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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 2 juin 2020

Ça se confirme : « Sœur-Âne » est dangereuse !

Le tout en seulement deux points.
 
Que ça râle sévère pour ces « bons contribuables » parigots qui payent Contribution Foncière des Entreprises et Contribution des Entreprises sur la Valeur Ajoutée au profit de la finance locale.
Ils en ont ras-le-bol. Entre « confinement » (fermeture, quoi !) et l’envahissement des vélos au détriment de l’accès en voiture à leurs échoppes, le « piti-commerce » parigot souffre durement (et pas seulement les bars et autres lieux de perdition…).
Moâ, je ne suis pas surpris.
 
Des loyers chers, des clients raréfiés, empêchés de rentrer en ville, des espaces de circulation réduits, la priorité aux bus et aux vélos, des espaces de parking de moins en moins nombreux, clairement, « Paris-sur-la-Seine » devient un repoussoir (à peine propre) infernal pour le chaland.
Sans même compter l’absence de touriste durant des semaines, qui ont vidé les hôtels, les restaurants, les parcs et jardins, les musées, opéras (et autres lieux de perdition)…
Même les églises, il faut le dire.
Même les « putes du bois » se sont mises à télé-virtualité…
Et elles rament comme du temps du 3615 Ulla !
 
Ce sont les commerçants du centre de « Paris-sur-Seine » qui déplorent ne pas se sentir soutenus par la mairie.
Et « Sœur-Âne », impériale dans l’autisme de les inviter à… « s’adapter » !
Il n’y a pas à dire, elle est fabuleuse : S’adapter ou mourir et périr ?
Paul de Trentinian, pour le village Saint-Paul, Emile Sebbag, pour les commerçants des Halles, mais aussi Paola Pellizzari et Fabienne Bonnat pour l’île Saint-Louis, s’inquiètent de l’avenir de leurs activités dans les semaines à venir.
Parce que quand la « Ville de Paris-bobo » parle d’aménagements tactiques mis en place pour aider au confinement des Parigots, avec des pistes de vélos supplémentaires et des rues fermées aux voitures, les commerçants, eux, y voient des aménagements de trop !
 
« C’est mathématique, s’il y a moins de flux, il y a moins de clients. Et pour nous, c’est moins d’affaires alors que nos charges et nos loyers sont toujours les mêmes », affirment ces représentants des « commerces de l’exception et de la spécificité des rues de Paris », qui se différencient des commerces alimentaires de quartier.
Réunis sur l’île Saint-Louis, où l’activité a subi aussi de plein fouet le drame de Notre-Dame, ils égrainent leurs craintes.
La rue de Rivoli fermée en grande partie aux voitures est un des grands symboles des mesures municipales : « Nous qui vendons des objets d’exception, des produits de qualité d’artisanat, nous ne pouvons pas nous satisfaire des seuls clients de proximité.
Nous avons besoin du passage des habitants du VIIIème arrondissement ou du XVIème, tout comme des habitants de la banlieue et même de la province.
Or, tous ceux-là ne viennent plus dans le centre de Paris », dénonce avec chiffres en main, Paul de Trentinian, représentant du Village Saint-Paul, déjà victime de trois années de travaux…
 
Un point de vue que confirme Emile Sebbag, pour les Halles : « Sans circulation, sans mobilité, il n’y a pas de consommateur », dénonce-t-il comme un slogan, craignant en outre la menace de la circulation alternée, un temps prônée par la mairie centrale : Pour rouler à « Paris-sur-la-plage », il faudrait deux voitures, paire et impaire (noire et rouge, passe et manque…)
À cela il ajoute les contraintes sanitaires qui ont un coût.
 
Sur l’île, îlot au cœur du centre de la Kapitale, la situation est pire encore : « Nous ne sommes pas un secteur commercial de passage. Mais de destination.
Nos clients viennent pour trouver des boutiques originales qu’ils ne trouvent pas ailleurs. Pour une qualité de relation.
Or, les places de stationnement nous ont été supprimées. Comment nos habitués peuvent-ils encore se rendre chez nous », constatent Paola Pellizzari et Fabienne Bonnat.
Depuis juillet 2017, le nombre de places dans les rues a en effet fondu de moitié !
 
