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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 3 juin 2020

Tout ne fait que commencer…

Homicide de George Floyd
 
The New York Times annonce tout simplement le début de l’effondrement américain… et ils ont bien raison !
Pauvreté, faim, chômage, troubles, le budget dévasté par la crise et le pouvoir qui « éteint le feu avec l’essence », c’est cela l’Amérique moderne d’après le célèbre canard !
 
Selon ce média, les États-Unis se sont trouvés au bord d’une deuxième guerre civile.
La confirmation en est l’agitation provoquée par l’arbitraire policier et répandue dans tout le pays en quelques jours.
Or, il est à noter que non seulement le meurtre de l’afro-américain George Floyd a provoqué des émeutes, mais aussi que la foule a demandé justice à l’égard de Breona Taylor, une Afro-américaine, abattue par la police sans autre forme de procès, alors qu’elle faisait irruption dans son appartement en mars dernier.
 
Il n’a fallu pas plus de quelques jours pour que les États-Unis soient engloutis dans les flammes de la révolution, indique l’article.
L’Amérique d’aujourd’hui, c’est 100.000 victimes d’une épidémie qui a révélé l’impuissance du système de protection de la santé, l’inégalité économique, l’arbitraire policier, le racisme endémique et le nationalisme croissant.
Si une des historiennes citées, celle de l’Université du Michigan, espère encore que la situation restera pacifique, « McDo-Trompe » envisage d’envoyer l’US-Army tirer sur des citoyens américains quand la police met genou à terre ou se laisse déborder, la Garde-Nationale encore cantonnée dans ses casernes.
Attention : C’est l’ultime phase de test.
Et ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique va déferler, dans un futur proche de ce côté-ci.
On ne le pressent pas, mais toutes les « crises » qui secouent notre continent sont parties des USA avant de nous submerger.
Sauf la crise sanitaire du « Conard-virus »…
 
Tout ce qui se passe aux États-Unis suggère que « l’effondrement économique de la « pandémie » ne fait que commencer », écrit The New York Times, parce que les États commencent à lever le moratoire sur l’expulsion, l’augmentation des allocations de chômage ne sera plus versée en juillet, le budget local a été dévasté par l’épidémie.
« Là où les gens sont ruinés, et il ne semble y avoir aucune aide, aucune gestion, aucune clarté sur ce qui va se passer, cela crée des conditions de colère, de rage, de désespoir et de désespoir, qui peuvent être très instables », explique un professeur-adjoint African American Studies, de l’Université de Princeton.
Il n’y a pas de doute : Quand on n’a plus rien à perdre que « la vie de m… (étron) » que les autorités vous font vivre, il n’y a plus beaucoup à hésiter.
Une façon comme un autre de mettre un terme à l’enfer du quotidien…
 
Le déclenchement ? Une brute acéphale.
Un policier du Minnesota, bien connu pour sa brutalité, assassinait un homme noir, George Floyd, en l’étouffant lors d’une arrestation où ce dernier était soupçonné d’avoir payé avec un faux billet de 20 dollars.
Une vie pour 20 dollars…
C’était un meurtre parmi de nombreux autres.
De toute façon, quand tu es black dans ce pays-là, et même si tu y payes tes impôts loyalement, quand tu te mets à courir bêtement, ils n’ont trouvé rien de mieux que d’abattre dans le dos « le suspect » pour l’arrêter dans sa course à la recherche de son ballon…
 
Comme au bon vieux temps de la « Manif’ pour tous » ou plus récemment les « BlacBloks » et les « Gilets-jaunes », le régime a aussitôt envoyé ses provocateurs.
L’un d’entre eux serait un homme blanc en vêtements noirs, affublé d’un masque à gaz professionnel et portant un parapluie noir. Il a été filmé alors qu’il commençait à briser des vitrines de magasins, alors même que les manifestants lui disaient de ne pas le faire.
Lorsque les gens ont commencé à se méfier de lui, l’homme s’est éloigné, son parapluie toujours levé. Il a ensuite été identifié comme étant un membre du département de police de St. Paul.
Dans la nuit et plus tard, le restaurant McDonald’s local a également été incendié…
 
