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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 25 juin 2020

L’Affaire « Fifi-le-souteneur » rebondit…

Avec lui, le ruissèlement dégoulinait dans sa poche
 
Je vous l’ai toujours affirmé : « L’argent des autres », le vôtre, ça les rend fous !
La preuve « Pas-trique-Bal-Ka-nie », « Bala-mouchi », « Bling-bling », les « cassettes-de-mairie » du « Chi », plein d’autres et même « Fifi-le-souteneur ».
Pour l’heure « Jupiter » échappe encore à ces scandales, hors le fait d’avoir payer plein de sondages d’opinion avec de l’argent qui aurait été mieux utilisé à acheter des masques de protection durant la crise du « Conard-virus », mais on n’a pas fait le tour de ses propres turpitudes
Tous ceux-là sont des enfants de chœur : « LE Maître » incontesté, et jamais égalé jusque-là, ça reste « Mythe-errant », et encore pour longtemps !
 
Détourner du pognon « pas à soi », tout le monde sait faire (il est plus difficile de ne « pas faire ») : Ce n’est pas très compliqué, mais entre le gars qui se pointe au guichet avec une arme de poing et les « subtilités » inventées par les « cols-blancs », le panel est infiniment vaste.
Parfois la justice passe, parfois elle regarde ailleurs et tout le monde oublie.
Mais le plus complexe, ce n’est pas tant de dépouiller autrui (les outils sont infinis), mais de « blanchir » ce pognon obtenu illégalement en toute légalité.
Là, il faut être astucieux et hors les « mafias-ritales » (et quelques autres), je n’en connais pas beaucoup qui y parviennent correctement.
Ils préfèrent tous geler leurs rapines dans des paradis fiscaux, à l’abri du secret bancaire et la boucle est bouclée : C’est de l’argent qui va servir à d’autres pour prospérer sur la « dark-finance ».
Il paraît qu’il y a plus de 73.000 milliards de dollars qui y sont cantonnés…
 
Même que pour être « honnêtes » jusqu’au bout des ongles, trois présidents de la République ont « inventé » trois Plans d’Investissement pour l’Avenir successifs pour recycler, « blanchir » les « rapines » de « Mythe-errant » sans que ça ne se voit.
On vous a bien présenté leur usage putatif pour la Nation, mais moi je n’ai pas vu une seule ligne d’emprunt supplémentaire apparaître dans les émissions de l’Agence « France-Trésor » au fil des annonces !
D’où viennent les financements de ces PIA ?
Personne ne pose la question.
 
Revenons à « Fifi-le-souteneur ». Lui, c’est un « gagne-petit », un laborieux à la « petite-semaine ». Tout le monde est au courant qu’il paye les salaires de sa femme, et un moment de ceux de sa « nichée », avec les sous de la République. Il lui a même trouvé un emploi-fictif pour arrondir les fins de mois et finir de payer la réfection du toit de son manoir, elle la pôvrette qui ne fait pas de politique : Elle n’y connaît rien de son propre aveu…
C’était l’époque des primaires de la « Droâte & du Centre ». Quatre « poids lourds » de la Chiraquie s’étripent pour les suffrages des « militants & sympathisants ».
On est en novembre 2016. « Jupiter » a déjà déclaré sa candidature juste avant, le 16, et eux débattent avant les scrutins des 20 et 27 du même mois.
On a vu « Fifi-le-souteneur » assassiner « en direct » « Bling-bling » (qui imaginerait le Général de Gaulle être mis en examen ?) et puis « Juppette » baver au crachoir : Exit.
 
Le 1er décembre, « Tagada-à-la-fraise-des-bois » vous annonce qu’il ne sera pas candidat à sa réélection : Il rêvait tellement d’en découdre contre « Bling-bling » une seconde fois… Là, ça ne l’amuse plus, il en a plein le dos !
Le temps de la trêve des confiseurs et de se répartir les rôles sous la houlette des loges, la charge sonne à la mi-janvier 2017.
Les fratries étatsuniennes ont un besoin urgent de plusieurs contrepoids en Europe contre « McDo-Trompe » et vient de leur sauter à la tronche le référendum du Brexit en juin dernier. La « Teutonne » pourrait se retrouver isolée plus tôt que prévu : Il lui faut du renfort et c’est urgent !
Le « soldat-Jupiter » est désigné volontaire par le groupe Bilderberg dès l’été 2016 et là, il a besoin de passer devant le candidat de la droâte pour affronter la « peste-blonde ».
Donc, on tire à vue !
 
