Le mariage…
Un jour que Jean-Marc est en
retard pour rentrer du travail, Germaine est très nerveuse et en parle à sa
mère au téléphone et lui dit :
« – Je suis sûre qu’il voit une
autre femme.
– Pourquoi voir toujours le pire ?
Peut-être qu’il a tout simplement eu un
accident… »
Jean-Marc et Jean-Paul, déconfinés
chacun sur leur balcon mitoyen, sirotent une bière et philosophent :
« – Tu sais que le mariage est
la principale cause de divorce.
– Oui, forcément !
– Et que l’amour rend aveugle…
– Oui mais le mariage rend la vue… »
« Moi, je veux mourir en paix,
comme mon grand-père, en dormant !
Et non comme ses passagers qui
hurlaient de peur… »
Une revenue :
Jean-Marc marche dans la rue
lorsqu’il entend un cri derrière lui :
« STOP ! ARRÊTEZ SINON VOUS ALLEZ
PRENDRE UNE BRIQUE SUR LA TÊTE ».
Jean-Marc s’arrête et au même moment,
une brique qui s’était détachée d’un immeuble lui passe devant le nez.
Il se retourne pour remercier et il ne
voit personne…
Un peu plus tard, alors qu’il veut
traverser la rue, il entend encore :
« STOP ! ARRÊTEZ SINON VOUS ALLEZ
VOUS FAIRE RENVERSER ».
Jean-Marc s’arrête, laisse passer une
voiture qui file à toute vitesse et comme une nouvelle fois il ne voit personne
derrière lui, il demande tout haut :
« – Mais qui êtes-vous ?
– Je suis votre ange gardien !
– Ah ouais ?! Et où étais-tu quand je
me suis marié alors ! »
C’était il y longtemps, Jean-Marc
et Germaine se préparent à partir en voyage de noce pour une durée de 3
semaines.
La mère de la mariée la prend à part et
lui dit :
« N’oublie pas de m’écrire à
toutes les semaines ! »
La première semaine passe et la mère de
Germaine reçoit une carte postale de sa fille où ne sont écrites que trois
lettres : « T.V.A. »
Ni elle ni son mari ne peuvent
déchiffrer le message.
La deuxième semaine passe et la mère
reçoit une autre carte postale de sa fille. Toujours les trois mêmes lettres : « T.V.A. »
La troisième semaine passe et la mère
reçoit une autre carte postale de sa fille et elle découvre encore les mêmes lettres
: « T.V.A. »
Elle n’en dort plus la nuit tant elle
cherche la fameuse signification de ces trois lettres.
Le lendemain les mariés arrivent et la
mère s’empresse de prendre sa fille à part pour lui demander ce que ses cartes
postales voulaient dire :
« Maman c’était pourtant bien
facile.
Première semaine : Tendresse, Amour, Vigilance.
Deuxième semaine : Trou, vaginale,
agrandi.
Troisième semaine : Testicules, vides,
arrivons. »
Deux cannibales :
« – Moi, j’adore les enfants !
– Moi je ne les digère pas… »
Deux étudiants :
« – J’ai décroché dès la
première année.
– Ça te donne plus de temps pour me
rattraper. »
Annonce (f)ummiste :
« La prochaine conférence
mondiale sur les Voyages dans le Temps se tiendra dans il y a trois semaines. »
Jean-Marc se confesse au curé.
« – Mon Père, pardonnez-moi
parce que j’ai péché.
J’ai presque eu une relation avec une
femme en dehors du mariage, enfin presque…
– Qu’est-ce que vous entendez par
presque ?
– Ben, on s’est déshabillé, puis on
s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis ressaisi, et j’ai tout
arrêté.
– Écoutez mon fils, pour moi, se
frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller jusqu’au bout
de l’acte, et de le mettre dedans.
