Sur une magnifique île déserte,
Au milieu du Pacifique, il y avait :
Deux Italiens et une Italienne
Deux Français et une Française
Deux Allemands et une Allemande
Deux Grecs et une Grecque
Deux Anglais et une Anglaise
Deux Bulgares et une Bulgare
Deux Suédois et une Suédoise
Deux Irlandais et une Irlandaise
Un mois plus tard, sur cette magnifique
île déserte au milieu du Pacifique ;
Un Italien a tué l’autre pour avoir
l’Italienne ;
Les deux Français et la Française sont
heureux dans leur ménage à trois ;
Les deux Allemands ont planifié leur
tour, une semaine à passer avec l’Allemande ;
Les deux Grecs font leur affaire
ensemble et la Grecque leur fait la cuisine et le ménage ;
Les deux Anglais attendent que
quelqu’un les présente à l’Anglaise ;
Les Bulgares ont regardé l’infini de
l’océan, ont jeté un coup d’œil à la Bulgare et sont partis à la nage ;
Les Suédois envisagent sérieusement le
suicide alors que la Suédoise persiste à dire que son corps est le sien et la
nature même de la féminité. Mais en consolation, il n’y a pas de neige et les
impôts fonciers sont minimes ;
Les Irlandais ont commencé à diviser
l’île en Côté-Nord et Côté-Sud, et se sont installé un alambic. Ils ne se
souviennent plus si le sexe existe encore parce qu’ils s’enivrent facilement
avec quelques litres d’alcool de coco et ils s’assurent que les Anglais n’en
aient pas…
(Elle est meilleure que la version
précédente…)
Le gars vient d’éternuer pour une
troisième fois, projetant des postillons désagréables autour de lui.
« – Je ne sais pas ce qui se
passe, il doit y avoir quelque chose dans l’air.
– Oui, vos « Conard-virus » ! »
Jean-Marc et Jean-Paul, sur leurs
balcons mitoyens, en plein confinement, chacun devant une bière :
« – J’ai avoué à ma femme que
je voyais un psy.
– Je dois t’avouer, moi aussi, la
vérité. Je vois un psy, deux avocats, un dentiste, un vendeur d’assurance et un
barman ! »
Ils se remémorent leurs vieilles blagues :
Trois hommes, un Américain, un émir
Arabe et un Belge suffoquent sous le soleil.
Pour se rafraîchir, ils répondent à une
affiche vantant les mérites d’un commerce de piscines et s’y présentent…
« Si vous le voulez »,
dit le propriétaire, « pour un petit supplément, vous pouvez utiliser ma
nouvelle piscine.
C’est une piscine spéciale dont le
contenu change en fonction des vœux des plongeurs. »
Intéressés, les trois hommes acceptent.
L’Américain monte au sommet du
plongeoir et dit « dollars ».
La piscine se remplit instantanément de
dollars au moment où il plonge.
Il se vautre un certain temps dans les
liasses de dollars avant de laisser la place à l’émir.
La piscine se vide.
Arrivé au sommet, l’émir dit « pétrole
» et plonge dans son élément favori.
Puis arrive le tour du Belge qui
imagine déjà une piscine de frites.
Arrivé en haut, il s’avance au bout du
plongeoir, glisse et s’exclame :
« Oh merde ! »…
Jean-Marc interroge Jean-Paul et
celui-ci répond :
« Ce que je préfère entre une
belle pauvre et une riche laide ?
La première qui dit oui ! »
Ils persistent :
« – Quel est le point commun
entre les hommes qui fréquentent les bars pour célibataires ?
– Ils sont tous mariés, voyons !
– Ah, tu la connaissais !
– Non, j’ai de la pratique… »
« – Sais-tu pourquoi les hommes
ont-ils toujours la conscience tranquille ?
– Évidemment. C’est parce qu’ils ne
l’ont jamais utilisée !
– Qui te l’as dit ?