Et très vite l’appareil judiciaire se met en branle : Le PNF s’autosaisit. Un organisme indépendant qui est la clé qui ouvre bien des secrets, initialement créé pour pourchasser « Bling-bling » dans ses turpitudes…
« On ne peut que se poser des questions, c’est un contrôle très étroit et c’est une pression très lourde » affirme l’ancienne cheffe du parquet national financier (PNF) « Elle-liane-Alouette », aura pris sa retraite en 2019 : Elle devient « intouchable », alors elle cause. Ce 10 juin devant une commission d’enquête parlementaire.
Face à cette commission sur l’indépendance de la justice, elle réaffirme avoir décidé en toute indépendance d’ouvrir, en janvier 2017, une enquête préliminaire visant les époux « Fifi » après les révélations du « Canard-déchaîné », émises en pleine campagne pour l’élection présidentielle.
 
Mais elle explique avoir reçu de sa hiérarchie « des demandes de transmission rapide » sur les actes d’investigation ou les auditions réalisées dans le cadre de cette enquête, dans des délais inhabituellement courts et en nombre particulièrement important.
Elle affirme également avoir été convoquée par le parquet général, le 15 février 2017, pour lui demander d’ouvrir une information judiciaire : « Le choix procédural que j’avais adopté ne convenait pas. On m’engageait à changer de voie procédurale, c’est-à-dire à ouvrir une information judiciaire. J’ai reçu une dépêche du procureur général en ce sens ».
Elle affirme aux députés avoir d’abord refusé cette demande, estimant ne pas avoir « les éléments pour le faire », avant de se convaincre elle-même de la nécessité d’ouvrir cette information judiciaire, ce qu’elle a finalement fait le 24 février 2017, un mois seulement après les premiers « papiers » du « Canard-déchaîné ».
 
Autant d’éléments qu’elle dit avoir vécus comme une « pression du parquet général », placé sous la tutelle directe du ministère de la Justice. En revanche, elle a assuré à la commission d’enquête qu’aucun des ministres qui se sont succédé lorsqu’elle était à la tête du PNF « ne (l)’ont interrogée ou (l)’ont incitée à agir ou à ne pas agir dans des dossiers particuliers ».
Le procès en correctionnelle des époux « Fifi-le-souteneur » s’est tenu en mars 2020, et le jugement est attendu pour ce 29 juin.
Les uns ou les autres feront probablement appel, qui sera examiné au mieux en 2021…
 
Le parti « Les Républicains-Démocrates », qui a souvent dénoncé une « instrumentalisation » de la justice dans cette affaire, aura évoqué des accusations « extrêmement graves ».
« Mes-Luches » a réagi à ces déclarations sur Twister, tout comme la présidente du « Air-Haine », « Marinella-tchi-tchi ».
Il faut dire que ces deux partis sont actuellement visés par des enquêtes du même Parquet national financier…
Et que la seconde vient d’être condamnée en première instance pour le financement de son micro-parti, « Jeannette ».
Mais elle a d’autres casseroles accrochées à ses augustes fesses.
 
Dès lors, c'est la question de l’impartialité de la justice qui est posée.
Et, par ricochet, celle de la sincérité d’une élection qui a abouti à la victoire de « Jupiter ».
Et « Jupiter » ne s’y est pas trompé : Conscient qu’une ombre portée sur le scrutin de 2017 pourrait lui porter tort, il a saisi vendredi soir le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), organe indépendant chargé de garantir l’indépendance de la justice, pour lui demander « d’analyser si le PNF a pu exercer son activité en toute sérénité, sans pression » dans ce dossier.
Le CSM devrait vite convoquer l’ex-proc’ et les autres magistrats susceptibles d’éclairer cet épisode, au parquet général de Paris et à la chancellerie, voire l’ancien ministre (P.Soce) de la Justice (celui qui viole le secret de l’instruction, « J.J­-Hurle-et-Voit ») ainsi que des membres de son cabinet.
Mais nul ne sait quelles conséquences pourront être tirées de l’avis qui sera rendu, surtout s’il est négatif.
Car il sera négatif…
 
L’avocat de « Fifi-le-souteneur » dit ne rien attendre de providentiel du Conseil supérieur de la magistrature. « La séparation des pouvoirs est à géométrie variable » ironisait-il samedi.
« La justice ne veut pas que les députés s’autocontrôlent sur l’utilisation de leurs frais de mandat, mais elle veut bien que les magistrats s’autocontrôlent sur la conduite des procédures. »
À l’Élysée, on confie néanmoins qu’une inspection administrative pourrait prendre le relais si les pouvoirs d’enquête du CSM s’avéraient insuffisants.
 
