaires, ces fameux « chiens de guerre » qu’utilisent les russes, les turcs et les djihadistes jusqu’au fin-fond du continent africain.
Un bel avenir assuré pour ceux-là.
 
Mais « Joe » devrait se démarquer sur le dossier iranien puisqu’il souhaite « rentrer » dans l’accord nucléaire « si Téhéran se remet à respecter » le texte, qui avait été négocié par l’administration « Au-bas-Mât » « aux côtés de nos alliés et d’autres puissances mondiales ».
Ce qui ne va pas forcément plaire aux princes, sultans et rois de la péninsule arabique, pourtant fournisseur de pétrole.
Mais comme on va apprendre à s’en passer en construisant des centrales nucléaires encore plus sûres par wagons entiers, ce n’est jamais qu’une phase de transition…
 
Sur le front israélo-palestinien, il ne devrait pas trop s’éloigner de la ligne de « McDo-Trompe », en s’alignant sur la solution à deux États, promue par son prédécesseur, tout en assurant vouloir renouer avec les Palestiniens.
Il souhaite notamment renouveler le financement américain à l’Office de secours et de travaux des Nations-Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA), que le républicain avait interrompu.
 
Enfin, il serait erroné de croire que le « Brexit » est un sujet brûlant pour le nouveau locataire précaire de la Maison-Blanche.
Le Premier « sinistre » britannique était un allié de « McDo-Trompe » et « BoJo » a longtemps cru qu’il pourrait négocier un accord commercial post-Brexit « ambitieux » avec les États-Unis.
Mais la victoire de « Joe » en a décidé autrement.
Il l’a clairement spécifié à la BBC : « Je suis Irlandais » (ascendance « Robinette », Gauloisienne).
Une façon de rappeler qu’il n’est pas prêt à répondre à tout prix à une « relation spéciale » entre le Royaume-Uni et les États-Unis (*).
 
(*) Décryptage des « fils-rouges ».
Quand on affirme vouloir obtenir des « engagements dans les luttes contre la corruption, l’autoritarisme, notamment par la sécurité électorale, et la promotion des droits de l’Homme dans le monde », je ne suis pas bien certain que ça arrivera.
D’abord, les « droits de l’homme », c’est une vaste tarte à la crème destinée à justifier de sévères mesures de rétorsion ciblées.
Si on regarde de près, ces mêmes « droits de l’homme » ne sont pas protégés partout au monde, loin de là.
Ils sont mêmes piétinés de temps en temps jusqu’en Europe et aux USA.
Naturellement, ils sont écrasés à Hong-Kong et ailleurs, dans toutes les dictatures que supporte encore l’espèce humaine : Le chemin sera long avant qu’ils n’atteignent leur apogée !
Mais pourtant, « les cibles » ne se comptent que sur quelques doigts d’une seule main…
 
La « sécurité électorale » est une vaste plaisanterie. On vote en général (quand c’est autorisé) pour le « moins mauvais », jamais pour le meilleur (ce n’est pas possible : Il ne se présente même pas, dissuadé par « l’État-profond »). C’est à ça qu’on reconnaît un sage : Socrate en est bien mort de mort certaine et même acceptée.
Mais c’était une autre époque…
 
Quant à la lutte contre la corruption et l’autoritarisme, c’est une arnaque !
Dans la réalité, c’est celui qui reste le plus « grand corrupteur » qui utilise la puissance étatique pour éliminer la concurrence des « petits-corrupteurs » endémiques (et ruineux) : C’est quand même plus facile.
Chez nous, la caricature ça aura été « Kaka-zut-Hack », ministre de la fraude fiscale de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui trichait et fraudait sans même que personne ne s’en inquiète.
(Heureusement, « Charlotte » qu’il ne faut pas trop chatouiller sur ces sujets sensibles, sera passé par là [Cf. « Les enquêtes de Charlotte », épisode « Mains invisibles », 528 pages pour meubler votre confinement…]).
Et puis « l’autoritarisme » ne se combat pas avec des beaux discours et des pétales de fleur parfumées, mais à grands coups de pied dans le kul, soyons sérieux…
 
Enfin, pour ce qui est du « Brexit », « BoJo » s’est engagé dans un bras de fer à un contre 27 : Il est sûr et certain de perdre. Et encore, ils prennent leur temps pour ne pas l’humilier…
Mais justement, en perdant « l’allié de poids » du « Ricain », il pourrait remettre de l’eau dans son vin (c’est dégueulasse pour les papilles et le boulot du vigneron-éleveur) afin d’arriver à ne pas perdre la face et surtout éviter que l’économie de son pays ne s’effondre.
Il a globalement 6 semaines pour retourner sa veste et trouver la façon « honorable » d’en justifier vis-à-vis de ses électeurs et de ses parlementaires à lui.
Bé, figurez-vous, si j’étais assez pessimiste jusque-là, persuadé qu’on s’orientait vers un « no-deal » et un « hard-Berxit », mon « petit-doigt » (celui qui se lève au-dessus des autres quand je bois une tasse de thé) me dit que, pragmatiques parmi les pragmatiques, le britannique pourrait bien signer un accord douanier a minima, avec un statuquo sur la pêche, provisoire peut-être, pour éviter le boxon dans les rayons des échoppes londoniennes et du côté de Folkestone et Dover.
 
Probablement la plus belle victoire de « Joe-Baille-dan ».
Mais il ne sera même pas encore investi pour la fêter…

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