Franchement, ils me font rire !
Les « marcheurs-même-pas-en-rêve », c’est tout juste un
« club de boulistes » où ils mangent tous à la même auberge-espagnole
la même bouillabaisse.
Recrutés par des « pignoufs » rencontrés dans des
cabarets-gay de la Kapitale, à partir de rien, avec pour seule mission de dire
« oui » à « Jupiter-soi-même » (qui prétend les avoir fait
roi en leur baronnie) : En tout cas, c’est marqué comme ça dans les
statuts des « rêveurs-même-pas-en-marche » qui rêvaient tous d’un « monde
nouveau » en politique.
De toute façon, ils n’ont pas de programme : Au début, ils ne
parlaient que des réformes à engager pour remettre le pays « en
marche », et puis désormais tout part en quenouille.
Ça en devient grotesque…
Le dernier week-end aura été caricatural.
Pour son déconfinement, la « Jupitérie » a opté pour un
véritable festival de « off » ravageur. Et, pour une fois, le
spectacle n’est pas assuré par la porte-la-parole « Si-Bête-la-Diarrhée » !
C’est à souligner…
« Marre-laine-Chia-à-pas » a apporté sa pierre.
Et même « Gilou-le-Beauf’ », patron des députés « Jupitériens »
aura a pris le relais dans un élan de « crétinitude » qu’il convient
aussi de saluer.
Notez, rien de très grave, puisqu’ils n’ont dit que de banales vérités.
Quoique, quand cela sort de la bouche de représentants autorisés de la
« Jupitérie », cela mérite d’être relevé.
Pour « Marre-laine », « plus personne ne pense qu’Agnès Buzyn
va être élue maire de Paris. » Ben oui, une évidence pour 90 % des gens !
Mais tout de même… quel langage !
Une évidence depuis l’affaire « Gris-veaux-la-quéquette-à-l’air »…
Une évidence depuis sa gestion de l’épidémie du « Conard-Virus ».
Une évidence depuis le premier tour et ses aveux sur la « mascarade » de
sa campagne.
Il paraît qu’il fallait dégriser quelques militants marcheurs, assommés à
coup de bite exhibée par leur ex-tête de liste.
Le vrai scandale – car il y a un scandale « Buse-one » –, ce
n’est pas ces aveux internes de défaite anticipée avec tous les effets
démobilisateurs qu’on imagine, car ceci est en fait relativement classique dans
la vie politique (souvenez-vous des LRD qui lâchaient « Fifi-le-souteneur »
pour préparer leur intronisation dans le « monde d’après »). Le
véritable scandale « Buse-one » est probablement double triple :
D’abord le seul fait qu’elle soit encore candidate, qu’elle n’ait pas eu la
décence de se retirer, quelques semaines après la catastrophe sanitaire, après
sa « mascarade ».
Ensuite, le fait qu’elle a tout de même pu recueillir autour de 20 % des
suffrages des « Parigots-bobos », selon un sondage réalisé pour le
Journal du dimanche et Sud Radio par IFOP-Fiducial, la rend étrangement
incontournable alors qu’elle aurait dû dégager rapidement.
C’est assez extraordinaire : Est-ce si compliqué de se déprendre d’une
candidate dont l’incompétence fut patente voire dangereuse pour au moins un
parigot-acéphale sur cinq ?
Ça laisse sceptique, tout de même…
Peut-être que ça correspond bien à la « beaufitude » du
« Parigot-bobo ».
Inquiétant, finalement… parce qu’ils ont tous été largement exposés au
« Conard-virus » et au confinement, ne rêvant plus que d’aller
s’installer à la campagne…
Ou alors est-ce pour mieux enterrer la candidature de « Rachida-Mimi »
et faire le lit (en lui bordant les draps sensuellement) à « Sœur-Âne » ?
Je ne sais pas, mais ça sent l’entourloupe à plein nez…
Justement et par ailleurs, « Gillou-Le-Beauf’ » lui est déjà
« ailleurs ». Il est dans le « se réinventer ».
Le pays croule sous les dettes et les manifestations antiracistes, mais
lui pense « remaniement » ministériel.
Et il n’a pas peur de mettre les mains dans le cambouis : D’après ses «
notes secrètes » subrepticement rendues publiques (par qui qui veut sa peau ?),
il verrait deux « favoris » pour remplacer « Kungfu-Panda » à
Matignon : L’ex-socialiste « Jean-Yves-le-Riant », qui « saura
gérer la majorité » (quelle majorité ? Elle a perdu son
« absolutisme »…) mais « appuiera peu l’élan que nous souhaitons
donner » (lequel, SVP, il n’y en a jamais eu que de « marcher-en-même-temps » ?),
et le « sinistre de l’Économie », « Pruneau-le-Mère », un
transfuge (encore un…) de chez les « Républicains-Démocrates »
comme « Kungfu-panda », qui « porterait parfaitement la
reconstruction » malgré un « faible charisme ».
Dommage que ces deux-là n’aient pas pu donner leur vraie
« mesure » avec « Juppette » à l’Élysée, même s’ils se sont
bien rattrapés avec « Jupiter ».
