Avec lui, le ruissèlement dégoulinait dans sa poche
Je vous l’ai toujours affirmé : « L’argent des autres », le
vôtre, ça les rend fous !
La preuve « Pas-trique-Bal-Ka-nie », « Bala-mouchi »,
« Bling-bling », les « cassettes-de-mairie » du
« Chi », plein d’autres et même « Fifi-le-souteneur ».
Pour l’heure « Jupiter » échappe encore à ces scandales, hors le
fait d’avoir payer plein de sondages d’opinion avec de l’argent qui aurait été
mieux utilisé à acheter des masques de protection durant la crise du
« Conard-virus », mais on n’a pas fait le tour de ses propres
turpitudes…
Tous ceux-là sont des enfants de chœur : « LE Maître »
incontesté, et jamais égalé jusque-là, ça reste « Mythe-errant », et encore pour
longtemps !
Détourner du pognon « pas à soi », tout le monde sait
faire (il est plus difficile de ne « pas faire ») : Ce n’est pas
très compliqué, mais entre le gars qui se pointe au guichet avec une arme de
poing et les « subtilités » inventées par les
« cols-blancs », le panel est infiniment vaste.
Parfois la justice passe, parfois elle regarde ailleurs et tout le monde
oublie.
Mais le plus complexe, ce n’est pas tant de dépouiller autrui (les outils
sont infinis), mais de « blanchir » ce pognon obtenu illégalement en
toute légalité.
Là, il faut être astucieux et hors les « mafias-ritales » (et
quelques autres), je n’en connais pas beaucoup qui y parviennent correctement.
Ils préfèrent tous geler leurs rapines dans des paradis fiscaux, à l’abri
du secret bancaire et la boucle est bouclée : C’est de l’argent qui va
servir à d’autres pour prospérer sur la « dark-finance ».
Il paraît qu’il y a plus de 73.000 milliards de dollars qui y sont
cantonnés…
Même que pour être « honnêtes » jusqu’au bout des ongles, trois
présidents de la République ont « inventé » trois Plans
d’Investissement pour l’Avenir successifs pour recycler, « blanchir » les
« rapines » de « Mythe-errant » sans que ça ne se voit.
On vous a bien présenté leur usage putatif pour la Nation, mais moi je
n’ai pas vu une seule ligne d’emprunt supplémentaire apparaître dans les
émissions de l’Agence « France-Trésor » au fil des
annonces !
D’où viennent les financements de ces PIA ?
Personne ne pose la question.
Revenons à « Fifi-le-souteneur ». Lui, c’est un
« gagne-petit », un laborieux à la « petite-semaine ». Tout
le monde est au courant qu’il paye les salaires de sa femme, et un moment de
ceux de sa « nichée », avec les sous de la République. Il lui a même
trouvé un emploi-fictif pour arrondir les fins de mois et finir de payer la
réfection du toit de son manoir, elle la pôvrette qui ne fait pas de
politique : Elle n’y connaît rien de son propre aveu…
C’était l’époque des primaires de la « Droâte & du Centre ».
Quatre « poids lourds » de la Chiraquie s’étripent pour les suffrages
des « militants & sympathisants ».
On est en novembre 2016. « Jupiter » a déjà déclaré sa
candidature juste avant, le 16, et eux débattent avant les scrutins des 20 et
27 du même mois.
On a vu « Fifi-le-souteneur » assassiner « en direct »
« Bling-bling » (qui imaginerait le Général de Gaulle être mis en
examen ?) et puis « Juppette » baver au crachoir :
Exit.
Le 1er décembre, « Tagada-à-la-fraise-des-bois » vous
annonce qu’il ne sera pas candidat à sa réélection : Il rêvait tellement
d’en découdre contre « Bling-bling » une seconde fois… Là, ça ne
l’amuse plus, il en a plein le dos !
Le temps de la trêve des confiseurs et de se répartir les rôles sous la
houlette des loges, la charge sonne à la mi-janvier 2017.
Les fratries étatsuniennes ont un besoin urgent de plusieurs contrepoids
en Europe contre « McDo-Trompe » et vient de leur sauter à la tronche
le référendum du Brexit en juin dernier. La « Teutonne » pourrait se
retrouver isolée plus tôt que prévu : Il lui faut du renfort et c’est
urgent !
Le « soldat-Jupiter » est désigné volontaire par le groupe
Bilderberg dès l’été 2016 et là, il a besoin de passer devant le candidat de la
droâte pour affronter la « peste-blonde ».