Quel mystère est-il à percer ?
Celui des circonstances qui ont conduit le PNF à changer le cadre juridique de l’enquête sur le couple « Fifi-le-souteneur » le 24 février 2017 ?
Ce jour-là, « Alouette » interrompait subitement l’enquête préliminaire ouverte un mois plus tôt et ouvrait une information judiciaire. Loin d’une simple étape procédurale, cette décision transférait la responsabilité de l’enquête de la police à un juge d’instruction et surtout, elle ouvrait la possibilité d’une mise en examen, alors que le candidat avait proclamé que seule une telle poursuite l’obligerait à se retirer : Il aurait mieux fait de fermer son clapet.
Car il ne l’a pas fait et s’est maintenu…
 
Officiellement, le motif de la volte-face de l’ex-proc’ tenait à un risque imprévu.
Or, dans sa déposition récente devant les députés, elle affirme que sa supérieure directe a voulu lui imposer ce revirement : « J’ai été convoquée au parquet général, j’y suis allée avec trois de mes collègues d’ailleurs, (…) pour m’engager à changer de voie procédurale, c’est-à-dire d’ouvrir une information », raconte-t-elle, indiquant même que la procureure générale lui a adressé « une dépêche en ce sens ». C’était le 15 février 2017.
Elle affirme avoir refusé d’obtempérer. Pourtant, une semaine après, elle ouvrait bel et bien une information judiciaire, notamment pour « détournement de fonds publics ».
Ce qui s’imposait.
Mais trop de précipitation aurait pu faire des dégâts… politiques.
Ce qui a été avéré.
On ne pouvait décidément pas « imaginer le Général de Gaulle être mis en examen ».
Retour à l’envoyeur…
 
Quel imprévu ? L’adoption d’un nouveau régime de prescription interdisant de facto de poursuivre des délits financiers au-delà de douze ans après les faits, qui pouvait donc bloquer le dossier.
Un prétexte destiné à habiller une décision prise sous la contrainte ?
Rien n’interdit de le penser puisque sa supérieure, elle, ne nie pas avoir « préconisé » une information judiciaire.
D’où une énigme supplémentaire dans cette charade à tiroirs : Pourquoi la dirigeante du PNF n’a-t-elle pas versé cette instruction écrite au dossier, comme la loi le prévoit ?
 
Et l’imbroglio ne s’arrête pas là. Car une fois l’information ouverte, il fallait la confier à un juge et ce choix relevait non du PNF mais du président du tribunal de Paris. Alors à ce poste, « Jean-Mi­-Hayaya », magistrat chevronné notoirement classé à gôche, allait désigner « Sergio-­Tour-n’aire » en sachant pertinemment quelle en serait la conséquence : Le juge d’instruction, déjà chargé de la quasi-totalité des enquêtes visant « Bling-bling » et des personnalités de droâte, passerait vite à l’action, campagne présidentielle ou non !
 
Problème : « Hayaya » a révélé par la suite avoir été alerté par sa collègue « Alouette » dès le 22 février.
Mais il n’était de permanence qu’à partir du 24.
Tout porte donc à croire que la procureure et le président se sont entendus pour faire coïncider l’ouverture du dossier avec l’agenda du juge d’instruction – ralentir le processus pour mieux accélérer la procédure…
La suite se déroule comme prévu : Trois jours après avoir hérité de l’affaire, « Tour-n’aire » convoquait « Fifi-le-souteneur » et le 14 mars, le candidat était mis en examen, à quarante jours du premier tour !
Déjà flétrie, sa campagne tournait désormais au désastre…
Tout ça pour « arrondir » ses fins de mois en abusant de la caisse publique (votre pognon).
Je vous le dis, ça les rend fous, l’argent des autres…
 