Curieusement, il ne cause pas de « Dard-à-la-main ». Peut-être
que ce dernier préfère s’occuper seulement de sa mairie, parce que le cumul des
fonctions, ce n’est pas facile pour la santé… !
Bref, on sent tout de suite où va ses préférences : Il se présente lui-même
comme étant « économiquement de droite, et culturellement et sociétalement
de gauche, un peu schizophrène électoralement ». Il faut dire qu’il a bouffé
dans pas mal de gargote depuis « Giskard-A-la-Barre »…
Le scandale n’est pas là, pas dans leur manque de charisme, mais dans leur
façon très « ancien monde » de faire de la politique, dans leurs
scènes de ménage dominicales dans le JDD ou sur leurs plateaux favoris, mais
dans la crise sanitaire, économique, sociale qu’ils ont créée…
Et puis l’autre scandale – et là, les « Gauloisiens » ne peuvent
s’en prendre qu’à eux-mêmes –, c’est que le « Premier sinistre »
responsable de tout ça, crises et mascarade comprises, gagne 5 points de
popularité !
À 39 % il dépasse même « Jupiter » !
L’affront…
Et c’est probablement ce qui signera sa perte : Il sera plus au calme
au Havre et fera moins d’ombre qu’à « Paris-sur-la-plage »…
Ce qu’il y a également de scandaleux, ce sont surtout, de mon point de
vue, les doutes affichés sur les capacités des députés du groupe des
« Marcheurs-même-pas-en-rêve » à assumer les plus hautes
responsabilités : Tous des moins que rien ?
Inutile de vous dire que j’en rigole.
Non pas que ce soit faux, mais tout de même…
Franchement, j’aurai un chef qui n’a pas confiance en moi, je ne saurai
plus pourquoi je reste à « sa botte ».
Ou alors c’est que la soupe est vraiment bonne à la cantine du Palais
Bourbon…
Et puis également les appréciations peu aimables à l’égard des ministres
actuels… du « Beauf’ » font tâches.
C’est vrai qu’il y en a une kyrielle dont on se demande ce qu’ils foutent
de leurs journées dans les palais gouvernementaux, qu’on se dit qu’ils ont
probablement des « talents cachés » qu’on ignore (tellement bien
cachés qu’on ne les discerne à aucun moment).
Mais tout ça c’est très bien : Ça provoque au moins des remous dans
la majorité.
À tel point que selon Le JDD du dimanche 7 juin, le président de
l’Assemblée « Ricard-Ferre-rang » lui aurait conseillé de quitter ses
fonctions de patron de groupe, lui le successeur de
« Rugby-la-langouste » qui aura précédé « le-Beauf’ » en
remplacement de « Castagneur » à la tête du parti
« Jupitérien ».
« Il faudrait que j’aie quelque chose à me reprocher »,
répond l’intéressé tout en expliquant que « c’est dans le rôle du
président de groupe d’échanger avec le chef de l’État sur la situation
politique. »
Normal, normal, le troisième couteau… ?
Enfin passons.
Reste que les critiques internes pleuvent. Comme si la publication de
cette note au président de la République était la gaffe de trop pour un chef
qui n’a pas su éviter le délitement de ses troupes.
Bé oui, depuis son élection en septembre 2018, à la tête dudit groupe, « Gilou-Le-Beauf’ »
est en effet loin de faire l’unanimité : Au fil des mois, son action comme
chef d’orchestre du groupe majoritaire à l’Assemblée nationale n’a cessé d’être
remise en cause.
Dans les réunions de ce groupe de branquignoles, à visage caché dans les
médias, mais également à Matignon, où ses relations avec
« Kungfu-Panda » n’ont jamais été sensationnelles, ça « branle
du manche », c’est le moins qu’on puisse dire…
« C’est un naufrage. Il n’est bon ni sur le plan opérationnel ni
sur le plan médiatique », assénait un proche du chef du gouvernement
en mai 2019 (il y a une éternité), entre autres critiques cinglantes.
Désormais, ces petites phrases et autres appréciations ne sont font plus
nécessairement à visage couvert.
Parmi ses détracteurs, le député de l’Eure « Pruneau-Qu’est-ce-t-elle »
a rapidement jugé à l’AFP que son collègue était « déjà fragilisé avant »
la publication de son casting gouvernemental (qui date de mai 2020) et qu’il
devait « libérer la place dans les meilleurs délais. »
C’est sûr que ses « petits-copains » vont ruer dans les
brancards…
Il enfonçait le clou ce dimanche dans Le JDD : « Si j’avais placé
le collectif que je préside dans cet état, si ma fonction était aussi
dévalorisée j’en tirerais toutes les conclusions. »
Même constat pour son collègue « Relent-Lèche-cure » qui ne voit
« pas comment continuer dans cette configuration-là. »
Lui, si !
Fragilisé le bonhomme ? Les quelques mois de sa présidence n’ont pas été
de tout repos : Il s’est notamment trouvé, en avril 2018, au cœur d’une polémique
à cause de la nomination de sa femme, Raphaële Rabatel, comme directrice de la
communication de la « Gauloisienne des jeux ».