Donc, on tire à vue !
Et très vite l’appareil judiciaire se met en branle : Le PNF
s’autosaisit. Un organisme indépendant qui est la clé qui ouvre bien des
secrets, initialement créé pour pourchasser « Bling-bling » dans ses
turpitudes…
« On ne peut que se poser des questions, c’est un contrôle très
étroit et c’est une pression très lourde » affirme l’ancienne cheffe
du parquet national financier (PNF) « Elle-liane-Alouette », aura
pris sa retraite en 2019 : Elle devient « intouchable », alors
elle cause. Ce 10 juin devant une commission d’enquête parlementaire.
Face à cette commission sur l’indépendance de la justice, elle réaffirme
avoir décidé en toute indépendance d’ouvrir, en janvier 2017, une enquête
préliminaire visant les époux « Fifi » après les révélations du « Canard-déchaîné »,
émises en pleine campagne pour l’élection présidentielle.
Mais elle explique avoir reçu de sa hiérarchie « des demandes de
transmission rapide » sur les actes d’investigation ou les auditions
réalisées dans le cadre de cette enquête, dans des délais inhabituellement
courts et en nombre particulièrement important.
Elle affirme également avoir été convoquée par le parquet général, le 15
février 2017, pour lui demander d’ouvrir une information judiciaire : « Le
choix procédural que j’avais adopté ne convenait pas. On m’engageait à changer
de voie procédurale, c’est-à-dire à ouvrir une information judiciaire. J’ai
reçu une dépêche du procureur général en ce sens ».
Elle affirme aux députés avoir d’abord refusé cette demande, estimant ne
pas avoir « les éléments pour le faire », avant de se
convaincre elle-même de la nécessité d’ouvrir cette information judiciaire, ce
qu’elle a finalement fait le 24 février 2017, un mois seulement après les
premiers « papiers » du « Canard-déchaîné ».
Autant d’éléments qu’elle dit avoir vécus comme une « pression du
parquet général », placé sous la tutelle directe du ministère de la
Justice. En revanche, elle a assuré à la commission d’enquête qu’aucun des
ministres qui se sont succédé lorsqu’elle était à la tête du PNF « ne
(l)’ont interrogée ou (l)’ont incitée à agir ou à ne pas agir dans
des dossiers particuliers ».
Le procès en correctionnelle des époux « Fifi-le-souteneur » s’est
tenu en mars 2020, et le jugement est attendu pour ce 29 juin.
Les uns ou les autres feront probablement appel, qui sera examiné au mieux
en 2021…
Le parti « Les Républicains-Démocrates », qui a souvent
dénoncé une « instrumentalisation » de la justice dans cette affaire,
aura évoqué des accusations « extrêmement graves ».
« Mes-Luches » a réagi à ces déclarations sur Twister, tout
comme la présidente du « Air-Haine », « Marinella-tchi-tchi ».
Il faut dire que ces deux partis sont actuellement visés par des enquêtes
du même Parquet national financier…
Et que la seconde vient d’être condamnée en première instance pour le
financement de son micro-parti, « Jeannette ».
Mais elle a d’autres casseroles accrochées à ses augustes fesses.
Dès lors, c'est la question de l’impartialité de la justice qui est posée.
Et, par ricochet, celle de la sincérité d’une élection qui a abouti à la
victoire de « Jupiter ».
Et « Jupiter » ne s’y est pas trompé : Conscient qu’une
ombre portée sur le scrutin de 2017 pourrait lui porter tort, il a saisi
vendredi soir le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), organe indépendant
chargé de garantir l’indépendance de la justice, pour lui demander « d’analyser
si le PNF a pu exercer son activité en toute sérénité, sans pression »
dans ce dossier.
Le CSM devrait vite convoquer l’ex-proc’ et les autres magistrats susceptibles
d’éclairer cet épisode, au parquet général de Paris et à la chancellerie, voire
l’ancien ministre (P.Soce) de la Justice (celui qui viole le secret de
l’instruction, « J.J-Hurle-et-Voit ») ainsi que des membres de son
cabinet.
Mais nul ne sait quelles conséquences pourront être tirées de l’avis qui
sera rendu, surtout s’il est négatif.
Car il sera négatif…
L’avocat de « Fifi-le-souteneur » dit ne rien attendre de
providentiel du Conseil supérieur de la magistrature. « La séparation
des pouvoirs est à géométrie variable » ironisait-il samedi.