– Ma femme… »
« Le Coran et la Bible
s’entendent pour dire que l’Homme est supérieur à la Femme » dit le
professeur pendant son cours d’Histoire.
« – Monsieur, monsieur…
– Oui Jean-Marc. Tu veux dire
quelque chose ?
– Je ne suis pas d’accord.
Papa nous a dit, quand il a refusé
d’acheter un lave-vaisselle, que personne ne peut battre la femme pour laver la
vaisselle. »
Jean-Marc a une terrasse de café
déconfiné :
« – Hé ! Jean-Charles ! Comment
tu vas ? Où tu étais ? On ne t’as pas vu depuis longtemps avec ce confinement !
– Je me suis marié en secret…
– En secret ? Tu veux dire que tu ne
l’as pas dit à ta femme ?
Ah ok !
Maintenant je comprends mieux pourquoi
elle sort avec plein de gars dans les magasins… »
Jean-Marc et Jean-Paul, ayant
repris leurs quartiers sur leurs balcons de confinement :
« – Comment te décrire l’andropause
?
– C’est le syndrome de l’oignon, tout
simplement.
– Comment-ça ?
– Parce que la bedaine pousse, la queue
sèche, et quand tu te déshabilles, tu as envie de pleurer… »
Leçon de vocabulaire de Jean-Marc à
Jean-Paul (toujours sur leurs balcons respectifs)
« – Tu sais, le français, c’est une
langue quand même très bien pensée finalement.
Tiens, quelques exemples :
Un gars, c’est un jeune homme ;
Une garce, son féminin, c’est une pute !
Un courtisan, c’est un proche du roi ;
Une courtisane, c’est une pute !
Un masseur, c’est un kinésithérapeute ;
Une masseuse, c’est une pute !
Un coureur, c’est un joggeur ;
Une coureuse, c’est une pute !
Un professionnel, c’est un sportif de
haut niveau ;
Une professionnelle, c’est une pute !
Un homme sans moralité, c’est un
politicien ;
Une femme sans moralité, c’est une pute !
Un entraîneur, c’est un homme qui
entraîne une équipe sportive ;
Une entraîneuse, c’est une pute !
Un homme à femmes comme moi, c’est un
séducteur ;
Une femme à hommes comme ta femme,
c’est une pute !
Un homme public, c’est un homme connu ;
Une femme publique, c’est une pute !
Un homme facile comme moi, c’est un
homme agréable à vivre ;
Une femme facile, c’est une pute !
Un homme qui fait le trottoir, c’est forcément
un paveur ;
Une femme qui fait le trottoir, c’est
une pute !
Un péripatéticien, c’est un élève
d’Aristote ;
Une péripatéticienne, c’est une pute !
Franchement, le français, c’est
vraiment pas compliqué !
Jean-Marc et Jean-Marcel se
rencontrent en terrasse d’un bar déconfiné et jasent de tout et de rien devant une
bière.
D’une chose à l’autre, Jean-Marc
demande à son pote :
« – Qu’est-ce que tu fais
maintenant pour gagner ta vie ?
– Je vends des meubles.
– Ah oui, où ça ? Chez Ikéa ?
– Non, les miens. Je n’ai plus de job… »
Et puis celle-là, je ne m’en lasse pas,
surtout quand je vois un jeune chiot mener la vie dure à son maître dans les
rues (déconfinées) :
Un jeune chiot demande à son père :
« Papa, Papa ! Quel est
mon vrai nom : assis ou couché ? »
Les solutions de la semaine dernière :
« De l’excellente guitare électrique
à Cousteau ! »
« Il faut savoir que ce con a été
victime d’un coup de semence… »
« Jean-Marc, c’est laid
débile ! »
Et celles de la semaine :
« Voilà la honte : Deux
carrioles sans mulet… »
« Ces dames ne veulent pas qu’on
s’ennuie dans la file. »
« Cet oiseau-là aime bien
mettre son nid entre deux bouchons ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
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