Un groupe dont la privatisation était au cœur de loi Pacte, que
l’Assemblée nationale était sur le point de voter.
Surtout, il n’a pas réussi à éviter la fuite des députés de son groupe !
Une « crevaison lente » mais bien réelle puisque « La
République en marche même-pas-en-rêve » a perdu sa majorité absolue, celle
qu’elle possédait pourtant largement.
La publication de la note, et les polémiques qu’elle entraîne, intervient
alors que quatorze nouveaux marcheurs ont quitté le groupe à travers la
constitution d’un neuvième, à l’aile gauche, « Écologie Démocratie
Solidarité » (qu’a d’ailleurs rejoint ma « pote » en bonne
bourgeoise de province), puis d’un dixième sur son aile droite, « Agir
ensemble », qui reste toutefois encore dans la majorité.
On dirait le « P.Soce » et ses « courants » au
meilleur de sa forme…
À mon sens, c’est « Menuet-Valse » qu’il leur faudrait,
l’héritier de la fameuse « Majorité-plurielle » de
« Tonton-Yoyo » : Une « machine à perdre » assez phénoménale !
Plusieurs parlementaires étaient déjà partis sur fond de désaccord sur la
ligne ou pour les municipales et sur la question de la réforme des retraites.
Au final, les marcheurs et apparentés sont aujourd’hui 281 à l’Assemblée
contre 314 au début de la législature…
Plus qu’une crevaison, une lente noyade…
Depuis un « courant interne » (ambiance « ancien monde »)
a été lancé par une cinquantaine de députés…
La faute à n’avoir pas su réunir une troupe autour d’un corpus de valeurs
communes décliné dans un programme : Merci « Beau-raie-l’eau ».
« Avec autant de départs, et un courant interne, c’est simple :
moi, à sa place, j’aurais démissionné. Je suis admiratif de sa persévérance »,
glisse, façon peau de banane, un député de cette majorité-minoritaire.
Malgré tout, il peut compter sur certains soutiens qui soulignent, comme
depuis son élection, la « difficulté du job » de l’élu parigot (merci
pour eux…), ex-« journaleux-économique », avec un groupe vaste,
composite, et une bonne part de personnes sans expérience politique avant 2017.
« Soyez fiers d’être des amateurs » leur avait lancé « Jupiter »
en février dernier…
Un député des « Gauloisiens-de-l’étranger » appelle tout de même
« le groupe » à « reprendre collectivement ses esprits. »
« C’est urgent » explique-t-il avant de défendre « Gilou »
: « Quel est le sens de cette polémique ? Que le Président du groupe
majoritaire fasse une note au Président de la République ? C’est tout à fait
son rôle. Face aux défis du pays, le temps est à l’action pour redresser la
France, en aucun cas aux vaines polémiques qui ridiculisent ceux qui les alimentent. »
Lui, il n’a rien compris (c’est dire s’il est kon) : Un coach,
c’est fait pour promouvoir ses joueurs, pas pour les dévaloriser…
Et ces derniers se font de plus en plus nombreux. Les autres, ses
soutiens, sont discrets. « Mourir-Mal-Joue-bi », ne s’est pas montré
très actif dans la défense de « Gilou » estimant seulement que « ce
n’est pas le moment » de « lui taper dessus. »
Peut mieux faire…
Même la porte-la-parole du parti, « Aurore-Vergeture » a lancé
une sorte d’avertissement au président de groupe : « Nous découvrons
que Gilles Le Gendre veut donc remplacer tout le gouvernement (…). Je ne
doute pas qu’il s’en expliquera devant les députés. »
J’attends avec une hâte toute relative les réactions à l’issue des
réunions d’hier, qui forcément s’annoncent difficiles pour le député « parigot-bobo ».
Avec un peu de chance la teneur des discussions ne restera pas longtemps « privée ».
Avouez que tout cela est fort drôle : Que les seconds et troisièmes couteaux
s’étripent consciencieusement au moment du déconfinement, c’est que ça aura été
dur pour eux, ces 55 jours de « garde-à-vue » !
En fait, le « Conard-virus » aura mis en lumière le
« bug-natif » du parti « Jupitérien » : Pas d’assise.
Ni programmatique, ni populaire, ni dogmatique.
Une bouillabaisse rien de plus, faite à partir de ramassis de gens sans
talent et sans métier.
J’en reviens à penser que la politique, c’est un métier à part entière qui
s’apprend sur le tas, à serrer des mains et claquer la
« bise-aux-dames » dans les rues et sur les chemins, tâter le kul des
vaches et les « têtes blondes » dans le même geste.
Pas dans les cabarets-gays de la Kapitale.
On n’a pas fini d’en reparler avec les résultats du second tour pour
s’apercevoir qu’au total le premier parti « Gauloisien » reste, comme
en 2017, celui des abstentionnistes !
Ce qui permet toutes les « aventures » possibles au plus culotté
dans deux ans.
Ça avait bien « marché » il y a trois ans et au bout de ce laps
de temps, ils auront été incapables de construire une « vraie
légitimité » populaire.
Tant pis…
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