Pour tous, il semble que Paris mise davantage sur le tourisme de masse, qui favorise les chaînes. « Ce sont les seuls magasins qui peuvent fonctionner à perte », affirme Mathieu Guyon, le président d’honneur des commerces de Louvre-Rivoli.
Lui, il a dû fermer sa boutique ici pour s’installer à Vincennes (Val-de-Marne). « Les riverains dénonçaient les livraisons de nos boutiques en oubliant que la majorité des camions viennent pour livrer les particuliers », affirme-t-il.
 
Même le BHV/Marais, le grand magasin phare de la rue de Rivoli, en face de l’ancien bureau de première adjointe qu’était encore « Sœur-Âne » sous « De-la-Nuée », se retrouve en difficulté : « La fermeture de la rue de Rivoli aux voitures est une mauvaise nouvelle.
Après la fermeture des berges, la difficulté pour nos clients monte d’un cran aujourd’hui.
Et nos services de livraison ne compensent pas l’absence de nos clients sur place. »
Quand je pense qu’ils se sont payés un vaste parking rue Lobau avec accès direct au magasin, juste sous les fenêtres de la salle des fêtes de la Mairie.
À l’instar de la « Samaritaine » et son parking public devant Saint-Germain-L’auxerrois… face au Louvre et sa colonnade de Perrault : No parking, no business en disait le gourou Chetochine.
 
On botte en touche, renvoi aux 22 à la mairie : « Souvent les commerçants, au moment où l’on va piétonniser ou semi-piétonniser une rue, craignent de perdre des clients. Mais à Paris, 80 % des courses se font à pied. Les Parisiens aiment aller à pied dans leur commerce de proximité », répond « Sœur-Âne ».
Elle a raison, mais c’est seulement pour acheter le croissant dominical !
La rue de Rivoli fermée ? « Pour les commerçants, on a des mesures sur le stationnement, ils sont des priorités de circulation. On tient compte de leur situation pour les aider.
Mais la ville où on viendrait en voiture pour s’arrêter pour faire ses courses, ce n’est plus Paris. Il y a des services de livraison. Il y a une adaptation à faire pour répondre au mieux aux nouveaux clients.
À Paris, les Parisiens sont plus de 65 % à ne pas posséder de voiture et ils achètent quand même dans des commerces d’exception et de proximité.
À nous d’aider ces commerçants à s’adapter. »
On voit qu’elle ne s’est pas fait livrer très souvent son croissant dominical à elle, dans son XVème bobo.
 
Simple, pour la maire de « Paris-sur-la-plage », il faut oublier « les schémas du passé qui ne sont plus du tout adaptés à la dynamique et à l’attractivité d’une ville comme la nôtre.
Paris est reconnue, y compris à l'international, parce que l’on est capable de s’inscrire dans les défis du siècle, du changement climatique et de la lutte contre la pollution. Paris fait partie des Villes qui réussissent. »
Ah oui ? Pour y vérifier l’air pur ou pour visiter les antiquités qui trainent dans les musées ?
Drôlement « moderne » comme démarche…
C’est d’ailleurs la seule fois où elle parle de pollution qui… n’aura pas disparu malgré le confinement durant presque deux mois !
 
En attendant, un credo et des paroles qui ne permettent pas de payer les charges et loyers qui augmentent. « Pas la peine de se braquer les uns contre les autres. Il faut avoir en tête une juste notion du partage de l’espace entre vélo, bus et voitures.
Il ne faut pas en exclure un des trois.
Il faut se rencontrer avec la mairie, avec des idées concrètes. Un plan de Paris sous les yeux. Et travailler ensemble ».
 
D’autant que le « plan vélo », ce n’est pas vraiment l’avenir, qu’on se le dise.
(Le deuxième point).
Si augmenter l’usage du vélo pour le transport individuel de proximité ne présente que des avantages, surtout dans les grandes villes, le vélo a des limites et de très sérieux inconvénients.
Tel qu’il ne faut surtout pas en faire un élément majeur de la transition énergétique qu’il ne peut décidément pas être.
 