Le régime a reculé. La police s’est enfuie de la 3ème circonscription en un long convoi. Peu de temps après, le commissariat était incendié.
Là, il ne s’agit plus d’émeutes raciales puisque beaucoup de manifestants sont des jeunes de couleur blanche.
Pendant toute la nuit, d’autres bâtiments ont été incendiés.
Le gouverneur local du régime a enfin ordonné à sa garde nationale d’intervenir.
Le président a menacé de tuer les manifestants non armés.
« … Ces VOYOUS déshonorent la mémoire de George Floyd, et je ne laisserai pas cela se produire. Je viens de parler au gouverneur Tim Walz et de lui dire que l’armée est toujours avec lui. En cas de difficulté, nous prendrons le contrôle mais, quand le pillage commencera, les tirs commenceront. Merci ! »
On peut comprendre que « Twister » censure des propos appelant à la violence, comme la loi US l’y oblige d’ailleurs, même quand ça vient d’un Président fédéral en exercice…
 
D’autant que les mots de « McDo-Trompe » ont une connotation historiquement raciste : « Quand le pillage commencera, les tirs commenceront » est une menace inventée par le chef de la police de Miami quand il a promis de violentes représailles à des manifestants noirs, en 1967.
Il a également déclaré : « Cela ne nous dérange pas d’être accusés de violence policière. Ils n’ont encore rien vu ».
Twister a seulement mis un avertissement disant que le twist présidentiel « glorifiait la violence » mais ne l’a pas supprimé.
Tôt le matin suivant, la police d’État du Minnesota était revenue sur les lieux. Elle a arrêté un journaliste de CNN à la peau foncée devant la caméra en marche. Le journaliste demandait à la police où elle voulait que son équipe se mette en place.
Il n’a pas obtenu de réponse.
Aucune raison n’a été donnée pour son arrestation.
Un autre reporter de CNN, celui-ci de couleur blanche, a également été approché par la police mais a été autorisé à rester : Il se trouvait également dans la zone mais qui ne se trouvait pas avec l’équipe à l’antenne, et a déclaré que lui aussi avait été approché par la police, mais qu’il avait été autorisé à rester.
« Je me suis identifié … ils m’ont dit, ‘‘OK, vous êtes autorisé à être dans la zone’’ » ».
« J’ai été traité bien différemment de (Jimenez) ».
Jimenez est noir et latino.
Après l’appel de CNN au gouverneur, le journaliste et son équipe ont été libérés. Il a expliqué ici ce qui s’est passé. Mais la police ne lui a présenté aucunes excuses.
 
Le gouvernement britannique a de son côté protesté contre l’arrestation des journalistes.
Depuis, des appels publics à de nouvelles manifestations ont été lancés dans de nombreuses autres villes. Elles risquent de s’intensifier.
Des appels ont été lancés au président chinois Xi pour qu’il fournisse aux rebelles américains les moyens de se défendre contre le régime. Ils n’ont pas encore reçu de réponses.
On est où au juste ?
 
George Floyd aura fait un « arrêt cardiaque et pulmonaire » à cause de son immobilisation par les forces de l’ordre, confirme entre-temps un rapport d’autopsie officiel publié lundi, qui conclut néanmoins à un « homicide » à cause de la « pression exercée sur son cou » par le genou du policier de Minneapolis, et était drogué au fentanyl, un puissant opiacé.
Une autre autopsie, commandée par la famille, estime qu’il a été « asphyxié par pression prolongée ».
Dans son rapport, le médecin légiste officiel liste « d’autres paramètres importants : artériosclérose et hypertension artérielle ; intoxication au fentanyl ; usage récent d'amphétamines. »
Jusque-là, ce légiste assurait ne pas avoir de « preuves physiques soutenant un diagnostic d’asphyxie traumatique ou d’étranglement ».
« L’effet combiné de l’arrestation et de l’immobilisation de M. Floyd par la police, ses antécédents médicaux et la présence potentielle de substances psychoactives dans son corps ont probablement contribué à sa mort », avait-il déclaré, dans un rapport préliminaire.
Les résultats définitifs ont été rendus publics juste après que les avocats de la famille eurent présenté les résultats d’une autre autopsie, menée par des experts « indépendants » qu’ils avaient mandatés.
Ces médecins-là « ont conclu que le décès avait résulté d’une asphyxie par pression prolongée », a déclaré l’avocat lors d’une conférence de presse.
Genou entravant sa respiration durant 9 minutes…
Ah décidément, l’état de droit, toujours pas aboli…
 