Alors vous direz 5 « Je vous salue
Marie » et vous mettrez 10 € dans le tronc des pauvres ! »
Jean-Marc quitte le confessionnal, s’en
va un peu plus loin pour prier, et se repentir.
Puis il s’approche du tronc des
pauvres, sort un billet, et s’apprête à partir lorsque le curé l’interpelle :
« – Hé je vous ai vu ! Vous
n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !
– Mais Mon Père, j’ai frotté le billet
contre la boîte, et vous venez de me dire que c’est comme si je l’avais mis
dedans… »
Jean-Paul et sa copine du moment, une
très belle fille, vont au zoo.
Ils arrivent devant la cage du gorille
et le gorille devient fou, lorsqu’il aperçoit la fille.
Jean-Paul dit à sa copine :
« – Wow, tu lui fais de l’effet !
Montre-lui tes seins.
– Voyons donc, t’es fou Jean-Paul…
– Ben, non il n’y a personne. »
Alors elle regarde autour, enlève son
chandail et montre ses seins.
Le gorille vient fou et saute sur l’arbre
de son enclos, sur les barreaux de la cage, fait la culbute, etc.
« – Wow tu l’excites vraiment !
Alors montre-lui tes fesses.
– C’est suffisant, les seins, les
fesses…
– Vas-y, vas-y, il n’y a personne. Il
va en crever, vas-y ! »
La fille baisse son jeans et lui montre ses
fesses.
Le gorille devient de plus en plus
excité.
Il recommence à faire le tour de son
enclos, l’arbre, les barreaux de la cage, fait deux fois la culbute.
C’est à ce moment-là que Jean-Paul,
toujours taquin, ouvre la cage et lance sa copine à l’intérieur en lui disant :
« Explique-lui maintenant
pourquoi t’as mal à la tête ! »
Pendant les fêtes Pasquale, le prof
veut inviter ses jeunes élèves à réfléchir.
« Puisque le Bon Dieu est
ressuscité d’entre les morts le troisième jour, où se trouve-t-il maintenant ? »
Myriam lève la main et dit :
« Le Bon Dieu est au Paradis ! »
Anne-Laure ajoute…
« Le Bon Dieu est dans mon cœur ! »
Jean-Laurent lève la main, se lève et crie
presque :
« C’est pas ça. C’est pas ça. Je
sais ! Je sais ! Le Bon Dieu est dans notre salle de bains ! »
Tous les élèves le regardent,
impressionnés.
« – Ah oui », dit le
prof. « Et pourquoi Jean-Laurent ?
– Parce que tous les matins, mon père (Jean-Marc) se
lève, va à la porte de la salle de bains et frappe plusieurs coups dedans en
criant : BON DIEU, T’ES ENCORE LÀ ! »
Une très ancienne :
Germaine achète une armoire en pièces
détachées.
Une fois à la maison, elle assemble les
pièces et fabrique un très beau meuble.
L’autobus passe dans la rue et avec les
vibrations, l’armoire s’écroule.
Elle assemble les pièces à nouveau et
quelques minutes plus tard un autre autobus passe et l’armoire s’écroule à
nouveau.
Elle téléphone au magasin et on lui
envoie un spécialiste.
Ce dernier constate l’écroulement de
l’armoire aux vibrations mais n’y comprend rien.
Il dit à la cliente :
« Je vais entrer dans l’armoire
pour voir ce qui ce produit et vous fermerez la porte dernière moi. »
Jean-Marc arrive entre-temps,
aperçoit l’armoire et s’empresse de féliciter son épouse.
Il ouvre la porte et découvre le spécialiste
à l’intérieur.
« – Qu’est-ce que tu fais là,
toi ?
– Vous n’allez pas le croire : J’attends
l’autobus ! »
Voici différentes définitions du
mariage qui sont le fruit d’une longue période de réflexion menée par des
millions de personnes.
– Définition religieuse : Acte
religieux qui consiste à créer un crucifié de plus, et une vierge de moins.