Il présente, sur le papier, le triple avantage de ne pas émettre beaucoup de CO2, en dehors de celui rejeté par la respiration de son utilisateur, de réduire la congestion et la pollution des villes et également de permettre de ne pas surcharger les transports en commun devenus avec la pandémie des facteurs de risques sanitaires.
Mais le vélo a aussi de sérieux inconvénients assez évidents.
Un, toute la population ne peut pas l’utiliser, notamment les personnes les plus âgées et les plus jeunes. Mais également les familles et tout simplement ceux qui ont besoin d’emporter un matériel conséquent pour exercer leur activité professionnelle.
Deux, en outre, au-delà de quelques kilomètres, l’utilisation du vélo exige une bonne condition physique, sans ça c’est le SAMU assuré pour arrêt cardiaque avant la fin du parcours, et pas mal de temps.
Trois, quand la météorologie est favorable, l’usage du vélo peut être très agréable. En revanche quand il pleut, qu’il neige, qu’il vente ou que les températures sont basses, ça devient très vite un véritable calvaire !
Enfin, quatre, l’utilisation du vélo dans des villes encombrées où l’anarchie règne sur les chaussées, comme à Paris-sur-la-plage, n’est pas sans réels dangers de blessures graves.
Cinq, moâ j’évite les montées. Les descentes, je veux bien, mais monter mon quintal, ce n’est pas raisonnable à mon grand-âge.
Et puis il ne faut pas dékonner, mais un frêle vélo ne fera jamais le poids face à un bus qui arrive dans le dos au moment où vous dérapez et que vous vous viandez, où un camion de livraison qui aura mal apprécié ses angles-morts.
 
Pourtant, pour la « sinistre de la Transition écologique et solidaire » (on a ça aussi et dans le même élan), l’heure est venue « d’illustrer que le vélo est un mode de transport à part entière et pas seulement un loisir », la criminelle.
La Direction générale des entreprises (DGE) du ministère de l’économie et des finances et l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) viennent d’ailleurs de lui apporter des arguments dans une volumineuse étude de près de 400 pages publiée le mois dernier.
 
Ses conclusions sont les suivantes :
– La pratique du vélo a fortement augmenté au cours de la dernière décennie.
– Mais le pays est très en retard par rapport à de nombreux autres pays européens et l’augmentation de l’usage ne concerne en fait que les grandes villes. 
– L’utilisation ou non du vélo illustre parfaitement la fracture territoriale entre les métropoles et le pays « périphérique » des petites villes, des zones périurbaines et des campagnes, qui elle ne peut se passer de l’automobile.
Moâ, c’est quand je vais à Lille, à Brest, Bordeaux, Nice ou Toulon avec tout mon barda sur le dos que je ne peux pas m’en passer…
À chacun son problème.
– L’étude conclut que les collectivités et les pouvoirs publics en général doivent investir, notamment dans les équipements en pistes cyclables, pour rendre la pratique du vélo plus attrayante, plus facile et plus sûre.
– Elle insiste enfin sur le potentiel du vélo électrique pour convaincre une population plus large d’adopter ce mode de transport en en réduisant les inconvénients.
 
Dans le détail et selon différentes estimations, près de 5 % seulement des personnes de plus de 15 ans font du vélo quotidiennement (contre 30 % au Danemark et 43 % aux Pays-Bas, des plats-pays : Même pas une petite côte à l’horizon, sauf au-dessus des canaux).
Et la pratique évolue très différemment selon les zones géographiques : Elle est en forte progression dans le centre des grandes villes mais il s’agit d’un « trompe l’œil ».
Car, elle baisse dans le même temps en banlieue, en milieu périurbain et dans les zones rurales « là où il y a 25 ans la pratique du vélo était la plus forte ».
 