« La justice ne veut pas que les députés s’autocontrôlent sur l’utilisation
de leurs frais de mandat, mais elle veut bien que les magistrats s’autocontrôlent
sur la conduite des procédures. »
À l’Élysée, on confie néanmoins qu’une inspection administrative pourrait
prendre le relais si les pouvoirs d’enquête du CSM s’avéraient insuffisants.
Quel mystère est-il à percer ?
Celui des circonstances qui ont conduit le PNF à changer le cadre
juridique de l’enquête sur le couple « Fifi-le-souteneur » le 24
février 2017 ?
Ce jour-là, « Alouette » interrompait subitement l’enquête
préliminaire ouverte un mois plus tôt et ouvrait une information judiciaire.
Loin d’une simple étape procédurale, cette décision transférait la
responsabilité de l’enquête de la police à un juge d’instruction et surtout,
elle ouvrait la possibilité d’une mise en examen, alors que le candidat avait
proclamé que seule une telle poursuite l’obligerait à se retirer : Il
aurait mieux fait de fermer son clapet.
Car il ne l’a pas fait et s’est maintenu…
Officiellement, le motif de la volte-face de l’ex-proc’ tenait à un risque
imprévu.
Or, dans sa déposition récente devant les députés, elle affirme que sa
supérieure directe a voulu lui imposer ce revirement : « J’ai été
convoquée au parquet général, j’y suis allée avec trois de mes collègues d’ailleurs,
(…) pour m’engager à changer de voie procédurale, c’est-à-dire d’ouvrir une
information », raconte-t-elle, indiquant même que la procureure
générale lui a adressé « une dépêche en ce sens ». C’était le
15 février 2017.
Elle affirme avoir refusé d’obtempérer. Pourtant, une semaine après, elle
ouvrait bel et bien une information judiciaire, notamment pour « détournement
de fonds publics ».
Ce qui s’imposait.
Mais trop de précipitation aurait pu faire des dégâts… politiques.
Ce qui a été avéré.
On ne pouvait décidément pas « imaginer le Général de
Gaulle être mis en examen ».
Retour à l’envoyeur…
Quel imprévu ? L’adoption d’un nouveau régime de prescription
interdisant de facto de poursuivre des délits financiers au-delà de
douze ans après les faits, qui pouvait donc bloquer le dossier.
Un prétexte destiné à habiller une décision prise sous la contrainte ?
Rien n’interdit de le penser puisque sa supérieure, elle, ne nie pas avoir
« préconisé » une information judiciaire.
D’où une énigme supplémentaire dans cette charade à tiroirs : Pourquoi la
dirigeante du PNF n’a-t-elle pas versé cette instruction écrite au dossier,
comme la loi le prévoit ?
Et l’imbroglio ne s’arrête pas là. Car une fois l’information ouverte, il
fallait la confier à un juge et ce choix relevait non du PNF mais du président
du tribunal de Paris. Alors à ce poste, « Jean-Mi-Hayaya », magistrat
chevronné notoirement classé à gôche, allait désigner « Sergio-Tour-n’aire »
en sachant pertinemment quelle en serait la conséquence : Le juge d’instruction,
déjà chargé de la quasi-totalité des enquêtes visant « Bling-bling »
et des personnalités de droâte, passerait vite à l’action, campagne
présidentielle ou non !
Problème : « Hayaya » a révélé par la suite avoir été alerté par
sa collègue « Alouette » dès le 22 février.
Mais il n’était de permanence qu’à partir du 24.
Tout porte donc à croire que la procureure et le président se sont
entendus pour faire coïncider l’ouverture du dossier avec l’agenda du juge d’instruction
– ralentir le processus pour mieux accélérer la procédure…
La suite se déroule comme prévu : Trois jours après avoir hérité de l’affaire,
« Tour-n’aire » convoquait « Fifi-le-souteneur » et le 14
mars, le candidat était mis en examen, à quarante jours du premier tour !
Déjà flétrie, sa campagne tournait désormais au désastre…
Tout ça pour « arrondir » ses fins de mois en abusant de la
caisse publique (votre pognon).
Je vous le dis, ça les rend fous, l’argent des autres…
La remontée d’informations sensibles fait bien sûr partie de l’ordinaire
des procureurs. Mais pour l’heure, rien ne permet de conclure que ces
influences secrètes ont été décisives avant sa mise en examen : L’ex-Premier-sinistre
avait déjà chuté dans les sondages, les éléments de l’enquête le
compromettaient, sa défense semblait calamiteuse et n’avait-il pas lui-même
réclamé que la justice aille vite ?