Le policier a été licencié, arrêté et inculpé « d’homicide involontaire ». Mais ses trois collègues présents au moment des faits ne font, à l’heure actuelle l’objet d’aucune poursuite…
« McDo-Trompe » aura enfin pris la parole pour la première fois ce lundi depuis la Maison Blanche, une semaine après le début des manifestations et émeutes.
Alors qu’à l'extérieur de la Maison Blanche, des manifestants étaient visés par des tirs de gaz lacrymogène, le président américain a qualifié les récentes émeutes d’« actes de terrorisme intérieur ».
Il a ensuite annoncé le déploiement de « milliers de soldats lourdement armés » et des policiers à Washington, jugeant que les troubles de la veille dans la capitale fédérale étaient « une honte ».
« Jupiter » n’a pas ce problème-là : Son palais est déjà devenu une place forte inexpugnable depuis l’été 2017.
Si vous ne me croyez pas, allez donc faire un tour rue du Faubourg-Saint-Honoré.
Quand on pense que son prédécesseur pouvait en sortir incognito sur son scooter jusqu’à la rue du Cirque…
 
Appelant les gouverneurs à prendre les mesures nécessaires pour « dominer les rues », le président « ricain » aura promis de restaurer l’ordre aux États-Unis et de « faire le point sur la réponse de l’État fédéral » aux violences ayant éclaté à travers le pays à la suite de la mort de George Floyd.
Confronté à une situation inédite de troubles à l’ordre public, il ne s’était pas encore officiellement exprimé sur le sujet. Il a exhorté lundi les gouverneurs des États fédérés à la fermeté face aux émeutiers auteurs de pillages, englobant tous les contestataires sous le terme d’« anarchistes ».
La Maison Blanche aura été plongé dans le noir dans la nuit de dimanche à lundi au milieu des protestataires et des départs de feu.
Pour protester, plusieurs centaines de manifestants se trouvaient à proximité du bâtiment avant la prise de parole du président alors qu’un couvre-feu a été instauré pour 19 heures (23 heures GMT) dans la capitale fédérale américaine.
Washington, il faut le savoir, c’est une « ville du sud » avec près de la moitié de la population qui est black.
 
Je vous l’avais dit depuis plusieurs mois : Pour assurer sa réélection, « McDo-Trompe » a besoin d’une guerre.
Son bilan économique n’est pas suffisant d’autant qu’avec la crise du « Conard-virus », il est désormais moins fameux.
Jusqu’à être minable sur ce point-là.
La crise sanitaire aura fait plonger tous les indicateurs avec un taux de chômage jamais vu depuis des décennies et des décennies…
Et si les bourses se redressent, c’est parce que la FED déverse des tsunamis d’argent qui n’existe pas : Il faut bien l’utiliser à quelque chose en attendant des jours meilleurs.
Or, comme cet argent ne va ni vers les ménages ni vers la « vraie économie », les bourses de valeurs s’enflamment, comme ultime déversoir, et va se faire siphonner quand la crise, la vraie, celle de l’économie va fermement s’aggraver.
 
La guerre sur le front économique est perdue et il n’a pas pu déclencher la guerre, la vraie, ni avec l’Iran, ni avec la Corée du Nord, pas plus qu’avec la Chine.
Qui elle se sent pousser des ailes à Hong-Kong et jusqu’à Formose dans une prochaine étape…
Pendant ce temps-là, d’autres alimentent les feux en Syrie, en Irak, en Libye et la « Gauloisie-éternelle » s’enlise au Sahel : Mais ça, on en prit l’habitude…
Alors « Trompe » déclare la guerre à son propre peuple !
Pas ceux qui lui redonnent sa « souveraineté spatiale », non, la piétaille seulement.
Et devinez quoi ?
Sera-t-il triomphalement réélu ?
Tout ne fait que commencer !
Réponse dans quelques mois : Vous verrez bien, mais c’est bien parti pour !

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