Les « Gauloisiens » possèdent pas moins de 35,7 millions de vélos dont un quart prend la poussière et ne roule plus : Ils considèrent davantage le vélo comme un loisir ou une pratique sportive que comme un mode de déplacement au quotidien.
Pourtant, plus de la moitié des déplacements des « Gauloisiens » font moins de 5 kilomètres, une distance idéale avec un vélo !
Mais la voiture individuelle reste le mode de transport privilégié sur ces trajets courts et en assurerait 65 %.
Ce qui est une aberration en termes d’émissions de gaz carbonique, bien naturellement, d’autant mieux que c’est dans les premiers kilomètre qu’un moteur thermique pollue le plus !
En prenant en compte l’empreinte environnementale totale des moyens de transport (qui inclut notamment les émissions liées à leur fabrication et leur recyclage), l’Ademe estime qu’en moyenne, « pour un kilomètre parcouru, les émissions de gaz à effet de serre sont 94 % fois moins élevées pour le vélo que pour la voiture ».
Alors, indécrottables les « Parigots-bobos » ?
 
Ceci dit, l’utilisation du vélo ne se décrète pas. Il faut qu’elle offre des avantages économiques, en termes de facilité et de liberté de mouvement, ce qui est le cas dans les grandes villes et explique son succès.
Sauf que moâ, je me suis fait piquer le mien : J’avais pourtant retiré la selle et mis un antivol !
 
Ceci dit, le grand plan « Vélo et mobilités actives », présenté en fanfare par le gouvernement en septembre 2018, fixait comme objectif de tripler la part modale du vélo en « Gauloisie-cycliste », c’est-à-dire « le taux de déplacements faits à vélo sur l’ensemble des déplacements de la journée ». Il devait passer de 3 % à 9 % d’ici à 2024.
Un objectif totalement irréaliste !
Morbleu : Selon l’étude de l’Ademe, cette part modale du vélo est récemment « sans doute descendue sous la barre des 2 % » !
Et l’objectif du Plan Vélo est absurde : « Une part modale de 9 % à horizon 2024 supposerait une augmentation de 35 % par an de la pratique utilitaire sur cinq ans » dans tout le pays…, tous les ans !
Dingue, les utopies…
 
Toutefois, pour être complet, on peut aussi noter que la solution se trouve peut-être du côté du moteur électrique d’appoint.
Car depuis plusieurs années, le paysage de la bicyclette en « Gauloisie-bicycle » est marqué par le développement des vélos à assistance électrique. Les ventes de ses modèles sont passées d’un peu plus de 100.000 en 2015 à 338.000 en 2018, soit près de 13 % de l’ensemble des vélos vendus cette année-là aux particuliers.
Le vélo électrique est considéré par l’Ademe comme « un outil majeur pour réduire les fractures sociales et territoriales » car il « touche prioritairement les territoires où la pratique du vélo est la plus faible, s’utilise avec une fréquence de pratique et sur des distances de déplacement beaucoup plus importantes qu’un vélo classique et touche principalement des Français plus âgés qui ne faisaient plus de vélo et des femmes ».
 
Moâ, je vois surtout que t’auras l’air kon avec ta batterie sous le bras pour ne pas te la faire piquer et la recharger à côté de ton portable…
Ou alors « Sœur-Âne » va redémonter une deuxième fois les portiques à « Vélib’ » pour les adapter au « tout venant ».
De toute façon, c’est réglé : Tant qu’on n’aura pas protégé de la pluie (et de la neige) toutes les rues de « Paris-sur-la-plage » les vélos n’iront pas jusque dans les « commerces d’exception »
C’est quand même dingue de ne pas réfléchir plus loin que son nez (qu’elle a… hispanique !)
En attendant, ils vont être nombreux à être victime de dogmes suicidaires avant de tous rouler vers les arrêts cardiaques sur leurs pédales.
 
Rappelons d’ailleurs que « Sœur-Âne » roule à « Paris-sur-la-plage » en « Totoya-hybrid » (il faut ce qu’il faut), avec chauffeur (il faut ce qu’il faut) et garde-de-son-corps (il faut ce qu’il faut)…
Un peu comme « Chri-chri-la-Garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas », quand elle faisait « sinistre de « Bling-Bling » », qui répondait aux manifestants se plaignant des taxes sur le litron de gazoline : « Ils n’ont qu’à prendre leur vélo ! »
De qui se moque-t-on ?
Elles sont vraiment très dangereuses, finalement, toutes ses « femmes de pouvoir »…

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