– Définition juridique : Sentence dont
le (la) condamné(e) à perpétuité est libéré(e) uniquement pour mauvaise
conduite.
– Définition de la vie courante : Aucune
femme n’a ce qu’elle espérait, et aucun homme n’espérait ce qu’il a.
– Définition mathématique : Somme
d’emmerdes, soustraction de libertés, multiplication de responsabilités,
division des biens.
– Définition pondérale : Méthode la
plus rapide pour grossir.
– Définition militaire : Guerre où l’on
dort avec l’ennemi.
– Définition philosophique : Sert à
résoudre des problèmes que l’on n’aurait jamais eu en restant célibataire.
À l’heure du bilan :
Avant : 2 fois par nuit…
Après : 2 fois par mois.
Avant : Tu m’essouffles…
Après : Tu m’étouffes.
Avant : Ne t’arrête pas…
Après : Ne commence pas.
Avant : Sturday Night Fever…
Après : Wednesday Night Football.
Avant : Être à tes côtés…
Après : Reste de ton côté.
Avant : Je me demande ce que je faisais
sans elle (lui).
Après : Mais qu’est-ce que je fais avec
elle (lui)?
Avant : Érotique.
Après : Neurotique.
Avant : On croirait qu’on est ensemble
depuis toujours…
Après : On est toujours ensemble ?
Avant : Hier soir, on l’a fait sur le
canapé !
Après : Hier soir, j’ai dormi sur le
canapé !
Jean-Marc stationne sa voiture,
une rutilante décapotable, et sort de son véhicule.
Alors qu’il dépose des pièces dans le
parcmètre, un clochard s’approche de lui.
Il est sale à faire peur, il pue, et il
est édenté :
« Aurais-tu une petite pièce de
deux euros, mon prince ? »
C’est une belle journée d’été et Jean-Marc
se sent généreux.
Il sort un billet de 10 € de sa poche.
Le clochard remercie et Jean-Marc
engage la conversation.
« – Écoute, si je te donne 10 €,
est-ce que tu vas acheter de la bière ?
– Non, je ne bois plus depuis 7 ans.
– Alors, c’est pour acheter de la dope.
– Non, je ne touche pas à cette
saloperie, mon prince, je suis trop fier.
– Alors, c’est pour jouer à la loterie.
OK, c’est ça, tu passes ton temps devant les machines à sous…
– Non, c’est une bêtise pour les
femmes. Pas pour moi.
– En parlant de femmes, c’est peut-être
pour une fille ?
– Et courir le risque d’attraper une
maladie. Non merci ! Pas pour moi les filles.
– Bien, bien, allez, monte dans la
voiture, on file à la maison.
– À la maison ? Dans votre maison ?
Mais vous devez habiter un palais, mon prince ?
– Oui.
– Je ne peux pas me présenter comme ça.
– Je ne peux pas me présenter comme ça.
– Si, si, c’est très bien. »
Et Jean-Marc prend son téléphone
portable et compose un numéro :
« – Germaine, c’est moi, je
serai là pour l’heure du souper avec un invité très spécial. Demande au
traiteur de nous prépare un repas royal.
– Mais qui sera là ?
– Surprise ! »
Et Jean-Marc se tourne vers son
passager (qui pue terriblement la crasse et la transpiration) :
« Je veux lui montrer, à quoi
ressemble un homme qui a laissé tomber la bière, le jeu, et le sexe ! »
Les
solutions de la semaine dernière :
«
Jean-Paul, un con bien noté… »
«
À chaque bourse, un cul ! »
De
Jean-Marc : « Cette fille a vraiment dans la fente un grain
de poésie… »
Celles
de la semaine :
« J’ai
senti l’odeur de votre hachis Parmentier… »
« Les
imbéciles : Ils ont voté la fin de la grève ! »
« Quelle
admirable folle ! Il ne lui manque plus que la paresse ! »
Bon
week-end à toutes et à tous !
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