La remontée d’informations sensibles fait bien sûr partie de l’ordinaire des procureurs. Mais pour l’heure, rien ne permet de conclure que ces influences secrètes ont été décisives avant sa mise en examen : L’ex-Premier-sinistre avait déjà chuté dans les sondages, les éléments de l’enquête le compromettaient, sa défense semblait calamiteuse et n’avait-il pas lui-même réclamé que la justice aille vite ?
Sans même parler de l’affaire des costumes révélée par le JDD en mars (qui était un piège du généreux donateur, alors que d’autres en payent à « D’jack-Langue »).
Il n’empêche, les confidences de l’ex-dirigeante du PNF font ressurgir les soupçons d’instrumentalisation de la justice.
On croyait les avoir alignés comme des « petit-pois », comme l’affirmait « Rachida-Mimi » quand elle était « sinistre de la justice & garde-des-sots ».
 
Autre mystère : À qui la « proc’-générale » destinait-elle ces « remontées » d’information ?
D’évidence, à la chancellerie, et à travers elle au pouvoir politique en place.
Toujours démentie mais toujours pratiquée, la remontée d’informations sensibles fait effectivement partie de l’ordinaire des procureurs, a fortiori en période électorale, où les plus avisés veillent à prendre le bon tournant au bon moment.
Il faut dire qu’il y a eu tellement de retournements de veste à cette époque-là…
 
Rappelez-vous qu’en décembre 2017, « Tagada-à-la-fraise-des-bois » s’était déjà désisté. Le jeu était donc ouvert mais les usages restaient.
Dans le livre qu’ils lui ont consacré, « Un président ne devrait pas dire ça », les auteurs décrivent le prédécesseur de « Jupiter » comme « le président de la Vème République le moins au fait des procédures dites sensibles » tout en apportant plusieurs preuves du contraire : « Gras-Nul-Laid » retraçant la chronologie d'une enquête visant « Bling-bling », confiant avoir été prévenu d’une perquisition par « Chrichri-T’Oubliera », révélant avoir renoncé à nommer une ministre pour avoir « su qu’il y avait une enquête préliminaire » et user du « carnet noir » des « cibles à abattre » (dans la lutte contre le terrorisme interntional).
« Il vaut mieux ne pas savoir, quitte à prendre des coups », assurait-il.
Pour sûr qu’entre le « phobique administratif » et « Kaka-zut-Hack » le ministre de la fraude-fiscale, il aura été servi…
Notez que ce dernier était fiché comme un « grand expert » de la chose.
Mais lui aussi s’est fait gauler à ne pas savoir « blanchir » son pognon piqué à d’autres à travers des agences sanitaires…
 
Je serai « prof’ de la fraude » (j’en connais tellement, puisqu’à chaque métier, il y a de la triche), je commencerai par faire un cours approfondi des méthodes de blanchiment, parfaitement légales, cela va sans dire.
Quand j’œuvrais à la fac en Master 2 de « fiscalité ++ » (ça ne s’appelait pas comme ça), j’encourageais mes étudiants à préparer des thèses sur ces sujets.
Il y en a un qui m’a fait un épais volume sur les 256 schémas légaux de « contournement » de la TVA de l’époque.
Une autre s’était épuisée à faire l’inventaire des « niches » sur les revenus soumis à l’IR.
Un troisième sur les failles de la procédure fiscale, de celles qui annulent n’importe quel redressement…
Un quatrième m’a fait une très belle thèse sur la fiscalité « ultra-marine » (y compris Papeete et la Nouvelle-Calédonie… J’avais poussé le vice jusqu’à lui faire faire un détour par les nombreux TAAF de la République et ses pavillons de complaisance) et leurs propres « niches ».
Et moâ, je faisais 3 fois 3 heures seulement sur les principes de la fiscalité et leur usage idoine pour « optimiser », pas frauder.
De là on peut en tirer les « méthodes de blanchiment » qui fonctionnent et je recommanderai volontiers à tous les apprentis tricheurs de s’informer avant que de faire les kons !
 
Mais bon, l’appât du gain facile, puisqu’ils sont « balisés » par la loi, quand on est élu de la République, ça les rend fous !
Quitte à en perdre l’honneur de servir le peuple (et non pas se servir du peuple pour le dépouiller), des élections et probablement la « Liberté-chérie » pour quelques pignoufs !
Une affaire qui va faire « pschitt » mais qui va en amuser quelques-uns dans les prochaines semaines constatant qu’il n’y a rien de nouveau sous « Jupiter », en Marche, mais « même-pas-en-rêve » !

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