Sans même parler de l’affaire des costumes révélée par le JDD en mars (qui
était un piège du généreux donateur, alors que d’autres en payent à
« D’jack-Langue »).
Il n’empêche, les confidences de l’ex-dirigeante du PNF font ressurgir les
soupçons d’instrumentalisation de la justice.
On croyait les avoir alignés comme des « petit-pois », comme
l’affirmait « Rachida-Mimi » quand elle était « sinistre de la
justice & garde-des-sots ».
Autre mystère : À qui la « proc’-générale » destinait-elle
ces « remontées » d’information ?
D’évidence, à la chancellerie, et à travers elle au pouvoir politique en
place.
Toujours démentie mais toujours pratiquée, la remontée d’informations
sensibles fait effectivement partie de l’ordinaire des procureurs, a
fortiori en période électorale, où les plus avisés veillent à prendre le
bon tournant au bon moment.
Il faut dire qu’il y a eu tellement de retournements de veste à cette
époque-là…
Rappelez-vous qu’en décembre 2017, « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
s’était déjà désisté. Le jeu était donc ouvert mais les usages restaient.
Dans le livre qu’ils lui ont consacré, « Un président ne devrait pas
dire ça », les auteurs décrivent le prédécesseur de « Jupiter »
comme « le président de la Vème République le moins au fait
des procédures dites sensibles » tout en apportant plusieurs preuves
du contraire : « Gras-Nul-Laid » retraçant la chronologie d'une enquête
visant « Bling-bling », confiant avoir été prévenu d’une perquisition
par « Chrichri-T’Oubliera », révélant avoir renoncé à nommer une
ministre pour avoir « su qu’il y avait une enquête préliminaire »
et user du « carnet noir » des « cibles à abattre » (dans
la lutte contre le terrorisme interntional).
« Il vaut mieux ne pas savoir, quitte à prendre des coups »,
assurait-il.
Pour sûr qu’entre le « phobique administratif » et
« Kaka-zut-Hack » le ministre de la fraude-fiscale, il aura été
servi…
Notez que ce dernier était fiché comme un « grand expert » de la
chose.
Mais lui aussi s’est fait gauler à ne pas savoir « blanchir »
son pognon piqué à d’autres à travers des agences sanitaires…
Je serai « prof’ de la fraude » (j’en connais tellement,
puisqu’à chaque métier, il y a de la triche), je commencerai par faire un cours
approfondi des méthodes de blanchiment, parfaitement légales, cela va sans
dire.
Quand j’œuvrais à la fac en Master 2 de « fiscalité ++ » (ça ne
s’appelait pas comme ça), j’encourageais mes étudiants à préparer des thèses
sur ces sujets.
Il y en a un qui m’a fait un épais volume sur les 256 schémas légaux de
« contournement » de la TVA de l’époque.
Une autre s’était épuisée à faire l’inventaire des « niches »
sur les revenus soumis à l’IR.
Un troisième sur les failles de la procédure fiscale, de celles qui
annulent n’importe quel redressement…
Un quatrième m’a fait une très belle thèse sur la fiscalité
« ultra-marine » (y compris Papeete et la Nouvelle-Calédonie… J’avais
poussé le vice jusqu’à lui faire faire un détour par les nombreux TAAF de la
République et ses pavillons de complaisance) et leurs propres
« niches ».
Et moâ, je faisais 3 fois 3 heures seulement sur les principes de la
fiscalité et leur usage idoine pour « optimiser », pas frauder.
De là on peut en tirer les « méthodes de blanchiment » qui
fonctionnent et je recommanderai volontiers à tous les apprentis tricheurs de
s’informer avant que de faire les kons !
Mais bon, l’appât du gain facile, puisqu’ils sont « balisés »
par la loi, quand on est élu de la République, ça les rend fous !
Quitte à en perdre l’honneur de servir le peuple (et non pas se servir du
peuple pour le dépouiller), des élections et probablement la
« Liberté-chérie » pour quelques pignoufs !
Une affaire qui va faire « pschitt » mais qui va en amuser
quelques-uns dans les prochaines semaines constatant qu’il n’y a rien de nouveau
sous « Jupiter », en Marche, mais « même-pas-en-rêve » !
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