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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 26 juin 2020

Germaine, épouse de Jean-Marc

Le mariage…

 
Un jour que Jean-Marc est en retard pour rentrer du travail, Germaine est très nerveuse et en parle à sa mère au téléphone et lui dit :
« – Je suis sûre qu’il voit une autre femme.
– Pourquoi voir toujours le pire ?
Peut-être qu’il a tout simplement eu un accident… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, déconfinés chacun sur leur balcon mitoyen, sirotent une bière et philosophent :
« – Tu sais que le mariage est la principale cause de divorce.
– Oui, forcément !
– Et que l’amour rend aveugle…
– Oui mais le mariage rend la vue… »
 
« Moi, je veux mourir en paix, comme mon grand-père, en dormant !
Et non comme ses passagers qui hurlaient de peur… »
 
Une revenue :
Jean-Marc marche dans la rue lorsqu’il entend un cri derrière lui :
« STOP ! ARRÊTEZ SINON VOUS ALLEZ PRENDRE UNE BRIQUE SUR LA TÊTE ».
Jean-Marc s’arrête et au même moment, une brique qui s’était détachée d’un immeuble lui passe devant le nez.
Il se retourne pour remercier et il ne voit personne…
Un peu plus tard, alors qu’il veut traverser la rue, il entend encore :
« STOP ! ARRÊTEZ SINON VOUS ALLEZ VOUS FAIRE RENVERSER ».
Jean-Marc s’arrête, laisse passer une voiture qui file à toute vitesse et comme une nouvelle fois il ne voit personne derrière lui, il demande tout haut :
« – Mais qui êtes-vous ?
– Je suis votre ange gardien !
– Ah ouais ?! Et où étais-tu quand je me suis marié alors ! »
 
C’était il y longtemps, Jean-Marc et Germaine se préparent à partir en voyage de noce pour une durée de 3 semaines.
La mère de la mariée la prend à part et lui dit :
« N’oublie pas de m’écrire à toutes les semaines ! »
La première semaine passe et la mère de Germaine reçoit une carte postale de sa fille où ne sont écrites que trois lettres : « T.V.A. »
Ni elle ni son mari ne peuvent déchiffrer le message.
La deuxième semaine passe et la mère reçoit une autre carte postale de sa fille. Toujours les trois mêmes lettres : « T.V.A. »
La troisième semaine passe et la mère reçoit une autre carte postale de sa fille et elle découvre encore les mêmes lettres : « T.V.A. »
Elle n’en dort plus la nuit tant elle cherche la fameuse signification de ces trois lettres.
Le lendemain les mariés arrivent et la mère s’empresse de prendre sa fille à part pour lui demander ce que ses cartes postales voulaient dire :
« Maman c’était pourtant bien facile.
Première semaine : Tendresse, Amour, Vigilance.
Deuxième semaine : Trou, vaginale, agrandi.
Troisième semaine : Testicules, vides, arrivons. »
 
Deux cannibales :
« – Moi, j’adore les enfants !
– Moi je ne les digère pas… »
 
Deux étudiants :
« – J’ai décroché dès la première année.
– Ça te donne plus de temps pour me rattraper. »
 
Annonce (f)ummiste :
« La prochaine conférence mondiale sur les Voyages dans le Temps se tiendra dans il y a trois semaines. »
 
Jean-Marc se confesse au curé.
« – Mon Père, pardonnez-moi parce que j’ai péché.
J’ai presque eu une relation avec une femme en dehors du mariage, enfin presque…
– Qu’est-ce que vous entendez par presque ?
– Ben, on s’est déshabillé, puis on s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis ressaisi, et j’ai tout arrêté.
– Écoutez mon fils, pour moi, se frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller jusqu’au bout de l’acte, et de le mettre dedans.
Alors vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous mettrez 10 € dans le tronc des pauvres ! »
Jean-Marc quitte le confessionnal, s’en va un peu plus loin pour prier, et se repentir.
Puis il s’approche du tronc des pauvres, sort un billet, et s’apprête à partir lorsque le curé l’interpelle :
« – Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
– Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boîte, et vous venez de me dire que c’est comme si je l’avais mis dedans… »
 
Jean-Paul et sa copine du moment, une très belle fille, vont au zoo.
Ils arrivent devant la cage du gorille et le gorille devient fou, lorsqu’il aperçoit la fille.
Jean-Paul dit à sa copine :
« – Wow, tu lui fais de l’effet ! Montre-lui tes seins.
– Voyons donc, t’es fou Jean-Paul…
– Ben, non il n’y a personne. »
Alors elle regarde autour, enlève son chandail et montre ses seins.
Le gorille vient fou et saute sur l’arbre de son enclos, sur les barreaux de la cage, fait la culbute, etc.
« – Wow tu l’excites vraiment ! Alors montre-lui tes fesses.
– C’est suffisant, les seins, les fesses…
– Vas-y, vas-y, il n’y a personne. Il va en crever, vas-y ! »
 La fille baisse son jeans et lui montre ses fesses.
Le gorille devient de plus en plus excité.
Il recommence à faire le tour de son enclos, l’arbre, les barreaux de la cage, fait deux fois la culbute.
C’est à ce moment-là que Jean-Paul, toujours taquin, ouvre la cage et lance sa copine à l’intérieur en lui disant :
« Explique-lui maintenant pourquoi t’as mal à la tête ! »
 
Pendant les fêtes Pasquale, le prof veut inviter ses jeunes élèves à réfléchir.
« Puisque le Bon Dieu est ressuscité d’entre les morts le troisième jour, où se trouve-t-il maintenant ? »
Myriam lève la main et dit :
« Le Bon Dieu est au Paradis ! »
Anne-Laure ajoute…
« Le Bon Dieu est dans mon cœur ! »
Jean-Laurent lève la main, se lève et crie presque :
« C’est pas ça. C’est pas ça. Je sais ! Je sais ! Le Bon Dieu est dans notre salle de bains ! »
Tous les élèves le regardent, impressionnés.
« – Ah oui », dit le prof. « Et pourquoi Jean-Laurent ?
– Parce que tous les matins, mon père (Jean-Marc) se lève, va à la porte de la salle de bains et frappe plusieurs coups dedans en criant : BON DIEU, T’ES ENCORE LÀ ! »
 
Une très ancienne :
Germaine achète une armoire en pièces détachées.
Une fois à la maison, elle assemble les pièces et fabrique un très beau meuble.
L’autobus passe dans la rue et avec les vibrations, l’armoire s’écroule.
Elle assemble les pièces à nouveau et quelques minutes plus tard un autre autobus passe et l’armoire s’écroule à nouveau.
Elle téléphone au magasin et on lui envoie un spécialiste.
Ce dernier constate l’écroulement de l’armoire aux vibrations mais n’y comprend rien.
Il dit à la cliente :
« Je vais entrer dans l’armoire pour voir ce qui ce produit et vous fermerez la porte dernière moi. »
Jean-Marc arrive entre-temps, aperçoit l’armoire et s’empresse de féliciter son épouse.
Il ouvre la porte et découvre le spécialiste à l’intérieur.
« – Qu’est-ce que tu fais là, toi ?
– Vous n’allez pas le croire : J’attends l’autobus ! »
 
Voici différentes définitions du mariage qui sont le fruit d’une longue période de réflexion menée par des millions de personnes.
– Définition religieuse : Acte religieux qui consiste à créer un crucifié de plus, et une vierge de moins.
– Définition juridique : Sentence dont le (la) condamné(e) à perpétuité est libéré(e) uniquement pour mauvaise conduite.
– Définition de la vie courante : Aucune femme n’a ce qu’elle espérait, et aucun homme n’espérait ce qu’il a.
– Définition mathématique : Somme d’emmerdes, soustraction de libertés, multiplication de responsabilités, division des biens.
– Définition pondérale : Méthode la plus rapide pour grossir.
– Définition militaire : Guerre où l’on dort avec l’ennemi.
– Définition philosophique : Sert à résoudre des problèmes que l’on n’aurait jamais eu en restant célibataire.
 
À l’heure du bilan :
Avant : 2 fois par nuit…
Après : 2 fois par mois.
Avant : Tu m’essouffles…
Après : Tu m’étouffes.
Avant : Ne t’arrête pas…
Après : Ne commence pas.
Avant : Sturday Night Fever…
Après : Wednesday Night Football.
Avant : Être à tes côtés…
Après : Reste de ton côté.
Avant : Je me demande ce que je faisais sans elle (lui).
Après : Mais qu’est-ce que je fais avec elle (lui)?
Avant : Érotique.
Après : Neurotique.
Avant : On croirait qu’on est ensemble depuis toujours…
Après : On est toujours ensemble ?
Avant : Hier soir, on l’a fait sur le canapé !
Après : Hier soir, j’ai dormi sur le canapé !
 
Jean-Marc stationne sa voiture, une rutilante décapotable, et sort de son véhicule.
Alors qu’il dépose des pièces dans le parcmètre, un clochard s’approche de lui.
Il est sale à faire peur, il pue, et il est édenté :
« Aurais-tu une petite pièce de deux euros, mon prince ? »
C’est une belle journée d’été et Jean-Marc se sent généreux.
Il sort un billet de 10 € de sa poche.
Le clochard remercie et Jean-Marc engage la conversation.
« – Écoute, si je te donne 10 €, est-ce que tu vas acheter de la bière ?
– Non, je ne bois plus depuis 7 ans.
– Alors, c’est pour acheter de la dope.
– Non, je ne touche pas à cette saloperie, mon prince, je suis trop fier.
– Alors, c’est pour jouer à la loterie. OK, c’est ça, tu passes ton temps devant les machines à sous…
– Non, c’est une bêtise pour les femmes. Pas pour moi.
– En parlant de femmes, c’est peut-être pour une fille ?
– Et courir le risque d’attraper une maladie. Non merci ! Pas pour moi les filles.
– Bien, bien, allez, monte dans la voiture, on file à la maison.
– À la maison ? Dans votre maison ? Mais vous devez habiter un palais, mon prince ?
– Oui.
– Je ne peux pas me présenter comme ça.
– Si, si, c’est très bien. »
Et Jean-Marc prend son téléphone portable et compose un numéro :
« – Germaine, c’est moi, je serai là pour l’heure du souper avec un invité très spécial. Demande au traiteur de nous prépare un repas royal.
– Mais qui sera là ?
– Surprise ! »
Et Jean-Marc se tourne vers son passager (qui pue terriblement la crasse et la transpiration) :
« Je veux lui montrer, à quoi ressemble un homme qui a laissé tomber la bière, le jeu, et le sexe ! »
 
Les solutions de la semaine dernière :
 
« Jean-Paul, un con bien noté… »
« À chaque bourse, un cul ! »
De Jean-Marc : « Cette fille a vraiment dans la fente un grain de poésie… »
 
Celles de la semaine :
 
« J’ai senti l’odeur de votre hachis Parmentier… »
« Les imbéciles : Ils ont voté la fin de la grève ! »
« Quelle admirable folle ! Il ne lui manque plus que la paresse ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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